Le secret du Manoir abandonné. partie 2

Bonsoir tout le monde !
Je poste enfin la suite après le gros fail de l'appli qui ne veut pas enregistrer. Bref, encore merci à StrikerSilentio pour avoir corrigé et amélioré mon texte.
J'espère qu'il vous plaira et bonne lecture.


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(Point de vue de Aypierre)

Le noir se dissipa peu à peu, me laissant tout de même une vision floue. Je crûs reconnaître l'endroit où j'étais il y a sûrement quelques minutes. Seulement, tout était propre et neuf, comme si je me retrouvais dans une autre époque. La douce musique persistait mais cette fois-ci, les notes qui émanaient des cordes du piano étaient menées par un pianiste au trait qui m'étaient familiers : ces cheveux châtains et ces prunelles basanées... Azenet. Je ne vis que quelques instants après des petits détails qui me firent penser le contraire : Aze n'avait jamais touché à un instrument de sa vie et il ne portait pas son habituel casque audio azur. ce n'était donc pas lui mais la ressemblance était flagrante. Je le vis soudain regarder dans un miroir maladroitement posé à côté du piano noir et aperçue, en même temps que lui, une ombre s'approcher lentement vers lui. Je ne pouvais voir son visage, il était pour moi vague et imprécis. La mélodie se stoppa.

"Je sais ce que tu viens faire ici." cracha presque l'homme que je ne pouvais m'empêcher d'appeler Azenet, sans lever une seule fois le regard vers le nouvel arrivant. L'interpellé ne s'arrêta pas pour autant, continuant sa marche, sûr de lui, finissant par s'arrêter à quelques mètres de lui.

"Qu'attends-tu ? Hein ? Qu'attends-tu ? Que je le fasse moi-même ?" reprit-il hargneusement en se levant brusquement. Malgré son air odieux, il gardait dans son regard de la... bienveillance ? Mille questions me traversaient l'esprit : de quoi parlait-il ? Mon cœur commença à taper contre ma poitrine comme un tambour, battant comme jamais. Je tremblais. Je ne comprenais pas ou plutôt je ne voulais pas comprendre.

L'ombre sortit furtivement un fin poignard à la poignée teintée d'or. Le pianiste gardait une allure déterminée mais ses yeux chocolat trahissent son stress intense. Je voulais réagir mais mon corps ne me répondait plus comme paralysé par l'angoisse. Je n'étais qu'un spectateur d'un spectacle infernal. Un hurlement de terreur franchit la barrière de mes lèvres quand la fine lame d'argent plongea dans le cœur de celui qui ressemblait tant à mon ami. Des larmes de douleur perlèrent au coin de mes yeux. Je me jetais en avant pour tenter d'amortir la chute mortelle du blessé, en vain, il me traversa comme si je n'étais qu'un fantôme. Je finis à genoux au côté du défunt, en larmes. L'ombre plaça délicatement l'arme souillée par le sang dans la main de sa victime et repartit lentement, comme elle est venue. Ses yeux perdirent leur étincelle de vie, devenant hâve, son visage devint blafard, sa poitrine ne se soulevait plus au rythme de son cœur, et ce dernier saignait abondamment, maculant le sol de son liquide vermeil, je voulais arrêter l'hémoragie, mais il était bien trop tard. Ma tête me fit souffrir, qu'est-ce qu'il m'arrivait encore ? Je perdis connaissance, rejoignant le corps à terre, retrouvant les ténèbres d'il y a quelques minutes.

"Découvre la vérité, délivre nous de la malédiction et protège ton ami... tu es notre seul espoir"

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(Point de vue BBoy)


Un silence inhabituel s'était installé depuis que l'on nous a emmené dans les chambres. Chacun fouillant les différents bibelots et autres babioles traînant sur les meubles de la pièce, non pas pour voler, évidemment, mais par ennuis. Sans réseaux et sans Internet. Il était bien trop tôt pour dormir et bien trop tard pour sortir. je soupirai en marchant jusqu'à la fenêtre, regardant le torrent de pluie, pluie qui ne semblait pas vouloir cesser. J'eus une petite pensée pour ma voiture restée dehors, me demandant dans quel état j'allais la retrouver le lendemain. Je fus interrompu dans mes pensées par un cri strident venant de l'autre côté de la salle. La scène qui se jouait devant moi était à la fois ironique et effrayante. Nems tremblant de tous ses membres contre un mur face à une sorte de sphère spectrale bleuâtre, flottant au-dessus du sol. Elle était sortie d'une espèce de reliquaire fait de ce que je pensais être du marbre et des pierres précieuses. Je m'approchais, méfiant, vers ce spectre. Il s'avança jusqu'à moi et repartit vers la porte de la chambre comme pour nous dire de le suivre. Nems, toujours pétrifié, me regarda d'un air médusé.

" Arrête de trembler frérot, tu vas faire écrouler le bâtiment! " lui dis je pour le sortir de sa transe.

" Comment tu veux que je sois calme alors que je viens de voir un fantôme sortir d'une boîte."
J'ai réussi !

" Moi, je les soulève, les fantômes ! beuglais je en me dirigeant vers la porte d'entrée de la chambre.''
Le troll, n'ayant pas le choix, me suivit, guidé par le spectre qui était déjà sorti de la pièce. Nous marchions à travers les différents couloirs sombres du manoir vraiment peu rassurant. Je me demandais si c'était une bonne idée de suivre un fantôme dans un bâtiment qui était censé être abandonné. De nombreuses toiles peintes étaient accrochées aux murs représentant des personnages, on croirait presque qu'il nous observait...

Nous arrivions dans un grenier sûrement rongé par les termites. Plein de vieilles bricoles étaient éparpillées à terre. Notre guide s'avança vers un vieux piano noir trônant au milieu de la pièce et, à ses pieds, une masse rouge vif et bleu profond étalée au sol... Aypierre. J'eus le même réflexe que Nems, courant sur notre ami inconscient, oubliant la boule de lumière qui venait de se volatiliser. Des perles salées roulaient lentement sur les joues pourpres de mon ami. Je n'avais jamais vu Pierre pleurer. Cette vision me fendis le cœur. J'essayais de le secouer dans l'espoir de le réveiller, sans succès.

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(Point de vue Aypierre)

J'entendis mon nom à travers la brume et le noir ambiant. Je me sentis doucement arraché de cet endroit sombre, tiré vers une lumière blanche, ouvrant lentement mes yeux encore embrumés par les larmes toujours présentes. Je reconnus sans difficulté Nems et Bboy auprès de moi et ce décor morne.

" Bro', ça va ? Qu'est-ce qu'il s'est passé ?" me demanda hâtivement mon ami à capuche, visiblement inquiet.

Tout me revint en mémoire: le piano, la musique, l'ombre et...

" AZENET !" hurlais je en me relevant brusquement, négligeant mon mal de tête, courant dans les corridors, essayant de me rappeler du chemin de l'endroit où je les vue pour la dernière fois. Je ne voulais qu'une chose : être avec lui, le serrer dans mes bras, oublier ce que je venais de voir, car je me suis aperçu de quelque chose en le voyant mourir devant moi, même si ce n'était pas lui, je tiens à lui... bien plus que je ne le pensais... beaucoup plus...

On ne se rend compte de la valeur d'une personne que lorsqu'il est trop tard. J'ai la chance de m'en apercevoir avant.

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(Point de vue Azenet)

J'avais enfin fini par me calmer, ce n'était pas trop tôt. En même temps, ce n'était pas facile d'arrêter de sangloter avec le bruit démoralisant de la pluie et des éclairs en musique d'ambiance. Je rentrais de nouveau dans la chambre plutôt lugubre en m'apercevant que Pierre avait disparu. Je n'en pouvais plus, je voulais partir de cet endroit maudit, mais pour ça, je devais le retrouver dans ce manoir immense que je connaissais à peine. Super. Surtout que mon ami au pull bleu avait le chic pour aller partout sauf là où il faut. Quelle bonne journée. Pour m'aider un peu, je frappais à la porte d'à côté. N'ayant aucune réponse, j'entrai et m'aperçus qu'eux non plus n'étaient pas dans leurs chambres. Génial, en plus de chercher Pierre, je devais retrouver les deux autres. Autant chercher une aiguille dans une botte de foin. Je pris une direction au hasard, on ne savait jamais, sur un coup de chance. Cette bâtisse était gigantesque. Tout ce que j'avais réussi à faire, c'est me perdre. Je priais pour qu'ils ne se soient pas fourrés dans le jardin de pierres tombales.

J'arrivai finalement dans ce qu'il semble être un salon, une pièce presque vide et obscure. Seuls quelques meubles à droit à gauche, une grande et vieille cheminée de pierre au fond de la salle et un fauteuil en motif de lys en face de celui-ci décoraient la pièce. J'aperçus une touffe brune au-dessus du dossier. J'allais la voir, pensant que c'était Aypierre, mais je me retrouvais face au maître des lieux, toujours le même teint livide, presque translucide. Je sursautai et lâchai une sorte de gémissement plutôt aigu, très peu crédible. Cet homme m'intimidait énormément.

" Je peux vous aider ?" Me demanda t-il, me sortant de mes pensé.

"Oh... euh... Non. Je cherchais juste mes amis, vous ne les avez pas vu par hasard ?"

"Non, je suis désolé. Voulez-vous que je vous aide à les retrouver ? Si vous y aller seul, vous allez sûrement vous perdre !"

Je ne savais pas trop quoi dire, il me faisait un peu peur mais dans un sens, il n'avait pas tord, cette maison était immense. J'acceptais donc, vraiment mal à l'aise. Nous commençâmes nos recherches dans un calme absolu. Je le détaillais de haut en bas, il m'intriguait. Cet individu était grand, il faisait une tête de plus que moi, il était plutôt fin et ses yeux étaient... vide. Je ne saurais pas les décrire, ils étaient comme ceux d'un aveugle, un peu vitreux et pas du tout expressif, pourtant il me voyait bien. C'était spécial. Durant plusieurs minute d'aphasie, et de malaise, je réussi à articuler un "Merci de m'avoir accompagné." presque inaudible.


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(Point de vue Aypierre)

J'arrivais, essoufflé, dans la chambre, haletant un peu sous l'effet de la course, m'apercevant que lui aussi était parti. Je tombai à genoux sur le plancher froid et dur, essayant de reprendre une respiration normale, retenant de toutes mes forces les larmes naissantes au coin de mes yeux. J'entendis les bruits de course derrière moi, sûrement mes deux amis m'ayant poursuivi depuis le grenier.

" Mec, maintenant tu vas nous expliquer ce qu'il se passe !" anhéla Nems.

Je n'y prêtais par attention, essayant de me rappeler la dernière chose que j'avais entendue en tombant dans l'inconscience la deuxième fois. Je me souvenais d'une voix très vague et douce voir même effrayante, elle me disait quelque chose d'important. Je fermai les yeux pour mieux me concentrer. Je me souvenais seulement de quelques mots. Vérité, Malédiction et Sauver. Quelle vérité ? Quelle malédiction ? Et pourquoi sauver ? Je distinguai Bboy et Nems s'énerver contre moi, probablement car je ne répondais pas. Je daignais enfin leur répondre, leur racontant en détail ce qu'il m'était arrivé. Ils me confièrent à leur tour comment ils m'ont retrouvé. Un élément de leur histoire me perturbait. Un spectre enfermé dans un reliquaire? Étrange. Si je n'avais pas vécu cette sorte de flash-back, je les aurais sûrement pris pour des fous. Je leur demandai de m'amener vers cette boîte, ce qu'ils firent. Elle était très belle et élégante, enrichie d'améthyste, de rubis et de saphir. Elle était déjà ouverte, je pus donc voir les objets à l'intérieur. D'anciens bijoux mais aussi une lettre et... le poignard a la poignée d'or et à la lame d'argent salie par des tache rougeâtre d'une couleur un peu cuivré de vieux sang. L'existence de ce couteau voulait dire que cette vision était réelle et s'était vraiment déroulé. Je grimaçai d'effroi, pendant que Bboy lisait la lettre. Je l'entendis blasphémer à mes côté et me tendre le bout de papier. Je commençai à le lire.

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" Il y a de nombreuses années, un jeune enfant d'à peu près sept ans, gâté et aimé par sa famille, vivait heureux dans un magnifique manoir, surplombant un grand jardin à la limite d'une forêt de chênes, l'ayant vue vivre et grandir. Il ne manquait de rien. Sauf peut-être de compagnie. Il n'avait jamais de contacte avec le monde extérieur, il ne pouvait que jouer seul dans sa grande maison vide. Mais malgré tout, il gardait une grande gaîté. Mais comme toutes bonnes choses ont une fin, tout bascula du jour au lendemain. Des hommes aux allures sûres et aux habits riches, avec un drôle de parchemin frappèrent à leur porte. Son père et sa mère le prirent hâtivement, lui disant de partir et de se cacher dans la forêt, de ne se montrer à personne, qu'il l'aimait plus que tout et le prit dans leurs bras avant de se séparer et de pousser les enfants vers la porte de derrière. Le petit obéit sans comprendre et courut tant que ses frêles jambes le pouvaient. Il entendit les cris de sa mère et les pleurs de son père, il voulait retourner voir ce qu'il se passait mais ses parents lui avait fait promettre de ne pas revenir avant la nuit. Son pauvre cœur encore petit battait tellement vite. Il se cacha dans un vieux tronc d'arbre tombé, attendant la nuit en pleurant dans ses bras. "Pourquoi tu pleures ?" entendit-il à côté de lui. Il sursauta et s'enfonça au fond de sa cachette, plaqué contre ses murs de bois. Il dévisageait ce jeune garçon qui lui avait posé cette question. Il avait les cheveux châtains et les yeux chocolat, avec une sublime petite bouille enfantine et rassurante. Son regard était protecteur et calme. Ses vêtements étaient salis par la terre et la boue ainsi que la touffe de cheveux sur sa tête. "Mes parents..." arriva-t-il seulement à articuler. Le châtain semblait avoir compris et commença à lui raconter plein d'histoires en tout genre pour lui changer les idées, ce qui marcha plutôt bien. Il se détendit, écoutant ce que le garçon disait. Il avait même réussi à le faire sourire mais une question lui brûlait les lèvres.

-Toi, tu habites où ? lâcha-t-il.

-Dans les rues du village un peu plus loin, je n'ai jamais eu de maison et mes parents m'ont abandonné à quatre ans. Maintenant, j'en ai six, j'ai pris l'habitude. Et toi ?"

Il lui expliqua alors tout du début à la fin, tout dans les plus petits détails.

''Il fait nuit, tu viens on va chez toi, peut-être qu'il son revenu !''

Il acquiesça et partit en direction de chez lui avec son nouvel ami, rentrant dans le manoir. Tout était dévasté, les meubles renversés, et le contenu des placards au sol. Il sentit son cœur se serrer, ses parents n'étaient pas là. Ils ne reviendraient jamais. Il courut dans sa chambre pour pleurer comme il avait l'habitude de faire à chaque fois qu'il était triste. Le jeune garçon l'accompagnant le rejoignit et lui demanda s'il voulait qu'il s'en aille.

-Non, s'il te plaît, ne pars pas... ne me laisse pas seul... s'il te plaît." Pleurnicha-t-il les yeux remplis de larmes. l'autre le prit dans ses bras pour le réconforter durant de longues heures.

Les années suivantes, les deux jeunes passaient leurs journées à aménager la maison, habitant tous les deux dans cette dernière. Leur amitié devenait de plus en plus forte et puissante, ils étaient inséparables, certains diraient un peu trop proches mais ils se fichaient du regard des autres.

À l'âge de vingt ans, voler de la nourriture était de plus en plus dur, alors ils décidèrent tous les deux de travailler. Ils commençaient à avoir des revenus importants et ne pouvaient plus vraiment s'occuper du manoir. Ils embauchèrent alors un domestique. Le châtain trouvait ce dernier sec et malsain, mais son ami ne l'écoutait pas, il finit par se dire qu'il avait peu été raison et que ce n'était que son imagination. Les jours défilèrent, tout se passer pour le mieux, mais encore une fois, ce bonheur prit fin. Un jour que le plus vieux rentrait chez lui, il vit son domestique accourir vers lui, affolé, et l'emmener dans le grenier. Ce qu'il vit le brisa en mille morceaux. Le corps sans vie de son ami, de son frère. Il se jeta à ses côtés, en criant, en hurlant, en pleurant de tout son être. Tout ce qu'il aimait venait de disparaître en quelques secondes. L'homme de maison lui tendit un bout de papier, une lettre lui disant pourquoi il s'était donner la mort et qu'il continue de vivre sans lui, puis un dernier adieu en fin de page, c'était tout. Il pensait vraiment que ses mots suffiraient à ce dernier de l'oublier ? Depuis ses jours, sa vis devint morose et sombre, il avait perdu goût à la vie, il était devenu une coquille vide, jusqu'au jour où il en eux assez, et se donna lui aussi la mort, perdant la vie pour espérer revoir celui qui était plus important que tout pour lui. Celui qu'il aimait."

Ouaaaah ! Je suis toute stressée maintenant !
Je vais jamais survivre sans la troisième partie :'(

C'est vraiment incroyable, l'histoire est captivante !
J'aime beaucoup, le texte est bien écrit et fluide, c'est agréable à lire.

Il y a juste une chose :

Nyx a écrit:

" Arrête de trembler frérot, tu vas faire écrouler le bâtiment! " lui dis je pour le sortir de sa transe.

" Comment tu veux que je sois calme alors que je viens de voir un fantôme sortir d'une boîte."
J'ai réussi !

" Moi, je les soulève, les fantômes ! beuglais je en me dirigeant vers la porte d'entrée de la chambre.''

Pourquoi le "J'ai réussi" ? J'ai eu beau chercher la raison de ces paroles, j'ai pas compris :/
Hâte de lire la suite !

Je suis contente que ça t'est plus.
Le " J'ai réussi " c'est qu'il à réussi de le sortir de sa transe ! Voilà. J'avoue il est un peu de trop. Merci pour ton gentil commentaire

LA SUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIITEUH !
°><°
Raaah bordel ! Je suis contente d'avoir eu le pc pour le lire cette partie ! Raaaah ! Bordel de nouille ! Magne ton putain de cul de redstoner Aypierre ! SInon tu va perdre Aze ! Oh... Wait ! Ca serait fun une bad end 8D

Ah ! Une bas end ? Je n'y avais pas pensé, mais c'est une bonne très idée!

*^* WIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII *^*

Merci pour la super l'idée !

Mais de rien ma chère

Naaaaaaaaan! Kanra, qu'as-tu fait ? :'(

#TeamHappyEnd

De 1 : t'as réussi à faire une faute à mon pseudo et de 2 : si tu fais une bad end je corrige pas, ça me traumatise trop

Aaah! merde ! Le pire c'est que je voilais mettre un "c" mais j'ai mis un "t" ^^'. Désloleééé.
Bon sinon je fais un sondage : Qui pour le bas end et qui pour le happy end ?

JE VEUX LE HAPPY END!!!!!!!
Et également, JE VEUX LA SUITE !!!

J'adore ce chapitre et le manoir est tellement intéressant que j'ai une énorme envie d'y aller.
Donc please donne moi l'emplacement du manoir, je veux aller dans le manoir !!!

HAPPY END !! (sinon tu fais les deux et tout le monde sera content. Si tu fais les deux, je veux bien bien corriger ta be si j'ai ta he en premier)

Oui, bonne idée, je vais faire les deux !
Le manoir se trouve ... au fin fond de l'Auvergne! Oui c'est le premier endroit que j'ai trouvé.

Ok bon bah, allons au fin fond de l'Auvergne et quand je dis "allons" c'est pour dire moi car ça rend mieux à moins que quelqu'un veut venir avec moi, il sera la bienvenue

Tout le monde vient avec toi !

C'est incroyable. J'adore l'ambiance, l'histoire est captivante, j'ai juste qu'une envie : avoir la suite.
Limite, je m'en fous du bad end ou du happy end, je lirais les deux, si tu fais les deux
Juste une question : Il y a combien de parties xD

Ah, et pour finir, j'aime pas faire ma chiante de l'ortographe, et je ne critique ABSOLUMENT PAS la correct de Silen, mais pour l'amour du ciel...

Nyx a écrit:

peut-être qu'il son revenu !'

...

ils sont revenus


Voilà, c'était tout pour moi <3

Oui bah fuck, je suis fatigué, j'ai un temps limité et 5 pages à corriger ! Avec deux heures de sommeil par nuit + les cours + les vidéos + mes aures textes hein !

La prochaine partie sera la dernière et je fais tellement de fautes que l'on en oublie certaine ^^'.
StrikerSilencio, je suis désolé tu etais fatigué et je t'ai rajouté du travail désolé.

Pas grave xD c'est juste que je suis énervée contre moi même d'en avoir oublié

Tu n'as pas à t'en vouloir pour ça, l'oublie et humain.

Putain les meufs vous êtes craignos ==
"Ouiiiin pas de Bad end" Nan mais c'est quoi ça ? Sérieux ça ça fou les pétoches !

Ah ok. Bah... Bah ok.
L'histoire va se répéter et Aypierre va empêcher ça?
Euh... Nan mais pas de problème! Je trouve ce scénario... En fait non le scénar est bien mais le concept est... Enfin... Je connais ce genre de truc et j'aime pas énormément. Mais si c'est maîtrisé, ça peut être cool.
Mais sinon je trouve ça si... Si... Si waaaaaaaaaaaaaaah que je te mets un smiley wah voilà.
Bah c'est tout, salut!

Ça ne va pas se répéter de la même manière. Tu verras !

OMG J'ADORE CE CHAPITRE *^* (et puis cette partie avec les pseudo ancêtres de Aze et un mec obvious)
J'aime tellement cette fic je need la suiiiite ;-;
#TeamHappyEnd Flo!