Solitude. Un mot du quel, j'ai du mal à me séparer.
Solitude. Un mot devenu mes Larmes et ma tristesse.
Solitude. Un mot devenant un avenir duquel, on veut s'acquitter.
On l'a tous vécu au moins une fois. Elle est présente en chacun de nous. Certain la cherchent, d'autre la fuient. Trop de fois, elle nous blesse, faisant saigner nos larmes. Trop de fois, on la regarde sans pouvoir y faire quelques choses. Simplement... Regardez autour de vous. Ne vous est-il jamais arrivéde sentir ce vide ? De sentir cette douleur se serrer autour de votre cou ? Se sentir tellement mal que le sommeil n'y puisse rien ? Espéré que ce n'est qu'un rêve et que vos larmes soient fausses ?
C'est à se moment là qu'il est trop tard. C'est à se moment là que plus aucune main est tendue vers nous. Qu'il n'y a plus d'épaule sur laquelle se reposer. Qu'il n'y a plus de signe pour nous guider. Qu'il n'y et plus personne pour nous guider. Parfois, cette tristesse, se vide nous anéantit, comme une femme qui a perdue son mari, ou comme personne-âgé que plus personne ne vient voir. Cette solitude, ce vide, se sentir à part pour finir rejetter.
C'est a ce moment là que vous regardez le bonheur de tous les autres, ceux qui vivent fou d'amoureux, ceux qui réussissent leurs rêves, ceux qui profite de chaque instant de la vie, eux qui ne savent rien des souffrance qu'on subie et au final, vous vous demandez où l'erreur. À quelle moment ce bonheur vous a échappé, À quelle instant, vous avez souhaité, qu'ils connaissent vos souffrance, et que vous, connaissent leur bonheur.
Au fur et à mesure que la solitude nous isole, qu'on se replit sur nous, nous créons notre bulle et espéré le silence, souffrir sans être déranger. Certain s'en sorte, d'autres, non. Moi même, je connais la solitude, de la ressent constamment autour de moi, je m'isole inconsciemment et je souhaite que les gens mes remarque. Mais au fond de moi, je me rend compte que je commence une nouvelle vie, que je souffre de ma vie familiale, que cette douleur me pousse d'avantage vers la solitude et que trop tard.
Je suis seule...
Me fare dévorer par ce qu'il m'effraie le plus, l'ignorance, les ténèbres, la noirceur de mon coeur. Perdre se qu'on aime. Perdre goût à la vie. Se dire que si nous meurons, qu'est-ce que ça changera. Personne ne nous remarque et personne ne s'en rendra compte. J'ai pensé quelques choses que je ne voulais croire que je l'ai pensé : on naît parce qu'on doit mourire et on meurt parce qu'on est né. La vie n'a rien d'autre à nous offrir qu'un monde où l'on vit pour souffrir, pour avoir peur, pour disparaître.
Mais...
J'ai fini par lever les yeux, vers une main qui m'était tendue. Je ne l'ai jamais vue tout simplement parce que je ne voulais pas la voir. En l'ignorant, je faisait mal à mes amies. En l'ignrant, je me faisais mal. En l'ignorant, je faisais sourire les personnes qui vivaient heureux. Cette main était celle que j'ai attendu. Cette main qui ne me devait rien. Cette main qui appartenait à ceux qui on éclairci les ténèbres de mon coeur, au milieu de la solitude noyée par mes propres larmes..
Les plus belles amitiés naissent des situations les plus dures à surmonter, à supporter seul.
Ces personnes m'ont sauvé, mais malgré ça la peur d'être a nouveau seul, de pleurer sans que personne nous entendent. Pleurer parce qu'on ne sait plus comment sortir de cette solitude. Cette main qui veut nous sauvé de la solitude qui nous étouffe, saisissez-là, parce que vous n'avez plus rien à perdre.
C'est dure de le comprendre mais c'est comme ça qu'un jour, vous pourrez comprendre les sourires des autres, le bonheur qui apaisera votre coeur. J'ai fais l'erreur d'avoir peur. J'ai fais l'erreur d'ignorer l'attention que je souhaitais. J'ai fais l'erreur de souffrir seul alors qu'on voulait m'aider. Mais s'il vous plaît, ne faites pas cette erreur. Ne souffrait pas comme moi, j'ai souffert. Ne souffraient pas comme je me suis forcée à souffrir.
Moi, je suis sûre que ce monde si beau derrière les ténèbres, vous pourrez le voit et en profiter avec le sourire qu'est le tient. ^^