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[Zerano] Pauvre luxure 1/2

Silen
Silen
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Sam 27 Fév - 19:29
Silen
Tout d'abord, j'avais au départ demandé à Cerise de me réécrire tout le texte mais c'était début décembre et comme ça fait un bout de temps, je vous le sors comme ça, sans modif. (Encore désolé Cerise)

Attention ! Ce texte parle de la prostitution masculine et, bien qu'il n'est pas rating M, il y a de petites scènes chaude toussa


Un garçon roux marchait dans les rues, sa chemise blanche presque entièrement ouverte et son pantalon marron retroussé jusqu'au dessus de ses genoux. Souvent, il croisait de jeunes demoiselles aux vêtements extravagants qui abordaient des hommes plus âgé et à l'aspect fortuné. Les yeux ambrés du jeune homme vagabondaient aux fenêtres des maisons. Il était seize heure, l'heure du thé pour les familles aisées. Le petit abordait des femmes, tentant vainement d'aller plus loin. Plusieurs jours passèrent et il n'arrivait point à abordait une demoiselle plus de cinq minutes. Il décida qu'il allait changer de cible. Il dit alors au revoir à sa sœur et lui répéta en ces termes :

« Sœurette, si je ne reviens pas cette après-midi, ne t'inquiète aucunement. Ce sera normal, je travaille aujourd'hui. »

La petite hocha la tête et regarda son grand frère disparaître au milieu des nombreux passants de l'avenue Saint Marc. Le jeune garçon marcha longtemps sans dire mots à quiconque jusqu'à voir un homme grand, brun, aux yeux bleus et aux accoutrements de riches bien qu'assez simple. Il s'approcha de lui, appréhendant leur discussion, et l'aborda.

« Bonjour monsieur. »

L'homme se tourna vers lui. Le plus jeune lui expliqua ce qu'il voulait alors qu'un sourire s'afficha sur le visage de l'aîné. Après les -courtes- explications du garçon, le riche put s'exprimer aisément :

« Et bien, suis-moi. »

Le cadet hocha la tête et suivit le grand homme jusqu'à un hôtel aux bords de la ville. Le plus âgé demanda une chambre et y monta. Il fit rentrer en premier celui qu'il invitait avant de rentrer également. Le petit s'assit sur le lit double qui trônait au milieu de la pièce, tremblant légèrement. Il ne savait à quoi s'attendre. L'homme aux yeux bleus s'approcha de celui aux yeux ambrés en retirant ses gants blancs. Il vint poser son sac et ses parures sur la commode dans l'angle inférieur de la chambre avant de revenir devant le jeune homme. Un sourire ornant toujours ses lèvres, il parla de sa voix grave :

« Tu m'as l'air jeune et inexpérimenté dans ce domaine. Je me trompe ?

-Non, monsieur. »

Le plus vieux paraissait quelque peu étonné.

« C'est ta première fois ?

-Oui, monsieur.

-Et bien je t'indiquerais quoi faire. Tu n'auras qu'à suivre mes ordres.

-O-oui monsieur.

-Lève-toi. »

Le garçon s'exécuta. L'homme prit place sur le lit. Le petit comprit ce qu'il devait faire et s'assit donc sur les genoux de son client pour déboutonner sa chemise. Il le lui retira et fit s'envoler dans la chambre le tissu blanc. Le brun s'allongea et fixa le roux qui se débarrassait également de son haut.

Une fois leurs ébats finis, le plus jeune s'assit sur le bord du lit et se rhabilla. Son aîné l'imita et, une fois habillé, il se leva et alla fouiller dans sa besace. Il en sortit une liasse et la tendit au cadet. Ce dernier la saisit en le remerciant avant de partir de l'hôtel. Il retourna dans la ruelle où restait sa sœur et s'accroupit auprès d'elle.

« Hayden, viens, on va manger. »

Il lui montra les billets alors qu'elle souriait. Tout deux se levèrent précipitamment et, main dans la main, ils coururent en direction d'une taverne. Ils entrèrent dans l'un des nombreux bâtiments de pierre et s'assirent à une table. Ils commandèrent deux ragoûts de mouton et un serveur le leur apporta. Ils se mirent à manger avec faim. Cela faisait longtemps qu'ils n'avaient mangé si délicieux met. Ils discutèrent tout en mastiquant leur nourriture. Ils étaient simplement heureux de pouvoir enfin se remplir le ventre avec quelque chose de consistant. Leur repas fini, le jeune garçon paya et s'en alla avec Hayden. Ils revinrent dans leur petite ruelle et s'assirent l'un contre l'autre. La nuit commençait à tomber et les lampadaires s'allumèrent un par un. Les deux petits êtres enlacés s'endormirent rapidement, loin du tumulte des grands boulevards.

Les rayons du soleil caressaient la peau d'albâtre de la jeune Hayden. Elle ouvrit lentement les paupières et s'étonna de ne point voir son frère. Ce dernier se baladait simplement dans les rues, mieux habillé que les jours derniers. Sa chemise était correctement boutonnée et son pantalon descendait jusqu'à ses chevilles. Il marchait tranquillement dans les rues sans but précis. Plusieurs minutes plus tard, il se retrouva perdu au cœur de la ville. La place était bondée, les gens se pressaient en tout sens. Le jeune garçon ne parvenait pas à comprendre l'objet de cette précipitation, pourtant habituelle. Il n'avait pas l'habitude d'être ainsi bousculé. Il décida de rentrer voir sa sœur qui était sûrement réveillée. Il peina à avancer au milieu de la foule mais parvint à revenir dans la sombre petite rue. Hayden était au sol. Elle regarda le jeune garçon en souriant.

« Hey Hayd', désolé de ne pas t'avoir prévenue. Je suis parti me balader.

-C'est pas grave. Tu vas encore travailler aujourd'hui ?

-Non. Mais demain, oui. »

La petite rousse hocha la tête. Son frère sourit.

« Tu veux aller quelque part aujourd'hui ?

-On... On peut aller au parc ?

-Bien sûr, viens. »

Il tendit la main vers le frêle petit être recroquevillé sur lui-même. La petite fille la prit et se releva avec son aide. Ils se mirent en route vers le fameux parc et, une fois arrivés, ils se mirent à courir en riant. Ils jouaient à chat comme deux enfants de 8 ans alors qu'ils avaient respectivement 12 et 19 ans. Le jeune homme prit sa sœur dans ses bras et la souleva en tournoyant avant de la reposer. Ils s'allongèrent dans la pelouse. Les brins d'herbes chatouillaient leurs pieds nus. Ils parlaient de tout et de rien, se moquaient des gens de la cours et des bourgeois, regardaient, rêveurs, les enfants et leur parents. Ils riaient, chantonnaient. Simplement, ils s'amusaient, insouciant, avant de retourner à leur misérable existence de pauvres et d'orphelins. La nuit tombait à peine alors que les deux jeunes enfants marchaient dans les rues, le même sourire n'ayant pas quitté leurs lèvres depuis le début de l'après midi, jusqu'à leur « domicile ». Ils se couchèrent l'un contre l'autre, comme tout les soirs, et s'endormirent.

Le lendemain matin, le jeune garçon se réveilla en premier et s'extirpa de l'étreinte de sa sœur pour dégourdir ses membres endormis. Il ne voulait pas s'éloigner d'elle alors, il fit simplement les cent pas dans la ruelle. Les paupières de la jeune fille papillonnèrent. Le rouquin lui sourit doucement. Elle s'étira et se se releva avec l'aide du mur de pierre derrière elle.

« Tu as bien dormi Hay' ? Demanda le plus âgé.

-Moui, répondit encore dans la torpeur de l'éveil, sa sœur.

-Je vais travailler, je reviens en milieu d'après-midi environ. Tu fais attention !

-Oui frérot. Vas-y maintenant. »

Hayden soupira et regarda son semblable s'en aller. L'homme partit arpenter les rues. Il se retrouva bien vite à l'autre bout de la ville, dans le quartier riche. Il contemplait les magnifiques et grandes maisons encadrant la rue. Certes, elle ne dépassait pas la beauté des domaines à l'extérieur de la ville mais ces bâtisses suffisaient largement à l'émerveiller. Il marcha dans les rues deux heures encore sans trouver de clients jusqu'à ce qu'il revienne à l'endroit où il avait abordé le premier homme. Il n'y avait que peu de gens mais il espérait -bien que secrètement, il craignait- revoir ce brun fortuné. Il ne l'aperçut point. Au début, en tout cas, car, au sortir d'une boutique de vin, il était là. Il sourit au jeune garçon et lui fit signe d'approcher. Ce dernier s'exécuta et se planta devant le plus vieux.

« Es-tu encore en fonction ? Questionna le plus grand.

-Oui, avoua le rouquin. »

Alors, l'homme aux yeux bleus fit signe au plus petit de le suivre et marcha en direction d'un hôtel. Il était différent du premier qui était rustre. Celui-ci possédait une façade bien plus raffinée. Ils entrèrent dans le bâtiment et le riche demanda une chambre. Ils montèrent un fois qu'ils eurent les clés et, encore une fois, le brun posa ses affaires sur la commode.

« C'est rare qu'un homme revienne vers une de ces putes, prononça le plus jeune.

-Rare mais pas impossible, affirma l'autre. Mmh... Dites-moi... Comme nous serons souvent amené à nous revoir, enfin je l'espère, puis connaître votre nom ? »

Le cadet bloqua un moment, hésitant. Devait-il dévoiler à son client cette information ? Il est vrai que, s'ils se revoient de nouveau dans l'intimité d'une chambre, cela signera certainement une sorte de contrat. Peut-être pourrait-il, au moins, laisser cela au brun.

« Fukano, s'empressa d'énoncer le roux.

-Mmh ?

-Mon nom est Fukano. Et... le v-vôtre ?

-N'aie pas peur, je ne vais pas te manger. Je suis Zerator.

-J-je sais... »

Un rire non pas moqueur mais plutôt nerveux passa les lèvres du dit Zerator. Il s'approcha de Fukano, un sourire malicieux aux lèvres, avant de venir s'allonger dans le lit à baldaquin. Le jeune garçon avança à quatre pattes vers son client et glissa le long de son corps. Il vint déboutonner doucement et un par un les boutons de sa chemise blanche et la fit voler avant de s'occuper de la sienne. Il embrassa la peau de son partenaire -qui reste un client- et frotta son bassin contre le sien. Des soupirs de plaisir et d'excitation s'échappaient de leur bouche à l'unisson. Leurs affaires finies et l'argent empoché, Fukano partit rejoindre sa sœur. Il regarda les billets. Il y en avait beaucoup -Fukano ne sait pas compter mais il y en 6- gratifié du symbole « 5 ». Il sourit et revint à sa maison où sa sœur l'attendait. À peine elle le vit arriver qu'elle se plaignit.

« Frérot... J'ai tellement faim...

-J'ai juste assez pour qu'on puisse aller manger ! »

Hayden sourit et se laissa emporter pour l'enjouement de son ami. Ils se retrouvèrent au même restaurant, commandèrent la même chose et mangèrent de la même manière que la dernière fois. Le ventre rempli, les deux enfants retournèrent au parc s'amuser. Le soir, peu avant que le soleil disparaisse derrière les maisons, ils rentrèrent à la ruelle. Cette fois-ci, ils ne s'endormirent pas. Ils se contentèrent de s'asseoir et observer le ciel. Il y avait peu de nuages, au printemps, ils pouvaient donc aisément observer les astres lointains. Ils n'avaient quasiment pas dormi de la nuit et, au matin, ils se réveillèrent en même temps. Aujourd'hui, Fukano décida de ne pas travailler. Alors, lui et sa sœur partirent encore au parc. Ils y restèrent toute la journée.

Plusieurs jours se passèrent au même rythme. Le jeune garçon alternait les jours de travail avec ceux en compagnie de sa sœur. Ainsi, sans qu'il ne le sache -il n'a pas la notion du temps-, une semaine, le rouquin voyait son -seul- client les lundi, mercredi, vendredi et, la semaine suivante, ils se voyaient les mardi, jeudi et samedi. Deux mois se passèrent ainsi. Zerator et Fukano parlaient peu lorsqu'ils se voyaient. Un jour -un lundi plus particulièrement-, le brun emmena le plus jeune se balader en dehors de la ville. Ce dernier ne posait pas de question et se contentait de le suivre en écoutant son monologue.

« Tu es assez plaisant à regarder et doué dans ton travail, Fukano, alors j'ai une proposition à te faire : tu viens vivre dans ma demeure en tant qu'esclave et moi, je te loge et te nourris. Cela pendant un an. Ou peut-être plus. Tu es d'accord ? »

Le roux avait presque les larmes aux yeux face à cette proposition.

« Ce serait avec grand plaisir, monsieur, mais laissez moi en parler à ma sœur.

-D'accord. »

L'homme aux yeux bleus s'arrêta devant un portail de fer forgé avec, au sommet, une grappe de raisin. Le plus jeune observait les lieux avec une exclamation admirative.

« Voici mon domaine,

-Il est immense !

-Il s'étend jusqu'au sommet des collines à l'est. Il fait six hectares en tout.

-Et qu'y faites-vous ?

-Je suis d'une famille de viticulteurs. Nous récoltons le raisin et en faisons du vin. »

Il se tourna vers le plus petit.

« Bien, maintenant, rentrons à la ville.

-Je vous suis, monsieur. »

Tout deux passèrent les portes de la ville et ils s'arrêtèrent non loin du « domicile » du jeune garçon. Une jeune fille aux cheveux flamboyants, plus rouge que ceux de son frère, courut vers ce dernier.

« Frérot !

-Hay !

-Mmh... Fuka... C'est qui ? »

Elle posa cette question en regardant avec curiosité le grand homme à côté de Fukano. Le plus âgé sourit.

« C'est Zerator. Un... ami.

-Bonjour ! Je suis Hayden ! »

La jeune demoiselle sourit également au plus vieux et présenta sa main. Celui-ci la serra et se tourna vers celui qui l'avait défini comme un ami.

« Je vais me retirer, dit-il.

-Attendez monsieur ! S'exclama le cadet. »

Il discuta avec sa sœur quelques minutes puis regarda le plus grand.

« C'est d'accord, nous devenons vos esclaves, maître. »

Sur ces mots, le rouquin se courba légèrement. Le dit maître rit doucement avant de lui faire signe de se redresser.

« Et bien suivez-moi alors. »

Ils partirent tout les trois au domaine.

Arrivés au domaine de Zerator, ils entrèrent par une petite porte à côté du portail et traversèrent l'allée de gravier. Des buissons encadraient le passage. Plus loin, une fontaine formait un rond point juste devant les escaliers menant à l'entrée de la bâtisse. Ils montèrent les marches et le brun ouvrit la grande porte de pin. Les deux jeunes gens qui l'accompagnaient étaient émerveillés par le hall. De chaque côté de la porte, il y avait deux petites colonnes de marbre sur lesquelles reposaient de pots de fleurs. Le carrelage au sol était de marbres vert, blanc et jaune qui s'harmonisaient parfaitement ensemble. Au fond, il devait y avoir la salle de bal, cachée par des rideaux rouge. Des escaliers montaient à l'étage. Les murs étaient tapissées d'un rouge pastel très doux.

« A droite, indiqua le maître des lieux, il y a la salle à manger et à gauche, les salons sur toute l'aile. Le reste de l'aile gauche sont les cuisines et la salle à manger du personnel. Au fond, comme tu peux le voir, il y a la salle de bal. Je vais vous montrer votre chambre. Suivez-moi à l'étage. »

En prononçant ces derniers mots, le brun marcha jusqu'aux escaliers et gravit les marches, suivi de ses deux esclaves. Les deux escaliers se rejoignaient en un large couloir où des domestiques marchaient d'un pas pressé. Un tapis vert décorait le sol et tombait tel une cascade sur les marches. Le corridor n'était éclairé que par des lustres au plafond et une fenêtre sur le mur du fond. Il y avait de nombreuses portes. Les trois jeunes gens s'engagèrent dans le couloir de droite et s'arrêtèrent devant la dernière porte de gauche.

« Voici votre chambre, expliqua le chef de maison en ouvrant la porte. »

Fukano et Hayden entrèrent. La chambre était simple et petite mais elle convenait parfaitement au frère et à la sœur. Il y avait deux pauvres lits de bois, du parquet au sol et une fenêtre éclairait la petite pièce. Il y avait aussi une commode et deux tables de chevets très simples.

« Fukano, suis-moi, nous n'avons pas fini la visite.

-Et Hayden ? Demanda le jeune, incertain.

-Il serait préférable qu'elle reste se reposer.

-D'accord. Hayden, dit le rouquin en se tournant vers sa petite sœur, je reviens.

-D'accord frérot. »

Zerator se décala pour laisser passer le mince garçon dans l'encadrement de porte puis referma cette dernière. Il marcha jusqu'au croisement du corridor et des couloirs et continua tout droit. Il s'arrêta devant la deuxième à gauche, au dessus du premier salon, et se tourna vers Fukano.

« Derrière cette porte se trouve mes appartements. Tu m'y retrouveras les mêmes jours où nous nous voyons déjà. »

Le garçon hocha la tête.

« La porte d'après est celle de mon bureau. Il est aussi relié à ma chambre. Si je ne suis pas dans cette pièce -il montra la porte de sa chambre-, c'est que je suis dans l'autre.

-D'accord maître.

-Maintenant, tu peux disposer. Ce soir, le repas est à huit heure, tu mangeras avec les domestiques.

-Bien, maître. »

Le roux se courba légèrement et partit à sa chambre alors que le brun rentra dans la sienne. Il enleva son manteau bleu roi, le posa sur son lit et déverrouilla la porte de son bureau. Il y entra et s'assit à sa chaise avant de prendre un parchemin et une plume. Il commença à écrire une sorte de contrat, comme une note, qu'il signa du cachet de la famille Nougaret. Il prit ensuite son courrier et le lut. Une lettre attira son attention. C'était celle d'un marquis qui désirait venir goûter un vin de sa meilleure année lors d'une soirée. Il prit alors une feuille blanc cassé et écrivit une réponse positive à la demande du marquis. Il s'occupa de sa paperasse tout le reste de l'après midi alors que Fukano était resté avec Hayden. À huit heure moins dix, les deux enfants partirent à la salle à manger des domestiques. Ils s'assirent à la table et une cuisinière apporta une marmite. Elle servit chacune des assiettes sur la grande table. Il devait y avoir cinq femmes de chambres et ménagères, trois palefreniers, une dizaine de cuisiniers, et encore une vingtaine de personnes dont Fukano ne parvenait à définir la fonction. Ils mangèrent alors et, une fois qu'ils eurent fini, tous ou presque s'activèrent à la plonge. Quand toutes les assiettes, tous les couverts et tous les verres furent lavés, les deux jeunes gens retournèrent dans leur chambre mais le jeune rouquin fut intercepté par son maître qui lui expliqua la future visite du marquis Aypierre au domaine, pour le jeudi qui arrivait. Il lui expliqua l'enjeu de cette venue et lui expliqua qu'il ne devait se montrer se jour là. Le marquis risquerait de lui poser des questions sur ses fonctions. Le jeune garçon comprenait très bien et promis de rester dans sa chambre avec sa sœur. Il pu ensuite aller dans sa chambre et s'allongea dans son lit. Il expliqua brièvement à sa sœur la situation à la lueur de la simple chandelle sur leur commode. Ensuite, il souffla la flamme et s'endormit.

Le lendemain matin, Fukano se réveilla et se leva. Bien sûr, il ne s'était pas changé. Il n'avait pas d'autres vêtements. Il sortit de sa chambre et alla dans les douches communes des domestiques indiquées par un valet. Il prit rapidement une douche et se rhabilla. Il avait quartier libre aujourd'hui et alla dans les salons du rez-de-chaussée. Il y avait de nombreuses bibliothèques remplies de livres. Malheureusement, le jeune Fukano était illettré. Il s'assit sur l'un des canapés et contempla l'agencement de la pièce pendant plus d'une demi-heure. Il se leva ensuite, pris d'une envie de se balader, et décida de visiter les terres de son maître. Il sortit de la maison et passa devant les écuries. Il marcha sur un chemin de terre pendant une demi-dizaine de minutes jusqu'à arriver aux premières vignes du domaine. Il regardait les étaux qui sevraient à faire pousser correctement le raisin. Il fit un mouvement circulaire de la tête pour contempler tout ce que sa vision lui permettait. Il se remit à marcher dans les allées pendant deux bonnes heures. Il semblait perdu, il ne retrouvait pas le manoir. Il aperçut alors une silhouette familière de balader elle aussi sur le terrain. Il la rejoignit et, lorsque Zerator le vit, il souria.

« Bonjour Fukano. Je vois que tu as eu la même idée que moi, remarqua le brun d'une voix calme et posée.

-Bonjour maître. Oui, mais je ne suis pas sûr de pouvoir rentrer seul, acquiesça le plus jeune. C'est tellement grand ! »

Le propriétaire ria et regarda sa montre.

« Il est bien temps de déjeuner. Rentrons ensemble, déclara l'aîné.

-D'accord. »

Silencieusement, les deux jeunes hommes marchaient d'un pas assez rapide. Ils étaient assez loin de la maison et devaient être rentré à l'heure du repas. Ils passèrent la porte d'entrée et Fukano partit directement à la salle à manger où sa sœur était déjà installée. Il s'assit à côté d'elle et attendit simplement le repas. Zerator, lui, était assis sur une chaise molletonnée et haute devant une immense table. Il se sentait seul lors de ses repas. La grande salle à manger faisait résonner le son du vin que l'on verse. Il termina rapidement son repas et, sans un mot, alla dans son bureau. Il s'y enferma et fixa la pile de papier sur le coin du meuble d'acajou. Il soupira longuement avant de faire sa paperasse. Les deux rouquins aidèrent à la plonge puis allèrent dans leur chambre. Ils discutèrent toute l'après-midi jusqu'à ce que l'heure du dîner sonna. Ils descendirent donc et s'assirent à la table avec les autres domestiques. Tout le monde discutait ensemble lorsque la cuisinière s'écria :

« Le maître n'est pas là ! »

Tout le monde se tût alors. Un valet glissa au roux :

« Le maître ne rate jamais un seul repas. Il est très ponctuel d'habitude. »

Les domestiques se questionnaient. Était-il souffrant ? Ou simplement enfermé dans son bureau à travailler ? Plusieurs théories fusaient. Le jeune homme se leva alors et sortit de la salle. Il monta à l'étage et se dirigea devant la porte du bureau de son maître. Il frappa trois coups timides. L'homme enfermé dans la pièce ne semblait pas avoir entendu alors il frappa plus fort. Il entendit une porte se déverrouiller.

« Entrez. »

Fukano s'exécuta. Il vit son aîné penché sur son bureau, la tête dans les mains et les coudes reposant sur le bois, l'air déboussolé. Il s'approcha doucement et, le voix hésitante, demanda :

« V-vous ne... descendez pas... maître ?

-Non, répondit sèchement Zerator.

-Qu'y a-t-il ? S'inquiéta le jeune garçon.

-Juste une histoire de paperasse.

-Oh... mh... D'accord... Vous voulez-que je vous ramène de la nourriture ?

-Non merci Fukano. Cela ira. »

Le maître des lieux sourit à son cadet pour lui prouver qu'il allait bien. Alors, sans demander plus, ce dernier s'en alla et revint manger. Tout le monde le regardait, attendant des explications. Le garçon prononça simplement :

« Le maître a du travail. »

Puis s'assit à sa place. Il mangea. Les gens présents l'imitaient en silence. Après avoir fini, Fukano et Hayden débarrassèrent leur assiettes et remontèrent une fois de plus dans leur chambre. Hayden voyait que son frère paraissait préoccupé mais elle ne posa pas de question et s'endormit. Son aîné, lui, ne parvint pas à trouver le sommeil. Il se questionnait sur ce qu'était cette 'histoire de paperasse'. Exténué, il finit par sombrer dans les bras de Morphée.

Le soleil caressait faiblement de sa chaleur le visage encore endormi du jeune Fukano. Il se réveilla et se redressa sur son lit, regardant autour de lui. Sa sœur n'était pas là. Soudain, une tornade rouge entra dans la pièce. Elle n'était plus habillée de ses vêtements habituels mais d'une robe à volants marrons avec un buste crème et un tablier blanc. Ses cheveux rouge était moins emmêlés. Elle ressemblait à Cendrillon avant sa merveilleuse transformation. Elle semblait heureuse de ses nouveaux habits. Une servante était appuyée au mur et regardait la petite fille en souriant. Le roux se leva et salua la jeune femme.

« Ces vêtements sont à vous ?

-Ils étaient à ma fille.

-Oh... Merci de les avoir prêtés...

-Donnés, coupa la demoiselle.

-De les avoir donnés, reprit le jeune garçon, à ma petite sœur.

-Ce n'est rien. Elle si mignonne et gentille ! »

Hayden dansait et sautait partout. Fukano et la servante discutait encore. Il apprit alors qu'elle s'appelait Claire, que sa fille était partie et qu'elle était veuve. Il se lia d'amitié avec la jeune brune. Douze coups retentirent. Les trois amis partirent déjeuner. Ils parlaient encore de tout et de rien. Le rouquin eut fini son repas en premier et le débarrassa. Il passa dans la grande salle à manger et remarqua que son maître était une nouvelle fois absent. Il arqua un sourcil. Le propriétaire ne voulait plus se nourrir ? Cela devait être grave. Il monta les escaliers et se rendit à la chambre du brun. Il frappa et entendit un simple « Entre » faible. Il s'exécuta alors et tomba sur Zerator, les yeux cernés, blanc. Il semblait malade. Fukano s'approcha de lui.

« Maître ? Que vous arrive-t-il ? Demanda-t-il, inquiet.

-R-rien, des problèmes fiscaux mais je vais arranger cela.

-Si je peux vous aider en quoi que ce soit, ce sera avec plaisir maître.

-Merci, Fukano. »

Esclave et maître continuèrent leur discussion. Le jeune garçon repartit de la chambre du propriétaire à huit heures, heure du repas, pour lui ramener de la nourriture. Lorsqu'il revint dans la pièce muni d'un plateau, le plus vieux sourit et accepta de dîner avec son esclave dans la chambre. Il n'avait plus la force de contester.

Le jour de la venue du marquis arriva. Toutes les femmes de ménage avaient nettoyé de fond en comble le manoir pour l'occasion et les viticulteurs, avec le propriétaire, avaient choisi leur meilleur cru. Cette visite était cruciale pour la survie du domaine des Nougaret. Zerator accueillit le noble et l'emmena dans la grande salle à manger. Il lui servit un verre de son vin et le regarda vérifier, humer et goûter le liquide bordeaux. Le maquis reposa le verre.

« Un vin merveilleux, sans aucun doute. Puis-je visiter vos installations ?

-Bien sûr, dit le maître des lieux en souriant. Suivez-moi. »

Il sortit du manoir. Aypierre le suivit avec deux valets. Le propriétaire lui montra tout ce qui servait à la création du vin, du pressoir jusqu'au cave. Ils passèrent l'après-midi sur le terrain et, alors que le soleil commencer à disparaître, ils revinrent au manoir. Ils montèrent au bureau du représentant de la maison Nougaret. Zerator s'assit à son bureau et le noble se plaça en face.

« Monsieur Zerator, votre famille est réputée depuis de nombreuses années pour produire l'un des meilleurs vins si ce n'est le meilleur. Aussi, je serais ravi d'avoir à ma table de vos bouteilles lors de la réception que je donnerai la semaine prochaine.

-C'est un honneur, marquis. Combien en voulez-vous ?

-Ce sera une grande réception. Une trentaine. »

Le propriétaire eut une lueur de surprise dans les yeux.

« Bien, tout sera prêt samedi. Cela coûtera trois mille francs.

-Mes valets viendront le chercher. »

Aypierre donna la somme demandée à Zerator et tout deux signèrent un contrat. Il stipulait que le riche viticulteur devait absolument tenir les délais soumis. Les deux hommes se levèrent et se serrèrent la main. Le marquis fut raccompagné jusqu'au pas de sa voiture par le maître du domaine qui rentra dès que la calèche passa les grilles. Il repartit dans son bureau, ravi d'avoir de l'argent pour combler ses dettes bien qu'il n'en ait pas assez. Fukano et Hayden avait passé la journée ensemble. Ils partirent dîner au soir et le garçon fut heureux de voir son maître descendre à sa salle à manger. Le repas se passa tranquillement. Tout le monde partit ensuite se coucher.

Deux mois plus tard, Zerator organisa un bal masqué. La salle de bal était pleine. Beaucoup dansait sur la piste, d'autre discutait sur les canapés ou encore à côté des buffets. Fukano, lui, se baladait dans les couloirs. Il croisa avec grand étonnement son maître qui montait les marches jusqu'au corridor. Ce dernier le salua :

« Bonjour Fukano.

-Maître ? Mais... et votre réception ?

-Un baron doit savoir garder son image. Je n'aime pas les bals, les invités ne verront même pas mon absence.

-Ba... Baron ? »

Le rouquin était confus. Son maître était un baron ? Le brun ria.

« Oui. Cela fait longtemps que ma famille a été anoblie. Mais ces mondanités m'ennuient grandement. »

Il approcha sa bouche de l'oreille du jeune garçon.

« J'apprécie bien mieux d'autres choses. »

Le plus jeune compris très bien que son propriétaire requérait de ses services. Il se laissa emmener jusqu'à la chambre du baron et regarda celui-ci verrouiller la porte et s'asseoir sur le lit. Zerator ne lâchait pas son masque. Le jeune homme le détailla. Il était gris et bordé de noir avec quelques gracieux arabesques argentés. Le maître des lieux fit signe à son cadet d'avancer. Celui-ci obéit et se planta devant lui.Le plus vieux le fit alors basculer sur le matelas et vint au dessus de lui. Il ouvrit sa chemise sans l'enlever et retira son propre manteau. Le jeune garçon déboutonna à son tour le haut de son maître et lui retira. Les deux hommes se plaquèrent l'un à l'autre et firent l'amour presque toute la soirée. Aux alentours de vingt-trois heures, le jeune Fukano quitta la chambre de Zerator et retourna dans la sienne. Hayden n'était pas là car elle était sortie se balader avec Claire. Il s'allongea sur son lit en gémissant faiblement, il sentait une douleur au bas de son dos. Le baron retourna à la salle de bal et discuta avec les personnes présentes. Le roux ne parvenait pas à s'endormir à cause de son mal de dos. Il sourit à sa petite sœur lorsqu'elle rentra dans la pièce, ravie, et sauta sur son lit.

« Alors, cette balade avec Claire ? Questionna-t-il.

-C'était génial ! S'exclama Hayden. Il n'y avait pas de nuage dans le ciel, on voyait pleiiin d'étoiles !! Claire m'a dit que les étoiles étaient les personnes mortes ! Tu penses qu'il y a papa et maman ?

-Oui. J'en suis certain, sourit le plus vieux. Allez, va te coucher, il est tard. »

Le jeune garçon embrassa le front de sa sœur et borda celle-ci dans son lit. Il retourna s'allonger dans le sien et souffla la seule bougie qui éclairait la chambre. Le petite fille s'endormit très vite contrairement à son frère qui ressentait toujours une vive douleur, comme s'il était déchiré en deux. Il se réveilla le lendemain. Sa douleur dorsale n'avait pas disparue mais était amoindrie.

Plus tard ce fut son anniversaire et celui de sa sœur -oui, le même jour-. Il eut alors vingt ans et Hayden treize. C'était l'un de ses jours de travail. Il frappa à la porte de son maître qui lui dit de rentrer.

« M-maître, bégaya le roux, je...

-Qu'y a-t-il ?

-Je ne travaillerai pas aujourd'hui, murmura-t-il en baissant les yeux.

-Et pourquoi donc ? »

Le brun arqua un sourcil en prononçant ces mots.

« Aujourd'hui c'est mon anniversaire.

-Oh, je ne savais pas. »

Le propriétaire s'approcha de son esclave et releva son visage.

« Joyeux anniversaire, tu as quel âge ? Sourit-il.

-V-vingt ans. »

Le plus jeune paraissait déstabilisé par les iris aciers qui le fixaient.

« Je pense que tu souhaite le fêter avec ta sœur, Hayden, supposa l'aîné. »

Fukano hocha la tête.

« Va alors, et encore joyeux anniversaire.

-M-merci. »

Le jeune homme se retourna et partit de la chambre avant de rejoindre la sienne. La fille aux cheveux rouge-orangé lui sourit et sauta dans ses bras.

« Bon anniversaire ma belle ! S'exclama son grand frère.

-Bon anniversaire Fuka ! Lui répondit avec toute sa gaieté propre la jeune fille.

-On va se balader ? Proposa le plus grand.

-Ouii ! »

Hayden courut jusqu'au hall d'entrée et le roux la rejoignit en courant aussi. Ils sortirent main dans la main et partirent jouer dans le vignoble. Ils y restèrent la journée entière. Lorsque le soleil descendit derrière la colline, les deux enfants y coururent et s'assirent dans l'herbe pour l'observer. Des couleurs surprenantes vagabondaient dans le ciel. Les pieds de raisins se détachaient du disque orange. Dans un ultime éclat, la lueur du jour éclaira les corps enlacés du frère et de la sœur et disparut. Souriant, les rouquins se relevèrent et retournèrent au manoir pour dîner et dormir.
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p'titKiWi
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Sam 27 Fév - 21:02
p'titKiWi
Ah mais, mais non ! Elle est où la suite, hein, ELLE EST OU ?! /PAF/
...je me calme.
Quelques fautes mais qui ne m'ont pas vraiment gêné (la preuve je les ai oublié xD)
Et, ben, tu le sais déjà, mais j'adore ton style d'écriture ! :DD
Hâte de voir la suite et fin !
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Silen
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Sam 27 Fév - 22:04
Silen
La suite est en cours d'écriture :33 Merci en tout cas !
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Vivy
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Vivy
NEED LA SUITE GNEUUUU
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Sam 27 Fév - 22:43
ZiaSky
AAAAAAAAH LA SUITE ! JE VEUX JE VEUX *caprice* !!

Ok on se calme, la suite elle est bientôt. Cal-me.
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Nyal27
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Dim 28 Fév - 10:39
Nyal27
Aaaaaah, ça fait plaisir de voir comment tu t'es améliorée ! :3
Je me rappelle encore de ton premier texte posté ici qui était bourré de fautes et de contradictions, rien à voir avec ce que je viens de lire !

Alors oui, y'a encore quelques touuuuuut petits soucis de temps, comme là :
Silen a écrit:
Ainsi, sans qu'il ne le sache -il n'a pas la notion du temps-, une semaine, le rouquin voyait [...]
Il y a un souci de temps, tu ne peux pas mettre une remarque au présent dans une phrase à l'imparfait =) Donc par exemple, il aurait fallu écrire "il n'avait pas la notion du temps" au lieu de "Il n'a pas la notion du temps". Voilà une petite faute corrigée, pas très grave mais qui peut gêner dans la lecture ;D

Donc oui, ton texte est très bien écrit, c'est agréable à lire et l'histoire est plutôt bien menée.
Par contre, si j'avais une toute petite remarque à faire, c'est que le principe d'un One-Shot, c'est d'être posté d'une traite, or, ça fait plusieurs textes que je te vois poster en plusieurs morceaux. Bon, ici ça peut aller parce que la longueur est assez conséquente, mais dans une autre histoire comme le dernier Brigrim que tu as écrit, si tu le découpe en quatre toutes petites parties, certes ça excitera l'attente des lecteurs mais ça brise un peu le côté OS. (Autant en faire une fanfic, à ce rythme là !)

Voilà, ça reste quand même une excellente trame et j'ai très envie de lire la suite/fin ! :3
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Silen
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Dim 28 Fév - 11:52
Silen
Merci à tous !

Nyal, désolé pour la faute de temps xD J'avais pas vu Mad
Si je l'ai posté en plusieurs fois, tu pourras regarder sur mon wattpad, c'est parce qu'il y avait des images (que j'ai simplement oublié de rajouter mais je vais le faire) et c'est d'ailleurs de ces images que m'est venu l'idée d'écrire ce brigrim !

En tout cas, encore merci à tous !
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Floraly
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Dim 28 Fév - 12:19
Floraly
Heeeeeeey !
Ça faisait longtemps que j'avais pas relu de Zerano, c'est cool que t'en aies fait un ~
Après, il y a quelque chose qui me gêne dans le scénario et ça fait depuis ce matin que je cherche quoi sans trouver.
En soit, j'aime bien ton histoire, elle est bien construite, mais je crois que c'est juste le début qui me pose problème. Ce moment-là :
Mlle Silen a écrit:
L'homme se tourna vers lui. Le plus jeune lui expliqua ce qu'il voulait alors qu'un sourire s'afficha sur le visage de l'aîné.
En gros, Fukano va vers Zera et lui dit... Lui dit... Merde, qu'est-ce qu'il lui dit ? 'Fin, je veux dire, comment est-ce qu'il aurait pu savoir que Zera accepterait et ne le dénoncerait pas à la justice ou je sais pas quoi pour lui avoir fait une telle proposition ?
Au Moyen-Âge, qui m'a l'air d'être la période durant laquelle se déroule l'histoire, l'homosexualité était un sujet tabou, c'était très mal vu et on pouvait perdre énormément en se déclarant gay. Comment est-ce qu'un gosse des rues irait demander à un autre homme fortuné s'il veut de ses services et quelle est la probabilité que l'homme accepte ?
Je ne sais pas si tu vois ce que je veux dire, mais ça m'a un peu choqué et je crois que du coup, comme c'est la première rencontre des personnages, j'ai un peu buggé sur la suite.

MAIS quoiqu'il en soit, j'ai beaucoup aimé l'histoire que tu as créé. Fukano est attachant et sa petite sœur aussi. ZeratoR est pas mal mystérieux et je me demande si Aypierre va avoir un autre rôle à jouer dans la deuxième partie.
C'était vraiment agréable à lire et intrigant !
Après, je suis d'accord avec Nyal concernant les One shot. Tu les postes très souvent en plusieurs parties et c'est assez frustrant pour moi, petite lectrice qui adore pouvoir tout lire d'une traite. Je préfère me mettre une seule fois dans l'ambiance d'un texte que de lire la partie une, attendre, et ensuite lire la seconde partie sans réussir à retrouver l'ambiance qu'on a eue en lisant la partie une pour la première fois ! Après, tu fais comme tu veux, c'est juste mon ressenti de pauvre petite lectrice.

Bref, super texte, j'attends la suite avec impatience ! Very Happy
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Silen
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Dim 28 Fév - 12:58
Silen
Merci beaucoup Flo,

En effet, l'homosexualité était mal vu dans notre Moyen-Âge mais pas forcément dans le leur si tu vois ce que je veux dire. M'enfin c'est en réalité une facilité scénaristique.

Aypierre n'aura pas d'autres rôles que premier client de Zera. C'est dit. Pour pas que tu te fasses de faux espoirs xD Après, peut être que sa descendance oui > > M'enfin rien n'est décidé.

Je l'ai déjà dit, le four shots c'est une histoire de photos qui PUTAINS DE MERDE ME FONT SERIEUSEMENT CHIER CES CONNASSES QUE J'ARRIVE PAS A METTRE !! Hum... pardon... *maléfuck à l'écran*
Vouala vouala
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As de coeur
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Dim 28 Fév - 22:04
As de coeur
Oh qu'il est choupinou le petit Fuka, oh qu'elle est chou sa petite sœur !
Non en vrai si tu arrêtais l'OS ici ça gênerait pas, ce serait du yaoi quand même (pas dégoulinant comme je l'aime mais un yaoi quand même), j'aime bien l'histoire qui change de l'histoire d'amour traditionnelle (clin d'œil à moi même) donc j'attends de voir la suite Smile
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Silen
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Lun 29 Fév - 14:51
Silen
Elle arrivera, je fais la promesse de l'écrire (elle est déjà commencée)
En tout cas merci :3
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