AccueilAccueil  RechercherRechercher  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
• Salut Invité ! •
•Rejoins notre serveur :Discord ^^
Le deal à ne pas rater :
Bon plan achat en duo : 2ème robot cuiseur Moulinex Companion ...
600 €
Voir le deal

Le narrateur est une Ombre

Raikya l'Alchimiste
Raikya l'Alchimiste
Apprenti Sadique
Zodiaque : Bélier
Messages : 1228
Pikadollar : 1574
Vos j'aimes : 74
Date d'inscription : 15/06/2014
Age : 25
Localisation : Là où tu n'es pas ("bark") ; https://communautesadique.forumactif.fr/f391-raikya
Dim 28 Sep - 20:16
Raikya l'Alchimiste
Pour Mich qui écrit fort bien, quoiqu'elle en pense, et qui m'a fait découvrir quelques chose sur moi que je ne savais pas encore.  Enjoy :coeur:
BONUS::

Les entrailles du monde. Des boyaux sans fin, des tunnels sombres étendant leurs ramifications jusqu’à des profondeurs insondables, au cœur du monde. Un monde de ténèbres, chaque pierre renfermant de sombres secrets et celui qui abandonne tout à leur lueur noir perçoit les sons cachés, seul au bout d’une nuit qui n’a de fin que les perles froides, larmes d’une personne encore chère et déjà envolée.

C’est ici, dans ces intestins qu’aucune lumière ne peut percé que Gaïa cacha ses pires créations d’un ciel vengeur ; des monstres de pierre dont la chair enferme la vie et les crocs déchirent l’esprit. Ils tendent leurs doigts vers la torche que porte l’homme tremblant ; un souffle, un cri, et c’est la fin. Le sang coule et anime la face cachée d’un monde corrompu.

Une unique torche est accrochée  au mur. Le faible halo éclaire tout juste un pan du mur, de stone, des blocs irréguliers, assemblés au hasard ? L’obscurité est épaisse tout autour, des mains se tendent dans le noir vers la lumière. Il n’y a rien, aucun éclat ne peut percer la dense noirceur du manteau obscure qui enveloppe les profondeurs, un voile insondable.

Un souffle traverse la nuit, perce le voile un instant : un remous, puis le tissu se tends à nouveau. Une ombre se détache du néant ; elle traverse vers la lueur, tends une main et agrippe entre ses doigts le manche, brandit la torche devant elle. Il n’y a rien qu’une ombre, dont la consistance n’est que celle d’une feuille balayée par le vent.

L’ombre avance. Non, elle glisse, sur un sol de pierre qui se révèle à la lueur qui n’a rien de chaude, lisse comme du marbre.  L’appui pour avancer apparait au fur et à mesure que l’ombre progresse, dessiné par sa volonté. L’ombre avance.

Une porte apparait soudain dans le faible halo dispensée par la torche, levée au dessus de l’ombre, le regard attaché sur les lettres gravées qui se dessinent alors qu’elle lève une main hâtive ou incertaine:


« Et si la CHM s’était passée autrement ?
Chapitre 7, jour 10, partie 1 : Dans les entrailles du monde »


A peine effleurée, appuyé, la porte s’entrouvre. Un flot de lumière se déverse sur l’ombre, toujours obscure tandis qu’autour d’elle le voile cachant la vérité glisse et s’effrite ; l’ombre avance. Elle pénètre dans cet endroit entièrement blanc, dont la lumière est plus sombre encore que les ténèbres de l’aller. Comme d’habitude, rien n’est comme avant. Il n’y a jamais de retour.

L’ombre avance. Elle s’installe alors que juste apparait l’outil idéal, puis scrute le vide devant elle, où immédiatement se pose un objet, rond et plat, comme un miroir ; un instant, des remous parcourent la surface lisse, puis l’ombre y plonge et une onde, comme une eau pure balayée par une légère brise, de l’argent se détache le noir et finalement, prend forme. Une jeune fille est allongée dans l’obscurité, elle regarde le plafond au dessus de sa tête. A coté apparaisse, pour ceux qui peuvent voir, un nom : Croustinette, suivi de diverses informations ; son état, sa localisation, et une carte, comportant des blancs cependant. L’ombre regarde. Déjà elle sent l’odeur rance d’une fumée proche.

~

Une bête, mâchoire retroussée sur les canines aiguisée d’un sourire bestial, s’élance sur un homme impuissant, et ses derniers espoirs disparaissent derrière l’impuissance d’une faible lueur. L’ombre regarde. La scène disparait et c’est un homme trainant sa masse sous un soleil haut dans le ciel qui remplace la grotte, suivi des détails : Siph, état physique : bas ; aptitudes morales : désolantes.


« Il se hait, en croyant pouvoir réparer quelque chose. Il va avoir l’espoir d’y arriver. Tu le sens ? On va bien s’amuser… »

L’ombre se détourna, alors que sur la carte un point bleu venait de rejoindre la fleurissante Croustinette, et que l’horloge indiquait les douze heures de midi. Elle regarde un instant autour d’elle, il n’y a personne, mais elle sait qu’il est là. Le maitre. Mais l’ombre préfère l’ignorer, et continuer à espérer. Elle n’y peut rien, elle. Elle n’y peut rien. Alors, elle espère toujours. Elle est humaine après tout. L’espoir est humain, l’espoir est illusion. L’espoir fait vivre.
L’ombre ne peut rien faire. Elle peut crier, elle peut pleurer, elle peut s’indigner, elle peut aimer et détester, analyser et décrire autant qu’elle veut. Elle peut dire tout ce qu’elle pense, mais tout est inutile. Elle ne peut rien. Elle n’y peut rien. Elle peut seulement faire vivre et perdurer l’histoire. Et subir, et crier, et pleurer, et aimer.

L’ombre se lève, autour d’elle apparaisse des cartes, divers instruments, les descriptions détaillés des actions de chaque personnage à travers les jours, des notices. Et l’ombre repasse le chapitre en revue, s’attardant sur les détails, elle remonte le temps, le fleuve coule sous ses doigts ; elle revoit chaque action, chaque mouvement… un enfer de sang, une forêt triste, un orage terrible, et puis à nouveau une tombe blanche, des cauchemars, des rêves, des morts, des morts et des morts. L’ombre cherche. Analyse. Commente. Puisqu’elle peut n’y peut rien, elle peut faire cela, au moins.


« Tu peux chercher autant que tu veux, il n’y a rien à cacher. Si tu es fin, tu verras même dans les étoiles qui arriveront. Après tout, l’histoire est déjà écrite. »

C’est un monde qui tourne, un livre dont les pages ne sont pas blanches, mais déjà noire, déjà écrites. Il ne reste qu’à dévoiler un par un les pièces de cette énigme fascinante. Les remettre dans l’ordre, bout à bout, jusqu’à la fin. Et même alors, elle le sent déjà, tous les secrets ne seront révélés… dans un monde ou beaucoup, tout ou presque, est possible, pourquoi donner toutes les cartes ? Et jusqu’au bout, qui ne viendrait que tard, il fallait attendre. Espérer. Encore et encore.

L’ombre lit, l’ombre écrit. Elle attend, puis comprend, et espère encore. Et quand tout est fait, quand elle n’a rien fait, que ce qu’elle pouvait, oui, ce qu’elle peut encore, quand elle a fait vivre et mourir, l’ombre s’en va. L’endroit blanc de lumière noire s’est peu à peu remplit d’objets en tous genre, tandis que l’ombre imaginait, et comme un lieu familier, où on a aimé se reposer, il fallait le quitter à présent. L’ombre avance. A chaque pas, les contours s’effritent, tout s’arrête, le temps se repose, figé. Tout disparait à nouveau sous le voile, et l’ombre plonge dans les ténèbres, où elle finit par disparaitre parmi les mouvements denses des ténèbres. La porte se referme… jusqu’au prochain chapitre.



Coucou tout le monde  :3
Alors là vous vous demendez peut être : mais qu'est ce qu'elle nous fait là ????
Eh ben je vous dirait pas ! C'est juste ce que ma plume laissée libre à écrit alors que je voulais exprimer de façon lyrique ce que je pensait du remake de Mich, et de nos disscutions en générale (cc lielea <3) est sortit ce "Os/remake"
Peut être que vous avez compris quelques chose... dites le moi alors ! :coeur:
Revenir en haut Aller en bas
avatar
M.S.
Petit Sadique
Messages : 922
Pikadollar : 1505
Vos j'aimes : 83
Date d'inscription : 16/06/2014
Lun 29 Sep - 9:56
M.S.
.                        .                         .                      .                      .                     .                     .                  .                  .              .                         .                    .                    .                   .                   .           .     .      .            .        .  .           . .    .     .  .  .    .  .  .   . . . . .. .. . ... .. .... ...... ... .......   .

Comment puis je exprimer un sentiment ? les mots ne sont que des pièces froides assemblés et n'ont pas la puissance d'une émotion pure. Ils sont simple véhiculeurs, mais véhiculeur incertains ( Véhiculeur n’existe pas. Mais fu*ck you celui qui me contrediras, j'ai la Défense et illustration de la langue française (  1549 ) de  Joachim du Bellay, poètes de la Pléïade au coté de Ronsard qui qualifie dans les libertés d'auteur celle de créer des mots, alors on pourras pas me traîner en procès littéraire ! ) Bref, reprenons le ton calme du début. Je disais donc que les mots transporte l'émotion comme les fils de cuivre transporte électricité, mais l’électricité perd de sa puissance durant le déplacement, c'est inévitable. De même les émotions perdent de leur intensité quand elle sont passée par les mots. C'est alors qu'interviens le poètes, l'écrivain, l'homme de lettres. telle un matériaux plus conducteur, il effectue le transfère et s'il est bon avec le moi de perte possible.
Je vais essayer de te passer cette émotion qui est en moi. Cette émotion qui gonfle, qui du cœur remonte au yeux, qui fait trembler les mains. L'on se crois extérieur à sois même, on vole, on rêve, mais le rêve est réalité. On regard ce qui nous entoure de loin comme si des astre nous observions la terre, on devient universel.
Alors avant de te remercier pour le travail fabuleux que tu as produit, avant de te remercier pour la cadeau superbe que tu m'a fait, avant de te remercier pour l'éloge monumentale que tu m'as adresser, je voudrais te remercier, de tous mon coeur, pour cet instant de bonheur totale qui a été la dernière chose que j'ai ressenti hier soir avant de me coucher.
Le fait que quelqu'un ai pu travailler sur mon texte, réécrire, réfléchir, lui accorder de son temps, est une des plus belle éloges. Merci. Merci pour ce que tu as fait.
MERCI MERIC MEICR MEIRC MECIR MECRI MRECI MREIC MRIEC MRICE MRCEI MRCIE je pourrais continuer comme cela pendant longtemps...

Je donc faire ce que je peux pour te dire ce qui m'a particulièrement fait plaisir, ce qui est réussit et ce qui a une lourde symbolique. Bref mon étude habituelle...

Commencer par le titre est très bien, surtout que tu l'a introduit en phrase nominale, sans verbe. Elle s'impose donc au début comme un vérité inchangeable et sa marque reste tous au long du texte.
Ensuite tu reprends l'idée d’ « entrailles », avec « boyaux » ce qui crée un jolie écho.
J'aime beaucoup le terme de «  ramifications ».
La description est très réussit, mais grammaticalement, elle est fausse. Il n'y a aucun verbe conjugué, ce qu’exige la grammaire. Elle n'est constituée de de groupe nominaux juxtaposés. Mais ce n'est pas un défaut. Par sa construction même, où des éléments ressortent du flou de la grammaire, elle plonge dans cette ambiance de ténèbres où la lumière du sens est absant. Elle n'a pas du but comme une phrase grammaticalement correcte ; Elle est pour être. Elle se suffit par elle même. En cela, par le rejet des regles, par le refus du sens est de la rationalité, elle se rapproche d'un courant littéraire dont le style est présent tous du long : Le surréalisme. Le surréalisme cherche le rêve et abandonne les règles de l'écriture, leur œuvre sont marquées par l'absence de sens explicites mais la lourde signification implicite. Pour outils, ils ont le même que toi : le lyrisme (attention, précision de la littéraire, ne pas confondre courant littéraire qui est un mouvement, le style d'un époque, et la tonalité qui est l'émotion générale d'un texte. De nombreuse confusion sont faite car certain courant littéraire qui avait une tonalité particulière ont donner leur nom à cette tonalité) C'est ce que l'on retrouve particulièrement ici, mais tous du long aussi.
Il est dure de créer avec des règles, il l'est encore plus dure de le faire sans règle. Tu as réussi. Bravo.

« leur lueur noir » oxymore !! très jolie figure.

« qui n’a de fin que les perles froides » là tu arrive aux surréalistes complet. Le lecteur ne comprends plus rien. Il est perdu et les structures de la grammaire ne sont pas là pour l'aider à retrouver son chemin, pourtant il y a un sens. Mais celui ci est si implicite qu'il semble caché pour même ne pas être trouver.

Attentions, je ne veux pas que tu te vexes quand je te dis que l'on ne comprends pas tous et que le texte est instable, car c'est deux faits se rapproche normalement plus de la critique qui peux être très méchante. Non je ne veux pas faire de critique, mais juste une constatation, comme je constate la force des émotions que tu arrives à faire passer.

« ces intestins » Encore l'écho, de « entrailles » et de « boyaux ». C'est très bien qu'il revienne.

« Gaïa cacha ses pires créations d’un ciel vengeur. » MYTHOLOGIE !! c'est bien de ne pas avoir mis les noms de Tartare et d’Ouranos. Cela aurais été trop explicite et n'irais pas avec le reste de ton texte. La phrase est parfaite pour souligner ce qui aurais pu s'apparenter à une faute de grammaire mais qui n'en ai pas une. Le « d’un » insinue que c'est le « ciel vengeur qui en ai l'auteur » seulement le pronom possessif « ses » montre le contraire. La phrase est donc instable. Le sens est trouble. Mais c'est en cela qu'elle est jolie. Le lecteur ne comprends pas tous, car il ne peux pas tous comprendre. Il faut qu'il accepte le mystère.

« des monstres de pierre dont la chair enferme la vie » antithèse ! Tu aimes bien les figures d’opposition dit moi !

« et les crocs déchirent l’esprit » cela continue à être très surréaliste tous cela... Cette proposition indépendante arrive à la fin de la phrase à la plus grande surprise du lecteur. Elle n'a pas de rapport avec ce qu'il y avait avant. On ne comprend pas ce qu'elle vient faire, ni pourquoi elle est là, ni à quoi elle se rapporte, mais elle est là. Elle est pour être et son existence est indéniable.

Bon, il faut que j'y aille. Les cours vont reprendre et cette fois malgré la grandeur du cadeau que tu m'as fait et la nécessité que j'ai à te répondre, je ne te sacrifiait pas une seconde fois mon déjeuner...
Je reviens plus tard.
Revenir en haut Aller en bas
Raikya l'Alchimiste
Raikya l'Alchimiste
Apprenti Sadique
Zodiaque : Bélier
Messages : 1228
Pikadollar : 1574
Vos j'aimes : 74
Date d'inscription : 15/06/2014
Age : 25
Localisation : Là où tu n'es pas ("bark") ; https://communautesadique.forumactif.fr/f391-raikya
Lun 29 Sep - 16:27
Raikya l'Alchimiste
:coeur: T'es la seule méritante, c'est toi qui m'a inspirée autant (ces discutions x)
J'ai juste... laissée ma main écrire, je gage que ce ne soit souvent pas très ... clair. Ca s'appelle surréalisme ? Tu m'aprends quelques chose! (pour changer... ;p )

J'espère bien que tu as mangé !
Et, en priorité il faut que tu réponde à Liela !
Revenir en haut Aller en bas
avatar
M.S.
Petit Sadique
Messages : 922
Pikadollar : 1505
Vos j'aimes : 83
Date d'inscription : 16/06/2014
Lun 29 Sep - 16:45
M.S.
Donc je reprends, si je continue à faire phrase par phrase, je ne suis pas sortie d'affaire.

« Ils tendent leurs doigts vers la torche » personnification traditionnelle des ténèbres... Son près de nous saisir à la gorge...

« un souffle, un cri, et c’est la fin. : » très bien. Oui de mettre des troncatures de phrases en appositions est couramment utilise pour donner l'impression de brièveté et de simple logique. Il se passe cela, donc cela et c'est fini. Froid, Mathématique.

«  corrompu » juste par ce que j'aime cette adjectif.

« halo » du vocabulaire rechercher sans l'être trop donne toujours de jolie effet.
« assemblés au hasard ? » Les questions créent toujours l’incertitude et diversifie le texte. C'est toujours bien d'en mettre, surtout quand elle s'attaque à une fait que l'on n'aurait pas soupçonner.

« un voile insondable » les juxtapositions d'un groupe nominale après une phrase normale sont très courante chez les surréalistes certes car en cela il se sont inspirer de Tristan Corbière ( poète maudit XIXème) et des haïkus japonnais. Cela suspens un instant la lecture. Le lecteur s’arrête sur le GN, essaye de le rapporter à quelque chose. Cela fait un effet très particulier.

« perce le voile un instant : un remous, puis le tissu se tends à nouveau. » illusions comique ! Corneille ! Le voile cachant la vérité ! Je ne sais pas si c'est voulu mais tu viens de faire deux citations presque parfaite ( dans le sens que tu as presque utiliser les même termes que l'auteur et que tu as parfaitement utilisé la même méthode.)

« Une ombre se détache du néant. » jusque là le lecteur est assez perdu. Il sais ni le sujet, ni la manière dont le narration est mener, ni le fil conducteur de l'intrigue et le style est très déroutant ( je t'ai quand même assimilé à Tristan Corbière et aux surréalistes ! Leurs buts à tous été de dissoudre les règles, troubler le lecteur, lui enlever ses éléments de repères... enfin, un des buts) donc jusqu'à ce moment et durant tous le paragraphe, on est complètement perdu. Et puis il s'avère que l'ombre devient une sorte de protagoniste et on fini par découvrir la narration, l'effet de vague qui a atteints son apogée commence à décroître.

« la lueur qui n’a rien de chaude » vraiment tu aimes bien les figures d’opposition ! C'est vrai, elle créent un effet de choc. Elle marque le lecteur.

« Et si la CHM s’était passée autrement ?
Chapitre 7, jour 10, partie 1 : Dans les entrailles du monde »
YYYEEEEEEEEAAAAAAAAAAHHHHHHHHH, la classe !!!!!

« le voile cachant la vérité glisse et s’effrite » Fin de l'illusion théâtrale ! Serieusement tu as lu l'illusion comique ? Tu l'as étudiée ? Tu reprends avec cette phrase un de ses grands principes, le coup de théâtre finale avec l'effondrement du rideau où l'on découvre l'illusion théâtrale et la mise en abyme. Par contre si tu ne l'as pas lu tu ne dois pas voir de quoi je parles.

« la lumière est plus sombre encore que les ténèbres » t'as pas fini avec les antithèse ! XD Non cette figure de style est toujours très bien.

Et maintenant que je suis arrivée à la lfin d'une sous partie, je vais travailler et je reviens plus tard pour la suite. A la fin mon commentaire sera plus long que le texte que je commente. Mais c'est souvent le cas, quand je m'y mets VRAIMENT !
Revenir en haut Aller en bas
avatar
M.S.
Petit Sadique
Messages : 922
Pikadollar : 1505
Vos j'aimes : 83
Date d'inscription : 16/06/2014
Lun 29 Sep - 16:48
M.S.
Raikya a écrit:
:coeur: T'es la seule méritante, c'est toi qui m'a inspirée autant (ces discutions x)
J'ai juste... laissée ma main écrire, je gage que ce ne soit souvent pas très ... clair. Ca s'appelle surréalisme ? Tu m'aprends quelques chose! (pour changer... ;p )

J'espère bien que tu as mangé !
Et, en priorité il faut que tu réponde à Liela !

ouaip, je lui réponds dès que j'en ai fini avec toi... Trop de chose à faire...
Si non je crois qu'il va falloir que j'approfondisse ce que j'ai dit, NON ce n'est pas du surréalisme, je te définie cela plus tard, OK, là je m'occupe de la fin du texte et de Lielea...
Revenir en haut Aller en bas
Sukoshi
Sukoshi
Sadique Présent
Zodiaque : Sagittaire
Messages : 2355
Pikadollar : 2550
Vos j'aimes : 55
Date d'inscription : 15/06/2014
Age : 21
Localisation : Un endroit magiqueeeuuhhh!! ♥♥
Lun 29 Sep - 20:32
Sukoshi
C'est vraiment bien écrit, ma Raikychoupinou!! ♥♥
(Non, je fais pas des réponses longues et très constructives xDD En fait, c'est que, au contraire de Mich, je suis pas une grande connaisseuse en la matière et puis, mon avis ne t'aiderais pas grandement. De plus, mon style d'écriture laisse à désirer et donc, je ne ferai que t'embrouiller l'esprit avec mes longs discours qui n'ont aucunement rapport et je passerais pour une vraie conne. xD Alors, crois-moi, ma simple petite réponse quasi insignifiante est pleine de sentiment!! ♥♥♥)
Revenir en haut Aller en bas
Raikya l'Alchimiste
Raikya l'Alchimiste
Apprenti Sadique
Zodiaque : Bélier
Messages : 1228
Pikadollar : 1574
Vos j'aimes : 74
Date d'inscription : 15/06/2014
Age : 25
Localisation : Là où tu n'es pas ("bark") ; https://communautesadique.forumactif.fr/f391-raikya
Mar 30 Sep - 17:02
Raikya l'Alchimiste
♥SukoNingyo a écrit:
C'est vraiment bien écrit, ma Raikychoupinou!! ♥️♥️
(Non, je fais pas des réponses longues et très constructives xDD En fait, c'est que, au contraire de Mich, je suis pas une grande connaisseuse en la matière et puis, mon avis ne t'aiderais pas grandement. De plus, mon style d'écriture laisse à désirer et donc, je ne ferai que t'embrouiller l'esprit avec mes longs discours qui n'ont aucunement rapport et je passerais pour une vraie conne. xD Alors, crois-moi, ma simple petite réponse quasi insignifiante est pleine de sentiment!! ♥️♥️♥️)

Mais non ma Suko-chan :coeur: :coeur:
Tes commantaires me font toujours très très chaud au coeur :3 ?
Et puis c'est difficile de faire aussi long que Mich avec sa réponse déjà beaucoup plus longue que le texte en question xD

Mich, tu peux pas savoir comme tu me fais plaisir avec cette réponse je ... tu me retourne quelques chose de tellement précieux, l'attention accordée à ce que j'ai écrit. Et je .. je sais pas du tout quoi dire maintenant ! Tu m'aprends encore beaucoup de choses rien que là.. MERCI c'est... merci :coeur:

Effectivement, il semble que j'aime bien les antithèses! Ce doit être depuis que j'ai lu dans un livre de contes la phrases "les enfants erraient à travers à travers une blancheur sombre" [ une tempête de neige] je me souviens qu'elle m'avait beaucoup marquée...
Revenir en haut Aller en bas
Sukoshi
Sukoshi
Sadique Présent
Zodiaque : Sagittaire
Messages : 2355
Pikadollar : 2550
Vos j'aimes : 55
Date d'inscription : 15/06/2014
Age : 21
Localisation : Un endroit magiqueeeuuhhh!! ♥♥
Mar 30 Sep - 20:06
Sukoshi
Raikya a écrit:
♥SukoNingyo a écrit:
C'est vraiment bien écrit, ma Raikychoupinou!! ♥️♥️
(Non, je fais pas des réponses longues et très constructives xDD En fait, c'est que, au contraire de Mich, je suis pas une grande connaisseuse en la matière et puis, mon avis ne t'aiderais pas grandement. De plus, mon style d'écriture laisse à désirer et donc, je ne ferai que t'embrouiller l'esprit avec mes longs discours qui n'ont aucunement rapport et je passerais pour une vraie conne. xD Alors, crois-moi, ma simple petite réponse quasi insignifiante est pleine de sentiment!! ♥️♥️♥️)

Mais non ma Suko-chan :coeur: :coeur:
Tes commantaires me font toujours très très chaud au coeur :3 ?
Et puis c'est difficile de faire aussi long que Mich avec sa réponse déjà beaucoup plus longue que le texte en question xD


Ça fait plaisir à lire!! ♥️ Ça me fait sentir un peu moins insignifiante -,-''

Revenir en haut Aller en bas
avatar
M.S.
Petit Sadique
Messages : 922
Pikadollar : 1505
Vos j'aimes : 83
Date d'inscription : 16/06/2014
Mar 30 Sep - 20:26
M.S.
« rond et plat, comme un miroir » chère lectrice de Harry Potter, ne serais ce pas la pensine ? La symbolique du miroir Rowling ne l'as pas inventer. C'est un objet très ambiguë qui reflet le bien comme le mal pour le meilleur et pour le pire. Il révèle les vanités, mais surtout il nous montre nous à nous même et symboliquement c'est très important. De plus il reflet à l'envers ce qui donne l'impression d'un autre dimension, Deux miroirs en face à face nous fait presque toucher l'infini dans la mise en abyme. Hors l'Homme est fasciner mais effrayé par l'infini. Enfin comme il conserve de notre monde tous ce qui caractérise la vérité, la perspective, le mouvement... Il semble devenir un frontière. Mais je ne suis pas là pour t'expliquer la symbolique du Miroir donc continuons.

« Une jeune fille est allongée dans l’obscurité, elle regarde le plafond au dessus de sa tête. » :wah: :wah: :wah: :wah: :wah: :wah: :wah:

« rond et plat, comme un miroir » chère lectrice de Harry Potter, ne serais ce pas la pensine ? La symbolique du miroir Rowling ne l'as pas inventer. C'est un objet très ambiguë qui reflet le bien comme le mal pour le meilleur et pour le pire. Il révèle les vanités, mais surtout il nous montre nous à nous même et symboliquement c'est très important. De plus il reflet à l'envers ce qui donne l'impression d'un autre dimension, Deux miroirs en face à face nous fait presque toucher l'infini dans la mise en abyme. Hors l'Homme est fasciner mais effrayé par l'infini. Enfin comme il conserve de notre monde tous ce qui caractérise la vérité, la perspective, le mouvement... Il semble devenir un frontière. Mais je ne suis pas là pour t'expliquer la symbolique du Miroir donc continuons.

« Une jeune fille est allongée dans l’obscurité, elle regarde le plafond au dessus de sa tête. » Mon histoire !!!
« Déjà elle sent l’odeur rance d’une fumée proche. » ah j'adoré cette façon c'est façon de suggéré la suite. C'est en fait un des trucks que j'ai préféré. Tu as bien comprit que suggérer et plus fort que dire.

L’enchaînement des points de vue est très bien fait.

« Tu le sens ? On va bien s’amuser… » ce serais pas moi qui parle là ? XD J'adore la façon dont tu me décris car les paroles prononcées parlent d'elles même de la personne qui les prononces.

« L’ombre ne peut rien faire » pas exactement. Vous, lecteurs, n'avait pas d'influence sur la vrai fin, la fin qui est déjà écrite, mais vos si gentils commentaire m'ont donné envie de faire un épilogue, sur lequel vous avez beaucoup d'importance et dans lequel je réserve mes remerciements envers les personne qui par leur encouragement m’ont aidé à faire cette fic, personne dont bien sûr tu fais partis.
« Tu peux chercher autant que tu veux, il n’y a rien à cacher. Si tu es fin, tu verras même dans les étoiles qui arriveront. Après tout, l’histoire est déjà écrite. » yeah !! je suis trop classe dans ton écrit ! Moi maître tous puissant ! Auteur ! J'adore et tu m'as bien compris, en effet tous les éléments sont là, il ne reste qu'a les trouver pour connaître tous.
« mais déjà noire, déjà écrites. » On attaque le passage que je préfères. J'aime bien cette phrase, la noirceaux de l'encre se mêle à celle de la fatalité.
Déjà écrite, au ressens bien la fatalité grec, c'est parfait. Leurs sort à tous est déjà celé.

«  tous les secrets ne seront révélés… » en effet. (c'est le dernier indice que je te donne sur la fin ! )


Bref, j'ai fini mon commentaire, qui était très très long. Je n'ai plus de temps c'est horrible !

Mon dernier mot sera MERCI
Vraiment tu m'as fait extrêmement plaisir donc merci.
Revenir en haut Aller en bas
Lielea
Lielea
Sadique Débutant
Messages : 448
Pikadollar : 599
Vos j'aimes : 68
Date d'inscription : 27/06/2014
Localisation : Sous le ciel d'automne
Mer 1 Oct - 15:07
Lielea
Coucou!!!!!!
J'ai (enfin!!!) eu le temps de lire!
C'est super bien:coeur: J'aime beaucoup... En plus pendant tout le long j'ai l'impression que tu nous mets dans l'ombre...Mais sans répétitions! 
*est jalouse mais admirative
Il y a dans ce texte une certaine liberté/légèreté... tu as déjà du te rendre compte que c'est ce que je recherche principalement dans un texte.... Tu y es arrivée....^^ mais en même temps il y a beaucoup de profondeur cachée, des choses qui font réfléchir. Par exemple: tout est déjà écrit, mais avant que plus qu'une personne le sait (à savoir l'écrivain) est-ce que ça c'est déjà tellement passé? N'y a t'il aucun choix possible? Ne faisons nous que regarder? Sans agir, sans oser? ...
Je pense que je vais vous écrire un petit quelque chose la dessus (des que j'ai le temps...) sur ce qu'est le lecteur... hmmmoui! ça me tente! 

On devrait vraiment écrire une histoire à nous trois..... ça vous dit? des que nous aurons fini nos fictions en cours... ce serait trop bien! en tout cas, je trouverais ça super^^
Revenir en haut Aller en bas
Raikya l'Alchimiste
Raikya l'Alchimiste
Apprenti Sadique
Zodiaque : Bélier
Messages : 1228
Pikadollar : 1574
Vos j'aimes : 74
Date d'inscription : 15/06/2014
Age : 25
Localisation : Là où tu n'es pas ("bark") ; https://communautesadique.forumactif.fr/f391-raikya
Mer 1 Oct - 20:44
Raikya l'Alchimiste
Mich.

Je suis...  comment dire ? ah, oui, Soufflée telle la dernière flemme d'une bougie. Qu'est ce que je suis censée dire ? Tu rends tellement beau ce petit bout de rien que je voulais quand même t'offrir... je suis transporté de joie par ces simples mots écrits qui ne perdent rien de leurs force à travers le filtre de l'écrit, crois moi !
Ton analyse est tellement complète que je ne peux rien ajouter sans, je crois, abimer un peu de toute cette émotion, de toute cette beauté... me voilà bien embrouillée. Peut être que plus tard je reviendrai pour disscuter encore et encore avec toi de tout cela mais maintenant, je ne peux pas. je suis juste... juste tellement heureuse que ça te plait. Voyons, tellement heureuse ... que je ne trouve pas du tout les mots qu'ils faudraient. Je suis tellement confuse, je n'arrive pas à formuler ce que je voudrai encore dire. Disons que je suis tellement heureuse que j'effleure les étoiles d'un sourire.

Et tu a tout a fait raison pour le miroir, je n'avais pas tant fait attention au moment de l'écrire mais c'est un objet avec une symbolique profonde que j'aime exploiter, et surtout expérimenter.
Et oui, je me suis inspirée de toi, évidement, grand maitre ! Je suis alchimiste après tout, je ne peux par créer à partir de rien, il faut une source... et en l'occurence, c'est pour toi que je l'ai fait, alors tu y es... tu te plais à travers ce texte ? J'ai réussi quelques chose alors !! :coeur:

Comme je l'ai spécifié, c'est vraiment un texte écrit "au fil de la plume"
Je l'ai médité pendant un moment, puis je me suis lancée (j'avais quand même passée une bonne journée d'école à y repenser) et les idées s'enchainaient naturellement de cette manière.
Ce qui me rends encore plus joyeuse à l'idée que ça t'es tellement plu... :coeur:

Liela !
*fait un signe de la main *
Bah un peu que je vous met dans l'ombre, ma chère,  L'ombre est censée représenter le lecteur ( en générale) dans mon idée parce que par rapport à l'auteur, il est une "ombre" mais en même temps très très très important ! Sans lecteurs, pas d'histoire ! ewe

Je suis tellement contente que toi aussi tu apprecie ce texte, que maintenant je les explose mes étoiles ! Ton comm' me fait trop plaisir *^*
En faite, pour te dire, j'ai été partiellement inspirée par Sartre, qui emmet justement une thèse qui établis un lien étroit entre le lecteur et l'auteur, l'un n'existe pas sans l'autre mais tous deux sont aussi très différents. Par exemple, l'auteur a devant lui une page blanche qu'il ne tient qu'à lui de remplir ; il est le maitre absolu de tout ce qui se passera, le marionnettiste des mots, il controle ses personnages, leurs vies et leur mort. L'auteur, lui, a devant lui le roman écrit, des pages de mots déjà noircis... s'il ne l'ouvre pas, le livre n'a pas de raison d'être, car il ne se suffit pas à lui même. C'est l'auteur qui décide d'une mort, mais c'est le lecteur qui fait mourir ce personnage...
Je crois que d'une certaine manière, le livre est une chose merveilleuse et loin d'être une simple passion! Dommage que tends de gens n'y accordent que peut d'importance :/

Ne sois pas jalouse, j'attends avec impatience ton petit texte, parce que si je t'ai un peu inspirée, c'est encore mieux :coeur:
Oh, oui oui, j'aimerai beaucoup moi aussi faire quelques chose avec vous! ce serrait tellement géniale! Perso j'aurai bientôt fini ma petite sirène, j'ai cependant déjà envisagé la suite... mais on peut aussi s'arranger d'une autre manière! Par exemple, j'avais envie d'essayer un exercice toutes les trois.
[ du genre: on écrit toute les trois la même "courte" histoire, mais à notre sauce... et on voit ce qui en sort ! ( en laissant peut être la fin libre?) ] Ce genre de choses peut être très marrant Very Happy
Rai :coeur:
Revenir en haut Aller en bas
Lielea
Lielea
Sadique Débutant
Messages : 448
Pikadollar : 599
Vos j'aimes : 68
Date d'inscription : 27/06/2014
Localisation : Sous le ciel d'automne
Jeu 2 Oct - 11:32
Lielea
ouais! on pourrait donner le sujet, le monde, un résumé de l'histoire et en faire un petit OS chacune? Ce serait cool je pense (meme s'il faudrait avoir le temps de le faire.....) 

et oui, les gens perdent le plaisir de lire, ils ne se rendent souvent pas compte de ce que ça apporte...c'est très dommage
Revenir en haut Aller en bas
avatar
M.S.
Petit Sadique
Messages : 922
Pikadollar : 1505
Vos j'aimes : 83
Date d'inscription : 16/06/2014
Ven 3 Oct - 15:29
M.S.
Raika

Mes commentaires ont du surtement te faire aussi plaisir que ton texte m'a fait plaisir. Et je serais ravie, si jamais l'envie te prenait d'en refaire une...

je voulais ajouter une dernière chose (ou plustot repréciser plusieurs point ) En fait plus que le style qui est réussi, il y a deux points bien plus important. Je ne sais pas pourquoi je n'ai pas plus insisté dessus. Alors que c'est vraiment ce qui m'a plus le plus.

1) c'est moi. Je me sens présente dans ton écrit certaine phrase, j'aurais très bien pu les dire... C'est incroyable ! Tu m'as vraiment bien comprises. Je me reconnais. C'est si dure de recopier quelqu'un qui existe vraiment en le recréant lui et non en lui créant une autre personnalité. Tu as réussi a mettre mon empreinte et c'est ... j'en pers mes mots. Je ne sais pas.
« Il se hait, en croyant pouvoir réparer quelque chose. Il va avoir l’espoir d’y arriver. Tu le sens ? On va bien s’amuser… »  et « Tu peux chercher autant que tu veux, il n’y a rien à cacher. Si tu es fin, tu verras même dans les étoiles qui arriveront. Après tout, l’histoire est déjà écrite. » sont parfaites. Elles sont de moi et pourtant c'est toi qui les as écrite !! Bravo !!

2) L’ambiance du texte. c'est que tu as vraiment séssie le fond du texte. Dans mon histoire, rien n'est cachée, on peux déjà voir la fin si on sais voir derrière les mots. Tu as très bien rendu ce fait. "Tu peux chercher autant que tu veux" oui c'est cela... Ce qui impressionnant ces que même si tu ne vois pas tous les indices, tu as bien compris le principe.

3) un dernier détailles. On ressent bien dans ton texte la fatalité (grec) qui grandis surtous dans les deux derniers cycles. La révolte était dans l'apogée. La fatalité dans la chute. C'est incroyable comme tu l'as comprit et bien fait ressentir.

4) elle le sent déjà, tous les secrets ne seront révélés… j'aimerais bien t'en parler plus mais ce n'est pas possible #tristitude.

Maintenant , je vais me permettre une petite critique

Certes la déconstruction de la phrase est un procédé littéraire, mais il est à manier avec beaucoup de soin. Il est très glissant et malheureusement tu as , parfois, déparée, sans tombée certes. Mais donc vraiment retourne à des phrases sensées.
et deux: Le "fil de la plume", tu sais ce qu'est le travail d'écrivain. Même les surréalites relisaient leurs travaux, même eux... Le premier jets ne fait pas tous et le travail est indispensable. Cela se sent quand il n'est pas derrière, donc tu te doutes de ce que je pense du "fils de la plume". C'est une critique que je fais aussi à ta petite sirène, même si tu me dis que tu la travailles depuis longtemps, nous ne sommes pas accord sur l’amplitude de travaille demandée. Mais cette critique, je me la fait à moi même aussi . ^^
J'ai fiat lire ton texte à mon amie qui me corrige, S.W. , elle l'as trouvée pas mal aussi. Elle m'as dit mot pour mot qu'elle l'aurait trouver super, s'il avait été plus aboutis et surtout si ce que l'auteur voulait compréhensible le soit en effet, ce qui n'est malheureusement pas toujours le cas. Donc fait attention à ces deux points... mais en même temps de ne me sens pas trop de critiquer alors que je suis ravie de ce cadeau que tu me fais.

Madame lis Sartre, Pas mal...
Tous ce que tu dis est parfaitement juste, sauf un tous petit point à la fin. Tu permets ?
"C'est l'auteur qui décide d'une mort, mais c'est le lecteur qui fait mourir ce personnage... " très bonne formulation, seulement le lecteur ne fait pas mourir le personnage, il le fait vivre. Mais le premier pas vers la mort, c'est de naître, de venir à la vie. Oui, le lecteur rends la mort concrette mais avant tous, il a fait la vie et il n'y a pas de vie sans mort.

Dernier points qui te concerne aussi Lielea ! (j'ai mis en gros pour qu'elle le vois )
Je suis désolée de devoir casser brutalement vos rêves avec des réalités physiques, mais il faut du temps... et je ne sais pas si vous le savait je suis déjà sur un certain projet ( Et si la CHM s'était passée autrement cela s'appelle, aller jeter un œil si vous ne connaissait pas) trêve d'ironie, mais cela veux dire que je ne serais pas libre pour écrire avant longtemps. Et après, vous devez, vous en douter vu mes commentaires, mais je suis des études supérieurs et mon années se conclue par un concours. La différence entre concours et examen, c'est qu'a un examen il suffi d'avoir une note au dessus de la moyen pour être pris, alors qu'a un concours seul les meilleurs passe. Dons je suis désolée les filles, mais après Noël, la compétions devient plus dure et je ne pense plus avoir de temps du tous. Mais à un point que vous ne pouvez pas imaginer...
Donc je crois avoir était assez explicite pour vous faire comprendre que cela ne va pas être possible en période scolaire, Il reste les vacances. Mais là il faut que nous trouvions un moment où nous sommes toutes présentes...
Et enfin, cela va être très dure à organiser si nous ne sommes pas en vocale... Donc Raika,  Skype ? et j'insiste sur ce dernier point. La communication en est vraiment amélioré. N'est ce pas Lielea ? Souvent on se parle par message skype qui sont plus rapide et plus efficace que ce du forum, et si il y a un truc important, on peut se parler en directe.
mais si non je suis pour !
ah oui, je ne veux pas bloquer les choses, donc si cela doit se passer sans moi, que cela se fasse sans moi plutôt que d'être annuler.
Revenir en haut Aller en bas
Lielea
Lielea
Sadique Débutant
Messages : 448
Pikadollar : 599
Vos j'aimes : 68
Date d'inscription : 27/06/2014
Localisation : Sous le ciel d'automne
Sam 4 Oct - 8:33
Lielea
Mich

ne t'inquiète pas, pour l'instant je n'ai pas vraiment le temps non plus... mais une fois pendant des vacances ce serait vraiment pas mal....^^comme ça on pourrait aussi ne s'intéresser qu'a ça, sinon je risque d'avoir sans cesse des pensées parasites comme "tu dois finir ce devoir, tu as une répétition dans 20 min etc..." 

on trouvera un moment!
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé
Contenu sponsorisé
Revenir en haut Aller en bas
Page 1 sur 1
Sujets similaires
-
» Dessin (Ombre)
» L'ombre de Rivère
» La fille de l'Ombre et de la Lumière
» Les croisés du monde Chapitre 3 L'histoire perdue dans l'ombre

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
TheCommunautéSadique :: Petit coin des écrivains :: Vos Remakes :: Nos auteurs :: Raikya l'Alchimiste-
Sauter vers: