cet os est un peu comme une réponse à un de mes anciens os :https://communautesadique.forumactif.fr/t1532-on-ne-comprend-la-chance-que-lon-a-que-quand-on-la-perdu je vous invite à le lire.. ou non ceci et le point de vue du garçon ^^ bonne lecture !
La vie m'a pris de court quand je t'ai vu. J'ai cru que j'allais mourir, je ne sentais plus les battements de mon cœur mais ils étaient bien là.
Tu m'as regardé et puis tu as souris. Tu étais si belle. Je ne pouvais que te sourire en retour. On s'est aimés. J'avais l'impression d'avoir des ailes. De grandes ailes blanches me permettant de voler sur le bonheur.
Nos sms après notre séparation, nos coups de téléphone, tout était si parfait bien sur sa ne pouvais pas durer.
Et un jour tout ça c'est évanoui. Mes ailes se sont brulées.
Je ne contrôlais rien, tu m'as regardé sans pouvoir parler, sans pouvoir bouger. Je t'ai pris dans mes bras une tristesse infini s'emparait de moi. Que s'était-il passé ? Pourquoi en sommes nous arriver là ? Comment tu es arrivé là?
Ah oui ce foutue sms... Disant que c'était fini. Je suis arrivé à l'hôpital et j'ai trouvé ta chambre. Une armée de médecin on tenter de m'empêcher de rentrer mais je voulais te voir au moins une dernière fois. Ta mère était rentrée en pleurs et avait pris ta main libre.
Nous sommes restés un moment sans bouger pendant que tu t'éteignais lentement à petit feu. Au bout d'un moment je ne pus retenir mes larmes.
Que voyais-tu dans son lit ? Un jeune homme qui pleurait à côté de ta mère en pleurs ? Mes larmes coulaient maintenant à flots sur mes joues, s'écrasant sur les draps blancs qui semblaient briller comme mes ailes de bonheur avant.
Je t'ai regardé, me rappelant de ton rire si doux et mélodieux. Je me rappelai de ta joie de vivre malgré ce secret que tu ne m'avais pas dévoilé. Je t'ai tout à coup trouvé bien courageuse. Tu as puisé dans tes dernières forces pour nous sourirent en disant tes derniers mots.
- Pardon, adieu, je vous aime....
Ton regard perdait de plus en plus d'éclat et bientôt je ne vis plus rien de celle que je connaissais. Ton corps était désormais froid, sans aucune vie.
Je pris ta mère sanglottante dans mes bras, elle aussi avait perdu quelqu'un qu'elle aimait. Je souris à travers mes larmes c'est surement ce que tu aurais voulu...
Depuis ce jour je ne peux m'empêcher d'être triste même si au fond je ne le montrais pas, j'essayais de me tromper moi-même et les autres. Sans grande réussite je l'avoue. Mes journées devenaient mornes, rythmé par un faux sourire et des jours d'éternelles études. Puis je me suis décidé à aller sur ta tombe.
J'ai une vision, tu me souriais, entourée de nuages. Deux grandes ailes semblables à celle que j'avais l'impression d'avoir quand tu étais de ce monde.
Tu m'as souries, encore. J'ai éclaté en sanglot, la première fois depuis l'hôpital. Je te l'ai dis. Que l'enfer c'est pour celui qui reste et qui se souvient de l'autre. Tu m'as dis de vivre. J'ai pleuré encore plus. Tu as disparu dans une dernière caresse. Jamais je ne me suis expliqué comment ou si c'était réelle mais je m'y suis raccroché et j'ai vécu. J'ai vécu pour 2 sans jamais m'arrêter de rire ou de sourire. Tu m'as vraiment aidé en quelques sortes. Maintenant je me rappelle de toi en souriant parce que c'est ce que tu as voulus. Personne sauf toine ma fais sourire autant, jamais…
en fait j'aime bien écrire dans la tristesse x) mais je me suis dit on a eu le pdv de la mourante autant voir celui de celui qui vit non ? (bon on va faire bref avis svp et merci d'avoir lu !)