Chapitre 19: Fête et incompréhension.
La grande place de la cité fut théâtre d'une énorme fête. Atlante et les autres partagé leurs culture musical, surtout grâce à Zerator avait pu sauver la plupart de son matos. Azenet riait aussi, s'amusant, sous le regard bienveillant du prince. Prince qui perdit son sourire. Il était en proie d'un terrible dilemme... Devrait-il les laisser rester, ou alors tous les renvoyer à leur monde... Même son ange. Il sorti de ses pensées en sentant Azenet lui attraper le poignet, l'invitant à rejoindre la fête. Le prince le laissa faire, dansant avec lui, s'amusant avec ses meilleurs amis. Il avait prit sa décision. Il passa cette dernière soirée avec son ange, se faisant le plus de souvenirs possible avec lui, avant de lui dire adieu.
Le lendemain, l'incompréhension se lisait sur le visage du linguistique. Il regarda le prince, assis sur le trône.
- P... Pardon...?
- Vous avez très bien compris. On vous donne un navire et une preuve de notre existence, mais vous devez partir... Vous n'appartenez pas à notre monde.
- Mais !
- Ma décision est irrévocable. Vous avez une heure pour rassembler vos affaires.
Pierre fit de son mieux pour ne pas céder face aux larmes qui emplissaient les yeux de son ange. Mais il n'avait pas le choix s'il voulait le sauver de la menace qui planait toujours sur lui. Bill semblait remarquer la résignation du roi, et tira le linguistique hors de la salle du trône. Il l'obligea a faire ses affaires, gardant le silence. L'heure passa rapidement et le futur roi leurs dit une dernière fois au revoir, leurs donnant à chacun un cristal. Il laissa celui de son père a Azenet. Lorsqu'ils furent partie, Aypierre fit condamné l'accès à la cité, laissant enfin les larmes couler le long de ses joues pâle. Bboy le rejoint et passa un bras autour des épaules du prince.
- Tu n'étais pas obligé...
- Il le fallait... Mon père l'avait compris... Voilà pourquoi il tuait les intrus... Pour ne pas un jour voir la cité être détruite... Par la cupidité des hommes de la surface.
Pendant ce temps, dans le vaisseaux, Bill lutait pour entrer dans la cabine du linguistique. Ce dernier s'était directement enfermer, pleurant à chaude larmes, essayant de comprendre pourquoi le prince avait autant changer d'attitude. Avait-il fait quelque chose de mal ? Est-ce que le prince le tenait responsable de la mort du roi ? ... Le détestait-il a ce point ? Il cria de chagrin dans son oreiller. Il avait mal, terriblement mal. Il hurla à Bill de le laisser, qu'il ne voulait voir personne. Il soupira en entendant le médecin abandonner. Après sa crise de larmes passer, le jeune homme regarda d'un air absent son cristal, le regard vague.
- Comment pourrais-je vivre sans toi... ?