Au travers des fougères, je vis le campement, ce qui me soulagea grandement. Mais juste avant de sortir des buissons, l’être me pris par les bras, me leva dans les airs et me plaqua au sol. Je me débattais et il me retenait tentant de me faire du mal. Le jour commença à se lever et un rayon toucha sa peau. Cela le brula et il grimaça. Je compris alors son point faible. Je parvins à le soulever, un peu et les rayons le brulèrent encore plus. Il partit à toute vitesse et je remontai jusqu’au campement. Arriver au niveau du feu éteint, je me sentis très mal, j’eu le tournis et tomba par terre, puis je m'endormie. Un peu plus tard je me réveillai et Océane me regardais, un sourire aux lèvres. «Bien dormi?» me dit-elle riant, faisant référence au fait que j’étais par terre. Je rigolai un peu et m’assis sans donner de réponse. Je repensa à la nuit d’horreur que j’avais passé. «Ça va?» me demanda t'elle. Je fis un signe de la tête, en autre pour éviter dans parler et elle fit de même, pour acquiescer. «On va bientôt manger, peux-tu aller chercher du nouveau bois s'il te plait?» me dit-elle «Je peux bien faire ça» lui dis-je, souriant. Je m’éloignai un peu du campement et trouvai des bûches, que nous avions déjà couper, par terre. Au moment de les ramasser, je ressentis à nouveau mon poignet gauche brûlé. Je regardai et vis un symbole pareil à ceux du lampadaire(voir chapitre 3). Je fusse apeurée par cette découverte troublante. Et puis, soudain, j’entendis murmurer dans mon oreille «Tu es à moi».