During their morning ritual(s) | OS n°16

Je m'éveillais en baillant. Je ne voulais pas me réveiller, je rêvais de choses avec mon Zerator. Je m’empourprais et me blottissais un peu plus à son torse. Il semblait le sentir et me serrait dans ses bras. Je ronronnais un peu et je l'entendais rire en me caressant les cheveux. C'était comme ça tous les matins. On se câlinait un peu. Je relevais ma tête et Zera m'embrassait sur le coin des lèvres. Je rougissais et l'embrassait directement sur les lèvres. Il répondait à cet acte d'amour, approfondissant le baiser. Je fermais les yeux, profitant de ce contact. On se séparait à bout de souffle, nous regardant dans les yeux amoureusement. Je me levais, et il me regardait avec incompréhension. Je lui soufflais à l'oreille que je revenais.

Je me dirigeais vers la cuisine pour préparer le petit déjeuner. Oui, c'était guimauve (Sol coucou) mais c'était trop mignon ! Je préparais deux bols de céréales ainsi que des verres de jus d'oranges. Je les mettais sur un plateau avant de le prendre et de le ramener dans le chambre. En me voyant revenir, Zerator me souriait tendrement. Je rougissais avant de lui dire de se taire. Il s'était mis à rire, l'idiot ! Je me rallongeais à côté de lui, posant le plateau sur nos jambes. Nous mangeons alors calmement, profitant de l'instant. Il prenait une céréale pour la placer entrer ses dents avant de me regarder dans les yeux. Qu-qu'est-ce qu'il voulait faire ? Il s'approchait de moi et je rougissais furieusement. Je fus obligé de croquer la céréale, collant nos lèvres ensemble. Le baiser finit, il me souriait et je baissais la tête.

Je ramenais le plateau à la cuisine et je ne vis pas qu'il s'était levé. Zera me prenait par les hanches pour me coller à lui.

« C'est l'heure de la douche, mon Fukano.. me susurrait-il. »

Je rougissais et l'accompagnais dans la douche, rougissant toujours. Je rougissais trop, bien trop. Mais il me rendait toute chose à chaque fois... Nous sortions de la douche, nous rhabillant. Il m'embrassait encore une fois et retournait dans la chambre, certainement pour jouer à son ordinateur. C'était notre matin à nous.