CHAPITRE 3 : Chamailleries et tempêtes
La tigresse surveille ses petits qui se chamaillent, Coraje se jette sur Azul et ils roulent tous les deux dans l’herbe coller l’un contre l’autre. Unico s’assoit sur un rocher et les regarde faire, puis il se tapit contre la roche et s’approche doucement du bord. Les deux petits tigres roux se chamaillent toujours, et ils arrivent près du rocher. Unico se prépare, prend l’élan sur ses pattes arrière, et saute droit dans la bagarre. Azul s’écarte d’un bond, et Unico se retrouve sur Coraje.
La jeune fille toujours assise sur son rocher, rigole en voyant les deux boules de poils blanche et rousse se mélanger. Elle tourne la tête en entendant une voiture derrière elle. C’est son père et le vétérinaire qui arrive.
« Alors comment vont les petits Amanda ? demande le véto.
-Très bien, répond Amanda, ils jouent ensemble.
Le véto s’approche d’Azul, qui est à l’écart des deux autres, et l’attrape. Keylla gronde et s’assoit en fixant les humains, s’ils font mal à ses petits elle est prête à bondir.
-Je pense que celui-ci est une fille. Dit le véto avant de reposer l’animal dans l’herbe.
-Oh, Azul est une fille ? S’exclame Amanda.
-Tu leurs as donné des noms ? lui demande son père.
-Oui, répond la fille.
-Et celui-ci je suis sûr que c’est un garçon ! Dit le véto en prenant Unico. Et l’autre roux aussi, vu la carrure qu’il a, c’est le plus gros de la portée.
-Bon et bien, commença le père d’Amanda, laissons les tranquille, viens Amanda on rentre.
-D’accord papa. »
La tigresse s’installe à côté d’Azul, une fois les humains parties, et commence à le nettoyer à gros coups de langue.
La merlette vole très vite, toujours avec la chenille dans son bec. La pluie augmente d’intensité peu à peu et la merlette se retrouve vite trempée. Elle survole la forêt à la recherche de son arbre, mais avec la pluie elle a du mal à se repérer. Mais là pendant un fragment de seconde, elle aperçoit un grand arbre au feuille bien verte, oui c’est son arbre. Elle s’élance à tire d’aile vers l’arbre, le cœur à cent à l’heure. Pour une fois il lui est difficile de voler, le vent se déchaine contre elle et la pluie ne cesse de tomber. Mais soudain, sous les yeux de la pauvre merlette, un éclair éclate. Et l’oiseau voit avec horreur son arbre tomber à cause de la foudre.
Chapitre 3 finit, j'ai hâte d'écrire le 4, j'ai plein d'idée pour la suite
Alors voilà, n'oubliez pas le petit commentaire ça fait toujours plaisir