PDV Funina
Une fois en bas, on éclaira la zone et on tua un ou deux zombie qui était apparus. On allait commencer à explorer quand une voix nous interpella.
-Bien le bonjour…
En se tournant vers la provenance du son, je vis un homme portant une pierre autour du cou. Derrière lui se trouvaient des zombies et des Wither Skelettes. Je reculais vers Frigiel et Zelvac. On était mal. Si on voulait sortir d’ici vivant, il fallait qu’on ne se fasse pas toucher par les Skellettes, qu’on arrache la pierre à l’homme et qu’on le tue. Ce dernier leva la main et les monstres fondirent d’un même mouvement sur nous.
PDV Valentine
Je n’arrivais pas à ouvrir les yeux, mais je sentais les liens m’entaillant les poignés et les chevilles. Quelqu’un, ou quelque chose, me portait. J’entendis la voix de Fuka non loin. Il devait être dans le même état que moi, car il semblait en colère.
-Lâchez-moi où vous allez le regretter !
La personne qui me portait rigola, tout comme celle qui le portait.
-Comment tu conte faire ? Tu es attaché, idiot !
Fuka se tut. Je ne disais rien car l’homme qui me portait pensait sans doute que j’étais encore assommée.
PDV Luni
Je me réveillais avec un horrible mal de crâne. J’ouvrais les yeux; j’étais dans une sorte de prison. Je ne pouvais voir les cellules d’à côté, car les barreaux étaient couverts d’un métal qui semblait à l’épreuve des chocs. J’avais les poings et les pieds liés. Je vis un homme entrer par la porte à barreau. C’était celui de la salle.
-L’assassin noir, je présume ?
Il rigola. Il employa la voix que je détestais.
-Tu présume bien. Alors, ça va, je vous ai bien accueilli ?
-Bien, mis à par l’affreux mal de crâne que m’a procurer votre « chaleureux » accueil.
Je détestais cet homme. Plus que Siphano, c’était pour dire. Heureusement que j’étais attachée, sinon il ce serait prit un aller-retour dans son visage, même si je ne le voyais pas.
-Vous nous voulez quoi ?!
-Vous ? Juste vous éliminer pour prendre contrôle du royaume.
Il s’approcha de moi et me caressa le menton.
-J’avoue que si tu aurais été dans mon camp, je t’aurais pris comme subordonnée et même comme ma petite amie. Tu es jolie et intelligente.
Je baissai mon visage et mordit férocement son dos. Il recula en se tenant le doigt. Je l’avais mordu jusqu’au sang, car j’en avais le goût dans la bouche.
-Tant pis pour toi ! Vous êtes perdus, de toutes façons ! J’aurais bientôt capturé tous tes petits amis ridicules !
-Essayez pour voir !
-Tu l’ouvriras moins que je les aurais capturés et tués.
Sur ces paroles, il sortir de ma cellule d’un pas vif. Il en avait, du culot !
PDV Funina
Zelvac n’arrêtait pas de crier. Il n’avait presque pas tué de monstre et restait sans arrêt près de Frigiel pour qu’il le protège. On avait déjà du mal à garder le dessus, et voilà qu’on devait le protéger aussi ! Je sentis une flèche se planter dans mon poignet, et je lâchais un de mes sabres sous l’effet de la douleur et de la surprise. Je voulus le reprendre mais un zombie fut plus rapide. J’esquivais ses coups et lui tranchais la tête, puis récupéra le sabre. Je commençais à être essoufflée, et je vis du coin de l’œil Frigiel qui commençait à perdre le dessus. On allait perdre, ce n’était pas bon du tout. Puis, d’un coup, tous les monstres qui m’affrontaient se dirigèrent vers les garçons. Je voulus les rejoindre, mais une main m’attrapa fermement. Je me défis de l’étreinte et regarda froidement l’homme à la pierre qui m’avait retenu.
-J’en ai marre d’attendre. Je vais laisser mes monstres capturer tes amis et je vais m’occuper de toi personnellement.
-Dans tes rêves !
Je visais sa pierre et l’attaquais. Il était rapide et esquivait mes coups. Je vis une chose briller dans sa main, mais je réagis trop tard, le poignard était déjà enfoncé dans ma jambe. Je criais de douleur. Il retira le poignard d’un coup sec, qui m’arracha un nouvel hurlement. Ma vue se brouillait de larme provoquées par la douleur lorsque je me relevais pour faire face à mon ennemis.
-On est téméraire, mais ça ne suffira pas.
Ralentit par ma blessure, je ne pus esquiver son coup de poings dans le ventre et tombais à terre. J’avais tellement mal…Puis, ma vision fut envahie de points noirs, et je finis par ne plus rien voir, et à sombrer dans les ténébres.
PDV Asallé
Ils étaient dans les souterrains depuis plus de trois heures, et il devait être un peu près minuit. Mais je ne me souciais pas de mes amis, même si c’était égoïste, mais je ne pouvais pas s’empêcher de regarder Siphano, et, quand je le faisais, j'oubliais tout ce qui m’entourait. Je ne faisais qu'à peine attention à Léo qui discutait avec lui. Siph' était assit et regardait les étoiles, tout en discutant, n’ayant visiblement pas remarqué que je le regardais. C’est pour ça, que quand il fut frappé et qu’il s’évanouit, je ne percutais ce qu’il ce passait que deux secondes trop tard, car on m’avait frappé de la même façon que lui et je ne vis en
tombant que Léo qui s’évanouissait avant de me cogner la tête contre le sol et de ne plus rien voir.
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Voilà le chapitre 8!