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Compilation de Os

Epona
Epona
La faucheuse d'âmes
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Date d'inscription : 17/06/2014
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Mer 4 Nov - 14:03
Epona
Hey o/ Comme l'indique le titre il y a un peu de tout comme type de OS mais surtout certain date d'un an donc soyer indulgent x) Certain ne son pas fini donc je les publie juste pour vous donnez un peu de lecture x)
Bisous de poney et bonne lecture
PS : N'hésité pas à dire quel os vous aimez et pourquoi =3

OS 1 : Ecrit le 7 mars 2014 (que j'ai compléter entre temps ^^) mais jamais fini ^^

Depuis que j'ai déménager, je devais avoir 6 ans voir 7 ans, je me faisais rejeter en permanence... Pourquoi ? vous allez rire de la réponse, tout simplement car j’étais la fille de l'instituteur au départ tout aller bien, il me demandait si il pouvait rester en classe ou des truc simple, banal puis petit à petit il on commencer à exagérer et je leur est dit: "Non, stop ça se fait pas" et depuis ce jours à la récrée je joue seule dans mon coin, je ne montrai pas ma douleur ni ma tristesse. j'ai plus personne à qui faire confiance sauf une qui est toujours une très bonne amie avec moi, c'est même ma jumelle. Les années passe les mauvais regard se transforme en insulte... Vous pouvez pas savoir comme je déteste être seule, vous imaginer que pendant toute mon année primaire je l'ai passée passer seule sans montrer une larme ? Pourquoi je ne pleurais pas ? je me pose encore la question ...

Arriver en 6eme j'avais hâte de me faire des nouveaux amis personnes été au courant de qui j’étais et j'allais en tirer un avantage, j'ai réussit à me faire une amie même si se fut de courte durer. En début année tout paraissait si simple personne ne me connaissait puis du jour en lendemain tout le monde, mais quand je dit tout le monde c'est les 27 élèves de la classe me tourne le dos... Et c'était repartit pour une année de solitude... Mais cette fois-ci j'arrivais plus à tenir, mes larme coulaient pour la première fois depuis 5ans, pourquoi je pleurai cette fois-ci ? Car cette amie dans la classe m'à abandonner sans dire plus et pour rajouter les élèves avait la gentillesse de me planter des couteaux dans le dos tout la journée...

Pour éviter ses couteaux, je me retournai et j'encaissai tout sans rien dire... Je me rappelle que une fois je me fixa dans le miroir et je me questionnai et je me répétait sans arrêt "Pourquoi moi ?", "ai-je une place dans se monde?" ou encore "Devais-je me laisser faire?" je serra mon poing et je le fracassa dans le miroir pour briser tout ses doute, le sang qui dégoulinai représentait le début de la "Révolte":

-Je ne laisserai plus personne me voler ma liberté ! crie-je devant mon miroir fracasser, mais se fut de courte durée j'ai réussie a avoir le courage de me battre pour ma liberté mais j'avais pas de confiance en moi, et ils continuaient à me poignarder sans arrêt.  
je m'étais fait la promesse que un jour je leur ferai payer, en grandissant j'avais cette soifs de vengeance qui grandissait petit à petit m'obligeant à devenir méfiante, froide, sèche et antisocial . De devenir Grayling.

Pendant toute ma 5ème je ne montrais plus aucun sentiment. Mes surnoms étaient passer de monstre, faible ou encore la gamine à cœur de pierre.
Je m'en contre fichait de ce qu'il me disait, tout se dont je souhaitais c'était de ne plus souffrit.
Pendant cette année j'ai fait beaucoup de crise d’angoisse au point d'en vomir. Il y a des moments ou j'en avait marre de tout et je m'enfermais dans ma chambre pour ne plus en sortir... J'ai  eu la chance d'avoir des parents qui l'on toute suite remarquer. Remarquer ma douleur et mon changement d'attitude face à la vie même. J'étais passée de la petite fille joyeuse quoi qu'il arrivait à la petite fille sans sentiment... Sans leurs soutiens -surtout celui de mon père - je ne vais pas le nier, je serais rester cette Grayling que je déteste tant.

Mais un jours, en 4eme ma classe avait carrément changer je connaissais personne. Je resta froide et distante mais une fille est venu me chercher et me tira vers elle avant de me dire :

-On c'est déjà-vus ? Oui je la connaissait, du CDI le seule endroit ou j’étais à l'aise, je lui répondit en haussant la tête mais je fuyait du regard. Elle me sourit, grâce à cette fille j'ai retrouver confiance en moi, je commençais à me reconstruire petit à petit, elle ma apprit à ne pas avoir peur du ridicule et de sourire en permanence. Ce n'ai pas que grâce à elle mais aussi à la classe qui m'a tendu la main, quand j'ai comprit ça j'ai eu la larme au yeux .Les couteaux qui était planter dans mon dos je les retirai et je les pointai vers ces malfaiteur j'avais réussit à guérir. Mais une blessure reste une blessure, c'est soif de vengeance, mon passé, enfin … C'est une autre histoire.

Pendant la même année j'ai fait connaissance d'une personne qui à chambouler toute ma vie. Vous saviez ce style de personne qui vous change complètement ? Bah je l'ai rencontrer. Nous avions passer des moment formidable à rire comme à se soutenir... Ça à été une de mes plus belles rencontre mais aussi la plus douloureuse...

Puis ce fut l'année ou c'est crée le forum, j'étais en 3ème (enfin je passais) et quelque mois plus tôt (en février) j'avais décider de me mettre à l'écriture. Étrange coïncidence ? Oui. Mais surtout sachet le, que sans ma merveilleuse rencontre qui était devenu mon meilleur ami, je ne serai jamais inscrite au forum. Jamais. Je pensais ne jamais avoir ma place et que s'attacher à des gens IVL serai inutile car l'amitié ne serai pas sincère. Je me suis totalement trompé... Sans se forum je n'aurais jamais eu de courage d'affronté ma dyslexique et ma dysorthographie. Et en plus de ça j'ai fais des rencontres fabuleuse, Cello, Naya, Crazy, Funi, Mona, Banane et j'en passe beaucoup ….  Je ne regrette rien. Loin de là …  

J'arrive en seconde, je ne connaissais personne de ma classe sauf de grosse p***s avec qui je m'étais un nombre incalculable de fois disputés. Bref. J'étais en art visuel et j'étais heureuse de rencontrer d'autre personne qui avait la même passion que moi : le dessin.
J'étais heureuse mais comme on dit rien n'ai éternelle... Mon meilleur ami devenait de plus en plus méchant envers moi … je lui ai dit que j'avais mal que je n'arrivais pas à supporter ça … Mais faible et maladroite comme je suis, il ne la pas comprit ou il s'en foutais et à tenter de me détruite... Lors de notre dispute ma jumelle m'avait protéger et elle s'en été prise plein à la gueule par MA faute … Vous ne pouvez savoir à quel point je m'en veux … Par ma faute elle à perdu -elle aussi- des amis précieux … Par ma faute elle à pleurer … Tout était de ma faute … J'ai été détruite.

Mais j'ai survécu. En aidant avec le peu de débris qu'il me restait une autre personne. Je crois que je l'ai sauver et sans le vouloir … Il m'a sauver. Il a été la seule personne à percer mon plus grand secret. Il a été le seule sans que je lui dise quoi se soit … Et cette personne je l'aime tellement que quand il est mal j'en n'ai mal pour lui. J'ai même peur pour lui …

Je n'ai jamais fini cette os ^^'  

OS 2 : écrit le 17 mars 2015 Fini

-Ce que j'ai perdu-

Je me sens tellement vide, vide d'émotion. Pourtant je marche, avec comme seul compagnie le froid d'hiver, je ne regarde pas ou je suis, mais je sais que je suis en plein centre ville, j’entends les voitures, les gens rires, parlés comme si rien ce passait. Je les vois tous souriants, il n'y a que moi qui reste neutre et sans émotion. Tout les arbres de l’allée de la rue sont illuminés, et les vitres des magasins ont de joyeuses couleurs avec des guirlandes qui clignotes pour attirer les regards émerveillés des enfants.

Je m'arrêtais devant une vitre, je me reflète dans celle-ci, mes yeux vairons ... Je les déteste tellement, je vois aussi mes cheveux ondulés et bruns, j'ai toujours ses cheveux en pétards, ce qui vaux des moqueries des idiotes. Je m'habille toujours avec cette écharpe, elle ne m'appartient pas, c'était celle de mon jumeau ,qui est s'est envolé.  Tu me manque tellement, quand je me dévisage plus attentivement je te vois. Mon chère jumeau... Tu es celui qui m'était le plus important. J'aurais donné n'importe quoi pour te voir et te dire je t'aime... Mais le destin nous à séparer, ô destin cruelle sois-tu ! Je te haïs. Depuis ce jour, ma vie est vide de sens.

Je repris ma marche silencieuse tout en gardant ton image dans me tête. Je déteste ma vie. Je déteste cette vie simple, nul, monotone, sombre, sinistre, effrayante... J’aperçus une plume d'oiseau tomber du ciel grisé par les nuages qui menaçais de faire tombé des flocons, j'aimerai tellement pouvoir voler dans ce ciel, m'évader de ce monde injuste. J'aperçus enfin ses petites boules flocons, je tendis ma main frêle pour attraper une de ses petites boules de cristal , quand elle toucha ma peau elle disparaissait ne laissant derrière elle qu'une goutte glacer d'eau. Je continuais à marcher sans but puis j'entendis des bruits d'enfants jouent dans la neige qui me passait devant. Je les regardais, c'est deux petits devait être des jumeaux. Tout deux avait des yeux verts sapins mais leurs prunelles scintillaient tellement ils étaient émerveillés par ces décorations joyeux et chaleureuses. C'était une fille et un garçon. Je m'identifie toute suite en eux, je voyais mon jumeau et moi... Je sens tout ma nostalgique me reprendre. Mon regard était river sur eux, mes prunelles ne voulait pas les quittés, on aurait dit nous … Le monde joue avec mes

Ils voulurent traversé mais j’aperçus juste à ce moment une voiture qui ne semblait pas vouloir s'arrêter, mon corps réagis tout seul, comme si c'était mon instinct qui parlait. Je me jetais sûr les jumeaux utilisant tout mon corps pour les protéger. Je n'en avait rien à faire de mourir … Si ma vie pouvait épargner ce que j'ai vécus à ces jumeau sa me suffit amplement. Je n'est plus rien à perdre vus que j'ai perdu mon tout il y a pas longtemps.

J'entendis le coup de frein et je sentis l'impacte de la voiture dans mon dos. La douleur était affreuse mais … Je souris. Je suis heureuse mon existence à put enfin servir à quelque chose. Je sentis des petites mains toucher mes mon visages crispé puis j’aperçus le regard vert de la petite fille, son regard ce figea dans le mien et elle murmura naïvement :

-Vos yeux sont magnifiques...

Mon cœur s'arrêta de battre … Je ne rêve pas, elle a dit que mes yeux étaient … Magnifique ? Je sentis des larmes me prendre ma vue, je lui caressa avec difficulté son visage avec un sourire au bout de mes lèvres :

-Merci …

Je n'est rien à perdre. Je n'est plus rien à gagner. J'ai n'est aucun regret.

Je fermais me mit sur mon dos puis je regardais ce ciel grisé. La neige voilà la dernière image que j'ai vue avant de ne voir plus rien.

J'ouvris lentement mes yeux et je me retrouvais dans ma chambre, tout ceci n'était qu'un rêve ? Je restais longtemps dans mes penser avant de qu'un voix me sorte de mes penser. J'aperçus ma mère qui semblait me parler, elle me disait qu'elle allait voir un de ses enfant. Je pense qu'elle parlait d'aller voir mon frère jumeau... Je me redressais et j'aperçus ma mère partir sans dire un mot de plus... Je voulais aller le voir aussi, je me redressais et je partis dans la même direction que ma mère. La marche fut silencieuse et douloureuse. Elle c'était habiller tout en noir … C'est bien étrange.

Arriver au cimentière je pris les devants et alla devant la tombe de mon frère. Une fois devant l'endroit ou dormais mon frère, j’épousais l'herbe et la poussière que cachait l'écriture qui était inscrite sur cette tombe. Je regardais cette pierre froide avec un sourire triste et lui murmura :

-Hey. salut petit frère … Tu sais j'ai fait un drôle de rêve ou j'ai sauvée des jumeaux en donnant ma vie … A cette instant j'ai compris à qu'elle point j'étais triste et misérable sans toi … J'étais heureuse de donné ma vie pour pas que cette histoire ce reproduise … Tu t'en souviens cette voiture ? Celle qui ta renverser et ta … Cette scène ressemblait trait pour trait à mon rêve... Tu me manque...

J'entendis des lourds pleureur non loin de moi, je me redressais et j'aperçus ma mère devant une tombe … Je ne comprends pas... Je me dirigeai vers elle et regard la pierre et mon cœur s'arrêta net …

M. *******

7 octobre 1998 – 9 décembre 2015



Je suis morte ? … Je tombais sur mes genoux et essaya de poser ma main sur ma mère mais celle-ci passa à travers, j'entends celle-ci prononcé avec difficulté des phrases :

-Après ton frère … Toi … Ma chérie tu avais une vie si prometteur, pourquoi ? Pourquoi as tu fallu que tu te laisse prendre pas ton coté altruiste ? Je suis fière de toi mais en même temps je suis en colère et terriblement triste … Tu as sacrifier ta vie pour donné un avenir à 2 petits …

Je venais de réalisé dès cette instant les conséquences de mon geste. J'aperçus non loin d'elle deux petites tête brunes, ce sont les jumeaux qui était accompagnée sûrement par leur parent. La petite fille parla avec un voix pleine d'assurance :

-Madame, votre fille à donner sa vie pour moi et mon jumeau, et je ne serai jamais assez reconnaissante pour ce geste. Et je profiterai de chaque moment que m'offre cette vie … Merci. Mais je vous fait le promesse que … Je vivrais mon avenir.

Elle me ressemble tellement. Je sentis une douce lumière dans mon dos je préfère évité de me retourner et de voir ce qu'il m'attendait, je m'approchais de la petite fille et posa ma main sur le haut de sa tête. Son frère l'interpella car celle-ci c'était retourné comme si elle avait sentit ma présence puis j'avais vraiment cette sensation qu'elle me regardait droit dans mes iris aux deux couleurs :

-Tu seras quelqu'un de très courageuse … J'en suis sûre. Murmurai-je en retenant mes larmes.

-Je te le promet. Parole de Epona ! Me répondit-elle sur un ton déterminer.
-Epona … C'est un très jolie prénom...

Je réalisais à quelle point j'avais été égoïste pour ma mère mais en même temps je venais de prendre en compte que j'avais fait un geste héroïque mais je n'avais rien à y gagner mais j'ai perdu une chose que mon jumeau me reprochera pendant des années.

Voilà ce que j'ai perdu, mon avenir.

Mais j'ai gagner mon rôle d'ange gardien pour ses deux là. Je sentis la douce lumière s'accentuer puis je n'aperçus plus aucun détail de ce monde monotone et je me retrouvais allongée dans l'herbe blanche. Je peux dire que je suis en paix ? Je ne sais pas mais... Je peux dire que cette seconde vie j'en profiterai jusqu'à la fin. J'aperçus des cheveux brun avec des yeux ambrés … C'est lui.

Parfois il faut faire des sacrifices pour protéger ses convictions.
Mais rien n'est plus précieux que la vie.
Même si on souffre terriblement
Il faut garder l'espoir d'un jour meilleur
Et avancer sans ce retourner, vivre dans le présent tourner vers le futur.
Vivre n'est pas un crime.

Os 3 : écrit le 17 juillet (jamais fini )

Un jeune homme au yeux orangers et à la chevelure blonde marchait d'un pas décidé dans un couloir aussi blanc que la neige. Il y avait de multiple porte blindé ou un l'intérieure résidait des êtres humains. Si ce lieux n'était pas blanc on pourrait près que croire que c'était une prison.

Les personnes dans ces cellules d'isolements suppliaient le jeune homme de les ouvrir ou de les aider mais celui-ci resta de marbre . Il s'avança vers une cellule bien précise et une fois arriver était inscrit au dessus de la porte de métal, « Chambre 01 - Alys White». Le jeune homme fixa la pancarte avant de regarder son calcin et de rentrer d'un pas décider dans la petite pièce sombre. Il aperçu un petit corps d'une jeune fille recoquiller sur elle même, elle avait rapprocher ses jambes et avait nicher sa tête dedans. Le jeune homme entra et lis à voie haute ce qui était inscrit sur son calepin :

« -Alys White, 18 ans. Atteinte de très gros trouble psychologique et de dépression nerveuse suite à la perte de sa famille dans un accident, il y a plus de  16 ans. »

La jeune fille releva son visage et jeta un regard vide d'émotion dans celui franc de ce qu'on pouvait qualifier de docteur. Il continue sans perdre sa voix claire et franche :

« -Enchanté, je me nomme Nathan Connor, à partir d'aujourd'hui je serai votre médecin. »

Puis l'homme releva la tête de son calepin et aperçus le visage sans émotion de la fille. Son cœur ce resserra devant cette scène, le fait de voir une aussi jeune fille aussi mal au point le rendrait triste, il s’approcha d'elle pour voir si elle allait bien puis celle-ci lui murmura :

« -Foutaise … »

Il ne comprenait pas ce qu'elle essayait de dire. Il posa son regard et aperçus tout le détaille de ses yeux malgré le peu de luminosité qu'il avait dans la pièce. Son regard était de feu, ce n'était pas un rouge agressive mais ne n'était pas non plus un rouge sombre, mais ses traits de visage semblait si vide d'émotion. Il était effectivement difficiles à savoir à quoi elle pensait.

Face à cette scène mélancolique, il prit la main de la jeune fille puis il lui murmura sur une voix calme :

« -Je ferai de mon mieux pour d’aidée. Je vous le promet. » Il poussa ses long cheveux brun qui cachait son visage puis il lui sourit tendrement. La plus jeune semblait ne pas trop comprendre et continuait à regarder dans le vide.

Le médecin ce redressa, déçu que la jeune fille ne réagisse pas à ses paroles d'encouragement, puis ce redirigeait vers la porte, il l'ouvrit et referma mais juste avant qu'il la referme la fille lui parla avec une voix neutre :

-Dite... Si vous pouvez être une couleur, laquelle seriez-vous ? Le docteur complètement surprit la regard stupéfait puis il leva les yeux vers le ciel pour ensuite répondre un peu gêner :

-La maintenant … Je ne sais pas, mais je pense que je serai opale. Il marqua une pose et regarda le regard de la jeune fille, elle semblait plus expressif que avant mais il y avait toujours cette sensation de tristesse et de solitude dans son regard de feu : - Et vous ? De qu'elle couleur voudrais tu êtres ?  

-Je ne sais pas … Je ne connais que le blanc de ses murs .

C'est a cette instant que le docteur comprit le mal de cette fille. Elle n'a jamais vus le monde extérieure. Il sentit une profonde tristesse, il en faisait tombé son calepin. Il rentra dans la pièce et lui jeta un regard totalement surprit, puis la jeune fille continua dans ses questions :

-Le ciel est de quel couleur ? Le jeune homme sentit sa gorge ce serrer, elle ne connaissait même plus la couleur du ciel ? Elle l'avait-elle oubliée ? Comment ce faisait-il ? Il jeta son regard complètement abasourdit dans son regard triste puis il sourit tendrement :

-Tu n'as qu'à voir par toi même. Il lui pris la main et la tira vers l'extérieur, la jeune fille semblait surprise de sa réponse, elle ne bougea pas et continuais à observer la main de docteur qui était dans sa main: - Tu ne veux pas voir le ciel ? Insista le docteur.

La jeune fille ce releva avec difficulté puis marcha au coté du docteur qui avait une démarche confiante, elle ne lâcha pas la main du docteur. Il l'emmenait sur le toit de ce bâtiment psychiatrique. Quand il ouvra la porte du toit, la jeune fille laissa s’échapper d'entre ses lèvres un crie de surpris avant de placé ses mains sur ses yeux. Le docteur la regarda amuser avant de tirer doucement sur sa main et pointa du doigt le ciel :

-Sublime …. Fut le seule mot qu'elle prononça pour dire sa penser. Le docteur sourit pour posa son regard sur elle, sa chevelure brune volait au vent laissant à découvert ses yeux qui en réalité était plutôt d'un rouge pâle. Il la fixa heureux de ce qu'il venait de faire puis il fut surprit par les larmes qui coulaient sur ses joues roses. Il allait lui dire ce qui n'allait pas mais celle-ci sourit. Il comprit toute suite pourquoi ses larmes … Il redressa son regard vers le ciel puis un crie de panique retentit dans la direction de la jeune fille qui ce tenait les oreilles murmurant des choses illogique et incompréhensible.

Le médecin comprit toute suite que c'était une crise d’angoisse puis il posa sa main délicatement sur elle et lui murmura à son oreille une phrase qui la calma :

-Tu vois le ciel est bleu …

Suite à cette phrase la jeune fille ce calma mais tremblait toujours, le médecin la pris sur son dos puis ils descendirent les escaliers. Il ne l'entendait plus mais il avait d'autre chose à faire dans la journée il ne pouvait pas rester avec elle toute la journée. Une fois arriver devant sa chambre il déposa la patiente doucement au sol puis celle-ci rentra dans sa cellule toute seule et ferma la porte par d'elle même.

Le docteur la regarda rentrer et ce sentit déçu. Déçu de ne pas pouvoir l'aidé mais la médecin est un métier ou on doit ce montrer patient. Mais le faible sourire qui c'était dessiner sur ses fines lèvres lui satisfait amplement .

Os 4 : écrit le 18 Août 2015 Fini

(Époque : 19 siècle. Lieux : Londre. )

Je courrais aussi vive que mes jambes le pouvaient. Je ressentais la fatigue et le froid de l'hiver me fouetter le visage. Aujourd'hui c'était le grand jour. Le jour de ton retour. J'entrais dans la gare où on c'était quitter il y a 2 ans … Nous avons réussis à garder contacte grâce aux lettres mais 2 ans sans te voir c'est … C 'était long... Très long pour moi. Mon cœur souffrait.

Je passais comme je pouvais entre les autres passants pour pouvoir être au bord du quais que je haïssait autre fois. C'était à ce même endroit que nous allons nous retrouver, Frigel. J'entendis le souffle sec du train, quand je tournais mes prunelles bleus j'aperçus la fumer noir de cette machine sans âme. Elle s'arrêta net devant moi et un contrôleur ouvrit la porte pour faire descendre tout ses passager et là... J'aperçus tes iris bleu ciel. L'instant pour moi s'arrêtait. Tes magnifiques orbes m'attirai j'avais envi de me noyer dans tes douces prunelles mais ta voix douce me tira de mes penser :

-Alors comment vas-tu mon chère Siphano ! 

-Fri' ! Je vais super bien !  

Il m'ouvra ses bras comme pour attendre un câlin de ma part, ce que je m'empressais de faire. Puis je le tirais vers la sortie de la gare et s’empressa d'aller chez moi. Car en hiver à Londre, il fait super froid. J'entendis un éternuent, qui me fait rire. Je m'arrêtais dans ma course puis je me retournais Frigiel pour lui passer un bout de mon échappe. Mais … Dans ce geste généreux son corps tremblant c'était rapproché de moi, je sentis mes joues devenir chaude. Je crois que je rougis. Non pas maintenant ! Je faisais tout pour lui dissimuler mes rougeurs.

Une fois sortie de la ville, on rentra dans un bus qui menait vers chez moi. Nous restons silencieux pendant tout le trajet et je commençais à somnoler mais quelque chose de chaud et d'agréable se posa délicatement sur mon épaule. Je tournais lentement mon visage pour voir la petite touffe de cheveux châtain. Je … Eurro vous avez perdu Siphano. Je rêve, il c'est endormie sur moi ?! Le bus freina bruyamment et j'aperçus le conducteur me disant que la tempête était trop forte et qu'ils devaient nous laisser là .

Super … Je réveillais Fri' délicatement à contre cœur puis je lui expliquais la situation et nous sortîmes tout les deux mains dans la mains. La tempête nous foutaient nos visage frigorifiés . Je sentais la main de Frigiel tremblante dans la mienne. Je n'aime pas le voir mal. Je le pris instinctivement dans mes bras en espérant le réchauffer. Nous marchons pendant de longue minute dans ce froid infernale. Mais j'aperçus un petit cabanon et la l'espoir s'empara de mes prunelles mais au même moment je sentis le corps de Frigiel tomber. Mon cœur s'arrêta de battre au même moment le corps de Frigel toucha le sol. Je ne réfléchis plus je le pris et courrais aussi vite que possible dans le cabanon.

Je posais délicatement Frigiel au sol puis je posais sur lui ma veste qui me tenait chaud. Je t'en supplie... Ne meurt pas de froid maintenant … J'ai temps de chose à dire. Je caressais son visage froid. J'épousais toute la neige qui était dans tes cheveux et ton visage afin de mieux te voir. Je regardais longuement tes fines lèvres... J'ai envie de les dévorer. Je ne contrôlais plus mon corps et j'approchais lentement mes lèvres des tiennes mais je m'arrêtais quelque centimètre de tes douces lèvres.

J’aperçus ton regard surprit, j'ai honte.... Mais ce sentiment négatif disparu quand tu as posa tes lèvres sur le miennes. Je ne cachais pas ma surprise mais je fermais mes yeux pour savourer ce moment qui pourrais être un rêve...Il se redressa et posa sa main sous mon tee-shirt et son regard semblait me demander quelque chose. Je ne brisais pas se doux silence et le retira et tu fais de même.

Le reste de la nuit était merveilleuse et l'une de mes plus belles … Nos souffles qui était mélanger et tes doux baisser que demander mieux...

Os que j'avais écris pour Funi x)

_____________________

Voilà c'est tout =3 Merci t'avoir lue et bye o/
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Mistakes
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Super Fukanouille
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Jeu 5 Nov - 10:01
Mistakes
Whouah... J'adore!
J'ai particulièrement aimé le deuxième OS, il m'a donné des frissons c'est juste dingue
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Epona
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Ven 6 Nov - 11:33
Epona
Merci Mistakes =3 je ne vais pas nier que c'est mon OS préféré parmit tout les OS proposés ^^
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