Des cendres tombent sur la plage de sable blancs. Une grande maison brûle, les flammes s'élevant, haut dans le ciel. Un garçon d'une douzaine d'année, dont les boucles rousses volent légèrement dans la tempêtes de poussières grises et dont les yeux bleus sont livides tellement la tristesse l'emplie, retient ses larmes en voyant toute sa maison brûler. À ses côtés une petite fille qui doit avoir 4 ans, avec des longs cheveux châtains et deux petite prunelles bleu, rigole ne comprenant pas le drame qui se déroule sous ses yeux. Des cris retendissent à l'intérieur du bâtiments, des cris de douleurs, de souffrances, sortant des bouches des orphelins étant rester coincés à l'intérieur.
"Les autres devraient venir voir ça ! S'écrit la petite fille en rigolant.
-J-Je... Ils ne peuvent plus... Alice il faut que tu comprenne..."
Il se mît à genoux devant l'enfant qui ne comprenait toujours pas et lui pris les mains.
"Attend bouge pas Lucas je vais chercher les autres ! Dit elle en partant en courant vers l'orphelinat aillant finis de brûler. Elle rentra dans le bâtiment, Lucas lui étant sous le choque du geste de l'enfant. Elle regarda en face d'elle se trouvais une femme, dont le visage ayant entièrement brûler faisait ressortir ses yeux verts qui, eux, étaient intact et les morceaux de muscles carbonisés sentant le souffre et la chair en décomposition. Mais l'enfant ne comprenant toujours pas continuais son chemin à travers les cadavres brûlés de ses amis et des surveillants toujours souriante car elle ne se rendait pas compte qu'elle était la seule survivante du drame avec Lucas.
Lucas finit par se lever et, ignorant les cadavres pour ne pas pleurer, alla chercher la petite et la mît sur son dos avant de se diriger vers la ville. En pleurant.
"Alice... Il faut que tu comprenne... Tous le monde à l'orphelinat est mort... Tu ne reverras plus jamais tes amis..."
L'enfant qui comprenait enfant ce mis à frapper la tête du garçon en pleurant à chaudes larmes, un mélange de colère et de tristesses. La colère faisait légèrement ressortir ses veines et les traits plissés de son visage. Lucas la posa par terre et se mis à genoux en face d'elle.
"Tu mens ! Ils... Ils peuvent pas être tous morts ! Tu... Tu me mens ! lui répondit l'enfant en se jetant dans ses bras, ses mains crispées sur les vêtements en lambeaux du garçon. Celui-ci laisse la petite faire en caressant ses cheveux parsemés de cendres et en essuyant les larmes qui coulent sur ses joues. Ils restent tous les deux en long moments ainsi avant que Lucas ne la remette sur ses épaules et qu'ils continue leurs chemin. Alice a force des larmes c'est endormi alors qu'ils passaient dans un village aillant été attaqué. Les cadavres des habitants forment un tapis de sangs, de chairs, de muscles et des insectes sortent des crânes des victimes. Le garçon se retient de vomir avec tout ces odeurs de souffres, mais il se dit que dans se monde post-apocalyptique il devra s'habituer à ce genre de choses. Alors à travers les villages pleins de cadavres en composition et de scarabées manger leurs chairs. Alice elle c'était transformée en sans cœur, plus rien ne lui donner de sentiments, elle ne souriait plus, ne rigolait plus, ne pleurait plus, se qui attristait le plus âgé. Les saisons passaient et les années aussi, Lucas a désormais 17ans et Alice 9 ans. L'enfant paraît toujours aussi neutre et le garçon lui paraît toujours aussi triste. Dans cette fin du monde ils doivent survivre, beaucoup de gens s'entretuent pour pouvoir vivre, avoir assez d'eau, de nourriture et d'autre chose qui assureront leurs survie. La petite est devenue une vrai machine de guerre que rien ne semble arrêter, même Lucas aillant tous fait pour la convaincre d'arrêter de tuer des innocents n'a pas réussi. Tous le monde la craint, même l'adolescent se méfie d'elle. mais il n'ose pas la tuer, il l'apprécie comme sa sœur malgré qu'elle soit un monstre. Sur terre il ne reste pratiquement personne, en faite il ne reste que Lucas et Alice, et la plus jeune ne peux supporter qu'il reste deux personnes. Il ne doit en rester qu'un ou qu'une.
«Tue moi ! Sinon c'est moi qui te tue ! s'écria t-elle.
-Alors tue moi, lui répondit calmement le plus vieux, après tous si tu veux qu'il n'en reste qu'un autant que ça soit toi... Si je dois vivre pour aider éternellement à quoi bon survivre...»
Alors sans le prévenir, Alice lui enfonça son couteau dans le cœur, sous le regard ébahi du roux. Ses yeux bleus devenaient livides et de ses lèvres sortaient des filets de sang. Puis retirant la lame elle plongeât sa main dans l'entaille et en ressortit le cœur de son ami qui peut à peut arrêter de battre dans sa paume. Le corps du garçon tomba lourdement au sol et dans un dernier souffle lui murmura :
«J'espère quand prenant mon cœur tu retrouveras le tiens...»