Bonjour tout le monde ! Nous sommes début décembre, donc il est bien plus que temps d'ouvrir les votes pour le concours Halloween ! Un grand merci à nos participants !! Nous avons reçus plusieurs textes et dessins, donc les votes entre les deux seront séparés !
Pour ce concours, vous aviez le choix entre trois thèmes différents : -Une scène d'Halloween drôle et touchante, en mentionnant par exemple les phases de déguisement, de récolte de bonbons, de fausses frayeurs aux coins de rues... -Raconter un événement d'Halloween glauque à souhait, où le suspense se fera ressentir de façon poignante et angoissante... -Un mélange des deux premiers thèmes !
A vous de juger qui respecte le mieux son thème dans chacune des catégories, et à voter pour votre création préférée !
Les écrits
Texte n°1:
Il s'étira doucement en baillant, frissonnant un peu en sentant ses os craquer un peu. Il était rester trop longtemps assis sur cette maudite chaise pour aujourd'hui ! Un regard à gauche, puis un autre à droite et il se leva, allant vers la porte. Il pouvait bien s'octroyer une pause bien mérité non ? Après tout, cela faisais des heures qu'il était pencher au dessus des papiers pour les sorties. Il retenait d'ailleurs l'organisateur de cette si « merveilleuse » idée, totalement cliché, de la maison hantée pour Halloween.
La personne avait balancer l'air de rien qu'il connaissait un endroit où nul n'en ressortait vivant une fois la nuit tomber. Et comme des cons, ils avaient relever le défi. Notre jeune héros était sceptique sur les rumeurs. Il ne croyait pas en l'existence des fantômes et autre chose paranormal, mais il ne pouvait laisser un doute subsister dans un coin de sa tête. Aussi, il préféra se documenté le plus possible sur le sujet pour pas être en proie de mauvaise plaisanterie.
Esprit, poltergeist, malédiction, creepypasta, démon, ange, … Tout était passé sous son œil inquisiteur. Il s'était aussi renseigner sur l'utilisation d'appareil électronique comme la spiritbox, ou plus ancien comme la planche de Ouija. Évidemment, c'est lui qui du tout acheter, mais certains avait tout de même donné un petit quelque chose pour la participation.
Quelques jours avant la soirée, il décida de se renseigner sur l'histoire du bâtiment. De ce qu'on lui avait raconté avant, c'était un ancien bâtiment qui avait été construit par amour. Un jeune noble voulait offrir à la demoiselle qu'il aimait une demeure où elle pourrait se sentir comme une reine. Mais une fois la construction de cette dernière terminée, la jeune femme avait rejeter l'homme et avait disparu de la circulation. Anéantie par le chagrin, l'homme abandonna la maison qui fut, plusieurs siècle plus tard, réaménager comme une école.
C'est par là que commence la partie sombre de l'histoire du bâtiment. Une classe fut victime d'un enchaînement d'accident. Au bout de deux mois, il n'y avait plus personne. Toute la classe était morte. Personne ne pouvait expliquer ce qu'il s'était passer. Le premier mort était un jeune homme qui était tomber de la fenêtre… Autant ne pas vous dire comment était la réception. La seconde, une jeune fille qui courra dans les escaliers, une aiguille à tricoter en main. Mauvaise idée. Résultat, un couloir remplie de sang.
Il frissonna d'horreur et préféra arrêter son enquête, ne voulant pas apprendre d'avantage sur l'histoire du bâtiment. Le soir d'Halloween, la sœur du jeune homme vint le voir et lui donna un de ses colliers préféré.
- Pourquoi tu me donnes le pentagramme ? Demanda-t-il surpris. - On dis que ça repousse les entités maléfiques. Je serais plus sereine si tu l'as avec.
Il soupira et le mit autour du cou, le pointant du doigt un fois fait, une moue exaspérer au lèvres. Sa sœur ria et l'emmena au lieu du rendez-vous. Il y avait déjà tout le monde, il était le dernier. Rassurant une dernière fois sa sœur, il entra dans l'ancienne école avec les autres, une légère excitation, mélangé d'angoisse. Il sursauta en entendant la porte se refermer avec violence derrière lui. Une des personnes ria nerveusement. L'enquête était ouvert ! Rapidement, il prit les choses en mains. Ils étaient 10 au total. 2 groupes de 5 qui allaient se séparaient pour couvrir le plus d'endroit possible. Son groupe eu la « chance » de devoir se poster dans la classe maudite.
Alors qu'ils y allaient, il sentit un souffle près de son oreille. Un souffle froid et désagréable. Il se retourna vivement et ne vit rien. « Peut-être le vent » se disait-il. Il entra dans la classe et commença a installer les différentes caméra de manière a voir tout les angles de la classe couvert. Rien ne devait leurs échapper.
Plusieurs heures passèrent sans que quoi ce soit n'arrive. Notre jeune héros commençait même à s'ennuyer. Il soupira et attrapa sa radio pour contacter l'autre équipe, qui n'avait pas plus de chance de leur côté. Il proposa de remballer leurs affaires lorsqu'un hurlement inhumain retentit dans tout le bâtiment, les forçant a se boucher les oreilles. Il attrapa une lampe et courra dans le couloir, espérant voir la chose qui avait pousser un tel hurlement. Il savait que se séparer du groupe était la pire idée qu'il avait eu, mais… Il comptait sur le « charme » de sa sœur pour être protéger. D'un geste nerveux, il serra le pentagramme dans sa main alors que son regard suivait la lumière de la torche, sans rien voir d'anormal.
Soupirant, il retourna à la salle de classe pour y découvrir le matériel saccager et aucune trace de ses camarades. Inquiet, il les appela, fouillant la pièce. Rien. Aucun indice. Sauf une caméra qui semblait encore enregistrer. Il s'y précipita et mit l'appareil en mode lecture, voulant savoir ce qui venait de se passer.
L'écran fissurer ne rendait pas la tâche facile, mais il parvint à voir une des filles de son groupe commencer à pleurer alors qu'une autre râlait. Puis soudain, un des appareils, la spiritbox s'il parvenait à bien voir, avait été éjecter de la table sur laquelle il était posé, alors qu'il n'y avait personne à côté pour le faire. Puis ce fut autour de la caméra qui était à l'opposer de la spiritbox. Les deux événements arrachèrent des hurlement aux jeunes qui était présent et qui tentèrent de fuir la salle. Une personne fut projeter sur un mur pour soulever du sol…
Prit d'un horrible doute, le jeune homme remit la caméra en mode enregistrement et activa la vision nocturne. Là, devant lui… Se tenait un homme à l'apparence horrifique. L'homme était grand, environ 1m90 voir 1m95, chauve. Il était torse nu et semblait porter un pantalon en tissu beige trop petit pour lui. Il était tellement maigre qu'on pouvait voir ses os, mais la carrure de ses épaules démontrait une incroyable force. Notre héros posa une main sur la bouche pour ne pas faire de bruit alors que la chose se tourna vers lui. Il put voir enfin son visage. Ses yeux était arraché, laissant des traîné de sang s'écouler sans fin sur ses joues, une partie de son visage avait été arracher, laissant la chaire sanguinolente à l'air libre. Un son dérangeant était émise par la chose, un peu comme celui de Sadako dans « The Grudge », mais en plus …. Lent, démoniaque. La créature avança doucement vers le jeune homme, mais… Sans le remarquer, plus comme s'il errait dans la salle de classe à la recherche de personne à tuer.
Prenant ses jambes à son cou, le jeune homme partit à la recherche de ses amis. Il devait les sortir de cet endroit avant qu'il n'y soit trop tard. Il bouscula accidentellement une personne, les faisant chuter au sol. Il se releva bien vite et fut surprise d'apercevoir que la personne qu'il avait bousculé était une fille de son âge, mais qu'il ne connaissait pas. Était-elle venu pour se tester ? Sans lui laisser le temps de s'en remettre, il lui attrapa la main et l'obligea à le suivre dans le dédale de couloir.
La demoiselle le suivit sans comprendre. Qui était-il ? Que faisait-il dans cet endroit ? Elle tourna la tête, essayant de voir ce qu'il cherchait à fuir, mais ne vit rien. Ils se stoppèrent vers le hall d’accueil, tout essoufflé.
- J'espère que les autres vont nous rejoindre ici… fit le jeune homme. - Tu n'es pas venu seul ? - Non, je suis venu avec une dizaine d'ami… Et toi ? - Je suis seule… Pourquoi êtes vous venu ici ? - Un défi et toi ? - Mh… Pour rendre le mort à la mort.
Cette phrase… Il l'avait déjà entendu quelque part, mais il ne saurait dire où. Il savait pourtant au fond de lui que c'était important, surtout ici… Il fouilla dans sa mémoire toutes les informations qu'il avait rassembler pour l'enquête quand la réalisation se fit. « Rendre le mort à la mort »… C'était le moyen d'éviter la malédiction pendant 1 ans… Et la fille qui se tenait devant lui… Etait une élève décédée il y a 90 ans, lors de la première année de la malédiction… Il l'avait vu, sur une des photos de classe qui avait été retrouver dans les archives. Misaki Mei… La première personne en trop… Le mort à rendre à la mort. Prit de panique, il recula, se croyant condamné.
La demoiselle sourit doucement, amusé par sa réaction. « Alors c'est toi notre mort ? »
De l'autre côté du bâtiments, le reste des amis de notre héros avait réussi à sortir du bâtiment, tremblant. Certains semblaient anéanti par leur actes de lâcheté et d'autre fêtaient leur survie. Ils étaient enfin sauver de la malédiction ! Du moins, c'était ce qu'ils croyaient, lorsqu'ils pénétraient dans ce qui devait être à la base leurs studio en location, mais qu'ils se retrouvèrent dans les sous-sols de l'école.
- C'est pas possible… Non… Non… Non… JE VEUX PAS MOURIR !! cria une des filles en larmes. - Je comprend pas ! On leur à donner le mort non?! On devait pas être denouveau là ! - Et si il nous avait maudit… ? - Tais toi !
La panique commença à éclater le groupe. Chacun se mirent à partir d'un côté, sans sentir le regard malveillant d'une certaine personne. La première a trouver la mort fut la pin-up du groupe. Une jeune fille qui ne jugeait que par la mode et le maquillage. Elle se retrouva en face du géant aveugle. Elle ne put entendre qu'une chose avant que la mort ne s'empare d'elle… «Pas le bon...» La seconde était le capitaine de l'équipe de basket de l'école… Il s'était retrouvé dans un cul de sac, entouré par des élèves maudit. La pluie de coups avait eu raison de lui, et un coup en particulier lui brisa la nuque. « Trompeur... » La troisième, quatrième et cinquième personnes étaient toute trois dans le club de musique et avaient été contre le projet de la nuit. Ils avaient tenter de les dissuader, de sauver le sacrifié en vain. Du groupe, on peut dire que ce sont eux qui eurent la mort la plus douce. C'était une belle jeune femme qui vint leurs apporter la fin, d'un baiser mortuaire et glaçant. « Merci... » Les trois autres personnes, n'eurent pas cette chance, étant les commendataire de l'opération. Ils eurent a affronter une terrible mort. Le premier fut démembrer, le second fut dévorer et le troisième brûler vif. « Assassin... »
Le lendemain matin, dans les journaux locaux.
Disparition de 10 élèves de la classe 3-3 de l'école X.
Selon nos sources, 9 des élèves présents ont essayer de faire un rituel pour se sauver de la malédiction de Misaki Mei, (c.f : le dossier « école maudite de 1830 » page 35) en voulant « rendre le mort à la mort » comme le veut la tradition. Cependant, il semblerait que leurs « victime » n'était pas la personne en trop et qu'ils ont été puni pour cela. Rappelons la malédiction pour ceux et celle qui l'aurait oublier. Chaque année, la classe 3-3 possède un bureau en moins pour le nombre d'élève et donc, pour rééquilibrer la chose, une personne meurt. Différente méthodes ont été trouver pour contrer la malédiction mais une seule semble réellement fonctionner lorsqu'on trouve la bonne personne : rendre le mort à la mort. Pour plus de détails, nous vous invitons à vous rendre à la page 35 de notre magasine.
Texte n°2:
Une nuit à Enferville.
Il était une fois un jeune... Euh.... Garçon ? Qui attendait ses amis assis sur un banc juste en face de sa maison de beau quartier résidentielle. Ses amis ne tarderaient pas à arriver. Ensemble, ils allaient partir à la chasse aux bonbons en espérant en avoir plein. C'était connus ; celui ayant le costume le plus effrayant sera celui qui repartira avec le plus de sucrerie. Cette année il espérait bien gagner le concours qu'ils faisaient avec ses deux amis qui gagnaient à tour de rôle chaque année. Il avait passé une bonne semaine à créer son costume avec sa chère maman et son adorable grande sœur. Il était déguisé en quelque chose d'original que personne d'autre pourrait avoir et en plus, il faisait peur ! Avant de partir en portant fièrement son déguisement sur le dos, la mère lui avait dit ces mots : « Fais attention mon Gaston et n'effraie pas trop les gens ! ». Dans les quartiers où le jeune garçon vivait, même lors des nuits les plus sombres, il ne se passait jamais rien. Pas de vols ni de combat de rue, rien qui ne puisse être raconté dans les journaux et c'était pour cette raison que les parents laissaient leurs chérubins gambader dans les rue la nuit d'Halloween. Les deux amis de Gaston arrivèrent enfin. Ils avaient dix minutes de retard mais le garçonnet ne réussit pas à être en colère tant il était content de voir ses amis si impressionné par son costume. -Incroyable ! Tu es déguisé en humain ! S'extasia le premier, un enfant loup-garou déguisé en lapin blanc. -Oui et pas n'importe quel humain, je suis en Dictateur ! Précisa fièrement Gaston, le vampire, en tirant la langue. Son déguisement représentait en effet un homme assez âgé excessivement maquillé à l'air stupide. -Nos costumes semblent fait avec les pieds à coté du tiens, se plaignis la petite momie de sa voix angélique déguisée en ange justement ; Un archange biblique aux ailes pures. Les trois enfants se mirent à rire et à blaguer avant de finalement décider de commencer la chasse aux bonbons. À force de faire perdurer la tradition, ils savaient quelles maisons donnaient des bonbons et quelles maisons avaient comme propriétaire de vrai radin. Ils débutèrent avec « Grand-mère Sabrina », une vielle sorcière, la dame la plus âgée du quartier voire de la ville, qui donnait des bonbons délicieux et sans sucre pour « ne pas que les adorables enfants finissent sans dents comme moi. » de sa propre recette. Pour cette manche, la momie gagna, comme chaque année mais elle gagnait uniquement car Sabrina favorisait les petite fille. Ils passèrent ensuite à Ombre, l'un des six oncles de celui déguisé en lapin qui gagna évidemment la manche, de peu pour ne pas que cela se voit. Mais toutes les autres maisons donnèrent plus à Gaston qui avait un costume si effrayant qu'un groupe d'enfant plus jeune que les trois amis fuirent en pleurant dans les bras de leurs parents riant de la scène. Les trois enfants arrivèrent finalement au bout de la rue terminée par un grillage menant à l'incroyablement grand jardin de l'incroyablement grand manoir d'une famille que personne ne connaissait tant ils ne devaient pas sortir sauvent de chez eux. En réalité les adultes disaient de cette famille qu'elle n'avait rien de commode et que les habitant de ce château ne voulaient pas sortir car ils se faisaient livré de la nourriture une fois par mois et ils commandaient tous ce dont ils avaient besoin sur la toile. Toile qui d’ailleurs avait un bout de fil qui allait jusqu'à la maison, malgré la fortune à dépenser pour avoir un tel privilège. Mais les araignées géantes s'occupant de ce réseau et des livraisons étaient tenues au secret professionnelles et ne disaient rien sur cette famille mais les peu de fois où elles en parlaient, elles semblaient effrayées et dégoûtées. Quels secrets pouvaient donc se cacher à l'intérieur du manoir et qui étaient les membres de cette famille ? Ces réponses, les trois petits monstres, de nature curieux comme tous les petits monstres, les voulaient depuis leur naissances, c'est à dire une dizaine d'Halloween. Mais chaque année, la famille prenait le soin de fermer leur immense grillage afin de n'avoir aucune visite sauf que pour une fois, ils devaient avoir oublier car le dit grillage grinçait et tapé contre le murait sur lequel il aurait dû être verrouillé. Gaston regarda ses deux amis, un énorme sourire sur son petit visage de dictateur. Sans attendre, l'ange se mit à pouffer et à sourire de toutes sa bouches décomposée et sans dents seulement le lapereau tremblait déjà de peur en couinant : -Non, non, non, non et non ! Si on rentre sur un terrain inconnu et aussi effrayant, même mes puces vont fuir ! -Tant pis, alors. Tu n'a qu'à rester ici tout seul ! Répondit la momie en rentrant déjà sur la propriété privée suivie par le vampire. -Me laissez pas ! Cria le loup-garou en partant à la poursuite de ses amis qui devenaient déjà invisible à cause de la brume humide et des grands arbres très touffue cachant tout le manoir. Il fallut tout de même cinq minutes de marches aux enfants pour arriver devant la grande porte de la maison. Ce fut la momie qui s'avança et utilisa la sonnette afin que quelqu'un, un membre de la famille, vienne apporter des bonbons. Mais évidemment, l'excuse d'Halloween n'était là que pour cacher la curiosité des trois chérubins. Personne ne vint ouvrir la porte alors que la sonnette avait retentis si fort qu'il était certain que le bruit s’est répandu dans toutes les pièces, y compris la cave s'il y en avait une, du château. -Qu'est-ce qu'il y a ? On dirait que tu as vu un humain. Demanda en riant Gaston au lapereau qui restait immobile, le teint pâle caché par ses poils, et qui regardait la fenêtre de l'habitation. -C'est- c'est... -C'est quoi ? S'impatienta la fille en mettant ses mains sur les hanches comme le font les femmes adultes. -C'est la cas ! Cria le loup en montrant du doigt en petit garçon humain qui les regardait par la fenêtre et qui semblait leur dire quelque chose. Les trois enfants hurlèrent de terreur en même temps avant de prendre leurs jambes à leur cou. Au même moment, l'orage retentis et des trombes d'eau tombèrent du ciel. Des humains ! Voilà ce qui vivaient caché dans cette bâtisse coupé du monde, loin de tout. Si loin que personne ne pouvait entendre qui que ce soit crier. La fuite du trio fut malheureusement vite interrompus par quelqu'un de grand et imposant ; un Homme adulte. Les enfants s'étaient cogné contre ses jambes avant de tomber dans la boue sur les fesses et de se prendre dans les bras et sanglotant pour se rassurer le plus possible, chose impossible fasse à un humain. -Allons, calmez-vous mes petits ! N'ayez crainte, je ne vais pas vous manger, tenta de les calmer l'homme avant de leur proposer de rentrer car il faisait, selon lui, un temps à ne pas mettre un dragon de compagnie dehors. En effet, il pleuvait tellement fort que les trois amis étaient trempé jusqu'aux os n'ayant pas la chance d'avoir un parapluie comme l'adulte. Les trois petits monstres et le garçon humain d'à peu prêt leur âges étaient tous les quatre devant un grand feu de bois de l'un des salon en train de déguster un chocolat chaud. La famille qui vivaient ici, composer des grands-parent, des parents et de la marraine du petit Victor, était en réalité très gentilles. Ils avaient donné des vêtements de rechange, emprunté au garçon, aux enfants mouillé et leur avait fait utiliser la salle de bain afin qu'ils se sèchent et n'attrapent pas froid. Les trois costumes étaient complètement gâché à cause de l'eau et de la boue mais Gaston en était content car il regretté le mauvais goût de son costume. Les humains ne sont pas des êtres effrayant qu'il faut fuir, ils sont en réalité très gentils et plein de sentiments et d'émotions. Gaston et les deux autres avaient appris que le rêve de Victor était de pouvoir fêter Halloween et partir à la chasse aux bonbons costumé lui aussi. Seulement il ne le pouvait pas car, une année, des personnes avaient tirées sur son visage et sa peau pour essayer de lui enlever un costume qu'il ne portait pas et lorsqu'ils avaient découvert qu'il ne portait pas de costumes, ils avaient pris peur et s'était enfuis en hurlant, la police avait dut intervenir. Victor avait alors huit ans et avait été traumatisé de cet Halloween n'osant plus recommencer. Cette histoire avait fendu le cœur aux trois monstres qui avaient alors promis à Victor de venir le chercher l'année prochaine et de faire la chasse aux bonbons avec lui. Pour le rassurer, ils lui avaient dit qu'ils mordraient et grifferaient les premiers qui viendraient à l'embêter ou se moquer de lui, même un peu. Mais pour l'heure, la nuit étant trop avancée pour la réalisation du rêve du petit Victor, les trois amis lui avaient donné tout leur bonbons pour qu'il puisse encore patienter un an. Quand les enfants rentrèrent chez eux, une fois la pluie calmée, ils racontèrent à leur parents et toutes leurs connaissances à quel point les humaines pouvaient être gentils. Et même si ça ne fut pas accepter par une grande partie des monstres de la ville, ils devinrent quand même ami avec le petit Victor qu'ils voyaient presque tous les jours en allant jouer chez lui.
Alors ; Il ne faut pas faire d'amalgame, certains humains sont très gentils et ils y en a peut-être qui vivent prêt de chez vous.
Texte n°3:
On est enfin arrivé au jour où beaucoup de personnes attendent avec impatience. Le soir où l’on se déguise. Le soir où l’on frappe chez les gens sans pour autant qu’ils soient surpris de nous voir. Le jour où l’on demande des bonbons en échange, le plus souvent d’un mauvais sort. Et le soir où l’on fait peur à ses amies, pour être dans le thème. Et oui, c'est bien d’Halloween dont je parle. C'est ce soir là que ma famille l'attendent depuis l’année dernière. Pour me présenter, je suis Margo et j'ai 15 ans. J'ai une petite sœur, Lili, 6 ans et un petit frère, Luca, 4 ans. Cette année va être le premier Halloween pour mon frère, car à chaque fois, il avait eu un contretemps (maladie, otite…). Il est donc tout excité à l’idée d’y aller, ce qui le rend trop mignon. C'est bientôt l’heure de se déguiser, donc je prépare toutes leurs affaires pour eux, ainsi que le maquillage que je leurs ferais. Je dois tout préparer, seule car mes parents sont au travail jusqu'à tard le soir. Mais c'est pas ça qui va nous gâcher notre fête. Quand je finis de terminer leurs costumes qu’une petite tape sur mon épaule me fait réagir. “Maaaargoooo !!” Je me retourne et vois une petite Lili toute souriante. “Oui, qu’est-ce qu’il y a ?” “C'est quand qu'on se prépare ?” “Bientôt, ne t’inquiète pas.”
Je lui fis un gros câlin et un bisou sur le front. Mais, un élément vient couper notre câlin. “Moi aussi je veux un câlin !!” Et je n’ai même pas eu la peine de lui répondre qu’il se jette sur moi et me serre aussi fort qu’il peut. Puis, il dit après : “Je t’aime grande sœur !” Et Lili réplique : “Moi je t'aime encore plus !” “Non, c'est moi qui l’aime plus !” “Non, c'est moi !” commence à s'énerver Lili.
Je les regarde et fait un gros câlin au deux en rigolant : “Moi aussi je vous aime, aussi fort l’un que l’autre ! J’aime autant Lili que Luca ! Qu’est-ce que je ferais sans vous”
Ils se mettent à rigoler et on reste comme ça pendant au moins 5,10 minutes. Je me sépare et murmure : “On va aller se changer maintenant”
À peine ai-je dit la phrase, qu’ils sautent de joie. Ah lala, ceux là ! “Je vais aller mettre son costume à Luca, tu voudrais que je t'aide, Lili ?” “Non, pas pour le moment.” “D’accord, bon allez viens Luca.”
Je monte à l'étage avec mon frère, me tenant la main et nous arrivons dans sa chambre. Il s’assoit directement sur son lit et prends son costume dans les mains.
“Wouah, il est trop bow ! Merci grande sœur !” “De rien mon petit ange !”
Son costume était un vampire. Un simple pantalon noir où il s'enfile très facilement. Puis, il met une chemise blanche, un peu transparente et rajoute par dessus, un sorte de costume rouge de petite taille, bien-sûr, et sans manche. Il enfile enfin la cape noire qui lui arrive au tibia et avec un long colle pour le derrière de la tête.
“Ouah, il est vraiment trop beau mon costume ! Tu es trop forte grande sœur !”
Et oui, c'est moi qui est fait son costume en entier. Étant donné que je fais des études professionnelles dans le styliste, je fais moi-même leurs propres vêtements ! J'ai commencé à en faire à l'âge de 7 ans. Et depuis, j’ai toujours fait les vêtements de ma soeur et de mon frère, ainsi que les miens, bien entendu !
“Et bien, je suis contente alors s’il te plaît !”
Lui dis- je, un grand sourire au lèvre. Il me répond à ce sourire en se jetant dans mes bras, comme à chaque fois.
“Aller viens, je vais aller de maquiller ton visage !” “OUI !!!”
Il descend les escaliers à grande vitesse et se dirige directement vers la salle de bain. Pour ma part, avant de le suivre, je vais voir si Lili s’en sort ou si elle a besoin d’aide. J’entre donc dans sa chambre et remarque qu’elle a déjà mis son costume et qu’elle est entrain de jouer sur sa DS. Elle est déguisée en sorcière. C'est elle-même qui avait demandé cela. Elle porte donc une robe noire qui lui arrive au pied et avec manche. J’ai coupé en triangle les bords et j’ai rajouté une ceinture rouge, comme elle m’avait demandée. Évidemment, elle a également un chapeau triangle en pointe, noir avec une ficelle rouge pour aller avec la ceinture. C'est simple, mais beau !
“Alors, on a fini de se changer à ce que je vois ! Et on ne me préviens même pas. On préfère jouer à la DS”
Me moquais-je de façon très ironique, en rigolant. Le problème, c'est qu'elle a du mal à comprendre ça et donc le prend toujours mal.
“Je… je suis désolée… Je… je m’ennuyais, c'est tout… Je ne veux pas t'enervé grande sœur ! Je…” “Oh, mais je rigole, c'est pour te taquiner que je dis ça, je ne le pensais pas, t’inquiète !”
Je l’a pris directement dans mes bras. Ah la la, elle a vraiment du mal à comprendre le second degré.
“GRANDE SŒUR !!!” “OUI, J’ARRIVE ! Bon, je te laisse ! Je m'occupe de toi après. À tout à l'heure ! “À toute !”
Je descend et arrive dans la salle de bain où Luca est assis, attendant depuis un moment sur un siège. Je prends mes accessoires de maquillage et le met sur la chaise, à côté. Je prends d’abord la peinture rouge sang ainsi que du rouge à lèvres. J’applique le rouge à lèvres et ensuite met la peinture au creux de la lèvre et la fait descendre. Et pour finir, je met un peinture blanche sur tout son visage. Voilà, avec ça, il ressemble vraiment à un vampire. C'est ce qu'il doit se dire car il n’arrête pas de se regarder dans le miroir en faisant une tête de méchant.
“Aller, dehors maintenant, c'est au tour de ta sœur. LILI, C'EST TON TOUR MAINTENANT, VIENS !” “D’ACCORD !!”
Luca s’en va et Lili entre et s’assoit direct sur la chaise. Je sort un rouge à lèvres, cette fois ci violet, du fard à paupières rose, du mascara et du fond de teint, rose également. J’applique d’abord le rouge à lèvres, puis le fond de teint en n’en mettant peu mais que sur le haut des joues. Je met ensuite le fard à paupières en mettant qu’au dessous des yeux. Puis, je rajoute le mascara, s’en trop en mettre.
“Voilà !” “Merci Margooo !”
Elle sort de la pièce en courant, puis je fais la même chose, mais en marchant cette fois ci. Mais j’arrive très rapidement dans le salon.
“Alors, vous êtes prêt à sortir ?” “OUI !!!” crient-ils en cœur. “Mais Margo, tu n’as pas de costume toi ?” s’exclame Lili. “Ah oui ! C'est vrai, j’avais complètement oublié. Je vais le mettre !” “Dis, tu es déguisé en quoi ?” demande Luca. “Ah ah, vous le serez quand je le mettrai. Pour le moment, allez prendre vos paniers, mettez vos chaussures et attendez moi près de la porte d'entrée.” “D’accord !!” disent-ils.
Je vais dans ma chambre. J'enfile mon costume très rapidement et les rejoins.
“Margo, tu es déguisé en quoi en fait ?” “Ahah, je suis déguisé en… FAUCHEUSE !!!” “Ahhhhhhhh !!!!” “Hey, nos stress, je ne vous serait pas de mal. Bon, allons y !” “Mais… Tu fais peur !” “Désolée… Aller, venez.”
Nous sortons de chez nous, nos paniers en mains et nous dirigeons vers la première maison, juste à côté. Nous allons dans l’allée pour aller sonné et nous remarquons tout de suite la décoration très Halloween. Des toiles d’araignées dans les arbres (bravo à eux d'ailleurs), des araignées par terre, deux squelettes nous accueille à l’entrée, des petits fantômes, par-ci par-là… Luca se dirige directement vers la porte, sans avoir peur alors que Lili reste derrière. Il sonne avant même qu’on ne soit avec lui et attends que la porte s’ouvre, joyeusement.
“Tu pouvais nous attendre quand même !” “Mais je… Je suis désolée…” “C'est pas grave” lui dis-je
Puis, la porte s’ouvre et une jeune femme, déguisée en… Et bien, c'est assez difficile de savoir. Un zombie peut-être, ou un vampire ? Vas savoir.
“BONBON OU UN SORT !!”
À peine Luca a crié sa phrase, qu'elle sort un grand panier de bonbon. Les deux sont les yeux grands ouverts devant tous ces bonbons
“Vous pouvez en prendre 3 chacun, celui que vous voulez”
Ils se jettent tous les deux dessus et ils se frappent pour avoir les meilleurs.
“Eh oh ! Ça suffit !!! Chacun son tour !!! D’abord Luca puis Lili, et on inversera à chaque fois, d’accord !!!!” “D’accord…”
Ils ont tout les deux la tête baissée. Ah, je déteste quand sont comme ça. Je craque tout le temps au bout de quelques secondes.
“Oh, je suis désolée, je voulais pas vous grondé.” “Nan, c'est nous grande sœur, fallait pas qu’on se chamaille pour si peu, désolée” répond Lili “Oui, désolée !!” dis Luca en se jetant sur moi pour faire un câlin où Lili le rejoindra. “Je vous aime tellement !” “Nous aussi grande sœur !”
“Et bah, c'est la première fois que je vois une famille aussi soudé et gentille ! Vous en avez d'la chance !” s’exclame la jeune femme. “Oui, je sais ! Ce sont de vrai petit diable avec un très grand cœur !”
Après, notre câlin, ils prennent leurs bonbons et nous partons à la maison d'à côté, sans oublier de dire au-revoir à la personne. Et ce fut comme ça pendant plusieurs maisons. Des disputes, quelques pleures mais beaucoup de câlin. Je l’aime mon frère et ma soeur, sans eux, je serais déjà parti de la maison. C'est la raison pour laquelle je reste dans ma famille et où je veux y rester jusqu'à ce que Luca a l'âge de faire tout, tout seul. Mais pour le moment, ce n’est pas encore arrivé. Nous marchons vers la dernière maison de notre quartier. Mais, c'est bizarre, il n’y avait pas cette maison avant ? Mmm… Mon frère ne s’en préoccupe pas et avance joyeusement vers cette maison alors que ma sœur reste en retrait à côté, ayant elle aussi remarqué ceci.
“Attends Luca ! Reste près de nous !”
Lui criais-je car il courait pour arriver dans la maison. Mais, ça ne change rien car on ne le vois plus maintenant. Il est déjà entré dans celle-ci. Nous nous dépêchons alors pour le rattraper avant qu'il ne se passe quelque chose. Nous arrivons en face de la maison ou plutôt du manoir. Nous entrons et je regarde dans les alentours pour voir où il a pu bien passé.
Nous crions son prénom mais rien ne se passe, aucun son de nous répond. Je commence vraiment à m'inquiéter là.
“LUCAAAAAA ! REVIENT S’IL TE PLAÎT, LUUUUUCAAAAAA !!!!”
Une larme coule sur ma joue et je sers très fort ma soeur, il ne me reste plus qu'elle pour le moment alors je n’ai pas envie de la perdre aussi.
“Surtout reste près de moi et ne pas t'éloigne pas ok ? J’ai pas envie de te perdre. Nous allons faire le tour de la maison pour voir s'il ne s'est pas égaré. Puis nous sonnerons à la maison. D’accord ?” “Oui Margo… J’ai peur…” “Ne t'inquiète pas, je suis là.”
Je lui fais un sourire qui lui fit changer d’humeur. Je sais que j'ai dis ça pour ne pas lui faire peur mais en réalité, j’avais peur moi aussi. Non pas de la maison qui peut être hanté mais surtout du faite que je ne pourrai peut-être plus jamais revoir Luca et ça, ça me terrifi ! Mais je vais faire tout mon possible pour protéger ma soeur, je ferai tout pour ne pas la perdre, je ferai n’importe quoi ! Nous marchons donc tout autour de la demeure et l’appelant. Malheureusement, cela ne fis rien et plus l’on marchait et plus je commence sérieusement à avoir peur. Lili tremble et se met donc derrière moi en s'accrochant à mes bras au passage. Nous voilà bientôt avoir fini de faire le tour mais aucune trace, aucun son, aucun indice, rien. J’espère que ce n'est qu'une simple blague, juste une blague de rien du tout et que là boum, il apparaît. … Mais non, rien. Rien de tout ça. Je commence à pleurer mais j’essaye quand même de le cacher. Malheureusement, Lili s’en aperçoit.
“Grande sœur, qu’est-ce ce qu'il y a ?”
Et là je m’écroule par terre. Non, pourquoi ? POURQUOI ??
“LUUUUUUUUCAAAAAAAAAAAA !!!!!”
Lili se mit tout autour de moi pour me faire un câlin et elle aussi se mit à pleurer. Je ne veux pas, je veux le retrouver ! Ou il est ? OU IL EST BON SANS ?? JE VEUX LE RETROUVER !!! Je me mis à regarder partout, jusqu'à ce que je vois le manoir. Le manoir… LE MANOIR, MAIS BIEN-SÛR !! C’est évident qu’il est à l’intérieur ! Une pince de joie me parcours, il y a encore de l’espoir ! On a encore de la chance ! Un sourire me parcours donc et Lili ne compris pas.
“Qu'est ce qu'il y a Margo ?” “Suis-moi, il y a encore de l’espoir !”
Je l'entraîne donc jusqu'à la porte d'entrée et je sonne.
Aucune réponse, je resonne.
Toujours rien…
[...]
Mmm, j’ai cru entendre quelques choses, mais je ne suis pas sur.
[...] [...]
J’ai pas rêvé, j’ai vraiment entendu quelque chose.
“... Mar….go…”
S’en même y réfléchir, j’ouvre la porte et m'empresse de regarder partout dans la demeure, en courant. Je sais que j'ai pas rêvé, je sais qu'il est là mais où ? Lili me suis, sous l’incompréhension mais ne parle pas. Je regarde partout, dans la cuisine, dans le salon, les chambres, dans l'étage, la salle de bain. Mais non, je ne vis rien, rien. La maison était complètement déserte.
Alors, je l’ai rêvé, je l'ai vraiment rêvé. Il n’est donc pas là…
“Je ne le reverrai donc jamais ! C'EST ÇA !!” “Margo, calme-toi…” “COMMENT VEUX-TU QUE JE ME CALME ?! ON L’A PERDU TU COMPRENDS !! IL EST…”
Avant même que je finisse ma phrase, elle se jette sur moi en pleurant.
“NE DIS PAS ÇA, IL N’EST PAS MORT !!!! JE SUIS SUR QU'IL C’EST SIMPLEMENT ÉGARÉ !!!” “... Oui tu as raison… Je suis désolée, je me suis emporté…”
Et nous restons comme ça pendant 5 min. Nous pleurons ensemble mais je m’arrête très rapidement pour consoler ma sœur qui sanglote.
“Tu as froid ?” “... Oui.” “Dans ce cas, viens on va rentrer à la maison et j'appellerai la police.” “Tu penses qu'ils vont le retrouver ?” “J’espère…”
Je me lève et aide ma soeur a se lever, puis nous partons de la maison. Nous passons par la cuisine et je regarde vite fait, une dernière fois. Et c'est où je vis, une ombre, une ombre qui sanglote. Je m’approche donc de celle-ci sans faire trop de bruit, mais je me fais quand même détecté. Elle me voit et cette ombre se lève et se jette sur moi à la sauvage en me faisant tomber.
Il pleure, beaucoup. Il s’accroche à moi comme ci ça vie en dépendait. Je le regarde, sous le choc de l’incompréhension. Il ne fait que de crier qu’il était désolé. Lili nous as rejoint et c'est blotti contre nous.
Je suis juste… heureuse, très heureuse. Il est là, dans mes bras. Il est vivant, vivant… Il est bien là, je ne suis pas entrain de rêvé cette fois, il est là… Je me mis à pleurer, non pas de tristesse mais de joie, de soulagement. Il est bien là, j'ai tellement du mal à y croire.
“Tu es là… Tu es bien là.. Je suis si… contente !” “Je suis désolée Margo… Je… Je voulais juste faire une blague, sous le coup de l'excitation, je n’ai pas réfléchi à ce que j'ai fait et en plus, j’ai même pas bouger, mais je ne pensais pas que ça…” “Chut maintenant, ce n'est de ta faute. Le principal maintenant, c'est que tu es là et pour moi, c'est tout ce qui compte. Alors, je suis prête à te pardonner !” “... Mm… MARGO !!!”
Il pleure en se resserrant sur moi. Ça se voit que, lui aussi, à eu peur. Peur qu’on parte sans lui, peur de sa propre blague. Mais on l'a retrouvé et ça, je peux juste dire que j’en suis très contente. Pendant, qu’il pleurait, il c’est endormie sur moi. Je le mit donc sur mon dos et le ramène à la maison, avec Lili à mes côtés, bien-sûr. Elle aussi a été bouleversé par tous ce là.
Une simple petite blague qu’une simple petite personne peut faire de grands moments de pleurer, d’angoisse, d’inquiétude. Mais pour finir, il n’y a que d'la joie et du bonheur qui est là.
Je l’aime mon frère et ma soeur, et pour rien je ne pourrai les échangés. Je préfère mourir plutôt que de les perdre. Car se sont mon grand bonheur du quotidien ! Je vous aime !