Lorsqu’on me réveilla pour mon tour de garde, je remarqua que le feu était maintenant éteint. Je surveilla lorsque soudain j’entendis des branches se cassé. J’étais en état de panique. Et si c’était Siphano qui était revenue ? Non… Je l’ai blessé je crois… Alors, cela devrait être des ennemies. Je pris mon épée entre mes mains et resta assisse sur ma branche. Les bruits se rapprochaient de plus en plus… Je tremblais. Je devais protéger Crousti et Heaven. Je vis une ombre sortir du bois. Je n’arrive pas y croire… Kigyar… Juste là, blessé… Je ne bougea pas. Mais mon regard était sur lui. Il avançait et soudain, il leva les yeux vers moi. Je sursauta et il me sourit.
Kigyar : Descend. Je t’ai vu Thunder.
Moi : Pourquoi je devrais descendre ?
Kigyar : C’est vrai… pourquoi ? Je n’ai aucune envie de me battre. J’ai besoin d’aide c’est tout.
Moi : Et pourquoi le grand Kigyar, celui qui a gagné 2 jeux, voudrait l’aide d’une pure inconnue qui participe à son premier jeu ?
Kigyar : Je sais que tu as une dent contre Aypierre.
Je grogna. Cet Aypierre de merde… Je descenda de l’arbre et m’approcha de Kigyar. Je mis mon épée dans mon sac. Il me regarda.
Kigyar : Tu me fais confiance ?
Moi : La question se pose en retour…
Kigyar : Oui. J’ai confiance en toi. Toi ?
Moi : Pas vraiment.
Kigyar : Allons y.
Il commença à partir et je le regarda partir. Il s’arrêta, se retourna et me dévisagea.
Kigyar : Tu fais quoi la ?!
Moi : Mais t’es con… Je ne pars pas sans Crousti et Heaven.
Kigyar : Mais elles seront un poids de trop pour nous.
Moi : Je m’en fou. Je me suis promis de les protégé alors je vais le faire.
Il soupire et recommença à marcher vers moi. Il arrêta à plusieurs mètres de moi et s’assit. Je resta surprise.
Moi : Tu fou quoi ?
Kigyar : J’attends.
Moi : Tu attends quoi ?
Kigyar : Que tu réveilles les filles. Pour qu’ensuite, on puisse partir.
Moi : Ah parce que tu crois que c’est toi qui va me dire quoi faire ?!
Il ne répondit pas. Je leva la tête vers le ciel et me murmura « Petites sœurs, dite moi que tout va bien à la maison. Que vous êtes en vie. Vous me manquez. Je vais gagner ces jeux pour vous. Je vous aime. ». Des larmes coulèrent sur mes joues mais j’avais un sourire aux lèvres… Je senti des bras se refermer autour de moi. Je me débâtie et lorsque je me rendis compte de qui appartenais ces bras, je resta calme. Je pleurais encore et il essaya de me consoler… en silence.
*Chapitre 6 finiiiiiiiiiiii o/ !
Merci de lire je vous nem. <3*