Chapitre I : 1515 le début d'une guerre
En 1514,Charles Quint alors Empereurs de la Hongrie, Roy d'Espagne,du Benelux,Archiduc de Naples et de Savoie,est nommé Empereurs des Chrétiens d'Occidents par le Pape.
En tant que Monarchie élective,se sont les grands nobles de l'Empire qui élisent les candidats proposés par le Pape.Parmis ces candidats il eu,bien sûrs Charles Quint mais aussi François Ier
alors tout jeune Roy de France et de Navarre.
Au départ ce fut le Français qui était favorables car les nobles de l'Empire se sentaient plus Français qu'Espagnol.
Or avec quelques assassins et surtout de grosses sommes d'argent,Charles Quint devint Empereurs le 24 Décembre 1514 date à laquelle tout les souverains d'Europe devaient prêté allégeance à leurs "Guide".
Mais évidemment cela déplu fortement à François qui entra immédiatement en guerre contre Charles.
L'Europe en 1514
(Jaune = les territoires personnels de Charles Quint ; Gris = l'Empire Chrétien du Pape ; Rouge bordeaux = l'Angleterre d'Henri VIII ; Bleu gris = la Prusse des Chevaliers Teutoniques ; Rouge = l'Empire romain de Paulus Augustus Caesar ; Vert = l'Empire Omeyyades de Tarik ibh Yarliah )
Son plan était simple :
-Maintenir les places fortes du Nord
-Dirigé son armée en personne vers le sud en traversant les Alpes pour atteindre Vienne,la nouvelle capital de l'Empire.
Prise de Turin par les Français vu par un observateur Italien
Ces dans cette atmosphère que Albin de Cheverny, ayant à peine 19 ans, entra directement au service du Roy de France.
5 semaines s'écoulèrent et ils étaient déjà aux portes de Marignan,ville importante du Nord de l'Italie.
7 km au sud de celle-ci d'immenses champs vit accueillir 40 000 soldats Français contre 90 000 soldats Allemands,Italiens,Espagnol,Hongrois et Hollandais.
L'armée Français était composé majoritairement de cavalerie lourde,12 000 chevaliers au total pour 28 000 fantassins.Les Impériaux quand à eux avaient une cavalerie légères et rapides
mais peut efficaces contre des mousquetaires du Roy Français,2 500 au total pour 87 500 soldats d'infanterie.
Au matin les canons tonnèrent pour déverser l'enfer sur les champs calmes du Milanais.
Bizarrement on n'entendit pas ceux Impériaux.
Deux grandes colonnes arrivant de Marignan se positionnèrent,approximativement vers 6 heures devant les lignes Française déjà bien retranchées depuis 2 heures.
Avant même que les Impériaux commencèrent à ouvrir le feux,leurs destins étaient scellés.
La cavalerie Française au préalable avait anéantie l'artillerie ennemie.
C'est au son de "
Monjoie!Saint-Denis!" Qu'Albin chevaucha aux arrières de l'ennemie au côtés du Roy de France et de son oncle le Duc d'Aquitaine.
Quant au Mousquetaires du Roy et autres corps des soldats d'Infanterie ils crièrent "
Semper Fidelis!" en chargeant la tête la première dans le futurs charniers.
Pendant 9 heures qu'Albin de Cheverny se battit à cheval puis à pieds quand celui-ci fut tué par une balle perdue.
C'est lorsque François blessé à l'épaule par un cavalier Bavarois que les combats retentir le plus.
Chaque fois qu'un soldats Français tombaient,10 morts étaient à déplorés du côtés des Impériaux.
Pas une armes n'étaient oublié dans cette magnifique fêtes ou la Mort était l'hôte.
Ce fut la plus sanglante des batailles d'Italie,une affreuse boucherie,la fin de toute raisons.
Fin d'après midi,15 heures.
8 000 morts étaient tombés chez les Français contres 21 000 chez les Impériaux.
C'est en égorgeant un Hollandais, méconnaissable à cause d'un éclat d'obus,qu'Albin se rendit compte de la guerre.
Il avait lu des épopées héroïques dont l'Illiade ou encore des récits de Caesar ou d'Alexandre mais ce qu'il vu ne ressemblait pas du tout comme dans les livres.
Les larmes coulaient à flots sur ses joues et il s'effondra sûrs les cadavres déchiquetés par la bataille.
Charge des Français à la bataille de Marignan
(De Gauche à droite ; Le Duc d'Aquitaine,Angoustan III d'Aquitaine ; Le Roy de France,François Ier Capet dit "Le diable au vert Galant" ; puis le Comte de Cheverny,Albin de Cheverny)
Alors que François est victorieux mais en piteuse états, 3 chois s'offrent à lui :
A. Prendre Marignan et rester dans la ville pendant deux semaines.
B. Se replier à Turin
C. Continuer à marcher vers Crena,à l'Est de l'Italie