Suite à un A ou V, je me suis retrouver à faire un Os d'amour sur moi et Jeff the Killer. Autant dire que la romance et moi, ça fait deux.
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PDV Jeff.
J'entrais dans la maison de ma proie, en me convainquant que cette fois, j'allais la tuer. C'était une jeune femme, surement un ans de moins que moins, assez belle et très intriguant. Ca fait une semaine que j'essaye de la tuer, mais une semaine que quelque chose m'en empêche. Quand je la voie, allongé dans son lit, seule, avec des traces de larmes sur ses joues pâles, je sens mon coeur se serrait et une forte envie de la prendre dans mes bras pour la consoler. Mais je suis un tueur et elle ma proie.
Je connaissais maintenant par coeur sa maison, vide. Il n'y avait que quelque photos de famille, mais ça se sentait qu'elle était seule depuis bien longtemps. Je montais dans sa chambre, mon couteau en main. J'entrais silencieusement dans sa chambre, prêt à faire face à son visage en larmes et endormie. Mais... Ce soir là, ce n'était pas le cas. Elle était assis à sa coiffeuse, une nuisette noir sur le dos, ses cheveux relever dans une queue de cheval. Par son reflet, je vis ses yeux, écarquiller par la surprise. Je su à ce moment précis que je ne pourrais définitivement pas la tuer. Ses yeux, deux rubis couleur sang, où sont refléter désespoirs et solitude. Je rangeai mon couteau dans la poche ventral de mon pull et m'avançais doucement vers elle, ma capuche l'empêchant de voir mon visage.
- Vous êtes le tueur en série, n'est-ce pas ? demanda-t-elle.
- Oui. répondis-je, pas surpris.
- Et vous êtes venu ici tous les soirs.
Je la regardai surpris. Comment pouvait-elle savoir que je venais la voir chaque soir ?! Elle se tourna vers moi et je pu contempler son visage. Des fines lèvres, pulpeuse ne demandant qu'être embrasser, des mèches de cheveux retombant sur son visage. Doucement, je m'agenouillai devant elle pour mieux la regarder.
- C'est vrai. Comment le sais-tu ? demandais-je
- Ton odeur... Tu sens l'herbe fraîche et la lavande... Ca reste dans l'air et le matin, je la sens...
- T'as un bon od-
- Pourquoi ne pas me tuer ? Pourquoi me garder en vie ?
Je fus plus que pris au dépourvue. Son regard s'était emplie de larmes de frustration et de désespoir. Elle voulait mourir ? Mais pourquoi ? Doucement, je posai une main sur sa joue pour chasser ses larmes. Elle me regarda, surpris.
- Car tu as quelque chose de spécial, qui m'empêche de te faire le moindre mal. Chaque soir, quand je viens, je te vois endormie, les yeux gonflé par les larmes, les joues portant encore les striures de ces dernières. Pourquoi ?
- Parce que personne m'aime ! On m'utilise, on m'humilie ! Je ne suis qu'un objet ! Un objet qui a aujourd'hui plus d'aucune utilité ! cria-t-elle en pleurant fortement.
Je restai silencieux puis la prit dans mes bras, lui caressant doucement le dos et chuchotant doucement de douces paroles à son oreille. Elle s'était tendu mais à fur et à mesure que je la berçais, elle se détendait et je sentais ses larmes se tarirent.
- Tu n'es pas un objet. Tu es une superbe jeune femme qui doit être encore plus belle en souriant.
- N-Ne racontez pas n'importe quoi ! fit-elle en rougissant.
Et en rigolant je lui ébouriffai les cheveux. Et durant les prochains mois, je lui rendis visite tous les soirs, jusqu'à ce que notre amitié devienne de l'amour. Mais lorsque ce fut le cas, je pris peur. Elle sera en danger à cause de moi et risquait de perdre la vie. Je devais donc mettre un terme à ça. Mais en arrivant, je su que j'avais pris ma décision trop tard. En entrant dans la chambre, je vis ma chère et tendre empalé par la tentacule de Slenderman.
- NOOOOOOOOOOOON ! hurlais-je, attaquant le Slender.
Mais je savais que c'était un combat perdu d'avance. Je sentais la tentacule de Slender me traverser de part en part et me balançait là où était ma tendre Hikaru. Doucement, je me traînais vers elle et la pris dans mes bras.
- Pardon... Je ..
- Shhhh...
Elle souriait et m'embrassai, une dernière fois avant de s'éteindre. Je restai contre ses lèvres et sentais les bras de la mort m'enlaçai a son tour. Au moins, nous serions tous les deux réunis à jamais, sans que personnes nous séparent.