Après être descendu du matelas très –trèèèèèèèèèès- épais, Seyhial regarda les alentours. La pièce était en forme de dôme, totalement recouverte de carrelage noir et blanc. L’adolescent avait l’impression d’être dans une boule à neige dont le seul meuble était ce lit gigantesque, l’impression d’être un oiseau en cage, d’être un minuscule jouet dans la maison de poupée d’une enfant. Le châtain se mit à chercher une porte de sortie mais ne trouva rien.
La panique commença à grimper dans son cœur et, peu à peu, des gouttelettes de sueurs dévalèrent le long de sa nuque et de son dos. En réalité, rien ne bougeait, mais il avait réellement l’impression que tout tournait comme un manège, comme un de ces carrousels dans les fêtes foraines. Soudain, une voix retentit dans le dôme.
« Franchement ! Tu as juste à regarder sous le lit !
-T’es qui toi ?! demanda le châtain en reprenant de l’assurance.
-Ta sœur ! Bref, regarde sous le lit ! Les gens attendent la suite de l’histoire ! »
L’adolescent prononça –cria- un grand « Kouwa ?! » mais rien ne lui répondit. Il soupira et se dirigea vers l’immense lit sous lequel il put se faufiler sans problème. Seyhial y trouva une petite boite de la taille d’une boite à chaussure.
Il ouvrit soigneusement la boite avant de jeter le couvercle en mode balek. Dedans, il trouva une grosse sucette blanche à laquelle une étiquette était accrochée. Sur cette dernière était inscrit « Lèche-moi ». Non, il n’y a rien de pervers dans le fait de demander à un adolescent de lécher une sucette blanche.
« C’est b-…. IAAAAAAAAAAAAAAAAAH ! »
Sans comprendre, le jeune garçon se mit à rétrécir jusqu’à atteindre la taille d’une petite souris.
Le mini Seyhial se retrouva engloutit sous ses vêtements devenu mille fois trop grand pour lui. Mais au lieu de se retrouver nu comme vous l’auriez aimé, il se retrouva dans une tenue dans laquelle je l’ai rêvé cette nuit ; une belle robe en dentelle rouge toute légère, serrée à la taille avec une jupe ample. Dans ses cheveux châtains était accrochée une petite rose rouge.
L’adolescent n’eut –JEU DE MOT SISI- pas le temps de se contempler qu’une grande main recouverte de poils roux avec des griffes au bout des doigts l’attrapa, faisant faire au pauvre châtain un malaise de peur.
Et voilà les gens ! C'est tout pour aujourd'hui, mais je vous promez un nouveau chapitre demain ! Aller, enjoy ;D! Akabane de la famille.