Poèmes de ma classe !

1 :

Sur le quai de la gare de la mort, un homme attendait,
Seul et calme,
Tremblant à cause de l'air frais,
Il attendait le train des âmes.

Un bruit strident retentit
De nombreux wagons sortirent de l'obscurité.
Montant dedans et quittant ce monde gris,
L'homme partit à tout jamais.

(2 : )

Elle ne pensait qu'à lui,
Qu'à le retrouver.
Même si elle ne devait pas,
Elle allait le suivre et tout quitter.

3 :

Dans ce décor gris,
Un colère immense bouillait en lui.
Se remémorant la scène,
Il se mit à pleurer.
L'homme déclarait sa flamme à une jolie jeune femme,
Mais elle le repoussa et partit.
Maintenant, il choisit de tout laisser de côté
Et de refaire sa vie,
Espérant un jour oublier.

~Sorbet~



1 :

J'y suis, dans cette gare vide.
J'attend quelqu'un mais je ne sais pas qui.
J'y suis, dans cette gare sombre.
Mais je n'y vois pas l'ombre d'un bruit.

2 :

Je contemple au loin un panneau publicitaire.
Je le contemple depuis cette gare calme.
J'ai froid mais je peux rien y faire.
Dans cette gare, seul la solitude prend le dessus.

~Manon~



1 :

Dans une vielle gare abandonné
Un homme assit près d'un quai
Perdu et libéré
Dans un mois froid de mai.

Dans la gare aucun bruit,
Une grande fumée régna
Puis d'un seul coup s'effaça
Sous une pluie de ciel gris.

Ecoutant les tombées
Se rappelant tout l'amour qu'il avait donné
Les échos s'éloignèrent
L'homme et son amour s'endormirent.

2 :

Un homme à grande imagination
Sur la seule verdure de la gare
La rosée du matin coulant sur une feuille.
Il retrouva une vieille photo,
Sur cette photo une image étrange.
L'amour qu'il avait donné
Maintenant ayant tout perdu
Se retrouvant sur cette gare
Pris le train et s'en alla
Pour ne plus commettre les erreurs du passé
Retrouvez une vie bien meilleure
L'amour et le bonheur.

~Mélissa~



1:

Dans une vieille gare abandonnée
Ce trouvait un beau paquet.
Une petite fille s'approcha,
Car le quai était gris et froid.
Elle ouvra le cadeau
Y trouva un cœur
Car elle avait besoin de bonheur.

2 :

Sur le vieux quai de Paris
On pouvait voir un homme
Le temps était morose
Dans ses yeux, il y avait le pluie
On le regarder, l'air désespéré.

~Perrine~



1 :

Un quai vide et sombre.
La pluie ne saissait pas.
Les ténèbres régnaient.
Un désert gris de solitude.
Le temps semblait s'être arrêté.
Mais quel est donc cet endroit ?
C'est un cœur fou amoureux
Que l'on a brisé.

2 :

Dans ce désert gris et froid
Un homme ; le regard vide
Assit sur le quai vide et sombre,
Dans la tristesse et la solitude.

Soudain, il vit une silhouette au loin.
Il s'approcha, puis, le cœur plein de bonheur,
Découvrit que c'était sa chère épouse
Qu'il pensait avoir perdu.

Le désert gris se changea en une petite clairière.
Eclairé par un magnifique soleil
Le couple enfin réunit et heureux
Restèrent dans ce paradis pour toujours.

~LoanieLaLicorne ALIAS Ma Licorne Articolore~




1 :

Dans cette gare déserte
Un personnage froid et sombre apparaît.
Le quai tremble et vibre
Le train du désespoir arrive.

~Quentin~



1 :

La colère semblait entrée dans cette gare
Une silhouette vêtu de noir apparut sur les rails
Seul, épuisé par sa courses, trempé par la pluie
Avait tenté de partir en voyage mais a échoué.

Au loin dans le plus sombre décors
Il aperçoit une femme toute de blanche vêtu.
Le décors qui fut froid auparavant
S'éclaire d'une flamme grâce à ma femme.

2 :

Cette douleur est si forte
Je revois cette lumière,
Ce train qui me hante
Les ténèbres qui m'emportes.

Cette  tristesse n'est pour moi
Mais pour ceux que je laisse
La mort est toute proche
Mais je meurs digne et fière.

~Jade~



1 :

Dans ce monde gris
Tout est sombre
Tombe la pluie
A travers l'ombre
Sur le quai
Je marche en vitesse
Rien est gai
Tout est remplit de tristesse.
Je ressens la Solitude
Je demeure dans le froid
Avec un peu d'inquiétude
Je ne sens plus mes doigts.
J'attendu mon train
Il commence à se faire tard.
Tout à fait serein
J'attends dans la gare.

2 :

Sur le quai gris
J'attends le train retardé
Enfin je le vois arriver
Je ne pensais pas déjà le voir.

~Sarah~


1 :

L'homme de mon imagination était assit,
Seul, sous la pluie.
Avec comme seule compagnie
Une photo de la fille.
Mais qui est-il ?

Il devait partir, voyager.
Il ne faisait ça que pour la retrouver.
Pour pouvoir passer sa main,
Dans ses doux cheveux bruns.
Mais qui est-il ?

Il écoutait des chansons d'amour,
Car il en était prit ;
Il était prêt à l'affronter.
Pour revoir éternellement la rosée.
Mais qui est-il ?

2 :

Il avait peur,
Cet homme était une vrai terreur.
Il était sans cesse poursuivit
Par cette horrible ennui.

Ce meurtrier portait un gant noir.
C'était son surnom.
Il ne faisait jamais une victime mourir.
Il la laissait agoniser dans la souffrance et la douleur.

Perçant leurs cœurs
D'un large sourire
Comme un vainqueur.
Pour que ses victimes
Partent rejoindre les leurs.

~Marie ALIAS LaFilleQUiM'AFaitAiméEcrire~