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L'homme-bête terrien

Hache
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Sam 22 Nov - 13:07
Hache
Je tient à préciser que j'avais poster ce One Shot en trois partie dans "Histoire" mais comme je trouvais que ça n'avait rien à faire dans cette catégorie, j'ai donc décidé de le publier en entier ici. Bonne lecture!

L'homme-bête terrien

Un homme regardait la télé. Il était blanc et avait des cheveux mi-long en bataille noir. Ce jeune homme était maigre et frêle mais assez grand. Au alentour d'un mètre septante. Il regardait la télévision en s'exclament des : « Non ! Pourquoi Mélinda tu va toujours dans des endroit effrayant juste pour des gens qui sont mort ? » tout en sursautant au moindre bruit. Malgré le fait que ce garçon ressemblait et agissait comme un être humain normal, il n'en était pas un ! En effet, il possédait une queue, des oreilles, des moustache et des yeux jaune de chat. Et n'avait pas d'oreilles d'humain. Deux pair d'oreilles c'est inutile après tout !
Le petit appartement dans lequel il se trouvait était vraiment sombre. Il était à peine midi mais les volets restait fermé.
L'homme-bête sursauta et ses poils se hérissèrent lorsque le téléphone sonna. Tout en s’approchant du téléphone il se rappela une règle qui lui ordonne de ne pas répondre au téléphone sauf quand c'est un numéraux précis. De ses yeux jaune, il observa le numéro qui s’affichait avant de sourire et de répondre en ronronnant.
-C'est moi ! Dit le chat joyeux.
-Je suis désolé mais ce soir il y a un problème au bureau et je vais rentrer tard. Ne m'attend pas pour te coucher et ne reste pas devant la télé ou l'ordi trop tard. Bye. Dit une voix d'homme sur un thon doux et rassurant.
-Bye...
Quand la personne de l'autre côtés du fils raccrocha, le garçon raccrocha à son tour avant de se mettre en boule sur le sol et de se commencer à se plaindre.
-Avant tu ne faisait pas ça. Tu rentrais toujours tôt mais depuis que j'ai piqué ma crise il y a deux ans car j'en avait marre d'être enfermé dans cet appartement, tu rentre plus tard et tu es moins à la maison. Tu es en colère contre moi ? Je me suis énervé alors que tu m'avais déjà expliqué qu'il ne faut pas que les autres humains me découvre car ils risquent de me faire du mal. Je suis désolé...
Le pauvre homme-chat resta sans bouger sur le sol pendant cinq minutes avant que des gargouillis provenant de son ventre ne se fassent entendre.
Le jeune se tapota le ventre avant de se lécher les babines, de se lever et de se faire des frites et des fish stick avec la friteuse. Il mangea le tout en regardant la télévision.
Quand il eu finit, il mit son assiette dans le lavabo avant de regarder sa salle de douche et dire en riant à moitié :
-Comme tu n'es pas là, je ne suis pas obliger de me laver.
Et d'aller se coucher tout habillé.

Le lendemain, comme à son habitude le chat se leva à 6H00 pile et rentra dans la chambre voisine. Il monta dans le lit et se frotta à un homme aussi grand que l'homme-bête, blanc lui aussi avec des cheveux mi-long lisse et châtain comme l’œil qu'il ouvra en sentant celui qui ronronnait.
-Mec t'es sérieux ? Fit alors le brun.
-Quoi ? Il est six heures pourtant...
-C'est pas ça. Je revient juste une fois plus tard que d'hab et toi tu zap la douche ! Tu fouette !
Le chat rougit et se mit à rire avant de baisser les oreilles quand il vit que le brun ne riait pas.
-Je doit aller prendre une douche c'est ça ? Demanda innocemment le garçon.
Le brun hocha la tête de haut en bas et quand l'autre sorti de sa chambre, il remit la couverture au dessus de sa tête car on était dimanche.
Après sa douche, l'homme bête réveilla encore l'homme qui se leva en soupirant.
Ils déjeunèrent ensemble en se parlant et riant. Ils rirent de plus belle lorsque la veille dames du dessous tapa son plafond avec un balai ou un truc du genre.
-Ce soir on va se promener ? Demanda le chat. - Et aujourd'hui tu reste à la maison ?
-Ce soir je vais à une soirée avec des potes mais promis, demain on ira promener. Sourit le brun qui repris en voyant l'air déçue de son ami :
-Promis !
Comme le chat continua à faire la moue, l'autre s’énerva un peu et dit :
-Je ne suis pas obligé de rester enfermé ici !
-Moi non plus ! Répondit le garçon.
-On en a déjà discuté ! Ce n'est pas un film ou une série ou même un anime ! C'est la réalité et tu sais très bien ce qu'il se passerai si des gens te voyait !
-ça tombe il ne se passera rien ! On a aucun moyen de le savoir ! Cria l'homme-chat en se levant et enfonçant ses griffe dans la table en bois.
-Léo ! Hurla le brun, ce qui calma immédiatement le plus jeune qui se rassit en baissant la tête, les larmes au yeux qui se mirent peu après à rouler sur ses joue rougit.
-Pardon Léo. Je ne voulait pas m'énerver... Léo !
Mais l'homme-animal était beaucoup plus rapide et s'enferma dans sa chambre à clef avant que le brun ne puisse le rattraper. Celui-ci frappa à la porte mais en vain. Il pouvait juste entendre les sanglot de son ami au travers de la porte.

La journée se passa assez calmement. Léo qui avait pardonné le plus vieux  avait pu regarder toute la saison une de « No game, no life » d'une traite sur l'ordinateur. Au soir le brun mis sa veste en jeans et partis en faisant un signe de la main.
-À ce soir...

Plus tard, vers 1H00 du matin, Léo se réveilla du fauteuil quand il entendit la porte s'ouvrir et sursauta quand il vit que ce n'était pas la voix de son ami qui résonna.
-Bwé ! Laize-moi 'enter steuplé ! Dit un homme bourré.
-Je ne veux personne dans mon appartement ! Même pas toi Paul.
-Alléééé ! Doi et bwoi on est pote ! Tu va pas m'laisser 'enter chez bwoi en woiture ?
-Ton halène est horrible. Et j'ai dit non !
Mais l'homme bourré poussa le brun sur le cotés et rentra dans l'appartement avant de dévisager Léo qui restait figé par la peur, les deux yeux grand ouvert.
-'Alut mec ! J'dors là ce soir ! Et pouka t'a des oreilles ?
Le plus vieux intervint et pris son ami saoul par les épaules avant de l'emmener dans sa propre chambre et de revenir vers le chat qui ne daignait toujours pas bouger.
-T'inquiète ! Comme il est bourré, demain il ne se souviendra de rien et je vais le faire partir tôt pendant que tu restera dans ta chambre ok ?
Léo dit oui en souriant.
-Il y a un gros problème. Ce soir, je dois partir loin mais je serai de retour au matin pour le dégager. Tu va dans ta chambre et tu n'en sort plus ok ? Ou alors tu préfère que je reste ?
-C'est si important ?
-Oui mais si Paul te fait peur ou si tu le veux vraiment, je vais rester...
-C'est pas grave. Je vais rester dans ma chambre et tout devrai bien se passer non ?
-Merci Léo ! J'y vais. Tu connais mon numéro en cas de problème ! Et le brun parti en se plaignant que rien n'allait comme il le voulait.
Très déçut, l'homme-bête partis se coucher en fermant bien la porte.

Léo dormait paisiblement dans sa chambre en ronronnant faiblement. Il était tellement tôt que le soleil n'était même pas levé. Quand tout à coup, un mouchoir se posa sur la bouche du jeune qui eut juste le temps d'enfoncer ses crocs de carnivore dans la chaire d'une main blanche, ce qui fit crier un homme à la voix aigu. Le chat se senti partir. Ses yeux se fermèrent mais pas pour longtemps.
Dix minutes plus tard, l'homme-chat ouvrit les yeux et regarda terrifié autour de lui et fut un peu rassuré de savoir qu'il était toujours dans son appartement. Il était attaché sur une chaise en bois qui provenait de celle de la salle à manger. Sa queue et sa tête n'étaient pas attachées et il n'avait rien pour l'empêcher de crier. En cherchant, Léo trouva un homme blanc et roux, assez maigre qui se mettait des bandage sur sa main droite percée de deux trou desquelles coulait du sang.
-L'homme bourré ? Demanda incertain Léo.
-Je l'était mais voire l'une des créatures que j'étudie en vrai ! Même bourré je ne pouvais rester sans rien faire. En plus je décuve vite. Sourit le roux.
-Pour... Pourquoi ? Bégaya le chat terrorisé.
-Un homme-bête ! Une créature mythique très rare. Je vous étudie depuis si longtemps et j'en ai une vivante devant moi ! C'est juste incroyable pour un scientifique comme moi. J'ai déjà prévenu la NASA qui sera là dans peu de temps. Peu de gens le savent mais en réalité les créature surnaturelle son toutes des....
-La NASA ? Comme dans les film ? Mais que me voulait vous ? Pourquoi la NASA alors qu'on est en France ?
-Ta gueule ! La NASA n'appartient à aucune nation, elle est indépendante. Ce qu'on veut ? Mais t'étudier bien sure.
-Et si je veux pas ? S'énerva le chat.
-Contre la NASA, personne n'a rien n'a dire ! Surtout pas quelque chose de pas humain tel que toi.
L'homme enfila un poing américain à sa main droite avant de dire sur un thon très sérieux :
-Parle s'il te plaît. D'où vient tu ?
-Je ne sais pas ! Dit le garçon en commençant à pleurer.
-Parle et je ne te ferais rien ! Je n'ai pas envie de le faire mais tu ne m'en laisse pas le choix alors parle !
-Je ne sais pas ! Je le jure ! Je suis amnésique !
-Tu l'aura voulu ! Dit le roux en levant le poing.
-Mathéo !! Hurla à plein poumons l'homme-bête.
Le brun ouvra la porte et frappa au visage le roux qui tomba sur les fesses. Mathéo sorti un couteau de sa poche et s'en servi pour couper les liens et libérer Léo qui était en larmes. Ensuite, le plus vieux se dirigea vers sa chambre et sorti un pistolet de son armoire qu'il pointa vers l'homme de la NASA qui venait de se relever qui mit les mains en l'air.
-D'où tu sort ça ? Demanda, choqué, le chat.
-J'ai toujours craint que ce jour n'arrive...
Le brun se dépêcha et pris un sac à dos qu'il remplis d'argent liquide qui était caché prés du pistolet. Il empoignât ses clefs de voiture et fracassa son téléphone portable sur le sol ensuite il attrapa son ami par le bras sans lâcher son ex-ami des yeux.
Le plus vieux démarra en trombe avec la voiture qui était une simple mini-morris. Le brun n'hésita pas à accélérer et brûler les feux-rouges avant de, très vite, rejoindre l'autoroute.
-Math, J'ai peur... Tu roule trop vite. Se plaignait le chat en pleurant.
-Il faut fuir et vite ! Si tu as peur ferme les yeux.
-C'est interdit par la loi...
-On a la NASA sur les baskets ! Alors la police est notre dernier problème. Léo...Calme-toi.
Mais le plus jeune ne se calmait pas. Il pleurait de plus en plus et de plus en plus fort.
Au bout de vingt minutes de route toujours aussi rapide, le plus vieux se mit à ralentir et sorti de l'autoroute et passa sur une route de campagne avant de foncer dans un champ de blé.
-Tu fait quoi ? Demanda alors l'homme-chat très surpris.
-Ils ont notre numéro de plaque de voiture alors il faut changer. Répondit le brun en montrant une épicerie non loin où un dizaine de voitures étaient garée.
Les deux amis s’approchèrent du bâtiment et Mathéo fit signe à son compagnon de ne pas sortir de sa cachette de blé et il ouvrit discrètement la porte d'une vielle « coccinelle » bleu foncée avant de la faire démarrer, il hurla ensuite le nom du chat qui sauta dans la voiture que le plus vieux fit démarrer en trombe et partir. Mais Léo avait remarqué des hommes en long manteau noir avec des photos de lui et de Mathéo. Il s'empressa de le dire à son ainé qui fit une grimace.
-Que Paul leur ai donné une photo de moi, je comprend mais comment il a eu une photo de toi ? À moins que...
L'homme fouilla dans sa veste, il toucha son arme mais ne senti rien d'autre. Il jura.
-Pourquoi ? Demanda le chat.
-Je t'expliquerai plus tard.
Et ils continuèrent leur route en tant que fugitif.

Quand la nuit tomba, le plus vieux s'arrêta dans une forêt où il réveilla son ami dormant.
-On y va.
Ils se dirigèrent vers un grange que le brun avait remarqué. La grange était loin de la ferme et ne servait qu'a y mettre du foins pour les vaches qui dormaient dans le prés.
Dans la grange, ils s'endormirent tous les deux mais Mathéo commença à parler.
-Je suis désolé...
-Pourquoi ? Demanda son ami.
-C'est ma faute. Je n'ai pas été assez prudent. J'ai laissé Paul et il t'a découverts.
-Comment tu pouvais savoir qu'il était un scientifique travaillant sur les êtres surnaturelle pour la NASA ? C'était impossible.
-Je savais ! Je savait que c'était dangereux de laisser, même un éboueur, te voir ! Mais j'l'ai laissé lui et puis je n'est pas été assez prudent pour la photo aussi...
-La photo qu'ils ont de moi ? Mais tu ne les gardait jamais car tu disait que c'était trop risqué...
-J'ai pas pu m'en empêcher... J'en ai prise une que je gardait toujours sur moi. Pardon c'est ma faute...
Le brun craqua depuis la première fois et se mit à pleurer pour évacuer. Lui aussi ne voulait pas quitter sa maison, lui aussi avait peur... Léo le regarda surpris car c'était la première fois depuis les cinq ans qu'ils se connaissaient qu'il voyait Mathéo pleurer et le chat se mit à pleurer lui aussi...

Je sortait de mon école. On était en plein moi de février et comme pour tout les terminal j'avais plein de test mais je n'avait pas besoin de réviser car j'ai toujours eu cette adresse naturelle à réussir tout ce que j’entreprends, ce qui valait la jalousie de mes camarades de classe. À cette époque je n'avait que 18 ans. Il neigeait sur tout Paris. Pour renter chez moi, dans mon propre appartement que mes connard de parents me payaient, il y avait un raccourcis dans un parc. Je le pris donc comme à mon habitude mais je remarque quelque chose de beige dans la neige. Je 'en approche et je vis une personne. Celle-ci semblait très jeune et avait une queue et des oreilles de chat de la couleur de ses cheveux c'est à dire corbeau. Il était complètement nu. Je retirai mon gant blanc et senti son pouls. Sa peau était glacial mais son cœur battaient et de la buée sortait de ses narine sous lesquels se trouvaient des moustaches. Je retirais ma doudoune et la lui mit dessus. Je sortis mon téléphone et tapa : « 116 ». je m’apprêtais à appuyer sur le bouton vers mais me ravisa en le regardant. Ce n'était pas un humain ! Des scientifiques fous pourrait le disséquer comme les grenouille du collège ou lui faire passer tout un tas de test douloureux ! Je le pris donc dans mes bras et commença à le ramener chez moi. Au bout d'une vingtaine de pas, il enroula sa queue autour de ma jambe...

Je commençait à me réveiller. Je me sentait si bien au chaud et si à l'aise. Mon corps me semblait peser une tonne et je n'était pas prés de bouger. J'avais un mal de crâne pas possible et je ne me souvenait de rien. J'essayais de me rappeler mais de quoi ? Je réfléchissait tout en profitant de ce bien-être. Des choses me vinrent à l'esprit avec une voix féminines qui ne me disait pourtant rien. « Tu t'appelle Léo, Tu as 15 ans et surtout : Tu n'es pas un humain mais un homme-bête ! Un homme-chat plus précisément donc fait attention aux humains... ».
à qui appartient cette voix ? Pourquoi je ne me souvient de rien ? Pourquoi dois-je me méfier des humains ? D'où est-ce que je vient ? Ces questions trottaient dans ma tête mais je ne trouvait pas les réponses. J'ouvris les yeux et je pouvais apercevoir un plafond blanc et des murs en papier pain noir et gris. Je me trouvait dans un lit double aux draps bleu marine et blanc.  Je n'arrivait toujours pas à bouger autre chose que ma tête et ma queue mais mon ventre gargouilla fort se qui me fit tousser. Depuis combien de temps je n'avait pas mangé ? Mais l'entrée d'une homme un peu plus grand que moi et qui me semblait plus vieux me fit sortir de mes penser mais j'ai une crainte qui me faisait avoir une boule à l'estomac. C'était un humain brun ! La voix me disait de me méfier d'eux...
-Je suis Mathéo ! Je t'ai trouvé dans la neige alors je t'ai ramené ici. Comme tu doit avoir faim j'ai fait chauffé du laid vu que t'es un chat je me suis dit que tu aimerai... Tu me comprend ? Tu sais parler ?
Il me tendis le bol qui était si attirant. Je le regardait puis je me redressa un peu et remarque que je portait un pyjamas un peu trop grand mais si chaud. Une fois redressé, l'homme posa le plateau avec le bol sur moi.
-Je suis Léo... Dis-je sans vraiment le vouloir. Je pu voir qu'il était surpris et il me sourit.
-Donc tu comprend et tu parle ! D'où tu viens ?
-Je ne me souvient plus de rien...
-Je vois. Ben ça va te revenir ! Tu peut rester ici autant que tu veux.
Cette fois, je ne répondit pas et bu presque d'une traite le bol de laid chaud...
Depuis se jour, je vit dans son appartement en secret du monde pour ma sécurité. Je passait mes journée à regarder la télévision ou traîner sur l'ordinateur...

Des paroles réveillèrent les deux hommes qui avaient un peu mal aux yeux. Avec des geste, le plus vieux ordonna à son ami de rester prés de la porte par laquelle ils étaient rentré. Quand à lui-même, le chef monta à l'étage et se servant d'une petite trappe menant au toit, il y accéda.
Du toit, Mathéo avait une vue sur un bonne partie du terrain et pu voire un vieux pick-up rouge et rouillé dans un genre de garage à outils délabré et plein d'homme et femme. Ils avaient tous au moins un pistolet visible et certains portaient des manteaux long et sombre. Math attrapa un caillou qu'il lança sur le voiture que lui et Léo avaient abandonné le jour d'avant. Quand il vit tous les agents de la NASA courir vers celle-ci, le brun fit signe au chat de sortir. L’aîné sauta de où il était sous le regard surpris du cadet avant d'attraper celui-ci par l'avant bras et de le guider vers la voiture. À l'intérieur, Léo utilisa ses griffe de chat afin d'ouvrir le boîtier, couper et les files et faire démarrer la voiture. Le brun appuya sur l'accélérateur et démarra en trombe. Le groupe américain tirait sur la voiture mais les balles cassaient juste les vitres et les deux protagonistes purent s’enfuir.

Au bout de cinq bonne heure de voiture à toute allure dans des routes perdu au milieu de nulle part, le plus âgé fonças et roula dans un champ de blé pendant que Léo poussait des cris effrayé. Ils finirent par sortir du champ et arriver devant un colline verdoyante et belle. La voiture ne pouvait aller plus loin car elle était complètement à court d'essence et qu'elle commençait à fumer certainement à cause des balles.
-Il va falloir courir vite Léo. Sinon on va se faire tirer dessus comme des lapins !
-On y va à trois ? Répondit le chat.
-Trois ! Hurla le brun.
Et les deux amis se mirent à courir vers le haut de la colline quand ils entendirent des gens crier :
-They are there ! (Ils sont là).
Ils accélérèrent. La NASA les avait déjà rattrapé et ses membres commençaient  à leur tirer dessus sans les toucher car les héros étaient encore trop loin pour l'instant mais tout deux se faisaient rattraper.
-Quoi qu'il arrive tu continue de courir ! Promis ? Demanda Mathéo.
-Oui ! Répondu son ami.

Ils couraient quand tout à coup, le plus vieux s’effondra au sol touchait par une balle. Il tomba face la première en grimaçant et grognant de douleur, il releva la tête et regarda coléreux envers Léo qui retournait vers lui.
-Tu... Tu avais promis ! S'écria alors difficilement le blessé.
-Tu ne tient jamais tes promesse toi... Dit le chat tout en s'agenouillant à côtés de son ami et en baissant les oreilles terrorisé par la peur.
Et lorsque toutes les armes se pointèrent vers eux deux, Léo se contenta de mettre les mains en l'air pour éviter de se faire tirer dessus.
-Votre cavale est finie ! Dit un homme grand et musclé avec un accent anglais très prononcé.
-Crevez tous en enfer enfoiré ! Dit le garçon à terre en crachant un peu de sang.
-Tu n'es pas en posture pour me menacer. Répondit l'homme en faisant un signe de la main qu’exécutèrent les autres en se jetant sur le chat qui poussa un cris pas très virile.
-Laissez-le ! Cria Mathéo en se débattant lui aussi de quelques agents qui l'embarquaient.

L'homme-bête ouvrit les yeux. Il pouvait voir autour de lui une salle entièrement blanche et vide excepté la chaise en fer sur laquelle il étai attaché grâce à des bracelets de fer aux poignets et chevilles.
-Où suis-je... Dit-il alors encore un peu dans les vapes.
-Dans un laboratoire de la NASA dans le meilleur pays du monde :Les États-Unis d'Amérique ! Dans la très célèbres zone 51 ! C'est ici que tu va répondre à toutes nos questions.
-Où est Mathéo ?
-J'imagine que tu parle de Mathéo Mevara, un jeune citoyen français sans histoire, sans casier et avec un boulot banale ? Il est en salle de soins et il va bien. Maintenant, tu va coopérer !
-Et si je refuse ?
Comme seule réponse Il sorti un taser et montra le poing américain qu'il possédait sur sa main gauche.
Léo dégluti avant de baisser les oreilles, de légèrement trembler et d'avoir les larmes qui commençaient à lui monter aux yeux.
-On fait moins le malin Kitten ?
-Pou...Pourquoi ? Demanda naïvement le jeune.
-Pour récolter des informations sur ton espèce voyons !
-Si je vous dit tout ce que vous voulez, vous me relâcherai ?
L'homme avec la coupe en brosse brune se mit à rire avant de dire :
-You are so cute ! Après on te disséquera et on regardera ton cerveau.(Tu es trop mignon)
-Mais si vous faites cela je ne... Léo dégluti encore.
-Tu mourra ! On ne compte pas te garder en vie.
L'homme-chat écarquilla les yeux et sentit les larmes arriver quand l'homme roux qui l'avait découverts, rentra dans la pièce un dossier à la main. Celui-ci était accompagné d'une jeune femme métisse aux long cheveux noir. Le rouquin bougea les lèvres afin que le chat comprenne un : « Je suis désolé ». Mais l'animal se contenta de froncer les sourcil méchamment ce qui n'allait pas avec ses yeux brillant de perles salées.
-Who are you ? (qui es-tu?) Demanda la femme.
-Hein ? Je ne comprend pas... Répondit le jeune en baissant les oreilles de peur.
-Qui es-tu ? Répéta alors le scientifique en chipotant à ses cheveux roux.
-Léo ! Cria le chat en prenant peur lorsque le militaire se rapprocha de lui avec un air menaçant.
-D'où vient-tu ? Demanda l'homme grossier.
-De Paris... Dit le chat en craignant les réactions des gens autour de lui.
-You don't fool us ! ( Ne te fou pas de nous ! ) Cria la noirette le taser dans les mains.
-He has amnesia ! ( Il est amnésique ! ) Intervint le roux en se mettant devant Léo pour le protéger de la dangereuse femme.
-Are you sure ? He lies... ( Es-tu sure ? Il ment...) Dit-elle.
Tous les regards se posèrent sur l'alarme qui retentis. Elle voulait simplement dire que le temps de travail était finit et que le souper était prés pour tout les travailleur de la NASA.
Les deux agents et le scientifique sortirent de la pièce est fermèrent la porte mais avant que celle-ci ne soit complètement fermé, le blond vénitiens articula : « lis ça » en montrant un bout de papier avec son menton. Dés que la porte fut complètement fermée, Léo entendit le bruit métallique d'un gros verrou et ensuite, il fut plongé dans l'obscurité. Malgré son incompréhension, il regarda le bout de papier tombé à terre et lus grâce à ses yeux de chat : « Temporise le plus possible. Mathéo. ». Il reconnaissait bel et bien l'écriture de son ami.

Le lendemain, la séance de questions repris et à chaque fois que l'homme-bête refusait de répondre à une question, il se faisait frapper et quand il avait trop mal, il y répondait pour avoir une pause fugace. À chaque question, un souvenir plus ou moins heureux...
-Tu sais lire ? Qui t'a appris ?
Sa douleur et ses pleures l'affaiblissait grandement et il s'endormait à moitié...

-Dit Mathéo...
-Hum ? Répondit l'interpellé la bouche pleine car ils étaient en plein dîner.
-Tu peux m'apprendre à lire ? Ça peut toujours être utile et il y a des épisodes que je ne trouve pas en VF... Demandais-je.
-Pas de problème ! En plus vu que tu parle déjà très bien, tu aura facile ! Sourit le brun.
J'appris très vite en commençant par l'alphabet, je dévorais ensuite les VOSTFR que je trouvais généralement beaucoup mieux. Surtout les animes...

-Quelles maladies peut-tu attraper my poor kitten ? (mon pauvre chaton) Demanda le militaire...

-Tu ramènera des frites pour demain ? Demandais-je.
-Oui ! En plus aujourd'hui je n'ai pas beaucoup de travail, je serai donc de retour vers 18H30 !
-Il fera déjà nuit ?
-C'est ça l'hiver Léo. Rigola Math avant de partir en prenant soin de fermer la porte à clef.
Je me sentais très bien ce matin là et je passa donc la journée à regarder la télévision ou des séries et animes sur l'ordinateur. Mais vers 16H00 je commençais à avoir des vertiges et très mal à la tête. Je m’évanouis.
On me secouait et criait mon nom. Je reconnu la voix de Mathéo. Il me souleva et me posa délicatement dans un lit. Je l'entendis jurer et décrocher le téléphone. Il décrit ensuite mes symptôme et je l'entendis s'excuser et taper un autre numéro.
-Allô le vétérinaire ?
Je m'endormis...
Je me sentis secoué et ouvris légèrement les yeux. Je vis donc mon ami penché vers moi, un verre de laid à la main droite et un petit caché à la main gauche.
-Redresse toi ! Et avale ça !
J'entre-ouvrit la bouche et il y mit le cacher avant de me faire l'avaler grâce au laid.
-T'es sérieux de me faire un frousse pareille pour ensuite me coûter 110 euros ? Et y'a que cinq cacher dans la boite en plus !
Mais je m'endormis sans lui répondre.
Je me réveilla le lendemain en bien meilleur forme et me rétablis complètement en trois jours...

-Quant as-tu atteint ta maturité sexuelle ? Demanda le roux...

J'avais souhaité l'anniversaire de mes dix-huit ans avec la date où Math m'avait trouvé, il y avait à peine cinq jours. Depuis peu, je me sentais bizarre, avais chaud et sentais des picotement dans tout mon corps mais je n'y prêtais pas attention. Je regardais une séries en VOSTFR quand un mot apparût à plusieurs reprise : « Films X ». Je ne savais pas ce que c'était. Comme tout le monde, j'ai donc fait une recherche Google et ais commençait à regarder l'un de ces fameux films. Sans introduction et avec une histoire quasiment inexistante, le film prit une tournure très embarrassante. Je mis pause car le téléphone sonna. Je me leva et regarda le numéro qui n'était pas celui de mon ami. Quand tout à coup « le loup » rentra dans l'appartement et me salua. Il regarda juste après, l'écran de l'ordinateur et fronça les sourcils avant de me dévisager. Je compris vite et rougis en disant :
-C'est pas ce que tu croit !
-Tu regarde ce genre de chose depuis quand ? Dit-il en riant.
-Je ne regarde pas ça ! C'est juste que je ne savais pas ce que c'était et que ça en parlait dans ma série ! Dis-je en montrant l'image sur la télévision qui était stoppée sur l'un des dialogue disant ces deux mots.
Il me regarda en pouffant de rire en rajoutant :
-Tu verrai ta tête ! On est entre nous, tu n'as pas besoin d'être gêné. À moins que...
-Que quoi ?
-Que tu soit devenu grand et que tu as des besoins. Dit le brun en éclatant de rire tandis que moi je ne pus m'empêche de rougir.
Et comme il ne s'arrêtait pas je fit le gros dos et sortis mes griffes.
-C'est bon ! T'énerve pas...
Il continua à se moquer de moi pendant plusieurs jours...

L'homme-chat n'osait plus regarder les trois humains et il se contenta de regarder son sang salir le sol abondamment en se demandant combien de temps il pourrait tenir. Il se souvint de nouveau du message du brun et son « Le plus possible ». Mathéo savait que le chat allait se faire torturer et il lui demandait de répondre aux questions quand même afin de ne pas trop souffrir.
-He bleeds more than humans. (Il saigne plus que les humains). Fit remarquer le roux en regardant le moins possible la pauvre victime de plus en plus amoché car cela l’écœurait tant l'image qu'il voyait que la moral complètement délaissée...

Je vivais avec Mathéo depuis un ans seulement et j'étais sagement assis dans le fauteuil, bien droit, les pieds au sol. Je regardait un anime où l'un des personnages principaux a été transformé en « Neko-chan » un peu comme moi. Celui-ci se servit de sa queue pour attraper des choses comme de la nourriture. J'ai eu envie d'essayer. J'ai donc attrapé le verre d'Ice-T devant moi avec ma queue. Au bout de plusieurs essaies, je réussis à le soulever et l'amener vers moi. Comme je n'avais pas assez de force à cet endroit, mon emprise sur le verre se dé-serra et celui-ci s'éclata par terre à ma droite et tous les morceaux de verre vinrent voler dans mon pied droit. Cela me fit hurler et tomber vers l'arrière avec le fauteuil qui se retourna.
Mathéo, alerté par le bruit, rentra en trombe dans l'appartement et regarda mon pied avant de me sermonner et de me soigner en lavant et désinfectant mon pied et en enlevant chacun des petits morceaux délicatement avec une pince à épiler.

L'homme violent  détacha l'homme-chat et appela des infirmières qui arrivèrent ensuite, il leur dit :
-Prepare he for the operation. (Préparez-le pour l'opération).
Et les trois femmes l'emmenèrent sur une civière blanche qui devint assez vite rose. Il s'’évanouis à ce moment...

Léo ouvrit les yeux et vus un plafond blanc. Il regarda autour de lui, il y avait les trois infirmières, un médecins en tenue complète empêchant de voire son visage et le militaire qui souriait sadiquement. Les murs carrelé blanc mettaient les drôle de machine de toute sorte et les « outils » en évidence.
L'homme-bête essaya de bouger mes des lanières en fer l'en empêchait. La panique lui pris et ils se mis à pleurer.
-Ce sont tes dernières minutes dans le monde des vivants !
-I don't believe Bastard ! (Je ne crois pas bâtard!)
Mathéo venait de crier en entrant violemment dans le pièce. Il avait une arme à feu à la main et il tira.
La première balle dans l'homme,
la deuxième balle dans les outils,
il se pris une première balle venant du militaire qui s'était relevé mais le brun resta debout malgré le sang qui coulait de sa blessure et les cris de Léo.
La troisième balle dans une des machine,
la quatrième balle dans un autre machine,
il se pris une deuxième balle qui le transperça de part en part. Mathéo tombait en arrière en lâchant son arme.
-Mathéo !! Hurla de toutes ses forces le chat en ne regardant que son ami malgré l'agitation dans la salle et ses larmes qui l'empêchait de voir clairement.
Celui-ci sourit.
Des coups de feu et des bruit de courses retentirent dans les couloirs sous l'incompréhension de tout le monde.
Tout à coup, des Hommes-bêtes surgirent dans la pièce. Sur le point de s'évanouir, Mathéo pouvait voir ces personnes passer au-dessus de lui puis se fut le noir pour lui. Ceux-ci étaient plus grand que Léo d'au moins cinquante centimètres et les espèces d'animaux étaient variées.
Les hommes-bêtes tuèrent le militaire et le médecin mais laissèrent les infirmières qui criaient de peur. Ils libérèrent Léo qui avait arrêté de pleurer sous la surprise.
-Savez-le ! Cria le chat à la femme-tigresse qui le libérait.
Un homme-loup dévisagea le plus jeune avant de dévisager le brun et de finir par le prendre dans ses bras et de sortir de la base suivit de tous les siens...

-Nous t'avons enfin retrouvé Léo ! Dit un homme-lion.
Ils se trouvaient dans un vaisseau spatiale assez futuriste et sobre appartenant aux extraterrestres appelé « homme-bête ».
-Je ne comprend pas tout...
-Nous t'avons perdu, toi et d'autres enfants, durant un voyage scolaire visant à étudier les humains. Il y a deux ans et demi ou cinq ans terrestre.
-Enfant ? Demanda incrédule le chat.
-Oui ! Mon petit. Tu es un enfant encore jeune ! Quand on t'a perdu tu avais sept ans et demi sur notre planète.
-Hein ? Attend, j'ai quel âge ?
-Notre espèce peu vivre cent ans sur notre planète ce qui équivaut à deux-cent sur terre car un an équivaut à vingt-quatre mois sur notre belle planète.
-Tu es en train de me dire que j'ai dix ans ?
-Exact !
Léo écarquilla les yeux. Il n'est encore qu'un enfant ? Il avait énormément de mal à s'imaginer une chose pareille.
Une infirmière-lapin rentra dans la salle et dit d'un air rassurant :
-L'humain s'est réveillé. Il est sauvé.
-Reste ici ! Dit sèchement l'homme-lion en sortant de la pièce...

Le brun regardait autour de lui. Il se demandait où il était et se redressa quand il vit un homme-lion rentrer.
-Bonjour humain ! Je m'appelle Harry et je suis un homme-bête. Qui es-tu ?
-Salut... Je m'appelle Mathéo... Dit l'homme sans comprendre ce que voulait ce type.
-Je vais directement au fait : Qui es-tu pour Léo ? Pourquoi nous a-t-il demandé de te sauver ?
-C'est moi qui l'ai trouvé et caché pendant ces cinq années. Répondit-il simplement l'air complètement blasé.
-Dans ce cas, nous te remercions grandement ! Comment te remercier ?
-Racontez-moi en le plus possible sur lui.
Le lion s'exécuta. Et en quelques minutes, Mathéo savait déjà tout sur le passé de son ami.

-Maintenant on doit retourner sur notre planète. Seras-tu te débrouiller seul humain ? Dit l'homme-lion.
-Pas de problème à ce niveau...
-Nous allons appeler Léo afin que vous vous disiez adieu.
-Je ne préfère pas... Dit Mathéo le plus neutre possible.
-Je comprend... Allons-y.
Mathéo ne répondit pas et se leva. Ensuite le lion lui mit un bandeau sur les yeux par sécurité pour ne pas que leur technologie soit copiée par les terriens puis il accompagna Mathéo jusqu'à la sortie.
-Nous somme dehors quelque part dans ce que vous appelez l'Europe. Quand le vaisseau va partir, il y aura un gros coup de vent. À partir de là, comptez jusqu'à vingt avant d'enlever votre bandeau.
-compris.
Les portes se fermèrent et le vaisseau décolla. Mathéo commença à compter.
-1...
-2...
-3... Il commença à rougir.
-4...
-5... Il commença à grimacer...
-6... Il grimaça...
-7... Il soupira...
-8... Une perle salée roula sur sa joue rouge...
-9... Il renifla...
-10... Une deuxième larme coula...
-11... Ses épaules bougeaient...
-12... Les larmes se suivaient...
-13... Elles coulaient abondamment...
-14... Il renifla encore...
-15... Il sanglota...
-16... Il commençait à avoir du mal à parler...
-17... Il poussa un cris rageur.
-18... Il ne se contrôlait plus et pleurait bruyamment.
-19...
-20 ! Mathéo arracha son bandeau qu'il laissa tomber à terre et se frotta les yeux avec sa manche. Il releva ensuite la tête et regarda une trace dans le ciel puis regarda tout autour de lui sans arrêter de pleurer.
Il était dans une plaine avec une forêt non loin. Il n'y avait personne, pas la moindre trace de Léo.
Le brun s'écroula à quatre pattes sur le sol, les genoux en avant, et couvrait ses yeux de sa main droite avec ses nombreuses larmes passant au travers de ses doigts. Il sortis sa seule photo de lui que Paul lui avait rendu et se laissa aller encore plus, toujours dans la même position...

-On va bientôt partir. Annonça la tigresse au chat qui était debout juste devant la porte attendant le retour du lion pour pouvoir aller au côtés de son meilleur ami.
-Quoi ? Partir où ? Demanda celui-ci en se retournant vers la femme.
-Sur Astra ! Notre planète !
-Non ! Je refuse ! Dit il en haussant la voix et en se mettant sur ses gardes.
-Ne soit pas stupide et ne fait pas une crise ! Tes parents t'attendent.
-Je veux pas être séparé de Mathéo ! Cria le garçon encore plus fort.
Le vaisseau trembla et monta dans le ciel. Léo ouvrit grand les yeux et en voyant la terre ferme s'en aller grâce à un hublot, il se mit à courir vers la sortie mais plein d'hommes-bêtes l'attrapèrent et le retinrent.
-Pourquoi ?! Mathéo ! Hurla le chat en fondant en larme...

Fin !


Voilà! pour ceux qui ne l'avait pas encore lu, je souhaite vivement que ce long OS vous à plu! N'hésitez pas à me dire ce qui ne va pas pour que je puisse m'améliorer!
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Hache
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Mer 26 Nov - 11:40
Hache
Bon ben je peux pas m'ameliorer...
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Cékia
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Mer 26 Nov - 13:32
Cékia
si si tu peux ! franchelent j'ai beaucoup aimé l'histoire, le neko tout ça, on en vient à se poser des question. vers laf in je me suis dit que le mec allait partir avec eux mais non... j'ai toujours tendance à m'imaginer des happy end XD
tu as un bon style d'écriture, franchement. je n'ai pas remarqué de fautes terribles. je trouve que sa mérite encore plus d'approfonddisement (ça se dit ?) pour la suite de l'histoire. que devient matéo ? par exemple. ou alors si les deux amis se revoyaient ! mais après c'est un os qui n'a pas forcément de suite. j'ai trouvé cruel de la part de son peuple de le séparer du jeune homme de l'histoire.
j'ai très envie de voir les prochains textes !
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Mer 26 Nov - 13:50
Hache
Merci beaucoup, ton commentaire m'aide et me fait trés plaisir. J'ai tendance à ma plaindre car l'un des rare défaut du site est le manque de commentaire constructif (positif comme négatif) je trouve cela dommage. Je fais beaucoup de fautes d'orthographe et de grammaire mais je relis et corrige plusieurs fois pour les éviter. Sinon, effectivement je prépare une suite mais je ne sais pas si je vais la poster ou même la terminer !
bref! Un grand merci. :coeur: (*tremble* trop d'amour)
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Mer 26 Nov - 13:52
Aliona Tma
Laisse-moi le temps de lire tout et je te donne mon avis ^^ (Enfin, quand j'aurais enfin le temps...)
En tout cas, ça commence super bien !
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Hache
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Lun 1 Déc - 8:12
Hache
Aliona l'endergirl a écrit:
Laisse-moi le temps de lire tout et je te donne mon avis ^^ (Enfin, quand j'aurais enfin le temps...)
En tout cas, ça commence super bien !


Ben j'attends ton avis avec impatience ! cheers
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Sam 6 Déc - 15:53
Aliona Tma
Nooon ! Pourquoi je pleure ?

Je trouve ça génial la façon dont tu nous apprend au fur et à mesure la vie de Léo.
Au début, des descriptions, puis un élément perturbateur : L'arrivée de Paul et le fait qu'il fasse parti de la NASA. Ensuite, il y a la poursuite. Tu profite du fait qu'il y ai un moment de calme pour nous faire un petit flaskback qui nous raconte comment les deux se sont rencontrés. On peux même croire que c'est son rêve, je trouve ça génial ^^.
Après, la course poursuite, il en fallait bien une xD (Bon, OK, c'est la deuxième, et alors ? x)). Bien sur, elle se termine mal !
Ensuite vient la souffrance. Le fait d'employer l'Anglais est une bonne façon de montrer que Léo ne comprend rien (Moi non plus d'ailleurs xD). Et puis Mathéo qui lui laisse un mot, c'est une bonne façon de nous redonner espoir.
On voit bien à quel point Léo tient à Mathéo avec tout ces Flash-Backs. Et puis, le rappel du mot montre qu'il va se passer quelque chose.
Ce que j'aime bien ensuite, c'est le fait qu'on commence à perdre espoir parce qu'il va se faire opérer et dès que c'est la crise, qu'on se dit ''Il ne va jamais arriver'', Mathéo arrive !
Ici, il y a une grande surprise par l'arrivée des hommes-bêtes ce qui répond à une question que je me posais depuis le début : ''En existe-t-il d'autre que Léo ?'' Et bien la réponse est oui ! x)
Mais le fait que Léo ne puisse pas être avec Mathéo rend la HappyEnd moins Happy...

J'espère que tu aimera ce commentaire constructif. (Il n'y a vraiment aucun sous-entendus xD)

Poutous :coeur:
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Localisation : Dans un monde formidable se situant dans mes rêves juste à côté du monde de psychopathe se trouvant dans ma tête.
Sam 6 Déc - 18:07
Hache
C'est ton commentaire qui me fait pleurer tellement je suis heureuse ! Tu as tout compris! TOUT! Tu as décris parfaitement l'ordre des scènes ! Tu as compris la structure , l'amour qu'éprouve Léo envers Mathéo et le fait qu'il pense à lui et à leurs bons moments tout en souffrant. Et pour l'happy end c'est juste que je ne voyais pas comment un happy end était possible. Car laisser Léo sur terre, c'est forcer l'histoire à recommence et emmener Mathéo c'est lui priver de sa vie et ça revient au même qu'enfermer un animal sauvage dans sa maison. ( ça le rendra malheureux et déboussolé ).
Enfin bref! Un énorme merci pour ton commentaire qui prouve que tout le travail que j'ai fait n'est pas passé inaperçue et que j'ai bien travailler et que donc, je peux continuer à travailler dans ce but et avec cette structure.
MERCI !

ps: Je voie aussi que j'ai bien fait de mettre les traductions entre parenthèse XD (j'ai utilisé un peu google traduction pour ne rien cacher)
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