Un détail peut ruiner une vie - Chapitre 7

???: Le premier qui aide quelqu'un qui m'énerve, je le tue sans hésiter.

Sur ces paroles, les gars de la E.S.P. laissèrent, la tête basse, leur coéquipier agoniser au sol.

Moi : Vieillard... Tue-moi....
???: Appelle-moi « Monsieur » !!

Et il me marcha sur la main en appuyant de toutes ses forces.

???: Arrête.
Moi : Impossible...

Julien se tenait debout, l'air de rien. Le vieillard se retourna et se prit un coup de poing plus violent que jamais, ce qui l'assomma.

Julien : Allez, arrête de dormir !! Debout, Mélodie !
Mélodie : Roooh... Ça va...

Je les regardais et je commençais à avoir peur.

Moi : M-M-Mélodie ?! UNE BALLE DANS LA TÊTE, COMMENT TU PEUX SURVIVRE ?! JE SUIS DANS UN RÊVE, C'EST CA ?! JE VAIS ME RÉVEILLÉE DANS MON LIT ET JE VAIS PARTIR AU LYCÉE, HEIN ?!

Leurs blessures avaient disparues, sans laisser de traces ni de cicatrices.

Julien : Je te le dirais plus tard, pour le moment...

Il saisit le vieil homme et s'en servit comme bouclier. Mélodie et moi avons rejoint Julien.

Julien : Si vous tirez, vous tirerez sur lui !

Je profita de cette panique générale qu'avait crée Julien pour utiliser mes pouvoirs et faire s'écraser l'hélicoptère sur le plus d'hommes possible. Ils étaient peu, maintenant, et ils tremblaient de peur.

???: Merde, les gars, on fait quoi ?!
???: Ils vont nous tués, à ce train là !!
???: Fuyez !!

Et ils se sont tous enfuis. Je me suis rassise sur le tronc d'arbre avant de pousser un énorme soupir.

Moi : Comment vous pouvez être encore vivants ?! Vous êtes... Des zombies... ?
Julien : Si j'étais un zombie, je t'aurais déjà mangé. Non, en vérité, je pense que c'est encore quelque chose qu'on vient de découvrir. Je pense que, grâce à notre pouvoir, nous nous régénérons rapidement. Si nous sommes encore en vie aujourd'hui, c'est grâce à ça : Mélodie à dût régénérer hyper vite pour être encore vivante malgré une balle en pleine tête. Mais ça me paraît un peu bizarre : comment elle aurait put se régénérer assez rapidement pour guérir d'une balle en pleine tête ? Sachant que ça a dut toucher le cerveau...
Mélodie : Tant que je suis en vie, c'est bon ! ( sourit )
Moi : Ouais...

Et je les aie enlacés.

Point de vue de Mélodie :

Et Julie nous a enlacés. Je me suis retirée de ses bras puis j'aie réfléchit un peu.

Moi : Le vieux, c'est ton père... ?
Julien : Non ! Enfin... Malheureusement... Oui, c'est mon père... Il s'appelle Henri. D'ailleurs, Mélodie...
Moi : Quoi ?
Julien : Tu as crue que j'étais mort, n'est-ce pas ?
Moi : … Et ?
Julien : Tu embrasses bien.
Moi : Q-Q-QUOI ?!
Julien : J'te taquines ! Déstresse...

J'étais aussi rouge qu'une pivoine alors j’essaya de détourner la conversation.

Moi : On ferait mieux de partir, la E.S.P. va revenir !
Julie : Ouais, mais on va aller où ?
Julien : J'ai une idée...

Il a sortit une montre fluo bleue de sa poche et l'a accroché à son poignet.

Julie : D'où ça sort, ce truc ?
Julien : Je l'aie piqué à mon père, il s'en est même pas rendu compte...
Moi : Et... Ça sert à quoi ?
Julien : Au dos de la montre, il y a marqué en petit des instructions. En gros, c'est une montre de téléportation : il suffit d'appuyer sur un bouton, de prononcer l'endroit où on veut aller et c'est bon !
Moi : Ça marche, au moins ?
Julien : Normalement oui !
Julie : « Normalement » !
Julien : Bon, mettez vous autour de moi et touchez-moi pour que la montre vous téléporte aussi.

On s'est exécutées.

Julien : Bien... appuie sur un bouton et articule Téléportation dans ma deuxième maison.
Montre : Demande incorrect.

On a attendu un peu mais on n'a pas bougé.

Julien : J'ai dit : téléportation dans ma deuxième maison !
Montre : Veuillez vous excusez, refaire votre demande et me dire « s'il vous plaît ».
Moi : C'est quoi ce truc ?!
Montre : Désolée, mais je suis une montre.
Julie : C'est.... Vivant ?
Montre : Je suis peut-être déjà derrière vous.

On s'est retournés en vitesse : personne.

Montre : Ha ha ha. Je vous aie bien eut. Maintenant, veuillez renouveler votre demande.
Julien : Pardon, emmenez-nous à ma deuxième maison s'il vous plaît !
Montre : On dit « dans ma deuxième maison ». Bonne fin de journée, au revoir.

Et on s'est désintégrés avant d'apparaître dans un buisson.

Julien : Mais où on est ?! Oh, la montre, pourquoi on est dans un buisson ?!
Montre : Vous avez dit « à ma deuxième maison » alors je vous punît. Ça rime avec « buisson », non ? Ha ha ha. Au revoir.

On est sortit du buisson et on a atterrit devant une vieille cabane, au milieu de la forêt, à coter d'une rivière.

Moi : C'est... Chez toi... ?
Julien : Oui et non.
Julie : Mais ton père t'a enfermé avant que tu puisses t'enfuir, alors comment tu peux avoir une cabane ici ?
Julien : Je jouais ici quand j'étais petit. C'est un peu mon endroit à moi, si vous voyez ce que je veux dire. Un endroit où personne ne peux t'embêter, où tu es libre de tes mouvements, où tu...

Il n'a pas eu le temps de finir sa phrase qu'un rugissement s'est fait entendre suivit par quelques lourds pas au sol.

Moi : C-C-C'est quoi ?!
Julien : Oh non... Un ours !!
Moi et Julie : Aaaaah !!
Julien : Chut, il ne venait que pour le poisson, maintenant, il vous a entendu !!
Moi et Julie : Oups...

Un nouveau rugissement s'est fait entendre et un énorme ours est sortit des broussailles. Julien à déplacé, avec son pouvoir, un gros rocher venant de la rivière et l'a lancé sur la tête de l'ours pour l’assommer, ce qui à marcher.

Julien : Je ne voulais pas te tuer, tu te réveilleras bientôt.

Il l'a caressé, à emmener son corps plus loin pour ne pas qu'il nous attaque et on est entrés dans sa cabane.

Moi : C'est spacieux...
Julie : C'est même pas une cabane, c'est carrément un chalet !!
Moi : Mais... Avec quel argent tu comptes rejoindre un lycée ?
Julien : Je vous l'ai dis, avec l'argent que ma mère m'envoie. Et c'est avec cet argent que je me paye un appartement et que je vais bientôt payer le lycée.
Moi : Tu vas rejoindre quel lycée ?
Julien : Pourquoi pas le même que vous ?
Julie : Ça serait génial !
Julien : Ouais... Bon il faudrait qu'on rentre chez nous... Je ne devrais pas garder la montre puisque mon père me connaît et qu'on ne sait jamais. Il faudrait que l'une de vous deux la garde.
Julie : Moi, je ne peux pas, car ma tante range ma chambre et elle pourrait la trouver. Mélodie... Tu pourrais la garder s'il te plaît... ?
Moi : Mais où je vais la cachée ?
Julien : Tes parents fouillent ta chambre ?
Moi : Je ne sais pas... Je n'aie qu'a la cachée dans mon bureau, c'est fermé à clé...
Julien : Ouais... Bon, Mélodie, mets-la montre.

Je me suis exécutée.

Julien : Je vais demandé à la montre de m'emmener dans mon appart', ensuite Julie demandera de l'emmener chez elle et après tu retourneras chez toi. Compris ?
Moi : Oui, chef ! Rigole
Julien : Euh... La montre ?
Montre : Désolé, mais je suis actuellement en pause. Au revoir.
Julien : Montre, s'il te plaît, emmène-nous chez moi.
Montre : Et si je ne veux pas ? Pourquoi devrais-je vous emmenez où vous voulez tout le temps ?
Julien : Si tu fais tout ce qu'on te dit tout le temps, on... Arrêtera de te donner des ordres.
Montre : N'essayes-pas de me rouler dans la farine, petit. Je suis dotée d'une intelligence encore meilleure que celle des humains.
Julie : Ne joue pas la mali...

Et elle s'est reçu une noix sur la tête.

Julie : Aie !!
Montre : Ha ha ha ha ha ! Ha ha ha ha ha ! Je n'aie jamais rigolé autant. Je n'aie d'ailleurs jamais rigolé... Au moins, je sais ce que ça fait. Pour vous remercier, je vous emmène où vous voulez. Choisissez votre destination, s'il vous pl...

Elle n'a pas put finir sa phrase qu'un autre rugissement fit son apparition suivit de l'ours à peine réveillé. Il nous a foncé dessus comme un dingue.

Montre : Choisissez votre destination, s'il vous plaît.
Julien : Chez moi, vite !!
Montre : On dit « s'il vous plaît ».
Julie et Moi : AAAAAAAAH !!!!
Julien : Chez moi, s'il vous plait !!!!!
Montre : Bon voyage.

A peine elle a finit sa phrase que l'ours à donner un énorme coup de patte qu'on a évités en se désintégrant devant lui. On a réapparut dans un petit toilette : on était très serrés, à trois.

Julie : Ah ! Mais pousse-toi !
Moi: J'arrive pas à passer !!
Julien : Je peux pas bouger !

On essayait de bouger mais on avait du mal et, finalement, j'aie réussis à ouvrir la porte, ce qui fait que je me suis écroulée sur le sol suivis des autres.

Moi : Vous me faites mal... J'arrive pas à respirer là...
Julien et Julie : Désolé !

On s'est relevés et j'aie directement parlée à la montre.

Moi : La montre ! Pourquoi dans les toilettes ?!
Montre : J'adore faire des blagues. Si vous voulez, je peux vous téléporter ailleurs : un cimetière, une décharge, un égout, une...
Moi : C'est bon ! Merci, la montre.

J'aie rangée mon bras sur lequel reposait la montre et j'aie admirée l'endroit.

Julie : C'est bien rangé.
Julien : Tu t'attendais à quoi ?! Je ne suis pas un crado ! Je range tout les d...
Moi : C'est bizarre...
Julien : Et mon poing, il est bizarre ?!
Moi : Comme toi, quoi ! ( rigole )
Julie : Dans ta face !! … Pardon. rigole
Moi : Bon, je fais comme chez moi !
Julien : J'ai encore rien d...
Julie : C'est quoi ?
Julien : Ne touchez à ri...
Moi : Il y a à manger dans ton frigo ?! A peine... Tu n'as rien !!
Julien : Je vous ai dit de rien touch...
Moi : Tu as... Des tomates, de la pâte, du ton, de la moutarde... On a qu'a faire une tarte salée !
Julie : Ah ouais !! J'aie trop faim !!
Julien : ( soupir ) … D'accord mais vous ne salissez pas la cui...
Moi : Chaud devant !!

J'aie sortie les aliments du four et on a commencés la préparation tous ensemble. L'ambiance était drôle, surtout quand j'ai mis de la farine sur mon doigt et que j'en aie mis sur le nez de Julie.

…

Moi : Ca y est !!

J'aie mis des gants et j'aie sortie la tarte du four avant de la poser sur la table et d'ensuite m'essuyer le front.

Moi : Il faut attendre, elle est trop chaude.
Julie : Mais j'aie faim, moi !

On a regardés la télé en attendant que la tarte refroidisse.

Moi : Je crois qu'on peux manger.
Julie : OUAIS !!!
Julien : JE coupe.
Julie : Roooh...

Il a coupé et on a eu chacun une grosse part. On s'est assit et on a discutés de tout et de rien. Une fois la tarte finis, la vaisselle faite, etc... Il fallait se dire au revoir.

Julien : Il faudrait partir : vos parents vont s'inquiéter.
Julie : Ouais...
Moi : Je... Je ne veux pas retournée chez moi... Ils vont se demander où on était ! Regardez dehors, il fait déjà nuit !

J'aie regardée l'horloge : cinq heures vingt-cinq.

Julien : Oui, mais on ne peut pas disparaître éternellement. Vous n'aurez qu'a dire que vous étiez au lycée, tout simplement.
Moi : Mais le lycée va nous demander pourquoi on était absent !
Julien : Vous dites que... Vous.... Vous vous êtes évanouie sur le chemin, toutes les deux, car vous êtes tombées sur la tête et que personne ne vous a vues car vous étiez passées par un raccourcis, dans la forêt !
Julie : Ouais.
Moi : Je ne veux pas rentrer... Un psy m'attend, mes parents aussi... Je veux rester avec vous !
Julie : Il faut que je parte... Ma tante va s'inquiéter...
Julien : Tes parents vont s'inquièt...
Moi : Que je sois morte ou pas, ils en ont rien à foutre de moi ! Julie, rentrons ensemble et tirons-nous.
Julie : Quoi ?!
Moi : On va voir ta tante, on lui explique qu'on sait tout et on se tire.
Julie : Mais on se tire où ?!
Moi : Je vole l'argent de nos parents, et on se casse avec l'argent de ces trous du cul.
Julie : Non ! C'est illégal !!
Julien : Je vous propose un truc. On utilise la montre et on explique tout à la tante, sauf les pouvoirs, tout ça, on lui demande de tout expliquer à vos parents et vous vivez en coloc' avec moi.
Julie : On a pas d'argent pour te payer...
Julien : Ma mère, celle qui m'envoie de l'argent, est ultra riche. J'ai pas besoin d'argent de plus.
Moi : Mais si ta mère est riche, pourquoi tu te payes pas carrément un palace ?
Julien : Un appart' me suffit.
Moi : C'est vrais ? Tu rigoles pas ?! On peux vraiment vivre ici sans payer ?!
Julien : Ouais.

Et, moi et Julie, on lui a sautée dans les bras et on a pas arrêtée de le remercier.

…

On a tout expliquer à la tante et elle nous a dit qu'elle nous enverrais quand-même de l'argent. On a achetés des lits et le stricte nécessaire pour vivre à trois. L'appart' est génial, moderne, grand, … La classe !

( C'est TELLEMENT long !! J’arrête pas d'écrire des chapitres hyper long, moi ! Si ça peut vous faire plaisir... Ciao, mes petites saucisse knacki ! ♥ )

J'ADORE *-* !!! Elle est vraiment trop bien ton histoire. Et c'est pas grave si c'est long   
J'ai trop hâte de lire la suite!

Vraiment une bonne histoire! J'ai hâte aux prochains chapitres!