Le Sang des Phoenix - Prologue

Bien le bonjour à vous chers lecteurs !

C'est la première fois que je rends public le début de mon histoire, je serais ravie de pouvoir avoir vos retours !
Je vais commencer par poster le prologue et voir comment il est accueilli pour poster la suite, puis ce sera au fur et à mesure des écritures et réécritures de chapitres.

Bonne lecture !

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Alors que le monde s'effondre autour de moi, je ne peux m'empêcher de rire ! Un rire fou, malsain, ivre de ma propre puissance ! L'odeur de la destruction, de la peur et du sang m'enivre comme une drogue : chaque explosion, chaque cri de douleur, chaque lueur de désespoir dans les yeux de mes victimes sonnent pour moi comme une magnifique symphonie chaotique, me poussant à en vouloir toujours plus !
Un missile rugit, fendant l'air en direction de mon visage. Avec un simple battement de cils, je le renvoie vers son misérable lanceur. Il n'y a pas de plus grande satisfaction que de voir le chasseur devenir ma proie.
Les mécas, ces géants de fer, m'encerclent, pointant sur moi leur arsenal mortel. Leurs carapaces métalliques brillant sous le soleil ne sont en réalité que des coquilles vides. Ils croient peut-être m'impressionner, mais à mes yeux, ils ne sont que des pantins prêts à être manipulés. Et plus ils sont nombreux, plus je peux m'amuser à libérer toute ma puissance.
Je sens la ville sous mes pieds. Elle m'appartient. Chaque bâtiment, chaque rue, chaque passerelle est à ma merci. À chacun de mes gestes, de mes mouvements ou même de mes simples pensées, c'est une nouvelle portion de la ville qui s'effondre. Ah ! Quelle époque merveilleuse nous vivons, où chaque mur est fortifié de métal ! Une méthode parfaite pour résister aux tremblements de terre et pour me permettre de contrôler chaque centimètre de ces bâtiments.
Le bruit des machines s'approchant est pour moi comme une douce mélodie. Chaque robot, drone ou automate qui s'avance vers moi est un cadeau, une nouvelle note dans ma composition de désolation. Les détruire est aussi facile pour moi que de déchirer du papier.
Mon rire redouble d'intensité, frôlant la démence, alors que je vois des mères cacher leurs enfants, que je vois des hommes pleurer, que je vois la terreur dans les yeux de ceux qui croisent mon regard. Les larmes, les tremblements, les souffles coupés alimentent mon extase. La puissance, le contrôle, la dévastation... Ah, quelle jouissance inégalée !

Mais elle est arrivée.
Avec ses robots, ses pièges et son arrogance. Une marée de mécas s'est écrasée sur moi comme une tempête d'acier. Bien sûr, je les ai anéantis sans problème, les faisant éclater en feux d'artifice de métal fondu. Mais à cause de cette distraction, je n'ai pas pu anticiper sa ruse. Des chaînes se sont abattues sur moi, me clouant au sol. Un métal inconnu, étranger, résistant ma domination. Ils m'ont enchainé comme un vulgaire animal, réduisant mon immense puissance à néant.
Elle s'est approchée de moi avec son sourire triomphant que je rêvais de déchirer de son visage. Elle pensait m'avoir dompté, m'avoir mis à genoux devant elle, mais au fond de moi, un rire silencieux commençait à naître. Je le savais : aucune chaîne, aucune cage ne pourrait me contenir éternellement. Un jour viendra où je serai à nouveau libre et ce jour-là…

Je l'anéantirai !

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Hâte de vous lire !

On a donc un prologue intéressant. On est plongé en pleine action, en plein moment de destruction du point de vue du méchant.
Sa tuerie est stoppée net par un personne non nommé, mais en même temps, le seul ayant une importance pour ce narrateur.

Les descriptions sont bonnes, mais je trouve que ce prologue manque de détail surtout dans l'arrestation du narrateur qui est trop légère, je trouve. J'ai eu un peu de mal à comprendre ce qu'il se passe.

(Oui, je suis passé par hasard - par accident même - sur le site de TCS et j'ai vu ce message. Tu l'aura remarqué, plus personne ne vient jamais ici et ne publie plus rien ici. Ceux qui écrivent encore sont passé sur Wattpad.
Avant, on se lisait les uns les autres et beaucoup avaient un peu de visibilité. Il est difficile d'avoir encore de la visibilité. Moi, en tout cas, j'en ai aucune.
Si c'est ce que tu souhaite, j'espère que tu trouveras ton public.)