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L'Ambre d'une Brume d'Argent

Raikya l'Alchimiste
Raikya l'Alchimiste
Apprenti Sadique
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Lun 7 Mar - 19:27
Raikya l'Alchimiste
L’Ambre d’une Brume d’Argent

« Regarde! »

Une voix fluette, démunie des accents de l'âge, un ordre d'une grande douceur, nullement destiné à se répéter ; un petit bras levé vers l'horizon, une main bien trop maigre agrippée à ma manche trempée...
J'ouvre les yeux. Une caresse me fouette la joue: le vent joue avec les branches décharnées au-dessus de nos têtes.
L'enfant s'agite à nouveau et tire, plus fort encore, sur mon vêtement. Une goutte se pose sur ma joue, coule dans la courbe de mon cou et tombe dans une chute mortelle jusqu'à se perdre dans les plis de mon habit.
Je soupire -non par lassitude, évidement. Cet instant me semble être de ceux, perdus, fragments d'éternité suspendu, comme un rêve, entre deux réalités. Ici, là, maintenant et tout de suite il me semble que le sentiment qu'on nomme communément "bonheur" est juste à portée de ma main, si je ne la tends qu'un petit peu pour l'atteindre ... Pourtant, le moindre mouvement, le plus petit changement, un seul battement de cils et le charme serrait rompu. Je n'ose bouger, ni même respirer. Comme debout à la proue d’un navire, je veux contempler l’infini qui s’ouvre à moi encore, encore, encore un instant de plus.

Mais…
Une pression, légère et constante sur mon bras ne cesse de me rappeler sa présence.

Alors ?

J'ai choisi.

Doucement, je lève ma main pour la poser sur le bonnet de laine couvrant la petite tête à mes côtés. Que les temps continu sont cours, qu’il coule, vogue et hurle puisque rien ne peut l'arrêter. Mon navire n’as jamais eut de capitaine, les cales sont trouées, les amarres lâchées, les voiles trouées. Je sais qu’il finira par couler de toute façon, rien ne sert d’y rester.

« Eh bien, qu'y a-t-il? »

Insistant, son bras continue à indiquer l'horizon. Là où l'Astre du jour d'un ambre doré devrait danser avec l'ombre du soir, une masse sombre de haine cristalline s'amasse au-dessus des cimes noires. Oui, tu as raison. On peut toujours essayer de nager.

« Oh, ça? »

Son bras s'abaisse et sa petite main vient se réfugier dans la chaleur de sa poche. Un frisson vient-il de parcourir sa peau ? On n’irait pas très loin, c’est vrai.

« Tu crains la tempête ? »

Sa tête, seulement protégée d’une grande écharpe tricotée d’une main avenante, se secoue doucement de droite à gauche sous le bonnet rouge. Mais on irait, ensemble.

Il n’y a plus de place pour deux dans ce bateau.

Au-dessus des cimes noires, une ombre s’élève vers le ciel. Portée par la force de l’espoir, ses ailes fendent le vent à la recherche de sa prochaine proie.

« Il n’y a aucune inquiétude à avoir. Ils volent encore… la pluie ne tombera pas ce soir. »

Cet être de vent et de plumes qui s’envole au loin, aperçoit-il le souffle de notre existence ? Aperçoit-il, loin au sommet de cette falaise, l’incapable adulte et le petit enfant contempler sa vallée ? Ces deux figures presque évaporées de ce monde sont-elles encore rattachées à lui par les yeux perçant du rapace ?
Cette question a-t-elle réellement de l’importance ?

L’enfant à mes côtés applique à nouveau le même signe d’un bref mouvement de tête : non. Son bras se lève à nouveau et montre l’horizon.
Tu as raison.
Ce ne sont pas les nuées en colère que tu voulais me montrer, ni les cimes inquiétantes des arbres, ni la danse des rapaces, ni la pluie ni le beau temps qui toujours se cache derrière. Pour nous deux, cela n’as plus d’importance, n’est-ce pas ?

Notre navire repose depuis longtemps dans les abyssaux précipices d’un temps révolu. Peut-être la fortune nous avait envoyé assez de bois pour s’y tenir debout, mais lui aussi a finit par couler et je t’ai laissé... seul.

Il y a une chose étrange avec nous humains. Face à la désolation et aux peines, quand vient l’instant ou aucune solutions ne s’offre plus à notre dilemme, quand toute chandelles est éteinte par l’orage, une force maintient les hommes debout contre toute rationalité. Ils continuent à croire, car c’est la dernière force qui leurs reste.
L’espoir… drôle de chose, hein ?

Et pourtant…
Tous ces jours, toutes ces nuits.
Ces « demain », Ces « la prochaine fois », Ces « peut-être ».
Tous ces jours à attendre les doigts croisés, ces nuits blanches.
Encore.
Encore, encore, encore… Les mêmes murs noirs de blancheurs, les mêmes instruments silencieux, les mêmes sourires vides.
On finit par briser ce que de lui j’avais encore en moi. L’espoir s’est envolé.

Je ne voyais plus que le bout de chemin et j’ai finit par oublier que tu étais toujours là, avec moi.
Regrets… ça aussi, c’est une de nos drôles de choses, à nous les humains. Pourquoi regretter le passé que jamais on ne pourra changer ?
J’ai arrêté de nager mais toi, tu n’as jamais abandonné. Même maintenant, alors que même toi ne peut plus nager, tu continue à rester près de moi. Et moi, je resterai près de toi.

Mes yeux se portent vers ma droite. Un frisson à nouveau parcoure cette peau que je sais d’une grande douceur. L’enfant regarde. Des tréfonds d’un souvenir enfouit, une odeur persistante de pêche remplie peu à peu la nuit qui, bien loin au-dessus de nous, installe ses draps de velours.
L’ombre du rapace file une dernière fois vers l’horizon puis plonge dans la noirceur du soir.
Tu as raison.

« Faisons-le. »

La petite tête se lève un instant vers moi et dans ces grands yeux ambrés je vois briller cette lueur de vie que j’admire tant. Si seulement je pouvais prendre ta place, ôter le mal qui te ronge, chasser l’épée qui pèse au-dessus de ta tête. Mais je ne suis qu’incapable. Rien, voilà la seule chose que je peux faire. Et je meurs un peu plus chaque jour alors que toi, tu vis chaque jour comme le dernier.
Tu me souris et, les mains au fond des poches, tourne ton dos au monde. De ces petits pas tranquilles, tu disparais dans la forêt.

Une dernière fois, je regarde le monde avant qu’il ne soit engloutit par la nuit.
Une dernière fois, je repense à l’ambre du soir.
Encore une fois, j’écoute l’étincelle qui en moi se nomme vie.
Comme à chaque fois, j’attends la brume d’argent, j’attends de croire.
Encore…

Finalement, je me retourne et m’assoit lentement dans l’herbe drue d’une intéressante couleur délavée. La pluie n’est plus tombée depuis longtemps. Pourtant, il n’est pas encore temps.
Hésitant, j’attrape le sac à mes côtés et en tire la première chose que ma main peut atteint. C’est un pull minuscule, taillé pour un enfant en très pas âge. Il y a encore des traces de compotes de pêche autour du col, je n’ai jamais réussi à les enlever. Je contemple longuement le vêtement, son étoffe est plus rugueuse qu’autrefois, il me semble si petit maintenant.
D’un coup, il me brûle et je le lâche.

Le vent se lève…

Je n’ai pas la force de regarder les autres. D’un coup, le sac est renversé sur le sol et je commence à l’inonder. Bientôt, la chaleur les prendra. Ils n’ont plus aucune utilité.

Une branche craque et déchire le silence.

Tu es là, les bras remplis de bois. Je te souris. Comme tu es adorable avec ce bonnet posé sur ta tête chauve, ces joues rondes, cette tête d’ange…

« Viens. »

Tu n’hésites pas un instant. Quelques mouvements, et les dernières branches sont installés autour de la pile. Puis tu viens te nicher sur mes genoux et je ferme mes bras autour de ton petit corps chétif pour te protéger du froid. C’est là seule chose que je peux faire, maintenant. La chaleur rassurante de ta présence m’envahit à nouveau et je me laisse aller à ce moment de douceur.

Une petite main tire sur ma manche.

« Je sais. »

Te lâchant un instant, je fouille dans mes poches jusqu’à sortir une vieille boite d’allumettes : il n’en reste qu’une. J’ai jeté les trois autres. Tu la prends et tes yeux se perdent dans la pile –toute ta vie, rassemblée en une pile aspergée d’essence.

Mais tu n’hésite pas.
Pour toi, la vie ce n’est pas juste une pile d’objets, de choses.
Tu frotte l’allumette. Le craquement du bois mordu par le feu m’arrache un soupire.
Tu jette l’allumette. Tous les souvenirs partent en flammes.

Mais c’est faux, n’est-ce pas ?
Les souvenirs sont immortels. Ils sont en toi et moi, ils vivent en nous. Aussi longtemps que dureras cette chose absurde qu’on appelle vie.
Pour toi, je n’ai pas le droit d’abandonner. Même si tu n’es plus là, je n’ai pas le droit d’abandonner. Je dois continuer.

« Viens. »

Tu te serres contre moi et je prends ta si petite main entre la mienne, si grande, si maladroite. Elle me réchauffe bien plus que n’importe quel feu.
Dans la forêt, une brume d’argent se glisse entre les arbres et bientôt nous entoure de douceur. Le silence est empli des gémissements des flammes ; elles se calment déjà. Maintenant, c’est comme une très veille berceuse.

Le vent se lève, mais aucun de nous ne tremble plus. Le vent se lève…
Il faut tenter de vivre.


Hoi !
C'est moi, ça faisait longtemps hein? Hein? oui tout le monde s'en fout, je sais XD
Bref... c'est un petit texte que j'ai écrit ce week-end pendant les 14 heures passées en voiture qui m'ont ramené à la maison, pendant qu'il neigeaient des cordes sur l'autoroute. Des giboullés de mars qu'ils appellent ça, moi j'appelle ça des avalanches. Enfin, c'est du grand nawal pas clair... enfin, ça doit pas être très clair pour vous mais pour moi c'est très clair. Après tout, je suis l'auteur, hein? Bon, moi je suis ouverte à toute critique (actuellement, je me nouris de critique. Vous n'oseriez pas me laisser mourir de faim, hein?) donc dites toujours, toute remarque est la bienvenue.
BoI :coeur:
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p'titKiWi
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Lun 7 Mar - 20:49
p'titKiWi
Hey ! Very Happy
Bon j'y vais pas par quatre chemins, mais j'adore ton texte. Ta manière d'écrire, tes descriptions et toutes les réflexions évoquées... j'adore ce style de textes, surtout quand ils sont aussi bien écrits que ça !
A l'exception des fautes, je n'ai rien à dire (je ne suis pas une excellente écrivaine et chacun à son style (: ) C'est parti pour les fautes donc !



Pour les fautes, fait notamment attention aux "s", par exemple dans ce passage :

"Face à la désolation et aux peines, quand vient l’instant ou où aucune solutions ne s’offre plus à notre dilemme, quand toute chandelles est éteinte par l’orage, une force maintient les hommes debout contre toute rationalité. Ils continuent à croire, car c’est la dernière force qui leurs reste. "


Il y a aussi ce "s" là qui m'a un peu coupé du texte afin de laisser mon côté correcteur prendre le dessus: "Les mêmes murs noirs de blancheurs"

Ce sont les murs qui sont noirs, mais c'est le noir qui est blanc (ça fait bizarre vu que c'est un oxymore xD)



"des traces de compotes"
Les traces viennent d'une compote, donc pas de "s"!


Il y a aussi quelques autres fautes comme: "Un frisson à nouveau parcoure parcourt" "m’assoit m'assois lentement dans l’herbe"
"Parcourt" venant de "parcourir", ça terminaison ne se fait pas avec un "e". Quand à "s'asseoir", comme le sujet est "je", il prend un "s" et non un "t".



"Mais je ne suis qu’incapable"--> La phrase me semble étrange... je pense que tu voulais plus dire "Mais j'en suis incapable" ou "Mais je ne suis qu'un incapable"?



"Une dernière fois, je regarde le monde avant qu’il ne soit engloutit par la nuit."
Ici, engloutir est un participe passé. Pour vérifier sa terminaison, il suffit de le mettre au féminin: "elle ne soit engloutite" ne se dit pas, c'est donc "engloutie", soit "englouti" au masculin.



"Tu frottes l’allumette. Le craquement du bois mordu par le feu m’arrache un soupire.
Tu jettes l’allumette. Tous les souvenirs partent en flammes."

Le "s" que j'ai rajouté est dû au fait que ce soit à la deuxième personne du singulier. Quand au "e" que j'ai supprimé de "soupir", c'est car il s'agit ici du nom commun et non du verbe.



"Aussi longtemps que dureras cette chose absurde qu’on appelle vie." j'aime cette phrase... <3
Ici, je supprime le "s" car il s'agit non plus de la deuxième personne du singulier mais de la troisième: le sujet est "chose".




...je crois que j'ai fait le tour niveau fautes (: Quelques unes ont dû m'échapper, mais de toutes façons, elles ne m'ont pas vraiment dérangé à la lecture: j'ai tellement aimé ton style... c'est en relisant ton texte que j'y ai fait plus attention. En plus, je pense que la fatigue ou la non-relecture y sont pour quelque chose... xD (je connais X))
Je n'ai pas de vraie critique à proposer, en partie par le côté mystérieux et personnel de la chose: là où certains peuvent voir des incohérences, tout est en fait calculé.

Bref, j'ai vraiment adoré. En espérant voir d'autres textes aussi superbes, et que cet (horrible xD) pavé te seras utile ! ^u^
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Nayara
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Lun 7 Mar - 21:02
Nayara
C'est super beau, vraiment Oo J'aime beaucoup ta façon d'écrire, c'est assez soutenu avec beaucoup de métaphores plutôt intéressantes tout en restant dans un rythme parfaitement lisible x) Parce que le piège de vouloir écrire de belles phrases c'est de faire des phrases trop longues et trop compliquées, ce qui au final casse le rythme de l'ensemble du texte. Mais là c'est vraiment sympa à lire, donc je te pardonne les quelques fautes d'ortho qui se promènent par-ci par-là xD

Au niveau de l'histoire je suis pas sûre de tout comprendre par contre... C'est l'histoire d'une mère et de sa fille malade, c'est ça ? Une pauvre petite qui finit par mourir jeune... J'espère que j'interprète ça correctement xD
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Raikya l'Alchimiste
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Mar 8 Mar - 17:38
Raikya l'Alchimiste
Un p'tit Kiwi fait son apparition !
Je ne vais pas essayer de l'attraper... je vais la remercier !
Merci d'être passée et surtout pour les super corrections *w*
Oui je sais c'est plein d'horrible faute -je l'ai écrit en voiture et j'avais, comment dire... la flemme de corriger. Voilà. Trop fatiguée XD

Mici :3
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Mar 8 Mar - 17:43
Raikya l'Alchimiste
Nayara a écrit:
C'est super beau, vraiment Oo J'aime beaucoup ta façon d'écrire, c'est assez soutenu avec beaucoup de métaphores plutôt intéressantes tout en restant dans un rythme parfaitement lisible x) Parce que le piège de vouloir écrire de belles phrases c'est de faire des phrases trop longues et trop compliquées, ce qui au final casse le rythme de l'ensemble du texte. Mais là c'est vraiment sympa à lire, donc je te pardonne les quelques fautes d'ortho qui se promènent par-ci par-là xD

Au niveau de l'histoire je suis pas sûre de tout comprendre par contre... C'est l'histoire d'une mère et de sa fille malade, c'est ça ? Une pauvre petite qui finit par mourir jeune... J'espère que j'interprète ça correctement xD

Fiou, tu me rassure Naya. J'ai essayer de mettre un point d'honneur à faire des phrases courtes et assez simple tout en cherchant un certain lyrisme. Que ça ait marché au moins pour une personne me suffit, donc mici <3
Comme je dis plus haut, je sais bien pour le fautes (c'est horrible. Non, vraiment, mais vraiment...) mais j'étais trop fatiguée et j'avais juste la flemme de corriger. Ton pardon me soulage x3

Pas tout compris? C'est normal. Ce n'est pas fait pour. L'interprétation est libre, j'ai essayer de les rendre tous les deux indéterminés : on sait juste que c'est une personne adulte et un enfant. Ils peuvent être frères/soeurs, parents ou n'avoir même aucun lien de sang. Ca, c'est à toi de voir. Mais je te rassure, tu as en fait parfaitement compris ^w^

Merci pour ton message ! :coeur:
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Ota
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Mar 8 Mar - 18:21
Ota
Alors moi, le 'Je ne suis qu'incapable", je ne l'interprétais pas comme une faute en fait... Je pensais que c'était un choix parce que grammaticalement parlant, ça tient la route!
Par contre... "Mon navire n’as jamais eut de capitaine" JE. HURLE. Pardon.
Mon navire n'A jamais eU de capitaine, c'est mieux! Je pense que je n'ai pas besoin de rappeler la technique de la prononciation au féminin, tout le monde la connaît, même si personne ne l'utilise. Mais n'oublie pas : Ne pas utiliser les techniques des règles qu'on ne maîtrise pas à la PERFECTION, ça déclenche des guerres civiles, des épidémies d'Ebola, de Sida et de Connerie. Oui, c'est une maladie, je fais ce que je veux. (mais au pire, tes fautes ne sont pas atroces, je ne te hurlerai jamais dessus <3)
BREEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEF. Stop la Langue Française.
"Le vent se lève" Alors. Suis-je la seule à avoir pensé à ce film que je n'ai toujours pas vu et que tout le monde me conseille sans être capable de m'expliquer pourquoi je suis censée utiliser un peu de mon temps pour ça? Cette phrase super longue juste pour quatre mots xD
Nan mais sinon que veux-tu que je te dise? Que tu écris bien? Tu dois te douer que je le pense. Que j'aime ce qui finit mal? Nan, ça tout le monde le sait. Que tu devrais me filer un peu de talent? C'est vrai que j'en ai besoin mais non. Câlin alors? Sinon je peux te filer un texte de mort de petit garçon kawaii mais ça c'est autre chose.
BREEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEF.
Ca mérite un... 18,75/20
Une seule personne a vingt sur ce forum (Sais-tu de qui je parle? C'est plutôt évident en fait.) et dans cet univers il y en a trois donc bon... Sois heureuse! =D
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Nayara
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Mar 8 Mar - 20:13
Nayara
Otaku a écrit:
Une seule personne a vingt sur ce forum (Sais-tu de qui je parle? C'est plutôt évident en fait.)

Moi je sais Very Happy

Et sinon je vous trouve assez cruelles de relever toutes ses fautes une par une, je pense que comme elle l'a dit c'est surtout des fautes de fatigue et de flemme de relecture donc ne lui en voulez pas oh Oo C'est plutôt hard de faire une liste de tout, enfin perso je le prendrais super super mal xDD
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Raikya l'Alchimiste
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Mar 8 Mar - 20:58
Raikya l'Alchimiste
Oh non Ota fallait pas lire ça xD
Tu vas tu tuer en lisant quelque chose d'aussi "flerk" que ça (franchement, si t'avais vue ce que j'ai juste eut le temps de corriger avant de poster. Olala ça t'aurait pas plut. c'était vraiment atroce x'D)

Eeeeh ben c'est bien une citation -involontaire- de ce film. Enfin, plutôt de Paul Valéry (Valery?) dans sont Cimetière marin (c'est un poème) J'ai commencé le début de la phrase sans vraiment y penser puis je me suis rappelée le poème (et le film) et paf. C'aurait pas du être la dernière phrase mais enfin, breeeef XD

Ffffffft XD Merci Ota <3
Mais c'est pas une affaire de talent je crois... enfin, c'est compliqué. Je n'aime pas le mot "talent" car il sous entends quelque chose d'inné. Hors, écrire "bien" ce n'est pas quelque chose avec lequel on nait. L'envie oui, mais ça c'est autre chose... Enfin bref, moi je ne vais pas faire des centaines de pages là dessus mais c'est gentil de dire ça en tout cas.
Même si je préfère les calins <3 :coeur:

Héééé 18 c'est pas maaal. J'aurais pas cru, avec toutes ces horribles fautes XD
(oui oui je sais de qui tu parles...elle te dirait quelque chose comme "vingt ça n'existe pas"... mais qui sont les deux autres? )
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Mar 8 Mar - 21:01
Raikya l'Alchimiste
T'inquiète Nayara <3

C'est plutôt gentil, elle veulent juste m'aider à plus les faire. Y en a une dont je n'arrive pas à me débarasser par exemple, de faute. C'est très étrange parce que je sais qu'elle existe mais je n'arrive jamais à me rappeler de ce que c'est exactement donc je le refais. Ca a un rapport avec "serait" je crois... enfin, bref.

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Ota
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Mer 9 Mar - 6:45
Ota
"Si j'aurais été bonne en Français, je n'aurais pas fait cette faute." <= Exemple type de LA faute.
On dit "Si j'avais été" car c'est de la concordance des temps pure et dure. Mais siiii tu sais, ce truc qui fait chier tout le monde! Voilà. Pour s'en rappeler, le truc le plus connu est "Les Si n'aiment pas les Ré" parce que dissonance. Mais j'en ai un spécial pour ceux à qui je rappelle cette règle. "Si j'ose redire "Si j'aurais" Miss Otaku me découpera en morceaux, après m'avoir torturée!" Je peux te montrer le peu de choses qu'il reste de mes victimes... What a Face
(Et si la personne me dit "Le vingt n'existe pas, Miss. La perfection est inexistante, c'est juste une utopie." je lui réponds "Mais le vingt n'est pas la perfection, juste le maximum que je peux imaginer, c'est MA perfection. Ce n'est pas une utopie mais un but très éloigné!")
P.S. : L'orthographe c'est juste apprendre et se souvenir, si t'y arrive pas, t'y arrives pas mais c'est un peu tristounet. (Dis-toi qu'il y a quatre ans je savais pas écrire "vaisselle" xD J'ai appris et retenu!)
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p'titKiWi
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Mer 6 Avr - 11:47
p'titKiWi
OUI BONJOUR !
Oui je me ramène un mois après mais chhhhuuuuut...
j'ai relu le texte. Bon, ça me fais ***** mais je me répète: J'ADORE BORDEL DE NOUILLES !!!
(Pardon, je suis énervée aujourd'hui :'))
En fait pour les fautes que j'ai citées... bah en fait je savais juste pas quoi dire, et comme c'est le seul truc qui "bloque" le texte... 'fin vous m'avez compris, c'est parce que je me sentais pas utile xD
Et le "je ne suis qu'incapable" est donc bien fait "exprès" (: je me demandais si c'était une faute, même si je me doutais que non. J'ai juste pas l'habitude de l'entendre ! ^w^
Enfin bon, je suis sûre que niveau fautes tu t'amélioreras, donc j'ai hâte de voir la suite ! *^*
Bisouilles~<3
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