PDV Valentine
Crazy marmonna un désolé à peine audible au garçon. Il se releva et nous toisa avant de repartir. Alors que nous allions repartir, Asallé m’attrapa la main.
Asallé :- C’est lui.
Valentine :- Hein ?
Asallé me fit les gros yeux.
Valentine :-Heu les filles, revenez.
Les filles revinrent vers nous.
Luni :- Quoi ?
Asallé :- C’était Pegasus.
Luni :- Mais tu ne l’avais pas sentit pourtant ?
Asallé :- Je dois encore être détraquée, en tout cas, il faut qu’on le rattrape !
On courut dans la direction où était partit Pegasus. On le rattrapa vite.
Pegasus :- Quoi, encore ?!
Asallé ne lui répondit pas et attrapa son bras.
Pegasus :-Lâche-moi !
Asallé ferma les yeux. Je devinais qu’elle lui transmettait les souvenirs. Quand elle les rouvrit, elle attendit avant de lâcher notre frère afin qu’il ne tombe pas.
Pegasus : -N’empêche t’aurais put être plus douce !
Il s’arracha à la main d’Asallé et se frotta le bras.
Asallé :- Tu te serais enfui, je te connais.
Il grommela quelque chose d’incompréhensible.
Luni commençait à s’impatienter.
Luni :- On y va ou on attend qu’End retrouve les autres avant nous ?
On se dirigea d’un bon pas vers le camp. On ne rencontra aucun problème devant la base d’End. On arriva non-loin de la capitale vers minuit. J’étais épuisée, mais Pegasus et Luni avaient refusés de faire une pause.
Luni :- On va attendre le jour ici. On se lève à l’aube, d’accord ?
On hocha tous la tête, trop fatigués pour parler. On se coucha à même le sol, étant donné qu’il n’y avait pas d’arbres dans le coin. Dormir sans gardes était risqué mais on était si fatigués que ça n’aurait servit à rien.
PDV Pegasus
On se réveilla tous à l’aube. On se dépêcha de repérer le camp. Il n’était pas très loin, en fait.
Luni :- On fait comment pour entrer ?
Asallé :- On se livre aux gardes, on trouve les autres et on s’évade.
Valentine :- On fait comment si on n’est pas assez proches pour se voir et se parler ?
Asallé :-Télépathie.
Pegasus :-T’es sûre de pouvoir gérer.
Asallé :-Sans problème.
Crazy :-Alors on fait comme ça.
On se dirigea vers l’immense bâtisse. Luni appuya sur la minuscule sonnette.
Interphone : -J’écoute ?
Luni :-Bonjour…nous sommes des jeunes qui n’avons pas été récupéré il y a quelques jours, nous venons nous livrer.
Interphone :- Ne bougez pas, des gardes viennent vous chercher.
On attendit quelques minutes, puis la porte s’ouvrit et des gardes nous emmenèrent dans une salle complètement blanche comportant des sièges. Une infirmière vint nous chercher.
Infirmière :- Vous passerez un à un pour savoir si vous avez des maladies puis vous serez conduit dans les chambres collectives.
Asallé fut la première à passer. Le temps passait très lentement et on commençait s’ennuyer. Puis Valentine passa, et enfin moi. Je m’engouffrais dans la salle d’examens.
PDV Luni
J’étais la dernière à passer. Quand l’infirmière vint me chercher, je la suivis en m’étirant. Mes muscles étaient engourdis d’être resté assise aussi longtemps. Elle me fit signe de m’assoir sur la salle d’examens. Elle me fit un examen tout ce qu’il y a de plus normal. Puis, elle m’indiqua la sortie, où un garde m’attendait.
Garde :-Chambre collectif N°5 lit N°9B.
Il me conduit à la chambre et referma la porte derrière moi. Il y avait plusieurs personnes dans le dortoir. Je cherchais mon lit. Il était tout au bout de la chambre. Je m’asseyais dessus.
??? :-Une nouvelle. C’est assez rare en ce moment, car personne n’échappe aux gardes plus de deux jours. Comment-ont-ils trouvés ?
Luni :- Je me suis livrée avec des amis.
??? :- T’es folle ma parole ! Mais bon, tu dois bien avoir une raison, et on ne t’embêtera pas avec ça. Notre chambre est la moins remplie du bâtiment, on est que 5 avec toi. Je m’appel Axel. L’autre, dans le lit à côté de moi, c’est Sam. La fille en face de toi, c’est Marie et Celle dans le fond qui ne parle jamais, c’est Coco. Cherche pas elle est bizarre. Et toi, c’est quoi ton nom ?
Luni :- Je m’appelle Luni.
Sam : -T’es bizarre. Enfin plutôt ton apparence. C’est naturel la couleur de tes yeux et de tes cheveux ? Je n’avais jamais vue ça avant.
Luni :-Complètement naturel.
Je me moquais bien des autres, mais la seule qui m’intéressait, c’était Coco. J’étais sûre que c’était une des notre. D’après ce que m’avait dit le garde, tous les jours, à 13 heures, on sortait les jeunes voulant aller dans la cour du camp. Je croisais les doigts pour me retrouver seule avec Coco demain. En attendant, je me mis sous les draps de mon lit et m’endormis.
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Voilà! J'arrête pour aujourd'hui x)
Bezou ♥