« Je l’écouta.
J’attendis de me décoller du mur lorsque je n’entendis plu les bruits de pas du monstres.
Les mains tremblante, j’accouru vers le fond de la grotte.
Je fus surprise d’y trouver un coffre. Il semblait assez vieux.
Je m’en approcha lentement et toucha sa surface de bois et de métal.
Je leva tranquillement le couvercle et y découvrit quelque chose que je n’avais jamais vu avant…
De couleur rouge, c’était petit et avait des spirales sur le dessus… »
Je me réveilla en sursaut.
J’entendais Roger et Barbe Blanche discuté mais la première chose que je vu fut Shanks, Marie-Pier et une jeune fille donc le visage m’étais inconnue.
Marie-Pier : Enfin, ils sont de plus en plus long tes flashbacks !
?: Dit Shanks, elle va bien.. ?
Shanks : Oui ne t’inquiète pas. Ça lui arrive quelque fois…
Moi : Désolé de vous avoir inquiétez. Euh Marie-Pier, je peux te parler… seule a seule ?
Shanks et la jeune dame partirent rejoindre leur équipage respectif.
Alors c’était peut-être elle la fameuse Cékia…
Marie-Pier, un peu inquiète, s’assit à côté de moi.
Moi : Je sais où se trouve le fruit du démon qu’il cherche.
Marie-Pier : C’est impossible voyons…
Moi : Je l’ai vu. Dans mon flashback. J’en suis sûr à 100%.
Marie-Pier : Que se passait-il dans ton flashback... ?
Je lui dis avec précision ce qu’il s’était passé.
Elle m’écouta et ne me coupa à aucun moment.
Elle passa une main dans ces cheveux bruns et me regarda droit dans les yeux quelques secondes.
Marie-Pier : Que dois-t-on faire... ?
Moi : Le dire au capitaine le plus vite possible. Après tout, on est maintenant dans son équipage…
Marie-Pier : Oui, mais devrions-nous pas le dire aussi à l’équipage de Barbe Blanche… ?
Moi : Voyons ! Quelle idée stupide ! Tout ça parce que ton beau Ace est dans l’équipage hein ?
Le silence.
J’avais crié mes derniers mots.
Tout le monde se retourna vers nous et je ne pus m’empêcher de me lever, me pencher tout en m’excusant et partir en sens contraire à la course.
Je cru entendre Roger et Shanks crier mon nom mais la honte me rongeait, donc impossible de me retourner.