Et si la CHM s'était passée autrement ?

Chapitre 11, jour 14, partie 2, sous partie 1 : Dich, Mich... und Ihn ?

oui, SOUS PARTIE... On est repartie pour la longueur...

                      Il ne sentait pas la douleur à son poignet. Il oubliait la fièvre naissante et s'il serrait inconsciemment son bras blessé contre lui, aucune de ses pensées ne l'avait remarqué. Était ce réellement l'émotion qui le faisait trembler ? Son cœur qui sursautait, ses yeux brillant et les bouffées de chaleur qui lui montait à la tête alors qu'il avait froid. Était ce réellement l'émotion qui en été la cause ?
                      Ses yeux dévoraient les pages, qu'il tournait rapidement. Le texte semblait voler dans son esprit et bientôt il fut à la fin. Quand Frigiel arriva au bas du paragraphe et il ressentit une nette impression de vide, comme le manque que l'on éprouve lors qu'après avoir longtemps désiré quelque chose, on nous le soutirait subitement. Tout du long, la vérité s’éclaircit dans les nuées de son ignorance et alors qu'il se croyait sur le point de l'atteindre, alors qu'il sentait les mots là lui apporté, tout s'était refermé. La lumière s'était éteinte, la vérité avait filé entre ses mains prêtes à la saisir, et une grande vague d'encre avait noyé les mots qui lui manquaient pour enfin arriver au message qu'avait voulu faire passer Bill. Il était retombé dans l'ombre de ses questions. Il n'avait pas réussi à savoir. Et pourtant, Elle était là. Si proche. Si proche. Il reprit les carnets de Bill au début et les relut dans leur ensemble, mais il n'en fut que plus troublé. Ce n'était pas possible. Il sentait encore la présence de cette chose lui échappant. Mais quelle était cette confusion qui s'y ajoutait et l’empêchait de la saisir. il s'y ajoutait maintenant une sorte de confusion. Quelque chose dans l'ensemble des carnets le gênait et plus il le regardait plus ce sentiment grandissait. Et pourtant tous lui avait paru si simple à la première lecture. Qu'elle était l'origine de ce nuage qui s'était mis entre la vérité et lui ? D'où venait le sentiment qu'il perdit ainsi ce qu'il avait été sur le point de comprendre ? 
                      Du doigt, il effleura les mots d'encre fondée. Il les caressait doucement comme si ce contact pouvait lui permettre d’accéder au trésor qu'ils cachaient. La plume de Bill avait un peu gratté la fibre, créant un petit volume qu'il sentait sous ses doigts. Ils n'y avait plus d'intermédiaire. Il effleurait les mots, il ne pouvait pas les comprendre, juste les sentir... Quand l'on a été habituer à lire l'étiquette au lieu de voir la chose, peut on réellement finir par la connaître ? Il nous semble souvent, dans une langue étrangère, entendre des mots que croyons reconnaître. Mais chacun sais que son cerveau, entraîné à reconnaître des sons particuliers, les cherche sans cesse là où il n'y a pas lieu de les trouver et souvent, il lui arrive de déformer ce que nous percevons de la réalité pour la faire mieux convenir à ce qu'il aimerait qu'elle soit. Ainsi donc ce n'est pas la perception qui nous a trompé, mais nous même et à notre insu. Du moment qu'il y a à comprendre. Le cerveau cherche à comprendre et à trouver : que ce soit même au prix de la vérité. Quand Frigiel liait, inconsciemment, ce n'était pas le message contenue dans le texte qu'il cherchait, mais ce qu'on lui avait dit de ce message. Alors il tentait de rapprocher cette idée de celle du texte et en perdait la vérité pour n'avoir pas su l'écouter. L'interprétation inculquée à son esprit l'avait rendu sourd au langage des mots.
                      Par combien d'intermédiaires cette interprétation était elle passée ! Potaro lui avait raconté ce que Siphano lui avait dit de l'explication que Croustinette lui avait faite des conclusions tirées par Aypierre du texte de Bill. Après tous ces tours de passe-passe comment la vérité, si fragile, avait elle pu survivre ? A chaque passeur, la corruption de l'erreur avait pu ternir le raisonnement et fausser la connaissance qui lui été arrivé. A un moment la vérité avait été perdu. S'effritant d'un individu à un autre, elle avait fini par se casser et seul ses morceaux souillé d'erreur avaient été transmit. Potaro n'avait jamais cru aux morceaux qu'elle avait obtenu. Ils étaient déjà sale quand ils étaient arrivés jusqu'à elle. L'espoir fait vivre. L’espoir est l'ami de l'illusion. Siphano avait préféré vivre dans le mensonge que d'imaginer la possibilité de la mort de Zelvac. Siphano avait préféré déformer la vérité plus tot que de devoir constater en face qu'il n'y avait plus de raison de vivre.
                      A moins... A moins que la réflexion ai été impure dans son fondement même. A moins que l'erreur ai été là depuis le début. Et si Aypierre s'était trompé ? Il n'y avait aucune raison qu'il détienne la vérité plus qu'un autre. Il avait obtenu un résultat plus que satisfaisant, brillant de logique. Certes. Mais le fait qu'il soit logique ne voulait pas dire qu'il soit vrai. Et puis qu'il était possiblement faux, construire une réflexion reviendrait à bâtir un château sur de sable. Aussi solide puisse être le raisonnement employé, aussi performant pouvait être les maçons, rien ne tiendrait si le support se dérobait sous la construction que celle ci soit de pierre ou de raison.
                      Il fallait une base scène pour trouver, et la vision d'Aypierre ne l'était pas. Frigiel devait se séparer de cette vision du texte, pour peut être, plus tard, y revenir, mais pour l'instant il devait à atteindre les carnets de façon naïve, comme ignorant le travail fait avant lui et tenter de lui même d'en voir le sens. C'était en retournant au texte même qu'il en percerait les mystères. C'était l’innocence de sa pensée qui le mènerait à la vérité. Son raisonnement avait la fraîcheur d'une pensée neuve, encore jeune dans l'esprit de celui qui l'avait fait naître. La pensée d'Aypierre avait été souillé du ressassement sans fin qui en avait été fait. Il avait la pureté d'esprit de ne pas avoir été influencé.

                      Frigiel fit craquer la reliure et étala les feuilles autour de lui. Premièrement détruire ce qui le forçait à penser autrement que par lui même. Les carnets avait été détruits et Aypierre avait mit les feuilles dans l'ordre qui convenait à la logique de ses idées. Cet ordre étaient donc purement subjectif. Il fallait que Frigiel dépasse cette subjectivité. Sans reliure, les carnets ne furent bientôt qu'un tas de feuilles éparts. C'était à son tour de reformer le sens.
                      Comme un archéologue tentant de reconstruire un vase antique réduit en morceau, Frigiel tentait de recoller chacune des pièces de son énigme. Il regardait une à une les feuilles et cherchait des indices. Il observait la typographie pouvant lui indiquer un titre ou un début de paragraphe témoignant du début d'un nouvelle idée dont Bill n'avait pas encore commencé le développement. Puis rassemblant par sens, il essayait d'avoir une vue générale pour obtenir une conclusion quelconque. Mais il se rendit compte, bientôt, que cela ne servait à rien. Le texte pouvait se tourner dans tous les sens à la manière des pièces d'un puzzle, mais qu'il en manquait trop pour pouvoir les imbriquer et parvenir à une logique cachée. Il ne restait pas assez de trace du raisonnement de Bill pour le retrouver. Comment nier le goût amère de l'échec ? Il lui avait semblé comprendre. Il s'était trompé. A moduler ce texte, on aboutissait à tous et son contraire sans trouver la moindre vérité certaine. Chaque phrase était sujette à trop d'hypothèse. Ces carnets vérifiaient n'importe quelle explication que l'on voudrait leur donner. Il ne servait à rien de chercher plus loin. Il y avait trop de possibilités. Il y avait trop peu de preuve.


                      Alors ? - Oui. C'est ainsi que se fini la CHM. Tu ne peux pas imaginer tous ce qui se presse sur mon cœur. Cela ne se pense pas. Cela se ressent.
                      C'est fini. Il est seul. Que croit il pouvoir faire encore ? Tous les autres sont morts. - Certes, il reste encore Potaro, mais enfin combien de temps crois tu encore qu'elle va tenir ? Elle a presque entièrement basculé que l'autre coté. Non, non, il ne reste plus que lui ; Enfin... Lui... et moi… (1) - Était ce ainsi que cela devait finir ? C'est une bonne question. Je ne sais pas... Lui et Moi. Frigiel. Juste retour de bâton, ne dirait on pas ? - Ha ha ha, ton silence parle pour toi. Tu désapprouves ? Cela se voit à la manière dont tu as détourné les yeux. Mais plus que cette dernière phrase que je viens de dire, c'est toute la CHM que tu condamnes, non ? - Oui tu peux suivre ce point de vue. Ce n'est pas le mien. Tout est histoire de point de vue ; a chacun sa conception de monde, après tous. - Ha ha ha, je savais que tu n'aimerais pas m'entendre dire cela. Je sais que ce n'est pas ta philosophie.


                      Frigiel se laissa tomber au sol. Dégoutté et avec le goût amer de l'échec dans la bouche, il renonça. Il avait incroyablement mal à la tête. Il se sentait las, nauséeux comme si son esprit fatigué de réfléchir se construisait une fièvre imaginaire. Les carnets étaient détruits, voilà tout. Il n'y avait rien à en tirer. Et puis ce qu'avait dit Aypierre était assez logique, et satisfaisant. Pourquoi chercher ? Il pouvait très bien s'en contenter au lieu de vouloir, pour flatter son orgueil, découvrir un secret que le redstonneur n'aurait pas réussit à percer. Voilà ce qui l'avait poussé à chercher... Sa vanité et le besoin de s'occuper l'esprit, rien d'autre. Qu'avait il à faire de savoir l'identité du maitre du jeu finalement ? Mob ou humain, que lui importait puisque de toute manière, il allait mourir. Dire qu'il avait perdu tout son temps avec ses bêtises !
                      D'un geste furieux, Frigiel envoya valser dans les airs les feuilles répandues devant lui et ne leur accorda qu'un regard furieux tandis qu'elle descendaient en tournant. Quelque chose le brûlait dans la poitrine. Il avait mal. Cela s'ajoutait à la colère. Que ce passait il en lui ? Pourquoi respirer était il devenu difficile ? Il se sentait fiévreux. Ses pensées étaient anormalement lentes, il devait se réveillait de cet engourdissement qui le prenait.
                      Les feuilles tombèrent autour de lui avec le bruit sourd de la neige. Par désœuvrement les yeux de Frigiel flottait sur les longues phrases rependues devant lui dont les lettres couraient comme une rivière d'encre. Il ne les lissait pas, cela ne servait à rien. Ses yeux les parcouraient juste sans les voir puisqu'il les avait devant lui. Il se laissait emporter à suivre leurs lignes comme il aurait contemplé celles du parquet s'il n'avait été recouvert par le papier. Il se demandait ce qu'il allait faire du temps qui lui restait. Il aurait voulu rejoindre la cité, et y laisser son testament. Mais la cité n'était elle pas détruite ? Comment les faire parvenir ? Il s'imaginait les coincer sous une pierre avant de mourir. Mais la pierre bougeait et le vent emportait les feuilles contenant tout l'amour qu'il avait laissé dernière lui. Elles tournaient en rond comme les carnets de Bill devant lui, et retombaient dans la cendre. Une flaque d'eau ferait couler l'encre et voilà comment ses derniers espoirs ne seraient guère différent de ceux laissé par Bill pour celui qui les trouverait. Il préférait ne rien laisser derrière plus tot qu'un ruine ou l'on ne pourrait pas déchiffrer le langage de son cœur. Il pourrait y expliquer ce qu'il voudrait, on ne comprendrait pas. Il ne saurait pas trouver les mots. Il ne serait pas faire passer l'émotion de vivre 14 jours en enfer et d'écrire ses dernières lignes avant de mourir seul. On ne saurait pas le comprendre. On ne pourrait pas imaginer. Il faut vivre ces choses là pour pouvoir les ressentir. Et puis après tous voulait il expliquer ? Voulait il expliquer que Siphano s'était suicider ? La réponse était évidente.
                      Malgré tout, une petite voix dans sa tête lui répétait que s'il partait ainsi, elle ne saurait jamais rien de ce qui s'était passé et bien que son cœur se serra à cette pensée. Mais il s'avouait qu'il était peut être mieux qu'elle le croit inconscient plutot qu'elle ne découvre sa mort. Cela lui ferait mal, mais moins que d'apprendre le carnage et dans ce cas, il valait mieux se taire. Il n’écrirait à personne puisqu'il ne devait pas lui écrire à elle. 
                      Mais alors que faire. Attendre ainsi n'était pas possible. Il songea à Aypierre, mort pour tenter de les sauver tous. Il avait au moins fait en sorte d'être utile et lui, Frigiel, ne l'avait été pour personne. Que pouvait il faire de constructif avant de mourir, alors qu'il se retrouvait seul dans cette cité ? Seul ? Non, il restait encore Potaro quelque part, mais ce qu'elle deviendrait lui importait peu. L'image de Siphano pendu à sa corde était encore trop vive à sa mémoire. Mais il restait quelqu'un d'autre à part Potaro, il restait le maître du jeu. Le maître du jeu qui avait tous programmer. Les maîtres du jeu qui était la cause de tous ce massacre. Que ferait il après le CHM ? Continuerait il ? Jusqu'à ou pousserait il le massacre ? Il était là... Quelque part... C'était si doucereusement aigre. Il était là. Rien ne se serait passé ainsi s'il n'avait pas été. Rien ne se passerait plus si n'était plus. Mais quoi ? Le trouver... Le tuer ?
                      Assit contre le mur, Frigiel ne sentait plus que le froid de son avenir gelé. Le feu de la juste colère qui le prenait à la pensé du maître du jeu n'arrivait pas à réveillé ses membres glacées par l'impuissance. Elle le pétrifiait. Il ne pouvait plus bouger. Il ne servait à rien de bouger. Il aurait voulu faire quelque chose, agir. Il ne pouvait rien et les flammes qui l'embrassaient de l’intérieur n'apportait que des larmes amères à ses yeux. Il restait alors transi à lutter contre les pleurs. Aussi dérisoire que cela été, c'était la dernière chose qu'il pouvait encore combattre.

                      Il sera bientôt 2 heure. Encore quelques minutes... et il n'en plus restera que 10. - Ne t’impatiente donc pas comme cela. Tu voudrais donc que ce soit déjà terminer ? - Profite donc du présent. Dix heures encore ! Je ne me suis jamais senti aussi vivant qu'à cet instant. Je ne crois pas qu'il m'arrivera à nouveau de me retrouver plonger dans cette foule de sentiment. Je profite de leur tempête qu'ils jouent en moi. Mon cœur se gonfle. Pourquoi ai je peur ? Ai je peur ? Non, ce n'est pas de la peur... Je... Je ne sais pas ce que je ressent. C'est fini. Je n'arrive pas à y croire. Je revois Aypierre. J'ai eut si peur... J'ai eut si peur... Il aurait pu... J'en tremble encore. Il n'avait qu'un dernier pas à franchir pour tout faire tomber. Je me demande encore ce qu'il se serait passé si Skillnez ne s'était trouvé au devant de ce pas. J'aurais perdu. Je n'avais pas réussit à le rattraper. Il aurait détruit la CHM. - Oh, non ! Ne soit pas si surprit. Bien sûr que la CHM aurait pu tomber, Aypierre a été très proche d'y arriver. Il n'y avait plus rien pour l'en empêcher. -
                      Qu'aurais je fait si la CHM tombait avant l'aboutissement des quatorze jours ? Tu m'en pose une question ! Je ne sais pas. Maintenant que tout ceci appartienne au passé, je ne peux même plus le concevoir. - Effectivement, oui... Mais si elle tombait maintenant ce ne serait pas grave. Tu comprends la différence qu'il y a entre la voir chuter maintenant et lors du jour 11 ? - Pourtant elle ne peut être on ne peut plus grande ! Le jour 11 et sous la main d'Aypierre, l'homme qui incarnait la révolte ! Après une telle victoire, tous ensemble, ils pouvaient se reconstruire et perdre l'héritage de la CHM. Alors que maintenant... Il y a eut tant de mort... - Non ce n'est pas le fait que Frigiel soit seul qui est important, c'est qu'il ai vu. Tous les événements sont en lui à présent. C'est comme s'il était déjà mort. Alors que s'il n'y avait pas eut Skillnez... Mais enfin. Il y a eut Skillnez. Il ne sert à rien d'y penser plus que cela. C'est à présent comme si cette révolte n'avait jamais eut lieu. - Oui, il n’empêche quelle à lieu, mais elle n'a pas porter fruit, elle n'as eut aucune conséquence, c'est donc comme si elle n'avait jamais exister. -
                      Oh, je ne l'ai évoqué que par simple analogie, vois tu. Une idée en amène une autre. Alors que tout était sur le point de basculer, j'avais le cœur qui tremblait comme je l'ai à présent. Mais ce n'est plus de la panique qui me monte à la tête avec tout ce sang. Je n'arrive tous simplement pas à croire que la CHM soit fini. - Non, ce n'est pas de la joie qui me prends, ce n'est pas un effet de la victoire, mais juste cette incroyable impression fourmillante de vie et mon cœur fou d'émotion. C'est fini. Je ne peux pas y croire. Je ne peux tous simplement pas y croire. -
                      Ah tu es mauvaise langue. Bien sûr, c'était une manière de parler. Je sais tout ce que tu viens de me dire. Je le sais bien. Mais en être l'auteur et l'avoir sous les yeux n'as rien à voir avec cela. Tu sais dès le plus jeune âge que la mort existe. Tu le sais. Mais pourtant, tu ne peux pas le concevoir. Savoir ne veut pas dire pouvoir réussir à se l'envisager sérieusement. La mort en elle même, tu ne pourras la penser que lorsque tu la connaîtras. Or dès le moment où tu la connaîtras, il ne te sera plus possible de penser. - En effet, sauf dans le perspective de l'au-delà, mais je ne voulais pas rentrer dans des discours métaphysique sur cette hypothèse – oui, j'appelle cela hypothèse. Tous ce qui n'est pas prouvé est hypothétique, mais attention, cela ne veux pas dire que je la tiens pour fausse. Cela dépends de ton comportement mentale par rapport aux hypothèses ; de ta relation à la vérité, pas de la mienne. Je ne force personne à considéré comme faux tous ce qui n'est pas assurément vrai. Nous ne sommes pas obligé d'être cartésien. - ah, tu l'es ? Cela ne m'étonne pas de toi. Je suis plus dans une logique empiriste. - Oui, tu n'avais pas besoin de le préciser. Je me doutais bien que tu l'avais remarquer depuis longtemps. Nos paroles trahissent notre pensée. Mais enfin cela n'as pas d'importance. Je n'ai prit cela uniquement comme exemple que pour te faire comprendre...

                      Le maître du jeu... Le maître du jeu... Il y avait un maître du jeu... Que pouvait il faire contre lui ? Comment pourrait il l’empêcher d'aller plus loin dans sa folie ? Il n'arrivait même pas à comprendre qui il était, comment pourrait il s'opposer à son pouvoir ? Son identité importe peu après tout, il s'agissait seulement de le combattre et de lui faire payer ! Combattre quelque chose dont il ignorait tout et qui avait un pouvoir bien supérieur à ce qu'il pouvait faire ?
                      Frigiel fermait lentement les yeux. Tous son corps semblait incroyablement lourd.
                      Plus que son réel pouvoir, ce qui rendait le maître du jeu incroyablement puissant était le mystère qui entourait l'origine de ce pouvoir. Quels étaient leurs limites ? Quels était leur nature ? Personne ne le savait et il est impossible de combattre quelque chose dont l'on ne sait absolument rien. Comment bloquer une épée dont on ne connaît pas la longueur ? Comment s'opposer à un maître du jeu dont on ne connaît pas l'étendue des pouvoirs ?
                      Il avait froid. Il ne voulait plus bouger. Il ne pouvait plus bouger. Il sombrait.
                      Mais ce pouvoir était si vaste, presque infini. C'était comme compter les nombres de gouttes d'eau remplissant un océan. De quoi le maître du jeu n'était il pas capable ? Comment le savoir ? C'était impossible.
                      Non ! Frigiel se releva d'un coup. NON ! Il n’abandonnerait pas. Pas encore. La fuite avait été facile lorsqu'il avait fallu combattre. Il ne fuirait pas à nouveau. S'il voulait agir, la premier chose qu'il devait faire était de ne pas se perdre dans des suppositions abstraites. Son imagination l'emporterait trop loin. Il fallait qu'il parte des effets directs qu'il avait pu observer de ce pouvoir.
                      Il y avait en premier lieu et avant toute chose les mots annonçant les morts à la fin de chaque journée. C'était le maître du jeu qui les faisait apparaître et y inscrivait ce qu'il voulait, vérité ou mensonge. C'est mots révélaient deux choses sur le maître du jeu : il savait qui avait tué par qui et l'endroit où se trouvait la base de tous les participants encore en vie. Ce fait allait de paire avec la menace de les tuer tous à la fin de la CHM. Il fallait savoir la localisation des participants pour pouvoir exécuter cette prédiction.
                      Et à part cela ? Que savait il des pouvoirs du maître du jeu, concrètement qu'avait il vu ? De quoi avait il eut la preuve ? Les participants s'étaient éparpillés dans tous l'ensemble de la CHM, et le maître du jeu avait cependant réussit à les suivre tous malgré la distance qui les séparait, donc son pouvoir était au moins efficace dans l'espace délimité par le mur, voir plus... L'espace délimité par le mur... Non, son pouvoir ne dépassait pas le mur, si non pourquoi l'avoir crée ? Tout fuyards auraient été rattrapés par la mort au bout des deux semaines si son pouvoir avait pu s'étendre plus loin. Dans ses conditions, il ne se serait pas donné la peine de créer cette barrière. Bien sûr, le mur servait à contenir les participants dans une zone assez réduite pour qu'il y ait des combats. Bien sûr, il servait aussi à faire en sorte que personne ne puisse communiquer avec l’extérieur et qu'ils ne puissent recevoir de l'aide, mais surtout, le mur était là pour que tout les participants restent en son pouvoir. Il ne fallait surtout pas qu'on lui échappe. La première limite de son pouvoir était donc spatiale.

                      Ah ! 2 heures de l'après midi... encore une seconde... Et voilà. Frigiel. Mon ami. Il te reste moins de 10 heures à vivre. - Un regret ? Oui, oui, j'en ai un. Oh non ! Ce n'est pas ce que tu pourrais pu penser. Le petite mésaventure avec Aypierre n'est rien. Elle n'a pas d'importance. Non, cela concerne complètement autre chose ! J'aurais quand même aimé... D'un autre point, et cela n'as pas réellement d'importance, mais j'aurais quand même aimé... -
                      Frigiel ne l'a pas fait... J'en suis presque attristé. Cela me fait même plus mal de n'avoir pas réussit à le manipuler jusqu'à ce point là que s'il réussissait à casser la CHM et survivait. - J'adore le regard incrédule que tu viens de me lancer. Oui, je préférais qu'il le fasse ; qu'il arrive à vaincre la CHM plus tot qu'il meurt sans s'être salit les mains. - Ce n'est pas en contradiction avec ce que je t'ai dit il y a quelque instant. Un survivant ne me dérangerait pas, du moment que la CHM reste bien gravé dans son esprit. Aucune vie n'est possible avec un tel souvenir. Je ne vois pas la différence entre cela et la mort. - Cela t'obsède n'est ce pas ? Tu n'arrive pas à comprendre. Cela ne suit pas ta logique. Trop flottant, pas assez radical de la part de celui qui lança la CHM. La perspective que, sans remord, j'accepte qu'il y ai un survivant te paraît absurde. Tu te fixe une direction mentale, tu la suit jusqu'au but sans en dévier et laisser quelqu'un survivre, pour toi, reviens à prendre le chemin inverse suivit tous de long. C'est que tu n'as pas comprit le but de la CHM. En consentant que Frigiel survive, et encore faut il qu'il y arrive et ce n'est pas gagner ; je suis toujours la route que j'ai choisit pour la CHM, mais le but viser n'est pas celui que tu crois. Les tuer tous n'est pas directement ce que je voulais, en laisser survivre un me va aussi, enfin s'il arrive de lui même à s'en sortir, bien sûr. - Ah ah, je savais que tu en reviendrais à Aypierre. Mais vois tu, la situation était totalement différente. Frigiel est seul. Dans un monde qui ne peux plus le comprendre, la réparation n'est pas possible et l'impression d’échec le rongera à jamais. Mais s'il survit, je gagne car j'ai déjà gagner, la partie s'est fini hier. Alors que si Aypierre avait réussit, ils auraient été nombreux. La vie était encore possible. Ils se seraient tous reconstruit ensemble et l'échec de la CHM aurait été indéniable. C'est une vrai victoire qu'à faillit m'arracher Aypierre. -
                      Tu ne comprends pas. Ce n'est pas illogique d'être indifférent à la sortie de Frigiel de la CHM, s'il y arrive ; et par contre regretter qu'il n'ai pas plongé les mains dans le sang. Ce n'est pas la mort qui compte, c'est le souvenir, c'est la destruction. La souillure se serait ajouter aux remords qu'il a déjà et sa décadence n'en aurait été que plus grande. - J'ai faillit réussir à le pousser jusqu'au meurtre et l'abandon de ses amis revient à les avoir tué, c'est du moins ce qu'il en pense. Je te le conçoit. Mais ce n'est pas la même chose. Il a blessé mortellement Ectalite et la soigné. J’aurais voulu qu'il le tue. J'aurais voulu qu'il ai les mains pleine de sang comme tous les autres. Il a su résister à le tentation et je dois lui reconnaître cette petite victoire qu'il a sus m'arracher. -
                      Tu ne dis rien ? - Comment cela : il n'y a plus rien à dire à présent ? - Ah … Alors je comprends ton silence. En effet je n'avais pas comprit ta question. Non, je n'ai aucun remord de ce coté là. Strictement aucun. Au point même que je n'ai pas pu en visager que par regret, tu sous entendais de les avoir fait s'entre tuer.

***

                      Le mythe était cassé. Ce mur était la marque de la fabrique humaine. Le fait que le pouvoir du maître du jeu ne s’exerçait que dans la zone pour laquelle il a été prévue montrait bien que ce pouvoir n'avait rien d'une magie surpuissante et mystérieuse, mais qu'il ne s’agissait que d'une construction humaine. La magie n'aurait jamais été si stricte sur la zone délimité, la perte d’influence aurait suivit une dégradation continue du centre de la cité vers ses bords et non une chute brutale comme cela était le cas. Frigiel avait parcouru toute la CHM, du centre vers sa plus lointaine périphérie. Il aurait senti la baisse de se pouvoir qui l'oppressait.
                      Avant que Frigiel n'eut fait la connexion entre ce qu'il venait de conclure et la conséquence que cela amenait en ce qui concernait l'identité du maître du jeu, il se figea car une autre idée venait de lui traverser l'esprit. Cela lui paru si claire qu'il se demanda comment n'y avait il pas pensé plus tot, comment ne s'en était il pas tous de suite rendu compte quand il l'avait vu. Fallait il qu'il soit idiot ? Ce mur... Il aurait du comprendre dès le premier regard. L'odeur de liberté montant de la mer l'avait elle donc tant enivré pour qu'il ne reconnaisse même plus une barrière crée avec un commande bloc !
                      Alors il se mit à rire. C'en était de trop ! Le stress, l'horreur de la cité lui était monté à la tête. Il n'en pouvait plus. Des commandes blocs, c'était si simple ! Rien de plus. Pas de maîtresse de mob ! Pas de conte fantastique, juste une construction humaine. Maître du jeu de pacotille, il n'avait concrètement pas plus de pouvoir d'un autre ! Tapotant sur un clavier, il avait programmé sa cité, c'était tout.
                      Tout devait fonctionner avec des commandes blocs, les mots signalant les morts, le tableau des émeraudes, faire apparaître des mobs ressemblant à des êtres que l'on pouvait avoir connu, Tout ! Sans exception ! Le compte à rebours des 14 jours, n'était qu'une simple clock et le mur, un ordre programmé sur une machine. La peur l'avait aveuglé, comme elle les avait tous aveuglé. Mystifiant un pouvoir qui après tout n'avait rien d'extraordinaire. La mise en scène leur avait fait perdre totalement leur esprit critique. Ainsi donc l'homme un fois sa vie en danger, n'est plus capable de réfléchir ? 


                      Pourquoi ce regard sombre ? Est ce à cause de ce que j'ai dit tout à l'heure ? - Toi tu as besoin de l'espoir pour vivre, n'est ce pas ? Il est vrai que sans espoir tous parait bien ennuyeux.
                      A présent, que peut il encore se passer ? Alors il peux encore les trouver, et les détruire. Oui. Il le peux encore. Ils ne sont plus en sécurité, ils ne l'ont finalement jamais été. Il a tout pour le faire. Mais cela ne change pas grand chose. Même s'il le faisait, même s'il quelque minute avant la fin, il arrivait à la détruire la CHM, il serait tous de même trop tard. Tout à déjà été joué. C'est fini. Il reste encore son pions sur le plateau, mais que veut il faire, maintenant que tous les autres sont tombés ? Leur chute est scellé par le passé. Aucun retour n'est possible. Peu importe ce qu'il arrive à présent. Il est seul, seul comme s'il avait déjà les deux pieds dans la tombe. Il peut se débattre dans son cercueil, mais le passé à clouer le bois. Et même s'il cassait les liens qui le retienne. Et même si à cette instant la CHM éclatait en morceau, J'aurais quand même gagné. Le souvenir est là. C'est comme s'il était mort. Alors qu'importe. Donc non, il ne reste plus grand espoir, mais le spectacle de sa lutte, de sa veine révolte, n'est pas pour me déplaire non plus.


                      Soudain, Frigiel se mit à rire de plus belle. La cité n'était elle pas sensée être une zone protégé, une zone de non agression ? Cela avait été fait tout naturellement avec des commandes blocs comme le reste. Le maître du jeu voulait évidement que l'on ne puisse pas tuer les marchants, et qu'avait donc fait Potaro ? Elle avait réduit en cendre la cité, exterminant tous sur son passage ! Sans s'en rendre compte, elle avait trouvé une faille dans le pouvoir du maître du jeu. L’erreur n'était elle pas humaine ? Le maître du jeu y était aussi soumis que n'importe qui d'autre. La programmation est un art difficile. Se tromper est courant, mais oublier une simple ligne rends le programme obsolète. En codant la sécurité de la Cité, il avait mal fermé une boucle quelconque ou négligé une variable et son programme n'avait pas fonctionné. Sûrement dans l'ensemble du code de CHM devait se trouver d'autres fautes. Ce n'est pas possible autrement, le programme était bien trop gros pour que rien n'ait échapper à celui qui le concevait.


                      Quel regard glacial tu viens de me lancer ! Ton œil s'est fait meurtrier à ma dernière phrase. Un peu plus est il m'aurait transpercer comme une lance. Pourquoi t'attaches à Frigiel ? - Tous les participants de la CHM ! Mais pourtant n'avais tu pas dès le début comprit qu'il allait tous mourir ? - Tes silences en dise plus long que les mots dont tu aurais pu les combler. Pour en revenir à Frigiel. S'il survie... S'il y arrive... Que lui restera t'il ? Le souvenir. Le cauchemar. Je te l'ai dit : Frigiel était déjà mort. Le compte à rebours ne fera qu’arrêter son cœur, si ce n'est pas lui qui l’arrête à temps. -
                      Et moi ; Que me reste t'il de la CHM ? Qu'en ai je garder ?
                      Le souvenir.
                      La trahison, l'abandon, l'égoïsme que je connaissais déjà.
                      La peur que j'ai découvert


                      Les yeux de Frigiel retombèrent sur les carnets. Un maître du jeu humain et le rire fou qui l'avait prit cessa brutalement. Il était face à un maître du jeu humain et ayant participé à la cité. Ses nombreuses interventions ne remettaient pas en doute qu'un des participants avait joué les doubles rôles de victime et d'assassin.


                      La peur incroyable de craindre pour sa vie à chaque seconde.


                      Frigiel repassa le nom de tous les participants. Il fallait que l'un d'eux soit un traître et déjà alors qu'il tentait de savoir le nom, il se rendait compte qu'il allait souffrir de sa découverte. Il connaissait tous ceux qui avait été victimes de la CHM, beaucoup était de ses amis. Il revit Potaro furieuse d'avoir tort face à lui. C'était à son tour de connaître la douleur d'avoir tort. Il s'était trompé, accordant son amitié à quelqu'un qui ne la méritait pas.


                      La peur d'être découvert qui sert le cœur et fait chercher sans répits la suspicion dans les regards. La paranoïa qui ronge le sommeil.


                      Lentement, Frigiel commença à éliminer des noms dont le simple fait de pouvoir les soupçonner lui paraissait horrible. Il suivait les critères de son cœur et bientôt ne se retrouva qu'avec le nom d'Ectalite qu'il aurait volontiers accusé d'être le maître du jeu pour avoir par lui même essuyé la transformation de son caractère. Mais sa conscience raisonnable, dominant sa pensée, lui montra bien vite qu'il ne pouvait suivre la voix de l'amitié pour découvrir l'identité du maître du jeu. De ses amis, il ne devait blanchir personne sans avoir eu une preuve concrète d’innocence.
                      Mais les soupçons que la logique le forçait à avoir lui blessait le cœur. Il ne pouvait supporter l'idée de voir le souvenir d'êtres chers, morts dans de si tristes circonstances, devoir être salis par l'humiliation du doute. Les accuser, eux qui avait tant souffert de la CHM, d'en être à l'origine était insupportable. Pour rien au monde, il ne voulait garder ce doute. La mémoire de ceux qui lui avait été cher devait être lavée. Il devait découvrir qui était le maître du jeu ! Alors il comprit pourquoi Bill avait chercher l'identité du maître du jeu. Il savait qu'il allait mourir et ne voulait partir sans avoir laver ceux qu'il aimait, voilà tout.


                      Et enfin, et surtout le souvenir de cette angoisse; voir Aypierre se rapprocher sans cesse du but pour aller le toucher du bout des doigts après avoir vaincue presque sans s'en rendre compte tous les obstacles mit sur sa route qui n'ont jamais réussit à le ralentir. Et ne rien pourvoir faire contre cela. L’impuissance.


                      Frigiel reprit les carnets avec espoir et les retrouva tous aussi inaccessible que lorsqu'il avait abandonné. Quelque chose n'allait pas. Il ne devait pas bien réfléchir. Frigiel ferma les yeux. Sur le fond de ses paupières closes, il voyait Bill. Assit à sa table de bois sombre devant sa fenêtre, il finissait une phrase. Le soleil couchant passait par les grandes vitres et colorait sa page de doré. La chaude lumière du soir faisait vibrer l'air de la pièce. La plume mettait le point et s’arrêtait un instant de gratter le papier. Bill réfléchissait. Tout était calme et son esprit cherchait dans cette ambiance tamisée la suite de ses idées. Il fixait le vide et son regard perçait l'horizon de la mer d'arbres qui s’étendait devant lui. Un idée lui venait. Il replongeait dans ses réflexions, sa plume dans l'encrier. Le cœur de Frigiel s’enflait de la tranquillité feutrée de la scène.
La clef était là. Il fallait se mettre à la place de Bill pour comprendre comment il avait écrit ce texte. Leur regards devaient se mêler et leur esprits mener par la même logique ne faire plus qu'un. Bill avait chercher la vérité de lui même, c'était ce que devait faire Frigiel. Au lieu de reconstruire un ordre introuvable et de remonter les connexions logiques, il devait partir au devant de la vérité ; et cela seul, comme il avait cherché l'origine du pouvoir du maître du jeu. Les carnets ne seraient là qu'à l'appui pour l'aider, lui servir de béquille dans sa réflexion jusqu'à ce qu'il puisse marcher seul sur les chemins de la connaissance.


                      Voila ce qu'avait été la CHM pour moi. La peur de chaque seconde. L'enfer avant la mort. Une torture mentale de tous les instants et l'apogée de toutes ces douleurs que j'avais trop apprit à connaître avant, dont la morsure m'enleva les dernières illusions, mais contre lesquels j'étais près.
                      Et toi, mon ami, que te restera t'il de la CHM ? -
                      Je sais que tu n'aimes pas que je t’appelle comme cela. Mais enfin, c'est fini.
                      Et j'ai gagné.
                      Il est temps de conclure et je me souviens du premier jour. -


                      Il lui fallait marcher droit. Il devait se fixer une règle de conduite à suivre pour assurer à sa réflexion une barrière contre l’erreur. - Ne prendre comme vrai uniquement ce qui l'es indubitablement - Considérer comme faux ce qu'il peut l'être potentiellement car utiliser une chose incertaine dans son raisonnement revenait à introduire une possibilité d'erreur qui n'aurait pas exister s'il n'avait été fondé que sur des vérités pures. Il fallait trouver une vérité première dont la remise en cause serait impossible et ensuite l'utiliser comme pierre fondatrice pour, en suivant une logique parfaite, tenter d'en construire d'autre. Quelle étaient cette première vérité ? Que savait il de si certain que cela ne pouvait pas être remis en cause ? Fouillant de la main dans les feuilles éparts, il en tira une en particulier.
                      « C'est un ensemble de quarante-trois personnes, certes plus ou moins proche mais QUI SE CONNAISSAIENT TOUS AVANT. C'est le seul lien qui nous relient. C'est pour cela que nous avons été « choisis » et que cela se déroule lors de la CHM. Il faut y avoir était INVITE donc connaître ceux qui y participe pour y participer soi même. »
                      Voilà la premier vérité fondatrice. Le fait était clair, indiscutable. Ils avaient était « choisis » par le maître du jeu sur le critère de l'amitié. Mais cela posait quelques problèmes.
                      Le première venait du fait qu'il faut connaître pour « choisir ». Le maître du jeu les avait si bien connu, pour si bien anticiper leur réactions. Tous au long de la CHM, il avait prouver l'étendue de son savoir par la manipulation habile dont il avait fait preuve.
                      Il savait que les Patrick formerait un groupe qui par la force de chacun de ses éléments et par son nombre dominerait le début de la cité. Il s'était donc employer à les dissoudre. L'épée, le trésor du Nether, leur avait été indirectement destiné. Le maître du jeu la leur avait presque donner. Il était une armée comparé aux autres quand avait eu lieu la bataille du Nether. Comment un groupe si organisé, si nombreux n'aurait il pas gagner ? Bien sûr qu'il avait réussit à prendre l'épée, elle était là pour eux. C'était un cadeau, mais cadeau empoisonné. Frigiel songea au cheval qui avait causé la chute de Troie, aux anneaux de pouvoir que Sauron avait donné aux hommes pour en faire ses serviteurs et ce dit que ce n'était pas la première fois que le Gift anglais cachait le Gift germanique (2). L'épée avait attisé les jalousies et les rancœurs ; Elle avait rongé le groupe de l’intérieur. Il avait fini par se produire un incident, le groupe avait explosé et l'épée avait accomplit son rôle. A partir de cet instant les Patricks étaient devenus des joueurs comme les autres, seuls, perdus... Le Maître du jeu les avait superbement manipulés et cela n'était qu'un exemple parmi tant d'autre. Tous les participants avaient marché aveuglément dans son jeu. Aypierre en se jetant tête baissé dans la course aux émeraudes sans prendre la peine de réfléchir, Ectalite qui était devenu très vite un monstre avide de sang, lui même, Frigiel, avec sa tentative de fuite et surtout Zelvac qu'il avait réussit embobiner au point de lui confier les codes de la CHM ! Il avait joué avec eux tout comme avec des poupées, mais pour y arriver avec autant de réussite.


                      Le premier jour de la CHM... J'ai l'impression qu'une éternité s'est déroulé depuis. Ce que j'avais éprouvé à ce moment là, ressemble tant à l'émotion qui me prends maintenant. De l’excitation jusqu'à la nervosité, mon cœur qui bats à tout rompre, l'effort incroyable que je devais fournir pour contrôler le tremblement de mes mains et toutes ses questions qui m'assaillaient. Qui mourrait en premier, qui tuerait en premier ? Qui trahirait ses amis, qui leur resterait fidèle ? C'était le début, rien n'était joué, tout était à faire. Aujourd’hui le dernier pions va tomber et j'ai eut la réponse à toutes les questions. -


                      Une feuille de Bill passa entre ses doigts : « Ce qui fait que le maître du jeu n'est pas neutre. Il a des préférences parmi les joueurs, il semble en préférer certains et vouloir atténuer leur souffrance, mais en détester d'autres. Certains parmi nous lui sont plus l'objet que d'autre de sa rage. »
                      Et le cœur de Frigiel se serrait. Malgré le mensonge de sa prétendue affection qu'il devait nous mimer, peut être s'est il attacher à certain plus qu'à d'autre, ou du moins, car il reste encore à prouver qu'un tel être que celui qui créa la CHM puisse éprouver de l'amour, il est possible qu'il éprouve moins de haine pour certain plutot que de l'attachement.


                       Il suffit de me retourner et regarder en arrière. La CHM. Maintenant que je peux voir les conséquence de chacun de mes actes, j'affirme avoir toujours choisit de la meilleur de façon possible. Certains décisions avaient été si difficile à prendre, tu le sais. Mais si c'était à refaire, je ne changerais pas ma conduite. Je crois avoir toujours agit comme il le fallait et le résultat que je constate à présent en ai la preuve formel. La CHM n'aurait pas pu se mieux passer pour moi finalement. - Tu rappelle encore ce petit événement. Certes Aypierre avait faillit la faire basculer, mais ce qui compte à présent est qu'il n'y ai pas arrivé. Il était impossible que durant ces 14 jours, jamais je ne fut en danger. Ce dérapage était obligé, mais le résultat est là : c'est comme s'il n'avait jamais eut lieu.
                      Pour qu'elle fonctionne parfaitement sans accrocs. Il aurait fallu que je puisse tout prévoir et une seule personne ne peut pas imaginer la réaction de 40 autres. Les comprendre à posteriori est possible, il suffit de lire dans le passé les effets qui amenèrent ces conséquences. Mais les prévoir avant qu'elles n'ai lieu n'est pas faisable. Trop de cause sont en jeu, trop d'inconnue. On ne connaît jamais entièrement une personne. Et puis il y a le hasard... On ne peux que supposer, jamais savoir. Ainsi il fallait bien qu'un jour, l'un des participant m'échappe et tente de me déstabiliser. C'était dans l'ordre des choses. Mais les vagues produites par son soulèvement n'ont pas abouties. Le débordement fut contenu. Qu'y a t'il d'autre à dire, si non de constater la victoire. -


                      « La CHM est prévue depuis longtemps, ce que nous vivons a été minutieusement organisé » Les commandes blocs confirmaient cette préméditation. Il n'était pas possible d'inventer un tel algorithme en quelques jours. Il était beaucoup trop gros, il avait du le penser à l'avance et y travailler bien des heures. Mais où donc avait il trouvé ce temps ? Zelvac n'avait officialisé la CHM qu'assez tardivement et n'avait dévoilé la liste complète des participants qu'une semaine avant son début. Le maître du jeu n'avait pas pu commencer à y réfléchir avant que Zelvac ne dévoile le projet de la Cité d'Hakuna Matata, qui portait d'ailleurs si bien son nom, songea avec ironie Frigiel. « Ces mots signifient que tu vivras ta vie sans aucun soucis, Hakuna Mata... » Mais oui, cela avait tellement été le cas...
                      Le maître du jeu du se douter qu'il y aurait une seconde cité des sables, comme lui même Frigiel s'en été douté. Les nombreuses absences de Zelvac, ses sous entendus fréquents, ses allusions qui laissaient filtrer le mystère et puis surtout le succès de la cité de sable ne laissaient guère de doute qu'en à la préparation d'un autre événement de la sorte.
                      Quand à la liste des participants, indispensable à la programmation des commandes blocs ; Zelvac ne l'avait rendu publique que peu de temps avant son début, mais individuellement, ils avaient été avertis très tot pour qu'il puisse se libérer ces 2 semaines. Le maître du jeu avait donc du enquêter au près de chacun pour découvrir qui y serait présent. Cela était passé inaperçu. Tous le monde s'était livré à ce petit jeu. Frigiel se souvenait avoir lui même tenter de soutirer des informations à Zelvac et y avoir assez bien réussi. Il n'y avait pas de raison que le maître du jeu n'ait pas fait de même un fois de plus.
                      Un problème demeurait malgré tout. Comment avait il fait pour faire parvenir des commandes bocks à l’intérieur de la cité ? Zelvac n'en avait pas mis et une fois la cité ouverte, il était impossible d'en sortir. Il fallait donc que le maître du jeu les ait introduits avant le début de la CHM. Le seul moyen d'entrer avant l'ouverture avait été d'avoir pu, le temps d'un journée, participer à sa construction, et seul les amis intimes de Zelvac avait eu cette opportunité.


                      Il n'en reste pas moins que la CHM fut un grand travaille de manipulation et d'anticipation. Quand un problème se manifeste, il est très tard pour le régler. Ne dit on pas « mieux vaux prévenir que guérir » ? Ce dicton populaire est parfaitement juste. Il serait parfaitement idiot de se laisser surprendre par un danger que l'on aurait pu anticipé et de se retrouvé mis en danger par cause d'inadvertance. Mais le problème ne viens pas que du danger immédiat. On peut le résoudre, mais la guérison ne sera jamais complète. Les séquelles resteront à jamais, pouvant à tous moment relancer ce qu'il a fait naître et que l'on avait tenter de calmer. Mon principale travail à été de détruire toutes graines de problèmes potentiel avant même qu'elle n'ai le temps de germer. Et puis de résoudre ce que je n'ai pas réussit à contenir.


                      Frigiel avait froid. C'était interne, rampant dans ses os qui gelaient au fur et à mesure que approchait de la glacial et pure vérité. Il se sentait pétrifié de l’intérieur. Il tremblait. Il avait connu tous les intimes amis de Zelvac et la plus part avait été ses amis, à lui aussi. Il se refusait de les soupçonner, de les accuser du crime d'être le maître du jeu. C'était contre lui même qu'il luttait. Il savait qui était le maître du jeu, il ne voulait juste pas se l'avouer.

                      Qui avait eut le droit de voir la CHM avant son ouverture ? Frigiel l'avait eu, Siphano et Léo aussi bien sûr. Bill avait construit la banque des émeraudes. C'était celui qui avait eut le privilège d'y rester le plus longtemps, et vu ce qu'il avait produit, Zelvac avait du être très content du résultat. Mais qui d'autre avait pu venir ? Il ne le savait pas. October et Croustinette, Xef et Brioche. Aypierre c'était sûr, il avait fait de la redstonne. Était ce tout ? Il se sentait chavirer. Les doutes l’asseyait et lui faisait mal. Il imaginait Siphano mimant le spectacle de sa mort pour pouvoir cacher ses activités de maître du jeu. Et puis Aypierre n'avait pas vu Bill mourir, ce n'était qu'un corps qu'il avait trouvé. Était il possible que ce soit une simple marionnette pour le tromper ? Était il possible que se soit lui, le … ? NON ! Il devenait fou. Il devenait déraisonnable. Il se perdait dans ses peurs. Il paniquait de ce qu'il allait découvrir. Il fallait qu'il se raccroche à la logique comme à une branche pour ne pas tomber. La logique, le réel, les preuves. Rien de plus. La logique. La logique froide sans sentiment

(1) d'où le titre. Toi, moi... et lui ? En allemand, pour que "moi" soit Mich. Et oui, je sais que Bleiben est du locatif et c'est de conscience que j'utilise de l'accusatif. Je veux "Mich" et non "Mir" et je veux que cela soit Objet et non sujet. Donc oui, il y a une erreur et c'est pour cela que j'ai mis cette note.
(2) The Gift en anglais veut dire "le cadeau" alors que "das Gift" en allemand veut dire le poison. Les deux mots ont bien sûr la même étymologie et reflète une longue philosophie.

Bon... Cette première partie fut sujette à de grand débat internet. J'espère que cela à porter ses fruits. Je me poses encore plein de question, mais n'ayant pas trouvé les réponses à mes doutes, malgré la super aide de Raika, et tournant en boucle, il était temps que je le poste. Dite moi ce que vous en pensez.

Et si vous vous dite qu'Aypierre est stupide de n'avoir pas remarqué que la CHM fonctionnait avec des commandes blocks, alors que c'est un peu son domaine (plus redstonne certes, mais commandes blocks aussi ) si vous vous le dites, attendez un peu avant de remettre en cause le personnage et demandez vous si vous connaissez tout d'Aypierre. Est ce que quelqu'un a remarqué que jamais Aypierre n'a parler de la sorcière ? Que la théorie dite "d'Aypierre", le lecteur ne l'a connu que par les paroles rapportée par Croustinette à Siphano ?

Quand au maître du jeu, je serais ravie d'avoir vos hypothèses, comme je le serais également lorsque je posterais la fin de cette partie.

Ouah....

J'ai toujours pas les mots... et tellement de coupables défilent dans ma tête. Je pense que je serais surprise à l'annonce... ^^
Ce chapitre était super ** toute cette logique et cette déduction... ouah. J'ai tout mangé. J'en ai pas laissé une miette.
Après, je ne donnerais pas de nom pour le supposé "MDJ" , parce que je pense que je suis à côté de la plaque. Ou il faut que je relise, encore, encore et encore.
Néanmoins, quelle que soit la façon dont cette épopée va finir, elle sera surement la meilleure fiction que j'ai jamais lu :'c
J'ai tellement hâte de lire la suite ! =3

Sélène la lionne a écrit:

Ouah....

certes... Mais encore ?

Je n'ai que ça à dire...

Lugi

Je suis toute contente que ce chapitre t'ai plus !!! J'avais très peur !
"toute cette logique et cette déduction... ouah" justement, cela faisait beaucoup de logique d'un seul coup, j'avais peur ce que cela soit chiant, lourd, bref affreux à lire... Je suis donc méga contente que cela t'ai plu ! Je travaille depuis tellement de temps pour que cette logique soit buvable, que maintenant je ne peux plus la supporter. Mais si elle t'a plus c'est super ! Cela veux dire que j'ai réussit ! le premier passage chiant passe ! Et ce qui est génial aussi, c'est que tu as encore l'air réceptive à la logique. La prochaine sous partie est dans le continuation de celle là, La logique continue, la réflexion aussi, la marche de la vérité avec elle. Donc heureusement que cela t'ai plu, car il y en a encore...

"Je pense que je serais surprise à l'annonce..." j'espère bien !!! Si non c'est triste... Mais ne crois pas que je vais vous la donner si facilement, l'identité du maître du jeu. "l'annonce" il y a du temps avant l'annonce. Pendant ce temps je vous donne tous les codes de la CHM, toute les ficelles, tous les indices cachées, tous ce qui fait que depuis le début, il était possible de trouver le maître du jeu. Frigiel a déjà commencer à remonter lentement, mais il lui reste encore du chemin, le lecteur devra le faire avec lui, mais après ... Après Frigiel n'est pas obligé de dire ce qu'il a conclue au lecteur, si bien que celui ci sera obligé d'attendre encore un peu, s'il n'as pas déjà comprit qui été le maître du jeu, alors que le personnage saura...
C'est cela le sadisme. Vous donner tous pour comprendre, mais jamais donner la réponse si facilement...

"elle sera surement la meilleure fiction que j'ai jamais lu" Merci ton compliement me touche beaucoup. Mais ne t’inquiète pas, la CHM n'est pas encore fini. et quelque chose de spécial vous attends après... Les épilogues sont en routes, j'expliquerais ce dont il s'agit au dernier chapitre...

Bref, je suis super contente que la CHM continue à te plaire ! Merci beaucoup pour ton commentaire qui fut un grand soulagement pour moi. Merci ^^
Je sais que je me répète, mais je me fais beaucoup de soucis, toujours, et les commentaires comme les tiens sont du baume pour le cœur, surtout qu'ils arrivent si rapidement après la mise en ligne..
et à bientôt pour la suite !

Sélène la lionne a écrit:

Je n'ai que ça à dire...

ah.... Et bien... heu... D'accord.

Mais c'est assez sibyllin pour moi, un développement serait plus explicite...

Fiou.
Bon. Je dois avouer que j'ai eu du mal à partir au début, c'était un peu lourd à comprendre, mais très vite, j'ai pu repartir en dévorant les raisonnements, voyant se dessiner la compréhension. Qu'est-ce qu'on a été bêtes de pas y penser aux commandes blocks ! C'était pourtant si simple xDD Les passages en italique, j'imagine que c'est le maître du jeu qui parle, mais à qui ? au lecteur ? Je pense oui. Pour en revenir au texte, c'est bon, j'arrête de parler de la qualité, sinon tes chevilles vont gonfler et ce serait dommage. Mais je le pense très fort, tu écris toujours aussi bien ! L'angoisse de savoir, le stress, le mal-être lorsque le temps restant de vie se raccourcit lentement grandissent au fur et à mesure du texte, je trouve ça incroyable. Alors, soit je suis maso, soit je suis tarée (peut-être un peu des deux), mais j'adore lire tes textes.

Maintenant, passons au sujet du texte.
Que de réflexions ! Qui peut bien être ce fichu maître du jeu ? Concrètement, Siphano, Léo, et autre sont hors-jeu pour moi. Comme tu l'as si bien dit, Pierre ne s'est pas franchement et directement prononcé sur l'histoire de la sorcière. Alors je me pose des questions sur lui. Ensuite, Bill.. Non. Ça me paraît beaucoup trop gros pour être vrai. Xef et Brioche.. Ni l'un ni l'autre. Je ne te connais pas assez bien pour savoir absolument, mais ça me paraîtrait un peu stupide de reprendre le "méchant" qu'a utilisé TMA. Quant à Brioche.. Bah. Voilà quoi. C'est le genre à s'émerveiller devant une fleur, alors le sadisme.. Trop d'innocence. Mais ça pourrait, à voir. Ensuite, il y a le duo Crousti' et October. Là, pour le coup, je sais pas. xD

Voilà, après on verra hein ;D
J'ai posé mes hypothèses, donc clairement, je penche du côté de Pierre ou de Octo' et Crousti', même si ça me paraît.. j'ai pas le mot xD
Bref, très envie de voir la suite, chère Mich !
Nyal.

Je suis malaaaaadeuh!
Pour l'instant je vais pas trop lire mais j'ai lu le premier paragraphe.
"la vérité éclaira les nuées de son ignorance"
Dès le début tu m'épates!
Bon, je vais aller lire des trucs plus courts, je reviendrai ce soir ou demain.
Ciaaaaaaoooooo!

Nyal27

Hey !!
Alors je suis ravie que voir que cette fois ci je ne t'ai pas mise "mal à l'aise" ( C'était super comme commentaire, je rigole encore ) Mais par contre je crois avoir réussit un nouvelle achivement: Réduire le cerveau en compote ?
En tous cas merci pour ce très beau et long commentaire !!

"Je dois avouer que j'ai eu du mal à partir au début, c'était un peu lourd à comprendre" je suis désolée. Je sais que les explications sont toujours un moment lourd, long et parfois même assez chiant. Cependant j'étais bien obligé de les mettre, si non l'intrigue n'aurait pas eut de sens. J'ai fait de mon mieux pour que cela soit avallable. Apparemment cela passe assez bien, vu ce que tu en dis. Mais le début pose un peu problème. Tu aurais des conseils ? Des remarques sur ce qui t'a gêné, sur ce qui est à revoir ?

"Qu'est-ce qu'on a été bêtes de pas y penser aux commandes blocks ! C'était pourtant si simple » bah ouais... avec le mur je m'attendais à ce que tous le monde réagissent. Mais non. Tu vois avec la scène de Frigiel regardant le mer, un des grand principe de mon écriture : Tout sert à quelque chose. Celle belle description des flots n'était pas là pour faire jolie, mais pour distraire le lecteur de l’information importante. Comme Frigiel, il se laisse emporter par le lyrisme de la scène et ne songe plus à ce mur qui est réellement l'important de ce passage alors qu'il semble reléguer au seconde plan. Il y a beaucoup de scène comme cela dans la CHM. Gard aux belles descriptions ! Elles sont traîtres, très souvent là pour faire illusion. Et Gard au dialogue anodin entre personnage ( indice ! Indice ! ) Rien n'est là au hasard.

« Les passages en italique, j'imagine que c'est le maître du jeu qui parle, mais à qui ? au lecteur ? Je pense oui. » ha ha ha !!! Comme si j'allais répondre ! En fait si, je vais répondre. Très concrètement, tu as parfaitement raison. C'est le maître du jeu qui parle au lecteur. Ces passages sont inspirer du nouveau roman, en particulier de la méthode narrative de « la chute » de Camus. J'ai mis ces passage pour rompre la monotonie de la narration. On aurait eut toute la logique de Frigiel en un seul morceau puis tous le blabla du maître du jeu qui raconte comme s'est passé la CHM en un autre gros pavet, cela n'aurait pas été supportable. Donc je les ai entremêlé. Et C'est Raika qui inconsciemment m'a proposer cette idée, j'en ai profiter pour rompre avec la méthode de narration classique pour amener un peu de diversité. J'ai un grand principe. Même quand c'est le personnage qui parle, il y a une très grand différence entre narrateur, personnage et auteur. Ce n'est pas moi, Mich qui raconte l'histoire de la CHM, mais le narrateur que j'ai créer. Comme lorsque par exemple, Aypierre raconte tous ses cauchemars, le narrateur se tait pour le laisser parler, mais Aypierre reste personnage. Et bien c'est très différent. Le maître du jeu devient narrateur et le narrateur devient auteur. Quand à moi même, auteur de la CHM, ne suis je pas en quelque sorte le maître du jeu suprême au dessus de celui de la CHM ? Mais pourtant c'est un personnage qui parle bien encré dans le texte. Le narrateur et l'auteur ne peuvent pas regarder l'heure, ils peuvent faire qu'un personnage regarde l'heure, mais eux même ne le peuvent pas. Ainsi donc mon narrateur et l'auteur deviennent personnages, Tandis que le personnage s’émancipe de l'histoire pour parler directement au lecteur comme pourrait le faire le narrateur et l'auteur. Et le lecteur est pris lui même dans ce cirque car pour pouvoir parler avec un personnage, il faut qu'il deviennent lui même personnage.
Pour compliquer la chose, il y a encore un dernier point. Il y a toujours un narrateur dans les dialogues. Toujours. Et bien là, comme narrateur est devenu personnage, il y en a un nouveau qui pour ne pas simplifier les choses, porte la voix de l'auteur. Si tu regarde bien. Il y a un vrai jugement péjoratif porter sur le maître du jeu. Je ne suis pas du tout d'accord avec les principes qu'il énonce ; par exemple : « Tout est histoire de point de vue ; a chacun sa conception de monde, après tous. » et l'inverse de ma philosophie. Totalement l'inverse. Et l'on sent ce jugement au travers du destinataire du dialogue.
Donc voilà c'est un peu un gros micmac. C'était très drôle à faire. Assez chaud. Mais j'adore ce genre de chose. Après je ne sais pas si le lecteur en est dérangé, mal à l'aise, un peu perdu, comme c'est sensé le faire au début.
Et c'est pour cela que j'ai choisit un telle titre. Toi, moi... et lui ? Mich, bien sûr pour l'auteur, le narrateur et le maître du jeu, car c'est lui qui dit cette phrase. Dich pour le lecteur et le personnage destinataire du dialogue. Et Ihn pour le personnage et Frigiel, parce que finalement, on ne parle que de Frigiel dans toute cette partie. Même si dans le passage en italique, il est mit au second plan, d'où les points de suspension et le « und ».

« tes chevilles vont gonfler » XD pourquoi tous le monde s'occupe de mes chevilles ?! Suis je donc si vaniteuse ? Je crois que je ne préfère pas connaître la réponse dont je me doute bien.

« L'angoisse de savoir, le stress, le mal-être lorsque le temps restant de vie se raccourcit lentement grandissent au fur et à mesure du texte, je trouve ça incroyable. » JOIE JOIE JOIE !!! J'ai réussit !!! Es geligt mir ( Datif, dommage, j'aurais voulu mettre mich ) Merci beaucoup pour ce gros compliment car cela faisait partie des effets visée, j'ai eut très peur de les ratter et je e suis beaucoup creusé la cervelle, mais tu viens de me dire que cela marche alors c'est la joytude.

« j'adore lire tes textes. » <3

«  Qui peut bien être ce fichu maître du jeu ? » je me le demande bien... xP

« Comme tu l'as si bien dit, Pierre ne s'est pas franchement et directement prononcé sur l'histoire de la sorcière. Alors je me pose des questions sur lui. » Il y a un petit problème Watson... « Je revois Aypierre. […] Bien sûr que la CHM aurait pu tomber, Aypierre a été très proche d'y arriver. Il n'y avait plus rien pour l'en empêcher. ». Aypierre est le premier personnage que tu peux innocenter. Le maitre du jeu parle... Est ce qu'Aypierre se mettrait à parler de lui à la troisième personne ? Est ce qu'Aypierre se mettrait en danger lui même ? Imaginons le plan machiavélique, car il y a un plan machiavélique... Donc imaginons qu'Aypierre soit le maître du jeu et ai créé la révolte contre le maitre du jeu pour pas qu'on le soupçonne de l'être. Dans aucun cas, il ne se serait fait si peur à lui même. Et puis « Je n'avais pas réussit à le rattraper. Il aurait détruit la CHM. » n'aurait eut aucun sens.
Donc Aypierre peut tous de suite être éliminer. Par contre, cela ne veut pas dire qu'il n'y a pas un problème avec lui. S'il pouvait détruire la CHM ( comme il a tenter de le faire ) , c'est qu'il savait comment la détruire... Donc qu'il savait pour les commandes blocs et qu'il savait où les trouver pour les détruire. Et donc aussi qu'il savait qui était le maître du jeu. Mais alors pourquoi cette histoire de sorcière ext... qui est quand même, celon Croustinette, l'interprétation faite par « Aypierre » ...
bon je me tais maintenant. Je viens de te donner beaucoup d'indice.

« Ensuite, Bill.. Non. Ça me paraît beaucoup trop gros pour être vrai. » Pourquoi ? Dans le contexte d'un plan machiavélique Bill pourrait l'être. Après tous Bill est le personnage qui manie la langue. Or pour moi, manier la langue est égale à savoir manipuler et on a bien vu comment le maître du jeu manipule. C'est uniquement du le philosophie et le pouvoir du langage... Mais bon, on ne va pas quand même oublié que Bill s'est fait tué par le maître du jeu. A moins que cela soit un plan machiavélique...

«  mais ça me paraîtrait un peu stupide de reprendre le "méchant" qu'a utilisé TMA. » Comme toute l'intrigue de la CHM et 4 chapitres ont été rédigé avant que TMA ai fini son texte, il aurait été possible que son maître du jeu soit aussi le mien. Cependant cela m'aurait grandement contrarier. Mais du genre, vraiment...
Surtout que je suis très fâchée de la manière dont TMA a amené sont maître du jeu. Elle l'a sortit comme cela de nul par, ex nihilo. Il faut un maître du jeu donc on va prendre un personnage de façon random et lui filer un diamant de Gamemode, et puis voilà. Ah oui, il lui faut une raison. Bon bah l'amour est un véritable four tout. On va dire que sa copine est morte. Quoi ? Cela fait apparaître un personnage à la toute fin de l'histoire ? Et alors ? C'est pas grave
Bah juste, non. C'est grave. Pour qu'une histoire se tiennent, il faut pas foutre n'importe quoi. Enfin bref, je suis très fâchée avec l'histoire de TMA, a partir du chap 4 je ne crois que je n'ai que des reproches. Alors que son point de départ était super, elle n'a pas su le tenir. Et c'est un peu ce qui 'a motivé à écrire entièrement la CHM. Bon petit coup de colère/déception.

« J'ai posé mes hypothèses, donc clairement, je penche du côté de Pierre ou de Octo' et Crousti' » Merci beaucoup pour tes hypothèses !!! merci ! J'adore savoir ce que les gens penses, ce à quoi, ils arrive et puis c'est super intéressant pour moi car tous au long de la CHM, je mets des pistes qui servent à aider le lecteur où au contraire à le perdre. Par exemple cette phrase d'As2pick : « Même règle pour tout le monde, seul les Patrick ont leur place dans l'univers d'après la Cité d'Hakuna Matata. J'ai été furieux au début, mais maintenant je voix bien l’œuvre de purification dont elle fait partie. Elle élimine les lâches et les traîtres. » Il semble très content de la Cité. Bien sûr, il ne dit pas clairement en être l'auteur, mais parce qu'il ne peux pas le dire claire, ce serait un peu suicidaire. Il ne fait que dire qu'il approuve. Il n'y a qu'un pas entre approuver et faire.
Donc voilà, il y a avait plein de petit truc comme cela et les hypothèses me permettent dde voir ce qui a marché ou pas et les réflexions qu'on a pu avoir, mais qui ne me sont pas venu à l'esprit.Donc merci beaucoup d'avoir prit la peine de les faire ! Et je retourne travaillé à la suite

Mich

Miss Otaku

"Je suis malaaaaadeuh!" toi aussi ? repose toi bien. et reviens en forme et l'esprit claire. On fait de la logique aujourd'hui, vaux mieux ne pas avoir les méninges déjà casser, car si non cela ne paraîtra être que du charabia.

"Dès le début tu m'épates!"

"je reviendrai ce soir ou demain." reviens quand tu veux, j'attendrais

repose toi bien !!

Mich

"je crois avoir réussit un nouvelle achivement: Réduire le cerveau en compote ?" Haha, totalement, je pense qu'on peut te l'accorder :')

"Tu aurais des conseils ? Des remarques sur ce qui t'a gêné, sur ce qui est à revoir ?" Oh, tu sais, c'est peut-être pas plus mal que ce soit un peu compliqué à comprendre. Frigiel fait face à de grosses révélations d'un coup, ne serait-ce pas normal d'avoir la tête un peu étouffée ? Après, je ne saurais dire ce qui exactement a fait obstacle à une compréhension directe. Je ne pourrais pas dire qu'il y a trop de détails, tu as justement fait attention à ne pas trop en rajouter. Les pensées, c'est quelque chose de rapide, compliqué, et surtout difficile à cerner. Alors, de mon point de vue, tu pourrais peut-être juste un peu éclaircir, mais pas au point de tout rendre clair.. (je sais pas si j'arrive à me faire comprendre xD)

"Gard aux belles descriptions ! Elles sont traîtres, très souvent là pour faire illusion. Et Gard au dialogue anodin entre personnage ( indice ! Indice ! ) Rien n'est là au hasard. " Je m'en souviendrais pour le futur xD Héhé, je crois qu'une relecture s'imposera lorsque la fin sera arrivée.

"un autre gros pavé, cela n'aurait pas été supportable. Donc je les ai entremêlé." Je trouve que c'est une excellente idée, moi ça m'a bien plut ^^
Ah, un débat sur le rôle de l'auteur, du narrateur et des personnages. Je n'ai pas franchement le temps de développer à mon grand regret, et puis je ne vois pas ce que je pourrais ajouter sur tout ce que tu as dit.

"je me le demande bien... xP" Ce sadisme du suspense xD

"Il y a un petit problème Watson..."
Oh. Ma mémoire m'a fait défaut je crois xDD Même un sacré défaut. Oui, c'est vrai que ça aurait paru étrange vu comme ça.
"Et donc aussi qu'il savait qui était le maître du jeu." Raah, ça me frustre de pas savoir qui c'est xD Aypierre connaît forcément tout le monde à la cité (d'après ce que le maître du jeu a dit), ce n'est donc en soit pas un indice.

"Or pour moi, manier la langue est égale à savoir manipuler et on a bien vu comment le maître du jeu manipule. " Oui, mais pour moi, Bill est un personnage intelligent, et bien que l'erreur soit humaine, ça m'aurait étonnée qu'il oublie de cacher les commands blocks..

"Elle l'a sortit comme cela de nul par, ex nihilo. Il faut un maître du jeu donc on va prendre un personnage de façon random et lui filer un diamant de Gamemode, et puis voilà." C'est vrai que le méchant n'avait pas franchement de logique dans son histoire et sa trame :/

"Merci beaucoup pour tes hypothèses !!! [...]" De rien, ça me fait plaisir. J'aime bien réfléchir et donner mes propres conclusions

"[...] Il semble très content de la Cité." Je me rappelais pas de cette phrase, à part la fin oO J'ai vraiment besoin de tout relire x)
"Il n'y a qu'un pas entre approuver et faire." Je suis d'accord. Mais vu comme tu me présente ça sans spoiler, je me doute que ce n'est pas lui l'auteur principal. Par contre, il y a donc peut-être participé, qui sait ?

Je le répète, ça me fait plaisir de "débattre" en quelque sorte à propos de la trame d'une histoire et de son futur ! =)
Nyal.

J'ai lu.
Donc...

Ce sont des commands blocks donc:
- Aypierre a tout faux.
- Frigiel est un génie.
- Le MDJ est doué.
- Bill on sait pas trop.
- Tu es très douée. Une idée si simple qu'elle ne nous viendrait pas à l'esprit alors que pourtant elle était logique! Tu es pire que ceux qui ont créé Death Note. Oui, c'est un compliment.

Les phases en italique c'est le MDJ qui parle?
Si c'est le cas, je l'apprécie de plus en plus! Son personnage me captive. Il dit tout et son contraire dans un raisonnement pourtant logique et compréhensible! Si ton cerveau marche correctement ce qui est mon cas. En fait non. Si il est pas trop abimé non plus. Je m'écarte du sujet...

Mais il y a un truc qui me titille. Et qui ne peut titiller que moi puisque je suis, semble-t-il, la seule qui considère Frigiel comme un idiot.
Frigiel passe de débile profond à pur génie.
En un chapitre. Pouf! Intelligence supérieure.
Mais on peut très bien se dire qu'en fait il a eu raison là, pour une fois. N'empêche que tout mon être continue de crier qu'il est idiot.
Oui je suis bornée. C'est idiot.

HAKUNA MATATAAAAA!
Ces mots signifient,
Que tu vivras ta viiiie!
Sans aucin souciiiiiis!
Philosophiiiiiiiiiiiiiiiiiiie!
Ahem.

Donc si je résume, le MDJ est:
- Un ami proche de Zelvac
- Un ancien participant de la CHM
- Intelligent, haineux et sadique
- Qui a des préférences parmi les participants.
Ça réduit vraiment ma liste de des suspects...

Ce chapitre est, pour moi, très différent des autres.
Il est constitué uniquement de réfléxion et j'aime bien.
Je ne le dirai pas meilleur parce qu'il y a certains chapitres qui sont inégalables.

Et là révélation.
J'ai perdu ce commentaire deux fois. Et je l'ai entièrement refait, bien qu'il soit très long.
Mais bon, niveau longueur tu bats tout le monde!
Bref, je trouve ce chapitre génial.
C'est ainsi que se finit ce long commentaire que je suis heureuse de pouvoir ENFIN t'envoyer.
J'ai toujours autant d'admiration quand je lis tes chapitres.
Cette fin est trop sérieuse...
HAKUNA MATATA!
GATAAAAAAAL!
SUICIDE DE SIPHANO!
Je ne ferais JAMAIS de commentaire sérieux.
Enfin pas en aimant. Quand j'aime pas je ris pas c'est nul.
Je m'éternise.
Bref.
Superbe chapitre je te dis à bientôt,
Bisooooooooooooou!

Nyal

Code:

"je crois avoir réussit un nouvelle achivement: Réduire le cerveau en compote ?" Haha, totalement, je pense qu'on peut te l'accorder :')

Yeah !!! victoire !! Après rendre les gens mal à l'aise, leur détruire le cerveau !!

" Frigiel fait face à de grosses révélations d'un coup, ne serait-ce pas normal d'avoir la tête un peu étouffée ?" oui, ce que tu dis est logique... Et même me fournie une très belle excuse dont je te remercie. Seulement ce n'est pas très agréable pour la lecture... Mais enfin bon, tu viens de me passer l'excuse parfaite, alors voilà.

"Je ne pourrais pas dire qu'il y a trop de détails, tu as justement fait attention à ne pas trop en rajouter." Bien vu, j'ai supprimé tellement de détaille, de petit fait, de petit indices... Cela faisait trop, cela embrouillait. J'avais un peu mal au cœur de ne pas les évoqués alors que les mettre était un grande activité à l'écriture de chaque chapitre. Mais bon, je me dis que cela restera des perles cachés pour les lecteurs attentifs. Un moyen de garder du mystère. De pas dévoilé tout le texte à quelque chose aussi qui me plait.

" tu pourrais peut-être juste un peu éclaircir" XD alors tu ne le sais pas, mais en fait c'est ce que j'essaye de faire depuis trois semaines, mais au point où j'en suis, je ne sais plus comment faire. C'est pour cela que je te demandais ce qui posait problème, pour voir ce que je devais attaquer ou supprimer.


"Je m'en souviendrais pour le futur" le future s'appelle deuxième sous partie...
"je crois qu'une relecture s'imposera lorsque la fin sera arrivée." de toute la CHM ? Oui, c'est fort possible, je suis d'ailleurs en train de la réécrire... J'ai déjà fait 4 chapitres, je vais les mettre à jour un fois que je l'aurais entièrement fini. J'ai rajouter quelques scènes, modifié des répliques de certain personnage pour créer une sorte d’écho quand un autre personnage affilier au premier dit une phrase semblable, genre Aypierre Skillnez... et supprimer des trucs que je n'exploitais pas assez, parfois remplacé par d'autre chose. Mais c'est surtout le style que j'ai revu et l'orthographe. Mais il n'en reste pas moins que le texte que tu as là va être pas mal transformé... donc si tu veux le lire, soit tu relis tous en diagonale et tu retrouve le texte que tu avais lu, soit tu attends je ne sais pas combien de temps et il peux t'arriver d'avoir quelque surprise où des réponses en moins si ce que tu cherchais a été modifier ou supprimé...

"Ce sadisme du suspense" XD et encore dans la prochaine sous partie je donne tous pour trouver le maître du jeu, mais je ne donne pas son nom, ce serait trop gentil... Je suis en train de me demander si je vais faire des sous partie dans le dernière partie, et si c'est le cas, comment je peux l'organiser pour ne dévoiler officiellement le nom du maître du jeu qu'à la toute fin.

"Même un sacré défaut." XD je dirais même plus, sacrément défaut. C'est normale. et puis c'est le mot que j'ai mit à la fin qui t'a introduit en erreur. En fait il était destiné à ceux qui aurait une réaction un peu comme Miss Otaku :

Code:

- Aypierre a tout faux.

Non, Aypierre n'a pas tous faux, cela aurait été trop simple si cela avait été le cas. C'est le lecteur qui crois qu'Aypierre a tous faux qui se trompe, car en fait, vous ne savez que très peu de chose d'Aypierre. Mais je lui répondrais sur ce point là dans sa réponse, pour ne pas me répéter. Cependant cela pourrais peut être t'aider...

"Raah, ça me frustre de pas savoir qui c'est" Combien de temps je vais la laisser attendre ? Normalement tu peux trouver dans la partie suivante. J'aurais été très embêté que tu y arrive avant, car cette partie aurait été mortellement chiante pour quelqu'un qui avait déjà comprit, et cela aurait aussi voulu dire que j'étais super prévisible, ce qui est assez moche ( Bon OK, je me tais Raika et Lielea sont depuis longtemps sur le chemin de la vérité.) Si tu trouve maintenant, je m'incline et te montre un grand respect, car ce n'est pas si simple... et si tu trouve dans la seconde partie, tu seras une lectrice très attentive et perspicace et ce sera un énorme bravo bien mérité... cependant ne pas trouver est tous aussi possible, car je ne donne pas le nom sur un plateau d'argent, il faut aller fouiner un peu... et puis tandis que je donne tous les éléments pour trouver, je fais aussi en sorte réthoriquement parlant ( bref je tente de manipuler le lecteur ) pour qu'il ne trouve pas facilement.

"Aypierre connaît forcément tout le monde à la cité (d'après ce que le maître du jeu a dit), ce n'est donc en soit pas un indice." tous le monde connait tous le monde. Ils sont tous plus ou moins amis. Quand il est dit qu'Aypierre connaissait le maître du jeu, cela veux dire qu'il savait qu'un tel était le maître du jeu. Aypierre savait beaucoup de chose avant de mourir, vraiment beaucoup...

" bien que l'erreur soit humaine, ça m'aurait étonnée qu'il oublie de cacher les commands blocks.." En fait le maître du jeu n'as jamais "oublié" de cacher les commandes blocks, car oui, ce serait une parfaite idiotie d'oublier de la cacher... tu dis cela à cause de cette phrase ; "Ils ne sont plus en sécurité, ils ne l'ont finalement jamais été." C'est que le maître du jeu croyait les avoir cacher... Il les a mit à un endroit dont il était sûr. Mais a apprit à un moment que sa cachette si parfaite ne l'était pas. Il a découvert une faille dans son propre plan, mais n'as pas su ( ou pas voulu parce que tout déplacé aurait été très dangereux) modifier ce qu'il avait fait. Il les a donc laissé là où il était. C'est pour cela qu'il dit que finalement ils n'ont jamais été en sûreté. Ils les as cru en sureté, mais ils ne l'ont jamais été.
Non, il était strictement impossible que le maître du jeu ai oublié de cacher ce qui lui donnait du pouvoir... Mais il pouvait ignorer des choses...
Je te rappelle, non, il n'y a aucun sous entendu, que ma CHM se passe en 1.8 ( pour le mur.... ) et pas 1.8.1 ou 1.8.2 ( pour autre chose... ) sais tu ce qui a changer entre les deux mises à jour ?
Bon maintenant je me tais, je suis en train de spoil ma prochaine sous partie. Cependant ce serait très drôle que tu trouve... On va voir ce que tu peux me répondre à ces indices et ce que je pourrais ajouter à ta réponse... et peut être a force de chercher trouveras tu quelque chose... Mais oui, tu soulève bien un problème au quel Frigiel n'a pas encore répondu : où se trouve tous ces commandes blocks, cela fait une sacrée masse quand même...

"Mais vu comme tu me présente ça sans spoiler, je me doute que ce n'est pas lui l'auteur principal. Par contre, il y a donc peut-être participé, qui sait ?" ah ah ah tout juste, As2pick n'est pas l'acteur principal, si non je ne te l'aurais pas dit si ouvertement... Mais oui, il pourrait très bien participer... Par exemple si Bill est le maître du jeu, et que sa mort n'est qu'un mime pour faire croire je ne sais quoi à Aypierre. Il faut donc qu'il ai eut un allier pour le tuer et donc faire semblant d'être la victime du maître du jeu ( #plan machiavélique ) donc oui, le maitre du jeu peut avoir un complice comme être seul...
bon si j'ai pris l'exemple de Bill, c'est aussi que ce n'est pas lui le maitre du jeu. Il y a avait un moyen de l'innocenter : Il a été tué par le maître du jeu ( ou allier comme le dit Aypierre au début du jour 8 ) Mais il reste la possibilité de simulation de mort... Cela voudrait dire qu'elle n'était qu'un spectacle construit à l'avance, prévu pour Aypierre. Or pourquoi faire cela ? C'est complètement stupide. Au contraire ça a réveillé Aypierre... Donc cela aurait été réellement con de la part du maître du jeu, qu'Aypierre voit la mort de Bill. Donc non, le maître du jeu ne voulais pas qu'Aypierre vois la mort de Bill, donc Bill n'est pas le maître du jeu. ( et en plus si c'était Bill qui avait prévu ça mort, il aurait fait les choses bien plus simplement... Bill a fuit, il s'est fait poursuivre... cela ne colle pas )
( je me permet de dire cela tous cela car cela n’apparaît pas dans le texte, ce genre de petite réflexion font partie des choses cachées )
Il y a plein de chose à apprendre du coté de la mort de Bill car c'est le seul moment de l'histoire où le maitre du jeu intervient ou fait intervenir directement. Pour certain autre truc, on ne sait pas exactement ce qu'il s'est passé, mais pour là, on connaît pas mal de chose. Pense à ce que fait Frigiel; il prend les effets les plus directe du pouvoir du maître du jeu pour réussir à l'identifié. On peut faire la même chose avec l'identité de ce dernier... Mais bon, je me tais à nouveau car il ne faut pas trop aider d'un seul coup... ( et aussi par ce que j'ai peur que tu trouves trop facilement, dans la mort de Bill, il y a le plus gros indice ever, genre aussi gros que le mur avec les commandes blocks, et depuis ce moment j'ai peur que quelqu'un remarque cette indice XD )

'ça me fait plaisir de "débattre"'' et bien tant mieux, par ce que moi aussi cela me plais vachement, je crois que la taille des réponses que je te fais est suffisante pour prouver mon enthousiasme ! C'est trop bien ce genre de discutions...

A la prochaine ( dans une autre réponse peut être ^^ )
Mich

Miss Otaku

"J'ai lu." veni vidi vici

"- Aypierre a tout faux." et bien non justement !! C'est pour cela que je mis cette note au bas de page !!!! ne prends pas Aypierre pour un nul. Il est plus redstonne, certes. Mais il connait quand même les commandes blocks. il est pas con, il sait réfléchir comme Frigiel... et si Aypierre avait eut tous faux, le maître du jeu n'aurait jamais dit cela : " Il n'avait qu'un dernier pas à franchir pour tout faire tomber. Je me demande encore ce qu'il se serait passé si Skillnez ne s'était trouvé au devant de ce pas. J'aurais perdu. Je n'avais pas réussit à le rattraper. Il aurait détruit la CHM. - Oh, non ! Ne soit pas si surprit. Bien sûr que la CHM aurait pu tomber, Aypierre a été très proche d'y arriver. Il n'y avait plus rien pour l'en empêcher." S'il avait eut tous faux, il n'aurait pas mit autant le maitre du jeu en danger...
Ne juge pas Aypierre si rapidement, tu ne sais réellement rien de lui. Vous savez très bien ce que les autres disent de lui, ce que lui même fait, mais pourquoi il le fait et ce qu'il pense, pas vraiment... regarde ce passage : Il est très représentatif du personnage d'Aypierre. IL a comprit quelque chose, il sais quelque chose. Mais ne le dit pas... Aypierre avait beaucoup avant de mourir. IL n'a juste pas parler

Code:

Aypierre passa sa main dans ses cheveux et arrêta son geste au sommet du crâne. Un froncement douloureux s'ajouta à son air soucieux. « Qu'est-ce que tu as ? » Demanda Croustinette en le voyant faire la grimace. Il sortit sa main couverte de sang. Elle poussa un cri, horrifiée.
« Ce n'est rien, et même cela me rassure. J'ai dû me cogner quand la chaise s'est cassé et m'évanouir. Cela explique que j'ai mis du temps à reprendre conscience.
- C'est moi qui ai renversé la chaise. Désolée...
- Ça va. Tu peux te recoucher, je vais ranger tout cela.
- Pourquoi veux-tu m'éloigner ? Qu'est ce que tu veux faire ?
- Je ne veux rien faire.
- Tu mens ! Je viens de te sauver la vie, Aypierre ! Tu peux au moins me dire ce que tu redoutes ! On travaille en groupe et la base du travaille en groupe est la confiance et la discutions entre chaque membre. Il faut vraiment que tu apprennes à  accepter l'aide qui t’ai offerte, à agir avec des alliés à tes cotés, à pouvoir compter sur quelqu'un. Tu ne peux pas tout faire seul, la tâche est trop grande. »
Aypierre se raidit tout à coup. Croustinette fit un pas en arrière. Les yeux d'Aypierre flambaient.
« He bien, viens, si tu veux. » Son ton était dur comme de la pierre et tranchant comme une lame de couteau. Elle ne savait pas qu'elle venait d'enfoncer un pieu dans la poitrine d'Aypierre. Comment aurait-elle pu savoir en effet que ce qu'elle venait de lui dire, Shorty le lui avait déjà répété avant de mourir. Par ses simples paroles, elle lui rappelait qu'il ne serait pas mort s'il l'avait écouté.
Ensemble ils descendirent dans les circuits de redstone qui entouraient la base. Croustinette ne se trouvait pas dans son monde, elle regardait Aypierre vérifier chacun des pistons, chacune des lampes. Les lumières clignotaient de partout. Au sol, les fils  se croisaient et se contorsionnaient, traçant un labyrinthe de formes et des courbes dont le sens caché n'est dévoilé qu'à celui qui sait les lire. Pour elle ce n'était qu'un tissu d’énigmes et de questions, mais à lui ce circuit parlait comme à un ami et il le touchait du bout des doigts avec la même délicatesse que s'il effleurait un livre ancien. Elle comprit réellement ce qu'il lui avait dit hier. Oui c'était parmi la redstone qu'il pouvait trouver le repos qu'il cherchait. C'était son monde et il y était heureux.
« Aypierre, je ne crois pas que l'incendie soit accidentel...
- …
- Et je sais que tu penses exactement la même chose, mais que tu ne veux pas me le dire. Pourquoi je ne le sais pas...
- Ah oui ?
-L'explication de la bougie est bancale. J'ai du mal à croire que ce soit la fumée qui t’aie fait perdre conscience et ta blessure au crâne ne vient pas de la chute que je t'ai faite faire. Si tu t’étais cogné à la chaise, il y aurait eu au moins une petite trace de sang. Tu en avais la main couverte après avoir touché la plaie ! Et là, tu es en train de vérifier si la redstone n'a pas dysfonctionné, permettant à un intrus d'entrer et tu prévois de fouiller les grottes car tu soupçonnes la présence de quelque chose d'anormal dans les galeries. J'étais avec toi quand nous avons miné toute cette obsidienne – dit-elle en montrant d'un geste vague le mur noir bleuté qui les entourait – j'étais avec toi et j'avais déjà remarqué les regard inquiets que tu jetais aux alentours. A moi aussi, la mine m’a parue habitée ! Aucun des minerais n'avait été pris, mais cependant une présence traînait dans l'air. C'est cela que tu soupçonnes sans me le dire et c'est cela que tu iras voir à l'aube !
- Élémentaire, mon cher Watson. »

"Frigiel est un génie." et "En un chapitre. Pouf! Intelligence supérieure." Nop, il est un philosophe. Tu es surprise par son évolution, mais pourtant, cela fait longtemps que je l'annonce et que je la travail, d'ailleurs beaucoup beaucoup de gens l'on remarqué depuis longtemps... J'ai dit au début de la partie précédente que Frigiel avait su se débarrasser de l'illusion... Donc non, il n'y a sur ce point de vue là, pas d'incohérence. Par contre, je ne dis pas qu'il est un génie... Il peu faire des erreurs...

"- Tu es très douée." Merci

"Une idée si simple qu'elle ne nous viendrait pas à l'esprit alors que pourtant elle était logique! " bah c'est encore rien, comparé à l'identité du maître du jeu... Si j'arrive à bien ménager cela et a ne pas me auto spoil, je crois que cela va faire un assez gros choc, du moins j'espère, c'est quand même le truc majeur du dernier chapitre !! et pour que cela ne vienne pas à l'esprit alors que c'est logique, c'est du travail. Du travail sur le style, sur la manière dont les indices sont mit et sur la manière de les dévoilés. Et je peux t'assurer que cela peut être un véritable casse tête. Est ce que je le dis assez souvent pour qu'on n'ai pas l'impression que cela sort de nulle par ? est ce que cet indice n'est pas trop gros ? Comment je peux formuler la phrase pour qu'on prette plus attention à ceci et non à cela ? Comment j'organise mon chapitre pour que le lecteur ne voit pas le truc mégà important qu'il y a dedans ?
je fais référance à ce que j'ai déjà dit à Nyal.

Code:

Tu vois avec la scène de Frigiel regardant le mer, un des grand principe de mon écriture : Tout sert à quelque chose. Celle belle description des flots n'était pas là pour faire jolie, mais pour distraire le lecteur de l’information importante. Comme Frigiel, il se laisse emporter par le lyrisme de la scène et ne songe plus à ce mur qui est réellement l'important de ce passage alors qu'il semble reléguer au seconde plan. Il y a beaucoup de scène comme cela dans la CHM. Gard aux belles descriptions ! Elles sont traîtres, très souvent là pour faire illusion. Et Gard au dialogue anodin entre personnage ( indice ! Indice ! ) Rien n'est là au hasard.

C'est un vrai travail de manipulation littéraire que je fais depuis le début de la CHM et vu les retours que j'ai, je n'en suis pas déçue... Mais cela n'est vraiment vraiment pas simple.

" Tu es pire que ceux qui ont créé Death Note. Oui, c'est un compliment. " Alors là je n'ai pas la référence, je ne sais pas réellement ce qu'on fait les auteurs de Death Note sachant que je n'ai lu que le premier tome. Mais la philosophie sous jassante de ce manga ne m'as vraiment pas plus. ( oui, je sais, je fait chier avec ma philo ) mais si c'est un compliment, merci, même si je ne le comprends pas totalement.

"Les phases en italique c'est le MDJ qui parle?" yeap, c'est le maître du jeu.
"Son personnage me captive." C'est un effet attendu avec ce mode de narration. Je suis ravie de voir que cela à fonctionné avec toi ^^
" Il dit tout et son contraire " Non, il ne dit pas tous et son contraire, il est très logique. C'est seulement que tu n'as pas les réponses de la personne avec qui il parle donc parfois cela peut un peu bizarre, mais c'est logique. C'est juste que tu ne sais pas pourquoi il a créer la CHM, donc tu ne sais pas ce que motive ses actes, tu n'en connais pas la logique donc tu peux trouver qu'il y a contradiction, alors qu'il n'y en a pas... Tu es dans le même situation que le destinataire qui ne semble pas très bien comprendre toute les réactions du maitre du jeu.

"Si ton cerveau marche correctement ce qui est mon cas." heeeeeeuuuuu ??? What ?

"la seule qui considère Frigiel comme un idiot." oui justement pourquoi considères tu Frigiel comme un idiot ?

"HAKUNA MATATAAAAA!" Je me suis tapé ce nom débile pendant toute mon histoire, C'était si insupportable que j'ai transformé par CHM, pour ne pas à avoir à le répéter trop souvent. Il fallait pourtant que je m'en servent en ironie à un moment !

"Donc si je résume, le MDJ est:" ah ca c'est de la méthode et de la logique !! j'aime la logique. J'aime le méthode !
" Un ancien participant de la CHM " et qui donc ne serait pas réellement mort et qui a préténdu à la mort... Il faut voir comme cela c'est passé et où y a t'il des ambiguïtés...
"Qui a des préférences parmi les participants." on se souvient de cette phrase que l'assassin de Bill lui a dit avant de le tuer. On voit bien qu'il ne voulait pas faire de mal à Bill...

Code:

« Tu meurs par ta faute. Tu es intelligent Bill, trop intelligent. Je suis sincèrement désolé. Pourquoi n'es tu pas resté dans ta jolie petite maison ? J'avais même fait en sorte que personne n'aille fouiner dans la zone et te déranger. Tu étais tranquille, je m’occupais de mes affaires. Pourquoi a t-il fallu que tu sorte de ton hibernation ? Tu étais le seul à pouvoir te rendre compte de ce qui se passait. C'est ton intelligence qui t'a tué. Tu ne serais pas mort si tu n'avais pas eu raison. Tu ne serais pas mort si tu étais resté à t'occuper de ta maison. Tu ne serais pas mort si tu n'avais pas tenté d'informer les autres. Tu était le seul à pouvoir les réveiller, mais tu n'est plus désormais. Je n'avais pas le choix, c'était toi ou moi, et c'est moi le vainqueur. »

"Ça réduit vraiment ma liste de des suspects..." qui est ? alors qui suspecte tu ?

"Il est constitué uniquement de réfléxion" oui, et c'est ce qui me faisait très peur... Surtout qu'il y a la suite qui arrive avec pas tant d'action que cela, enfin si un peu, mais aussi beaucoup de réflexion.

"Mais bon, niveau longueur tu bats tout le monde!" XD j'ai bien répondre de façon approfondis à tous ceux qui ont la gentillesse de m'écrire un com. C'est un véritable plaisir pour moi. C'est très interessant de farfouiller dans un texte, de réfléchir ensemble, de chercher ensemble, de voir comment les autres pensent... je veux que les réponses que je fais soit belles ^^

Et toi super commentaire aussi !! Merci beaucoup d'avoir pris la peine de l'écrire !! C'est génial, en tous cas, il ne manque plus que Raika pour que je soit totalement rassuré quand à ce chapitre.

Je me suis donc trompée pour Aypierre...
Il a pas faux, il sait juste pas s'exprimer?
Bah les absents ont toujours tord et quand on est mort on peut plus trop savoir si on avait raison et tout le trala... Cette phrase est bizarre.
Bref, oui Death Note est... Spécial.
J'adore et je déteste puisqu'ils nous présente un héros qu'on croit gentil et qui est censé devenir mauvais mais... Il m'a jamais été bon.
M'enfin c'est mon avis, et moi je n'aime pas Light. Missa est plus sympa.
Pourquoi je considère Frigiel comme un idiot? Bah en fait chaque cellule de mon corps criait à chaque action de sa part "Mouais. Pas très futé. Même carrément idiot." Encore un fois, mon avis est pas trop... Je trouve pas le mot. Encore.
Ah oui la scène de la mort de Bill! Une raison de plus d'aimer le MDJ si il aime bien Bill!
Bon, il l'a tué mais c'est pas grave. En fait si c'est grave. Oui mais non.
Aucun sens dans ce que je dis.
Ma liste de suspects:
- Zelvac
- Leozangdar
-Aypierre (bon c'est juste parce que rien ne me prouve son innocence)
-Skillnez (bah quoi? il a tué Aypierre!)
-Harry (Excusez, du gravier v'est pas infallible)
- October (Elle. Bon elle est en avant dernière position, le dernier est Aypierre.)
Voilà. Je penche quand même pour Zelvac. Sa mort est trop floue.

Miss Otaku

"Je me suis donc trompée pour Aypierre..." oui ^^ et dans les grandes longueurs
"il sait juste pas s'exprimer?" Nop car cela revient à être con pour moi. Tu sais qu'elle importance que je mets au langage, alors ne pas savoir s'exprimer est un grave défaut pour moi... Aypierre savait et ne l'a volontairement pas dit... VOLONTAIREMENT...

"Cette phrase est bizarre." je confirme...

"ils nous présente un héros qu'on croit gentil et qui est censé devenir mauvais mais... Il m'a jamais été bon." mouais cela ne me surprends pas trop... Un héro qui rétablit la peine de mort selon ses propres critères et qui n'a rien à faire de la justice... Non moi, je ne te parle pas de l'intrigue, mais de la philosophie du narrateur qui me déplaît.

"je n'aime pas Light. Missa est plus sympa." hum... ? Light ? Missa ? Moi pas connaitre le mode du manga ou autre...

"chaque action de sa part " bah concrètement Frigiel ne fait rien. IL regarde, mais n'agit pas, si tu lui avais reprocher cela j'aurais compris, mais là je ne vois pas vraiment...

"Bon, il l'a tué mais c'est pas grave. En fait si c'est grave. Oui mais non." XD XD N'importe quoi. Tu me fais rire...

"Aucun sens dans ce que je dis." je confirme, bis...

"Ma liste de suspects" ah ah !! là commence les choses intéressantes !!

alors pour Aypierre,
j'ai répondu à Nyah, je me permet de m'auto citer

Code:

Il y a un petit problème Watson... « Je revois Aypierre. […] Bien sûr que la CHM aurait pu tomber, Aypierre a été très proche d'y arriver. Il n'y avait plus rien pour l'en empêcher. ». Aypierre est le premier personnage que tu peux innocenter. Le maitre du jeu parle... Est ce qu'Aypierre se mettrait à parler de lui à la troisième personne ? Est ce qu'Aypierre se mettrait en danger lui même ? Imaginons le plan machiavélique, car il y a un plan machiavélique... Donc imaginons qu'Aypierre soit le maître du jeu et ai créé la révolte contre le maitre du jeu pour pas qu'on le soupçonne de l'être. Dans aucun cas, il ne se serait fait si peur à lui même. Et puis « Je n'avais pas réussit à le rattraper. Il aurait détruit la CHM. » n'aurait eut aucun sens.
Donc Aypierre peut tous de suite être éliminer. Par contre, cela ne veut pas dire qu'il n'y a pas un problème avec lui. S'il pouvait détruire la CHM ( comme il a tenter de le faire ) , c'est qu'il savait comment la détruire... Donc qu'il savait pour les commandes blocs et qu'il savait où les trouver pour les détruire. Et donc aussi qu'il savait qui était le maître du jeu. Mais alors pourquoi cette histoire de sorcière ext... qui est quand même, celon Croustinette, l'interprétation faite par « Aypierre » ...
bon je me tais maintenant. Je viens de te donner beaucoup d'indice.

Skillnez
Ce n'est pas bête du tout !!! simplement pour les même explications qu'en haut, cela ne peux pas être Skillnez maître du jeu, mais il peut être une aide... Je n'en dis pas plus non plus.

Harry
ah ah... C'est pas bête du tous non plus !! C'est bien tu revois les morts, une d'entre elles est fausse et en effet on ne sais pas si Harry est réellement mort sous le gravier... En plus, il est rester avec As2pick alors que celui ci se disait clairement soutenir le projet de la CHM. IL n'a pas dit soutenir le maitre du jeu, mais entre le projet et celui qui mène le projet, il n'y a qu'un pas... Mais quoi, est ce que Thaek qui est aussi rester serait dans le coup ?

Zelvac
Même chose que pour Harry, c'est super de revoir les morts. IL n'y a aucun témoin... Cependant je ne sais pas si tu te rappelle qu'il avait pu tuer Aypierre a un moment, (juste avant que ce soit finalement Skillnez qui le fasse ) et il ne l'a pas fait, au contraire, il est aller chercher de l'aide, s'il avait été le maître du jeu pourquoi ne pas le tuer à ce moment là, alors qu'Aypierre était un si grand danger ?

- Leozangdar
- October
Pour ces trois là, tu ne m'as fournit aucune explication, donc je ne sais pas réellement comment te répondre... QU'est ce qui fait que tu les soupçonne ? Pourquoi eux ?

"Bon elle est en avant dernière position, le dernier est Aypierre." alors oui, comme tu m'as mit Aypierre avant OCtober, j'en conclue que ta liste était dans le désordre ?


Merci beaucoup pour toute tes suppositions !!! C'était super intéressant ! Vraiment très très intéressant ! Merci beaucoup !

Alors, quand l’humeur n’est pas au rendez-vous, pourquoi ne pas se lancer dans la recherche de criminels ? La frustration peut mener à bien des choses… Je crois avoir dit « avoir une très bonne hypothèse » quand à l’identité du maitre du jeu. Sauf que… ce n’est pas toute la vérité. En fait, je connais déjà son identité (après tout, j’ai piraté ton ordinateur, n’est ce pas ?  -)w(- *se prends une porte ouverte*
Mais comme je suis assez gentille quand même, pour éviter de gâcher la fin de ton histoire, je met tout cela sous spoiler. Je pense que cet effort me faudra bien un oscar, non ? non ?

Spoiler:

Faut arrêter la drogue madame Raikya u_u
Bien que j'ai tout de même tout lu et éclaté de rire plusieurs fois)

Je jure solennellement que mes intentions sont mauvaises que je n'ai consommé aucune substance illicite avant d'écrire ça u_u"
Eh oui, j'en suis capable toute seule, sans aide XD

hhhhhheeeeeeeeeeuuuuuuuuu.......... tous va bien Raikya. ne t’inquiète pas, tous va bien se passer, l'opération ne durera pas longtemps.... Quelques médicaments, une réponse que j'ai a te faire... Ne t’inquiète pas on va te soigner !

Calmez vous Madame Raikya U_U
Déjà, commencez par arrêter de lire/regarder Harry Potter xDD

M...maaaaais ;-;

Je... j'étais pas bien, OK ? u_u
Et puis, de toute façon.... Vous m'attraperez jamais ! *saute par la fenêtre et s'enfuit*

ps: quels sont ces préjugés ? Je ne lis ni ne regarde HP en ce moment. C'est quelque chose que tout le monde connait, voilà tout (eh voui, je suis aussi prévisible que ça u_u)

EDIT : Mich, j'espère que tu ne pense pas que je n'ai que ce tissu de connerie comme hypothèses XD ? Je me permet de préciser un point : j'ai quelques vagues idées mais je pense qu'en relisant la CHM on pourrai trouver ... sauf que j'ai pas le temps pour l'instant :'(

Raikya

"Mich, j'espère que tu ne pense pas que je n'ai que ce tissu de connerie comme hypothèses XD ?" Bien sûre que je m'en doute... Je connais la finesse de ton analyse, ma chère ^^
mais en tous cas je remarque ta stratégie. "Je n'ai pas le temps de relire toute la CHM, donc je risque de faire des hypothèses fausses donc je vais me taire" très tactique d'évitement... Bon OK, j’arrête de te troller, tous de façon tous le monde sait que tu as pirater mon ordi, donc que tu sais déjà tous et que tu fais seulement semblant de ne pas savoir...
Mais tu auras quand même ton oscar d'avoir tous mis sous spoiler ^^
et je remarque aussi l'étendue de tes connaissances en certain sujet ou je me demande parfois comment tu as fait pour savoir ce genre de chose "Norman Bates(-> psychose, le gars qui est à la fois un petit garçon effrayé par sa mère ET sa mère qui tue toutes les filles dont le « garçon » tombe amoureux" par exemple...

"*s’arme d’une loupe tout a fait inutile et prends et pose un chapeau ridicule sur sa tête*" gros moment de bug dans la tête de MIch qui s'attendais à un truc sérieux..
" je t’ai percée à jour Mich" totalement !
"Je suppose qu’on a du la forcer en kidnappant son poisson rouge préféré."    RIP le respect
"un des patriks avec une grosse tête" quoi ??? Pourquoi avec une grosse tête ?
" Harry" C'est par ce que tu parlais du sortilège d’imperium plus haut que tu l'a choisit lui ?
"u’ils lui volent tout le temps sa poupée vaudou." Mon dieu...
" Qui ? QUI ? " telle est la question...
"Bon, bien sur Siphano avec le soutiens des aliens, ça n’a pas trop plus aux autres. Frigiel, qui est, comme tout le monde le sais, un illuminatis convaincu, a décidé de se joindre à d’autres tandis que Zelvac (de la secte adorateur de raptor-jésus) et léo (un petit franc-maçon) ont fait de même." Ou le meilleur théorie What the fuck jamais poster sur la CHM, respect pour cette dernière...
"elle l’as tué pour avoir bloqué ses messages sur le chat" Non !! les messages !! pas les messages !
"tu tiens le coup face à mon intelligence infaillible?" ah non, la je t'avoue, je suis totalement morte ( de rire )

Bon si non je travaille durement à la suite de la CHM. Je fais le tris par le vide. C'est dur de jeter des pages entières d'explications. J'adore montrer à quelle point les choses sont mêlées. Comment chaque petit fait de la CHM a des conséquences et son importance propre. Simplement que si je dis tous, déjà cela devient très compliqué et puis très lent et très chiant. Donc je vais devoir laissé un vide et je n'aurais qu'à espérer qu'un lecteur un peu consciencieux voit tous ce que je n'ai pas dis. Pour que cela ne reste pas dans l’ignorance... Je déteste faire cela ! Ca me tue !

Tu sais Mich, au pire tu fais un hors série avec toutes les explications =)