Ce coeur malaimé et poignardé jusqu'au sang souriait constamment à la vue de ses parents.
Ne pas les inquiéter, telle était sa priorité.
Bousculé, frappé, injurié, c'était le quotidien de ce petit être en train de sombrer.
Rien de plus, rien de moins, et pourtant on l’éteins.
Un handicap ou un cheveu qui dépasse et l'on vous casse.
Une société corrompue, tuant les rébus.
On fait du mal, on ne se rend pas compte de cet acte si sale.
Souvenez-vous de l'être au début de ce fouillis de lettres.
Suicide, tous une mort sur la conscience : une de perdue, après tout, rien qu'une existence.
La faute à eux, qu'ils le regrettent un peu.
Pas celle de l'insouciance, arrêtez de les sauver.
Ils l'ont tué, ils doivent payer.
Leur faire la même chose, c'est la moindre des choses.
Les empêcher de vivre, plus la force de vivre.
Mes parents en deuil, deux autres existences brisées.
Mal à l’œil, j'ai décider de ne plus pleurer.
Mais maintenant c'est trop tard, j'aurais dût en parler.
C'est à cause de cette tare disant que l'on ne doit pas rapporter.
Moi qui voulait devenir pompier,
Pour vous aider,
Vous qui m'avez tués,
Je crois que c'est raté.
HEY ! Je sais, c'est triiiiisteuuuuh... ! Mais c'est venu comme ça. Je ne vous dirais rien, je pense que vous avez à peu près saisis le message ! J'ai des champignons à déguster avec mon gratin de chatons, salut !