A+ en lan ! - Chapitre 3

Cookie !

Voilà la suiiiiiiiiteuuuuh !
Tant que j'ai des chapitres en réserve, je pense que je vais en mettre un tous les deux jours ! On en a déjà pour une bonne semaine !
Allez, bonne lecture !
Flo'

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- On dirait bien que maman Alderiate est arrivée... ricana le pauvre type qui l’avait mis au défi.
- Ou plus si affinité, rit Sardoche en regardant fixement l’endroit où se trouvaient mes mains.
Je me détachai de Chap et gardai l’une de ses mains dans la mienne pour l’empêcher de faire d’autres bêtises. Je lançai un regard plein de rage à l’abruti qui venait de me traiter de femme, puis un autre sévère à Sardoche, qui baissa les yeux. Je me tournai ensuite vers Chap et cherchai son regard. Il devait être complètement loin, j’avais l’impression d’avoir un enfant devant moi.
- Ça va ? lui demandai-je d’une voix calme, me retenant de ne pas lui hurler dessus.

Il ne me répondit rien et son état m’inquiéta. Je saisis son verre qui se trouvait sur la table ainsi que  son T-shirt. J’ignorai royalement ses deux compagnons et je tirai sur sa main, l’emmenant en direction d’un endroit plus calme. J’entendis l’un des deux autres, sûrement pas Sardoche, me crier :
- C’est ça, va le violer plus loin !
J’eus une forte envie d’aller lui montrer que c’était plutôt sa mère que j’avais envie de violer, mais je me retins, concentrant mon attention sur Chap qui me suivait toujours tant bien que mal. Nous atteignîmes enfin les toilettes et je l’entraînai à l’intérieur. C’étaient des toilettes publiques normales, avec trois cabines et deux lavabos. Je sentis Chap se débattre un peu et je le laissai se libérer. Il voulut courir vers la sortie mais je le rattrapai avant.
- Lâche-moi Alde, tu gâches toujours tout !
Sa remarque ne me fit ni chaud ni froid, malgré son ton larmoyant.
- Je m’amusais bien avec les autres et tu m’as encore empêché d’être content ! T’es vraiment nul ! Je te déteste !
Il se débattait mollement. La voix enfantine et lasse avec laquelle il parlait m’empêchait de le prendre au sérieux. Il était bourré jusqu’à la moelle, cet imbécile. Je le sentis arrêter soudainement d’essayer de m’échapper et il plaqua sa main contre sa bouche. Comprenant immédiatement de quoi il retournait, je m’écartai de lui et il courut comme il put vers une cabine, tombant à genou devant les W.C..

Je soupirai et m’approchai de lui. Il glissait toujours plus, comme incapable de soutenir sa tête. Il était affalé sur la cuvette, ses mains essayant de s’agripper au rebord sans y parvenir. J’eus pitié et je passai doucement un bras sur son ventre pour venir le surélever légèrement et ma main libre se glissa sous son menton pour lui relever la tête, histoire qu’il évite de se vomir dessus. Je le calai contre moi, son corps moite collé à mon torse, attendant patiemment qu’il finisse, légèrement dégoûté. Il soufflait difficilement. Une fois que je fus sûr qu’il avait tout rendu, je l’aidai gentiment à se relever et il tituba un peu et s’agrippa à moi. Ses cheveux étaient trempés de sueur et je pouvais sentir son corps brûler sous mes mains. Il n’avait vraiment pas l’air bien du tout. Je le forçai à se laver les mains et passai un coup d’eau sur son visage. Il soupira doucement de bien-être avant que je ne l’aide à s’adosser contre un mur. Il se laissa glisser et finit sa course assis par terre. Je le laissai faire avant de lui amener un verre d’eau. Il le regarda comme si un monstre allait en sortir. Je pris sa main et lui refourguai le verre de force.
- Bois, lui ordonnai-je simplement.
Il finit par tremper ses lèvres dans le liquide, avant d’en prendre une petite gorgée. Il grimaça et me rendit le verre, dégoûté.
- Oui je sais, c’est pas bon. Mais si tu veux avoir les idées un peu claires, il faut que tu le finisses, d’accord ? tentai-je.
Il refusa encore. Je soupirai, découragé. Il m’avait laissé tombé à midi et maintenant je devais le baby-sitter parce que monsieur avait décidé de prendre une cuite à un moment totalement inopportun ? J’hésitai à lui faire ouvrir la bouche de force et à laisser couler le liquide dans sa gorge, mais après réflexion, je me dis que l’idée était mauvaise. Je réfléchis à une autre solution et un sourire se dessina sur mon visage. Il fallait que je paraisse gentil. Il sembla réagir à mon « changement d’humeur », car il me dévisagea, curieux.
- Si tu le bois, je te fais un câlin !
Je vis des étoiles s’allumer dans ses yeux. Vraiment ? Je le vis porter le verre à sa bouche et en avaler tout le contenu en quelques gorgées. Il me rendit le verre que je posai sur le rebord du robinet, avant qu’il ne tende ses deux bras vers moi. Je soupirai, légèrement exaspéré, avant de le prendre dans mes bras et de le porter pour le relever. Je sentis ses mains s’accrocher dans mon dos quelques secondes, comme s’il était content. Je le fis me lâcher et son regard s’assombrit un peu.
- T’es toujours fâché ? me demanda-t-il avec une petite voix.
- Non, pas si tu arrêtes de faire le con.

Il se mit au garde à vous et manqua de tomber. Je le rattrapai de justesse avant de lui fourrer son T-shirt dans les mains. Il me regarda sans comprendre.
- Mets-le.
- Mais j’ai chaud... gémit-il.
- Dehors, t’auras moins chaud.
La porte s’ouvrit derrière moi, je n’y fis pas attention.
- Dehors ? me demanda Chap intrigué.
- Oui, on rentre à l’hôtel.
- Ça tombe bien, je vous cherchais pour rentrer justement, m’interpella la voix ô combien reconnaissable de Dfg derrière moi.
Je me retournai, soulagé et il me regarda, intrigué.
- Vous avez fait la paix, c’est bon ?
- Dfg ! s’exclama le châtain en se jetant dans ses bras.
- Plus ou moins... grognai-je.

Je vis l’expression de Dfg changer et en un regard, nous nous étions compris. Nous pouvions déclarer forfait pour le lendemain, jamais Chap ne serait en état de jouer correctement. Ce dernier s’écarta du nouvel arrivant et enfila son T-shirt. Je lui attrapai la main pour l’amener à l’entrée où nous avions laissé nos vestes. Il semblait marcher légèrement mieux, mais je ne savais pas si ce n’était que le fruit de mon imagination. A mon grand regret, Dfg nous fit passer devant Sardoche et l’autre type, qui me lança un :
- Bah alors, vous avez été interrompus ? Tu préfères le prendre à l’hôtel ?
- Oui, bien sûr ! C’est vachement plus confortable, lui répondis-je, faisant mine d’être très sérieux.
Il écarquilla les yeux et je sentis la pression de la main de Chap sur la mienne augmenter. Nous les laissâmes bien vite derrière nous et rejoignîmes Melon et Brigels qui nous attendaient dans l’entrée. Ils eurent le même visage déçu que Dfg en s’apercevant de l’état déplorable de Chap. Le retour à l’hôtel se fit dans un silence presque complet. Seul Chap batifolait entre nous, l’air heureux. L’alcool l’empêchait de se rendre compte qu’on lui en voulait et c’était tant mieux.

- Ça va aller pour le gérer ce soir ? me demanda Dfg, l’air las.
- Ouais, t’inquiète. Je fais le faire boire de l’eau, pisser et au lit... soupirai-je.
Chap s’était arrêté net devant nous. Je voulus lui attraper le poignet pour le faire continuer à avancer mais il le retira brusquement. Je restai sans bouger quelques secondes, surpris.
- Je veux pas dormir avec Alde ! Il a dit qu’il allait me violer ! s’écria-t-il en se réfugiant derrière Melon.
Je soupirai. Il ne me faisait plus confiance à ce point ? J’avais un peu mal au cœur. Je venais de m’occuper de lui pour l’empêcher de finir en caleçon devant tous les membres de la lan et il me remerciait en ayant peur de moi... J’étais fatigué. A cause de la journée, de la soirée, de la dispute... Je n’avais vraiment pas envie de me prendre la tête à m’occuper d’un mec totalement bourré qui ne voulait pas de mon aide.
- Dfg, soupirai-je, tu veux bien qu’on échange de chambre pour cette nuit ?
Il me regarda et mon air abattu dut le convaincre. Il se tourna vers Melon qui devait normalement dormir avec lui et celui-ci acquiesça.
- Ok.
- Merci... soufflai-je.

Une fois à l’hôtel, nous nous séparâmes, la mort dans l’âme. Nous ferions le point le lendemain en nous réveillant, pour savoir si oui où non cela valait la peine que nous nous rendions à la lan. Je m’en voulais un peu. Si Chap s’était mis dans cet état, c’était de ma faute. J’en ferais part aux autres, pour qu’ils ne le considèrent pas comme seul responsable. J’étais allé trop loin et maintenant je m’en rendais compte. Je n’aurais pas du lui faire ça. Il avait fallu qu’il se saoule à s’en faire vomir pour que je réalise. J’étais triste et en colère. Je m’allongeai à côté de Melon, qui me souhaita une bonne nuit. Je lui rendis la pareille, sachant pertinemment que je n’arriverais pas à dormir.

Tristitude. Un Chap malade... C'est dommage ça! Ils ne pourront plus faire de parti de Lol! (Titi: euh... c'est choucroutte et blblbl =D ) (Di: J'ai ha^te de voir la suite comme d'hab'! ) Je crois que je suis fatiguée, pas d'inspiration pour se commentaire...
Hâte de voir la suite! Très bon Chap Itre ! (DI: Joli, ton rattrapage....) (Titi: C'était une blague, je crois.) (DI: Alors elle est vraiment crevée.)

Mouahaahah, la blague du Chap Itre a été faite et refaite je crois ! xD
Sinon, meurchiii !

(Titi: Ahaahahahahahahahaahaahahahaha!!!! *s'enfuit loin*) (DI: De rien!)

SUITE, SUITE, SUITE, SUITE, SUITE !!!!!

Hé non mais plz, c'est quoi ce Chap casse-c- ? o_o
- Hého, pas de mots grossiers.
Tu sais où tu peux te les foutre tes mots grossiers ?
- :0 Shocqué é dessu
è_é

Bon, il me semble qu'hier j'avais promis de faire un commentaire plus ou moins constructif x) Admirons le talent....

Alors déjà je vais commencer par dire que j'aime beaucoup cette fic *-* (Je reviens une heure plus tard pour continuer ce commentaire)
ENSUITE Merci de m'avoir fait découvrir Eclypsia c: Je les connais pas beaucoup mais grâce à toi j'apprends à les connaître et j'apprécie de plus en plus {Petite préférence pour le Chalderiate je t'avoue} Je dériiiive mais j'ai déjà plus d'inspiration, rt si ma vie est triste..

La déesse d'EC a écrit:

- Si tu le bois, je te fais un câlin !
Je vis des étoiles s’allumer dans ses yeux. Vraiment ? Je le vis porter le verre à sa bouche et en avaler tout le contenu en quelques gorgées. Il me rendit le verre que je posai sur le rebord du robinet, avant qu’il ne tende ses deux bras vers moi. Je soupirai, légèrement exaspéré, avant de le prendre dans mes bras et de le porter pour le relever. Je sentis ses mains s’accrocher dans mon dos quelques secondes, comme s’il était content.

CUTE x1000000000000000000000000000 C'est le hug de l'amour, le premier mais pas le dernier hein! (dis moi que c'est pas le dernier D8)

BON voilà je sais plus quoi dire d'autre mais tu auras remarqué que j'ai pas fait de "LBLBLBLBLLLLLL" Oh, wait
KEUR SUR TOA
Diiiiisparition!

Silen :

LA SUITE, LA SUITE, LA SUITE ! Hein ? xD

Nyal :

Ouais. J'aime bien le Alde de cette fic, mais en contrepartie, Chap est... Baaaaah... xD

Mista :

RT !
Le Chalderiate, c'est la vie, en tout cas ! ;D
Oui, j'avais dit pas de yaoi dans cette fic, par contre...
Mais du tendancieux ! ;P
BLEUBLEUBLEU LE CIEL EST BLEUUUU !
Wth... ? xD Pardon.
DISPARITIOOOON O.O

Floooooooo-tte de sous-marins *pardonpastaper* a écrit:

Ouais. J'aime bien le Alde de cette fic, mais en contrepartie, Chap est... Baaaaah... xD

Baaaaaaah il est carrément gamin; Mais genre gamin casse-pieds. (- "casse-pieds" ? Really ? o_o - attends j'essaye d'être polie là)
C'est à dire que moi je l'aurais déjà remis en place xD

Ahlala, troisième chapitre et ça commence déjà à se bourrer la gueule !
T'aimes toujours autant le babysitting d'homme alcoolique apparemment héhé.
Sardoche est vener sur cette fic :0
Perso à la place d'Alde je leur aurais déjà coupé la tête avec ma fausse épée de Tryndamere !
Brefbref *Re-disparaît dans le néant*
Non je ne viens pas de ressortir après 3 siècle d'hibernation

Mlle Ness a écrit:

T'aimes toujours autant le babysitting d'homme alcoolique apparemment héhé.

Gniaaaaarg <3