Kikou! Voici mon premier one-shot qui mélange romance et sadisme. J'espère que vous allez aimer!
Je m'avançais devant l'immense bâtiment. "Un autre cégep de bollés snobs", pensais-je. Je serrais mon arme, une carabine, dans mes mains en fixant une fenêtre. Je sentis le couteau qui se trouvais dans ma poche. J'étais prêt, je possédais les armes nécessaires et l'expérience d'un tueur.
Je rentrais donc dans l'école et, pour qu'on se rende compte de ma présence, tira dans le plancher. "Confinement barricadé, je répète confinement barricadé!", entendis-je après une minute de silence total.
J'aimais beaucoup que mes victimes soient angoissées même si j'avais plus de chance de me faire arrêter ainsi.
J'avançais et approcha la bureau du directeur. Je toqua 2 coups.
-C'eesstt mooii!! Avez-vous hâte de sentir le sang couler de votre ventre? De sentir votre énergie descendre et de connaître la sensation d'avoir un couteau qui transperce votre frêle corps?, dis-je.
Aucune réponse. Mais je n'étais pas fou; le carton dans le cadre de la fenêtre m'indiquais que quelqu'un se trouvait bien dans la pièce.
Je tira dans le carton noir et défonça la porte peu résistante. Je vis la secrétaire.
Ce n'était pas la première fois que je croisais des filles mignonnes. J'en avais tué beaucoup. Mais jamais je n'avais vu une femme aussi belle dans ma vie de tueur.
Elle me regardait avec les larmes aux yeux et semblait me supplier de l'épargner. Je m'approchais d'elle et m'agenouilla devant elle sans la quitter des yeux. Sa respiration était saccadée; elle croyait vraiment mourir.
-Où est le directeur?, lui demandais-je.
Aucune réponse de la part de la jolie secrétaire. Je déposais ma carabine à côté d'elle et mis mon couteau au même endroit.
-Je ne te veux aucun mal.
-J-je..., bégaya-t-elle.
-Je sais, je dois avoir l'air vraiment épeurant et très peu charmant mais je te le jure, je suis sincère.
-Tu n'as pas l'air épeurant du tout. Tu es même... Mignon, fit-elle.
-Oh.
Nous nous regardions comme cela pendant quelques minutes. Soudain, un coup de fusil retentit et mes yeux commencèrent à se fermer. Je sentais que mon sang coulait. C'était donc ma fin? C'est alors cela que l'on ressent lorsqu'on meurt? Mes yeux se fermèrent complètement et je tombais par terre, mort.