2 jours plus tard, je me réveilla enfin dans un lit d'hôpital. Je pris un moment pour m'habituer à cette lumière blanche puis vit un infirmier passé.
Infirmier : Oh, vous êtes réveillée ! Comment vous sentez vous ?
Coraline : J-Je suis à l'hôpital...?
Infirmier : Oui, une demoiselle vous y a amener il y a de cela 2 jours. Vous étiez blessée gravement à l'oeil gauche.
Coraline : E-Et... J'ai encore mon oeil...?
Infirmier : Oui et non... Nous avons fait tout ce qui était en notre possible mais nous n'avons pas pu le sauver. Il est encore là mais vous ne pouvez plus voir avec.
Je me mis à trembler un peu. J'avais des souvenirs flous de ce qui s'était passer. Je me souviens seulement avoir saignée et que quelqu'un m'avait amener.
Infirmier : Et, pour vos lunettes, nous avons pu vous en procuré une autre paire...
Il me tendit une paire pareil à celle que j'avais avant. Je lui souria juste un peu puis les mit. Au moins j'avais ça... Il s'occupa des derniers détails avec moi.
Imfirmier : Vous aurez le bandage autour de votre oeil pour encore au moins quelques jours. Passez nous voit dans 4 jours pour voir la progression.
Coraline : Compris, merci...
Infirmier : Oh, et vous savez... Se promener sans carte sur soi peut être risqué...
Coraline : Mes cartes ? Je les ai avec moi ! Elles sont dans un de mes... Sacs... Oh mon dieu !!
Je me leva en vitesse, agrippant ma chemise sur la chaise puis sortie en vitesse de l'hôpital, sous le regard rempli d'incompréhension de l'infirmier et du reste du personnel qui croisa mon chemin. Je courra de mon plus vite pour retourner au magasin de musique. Mes sacs ! Ils se devaient d'être encore là ! Une fois sur place, je remarqua quelques morceaux de vêtement déchiré par terre... Mes vêtements...
Coraline : Oh non...
J'entra en vitesse dans le magasin et alla voir le vieil homme à la caisse.
Coraline : Excusez moi, auriez vous vu ce matin en arrivant 3 sacs devant la porte de votre magasin ?
V.H : Il y avait seulement 2 sacs remplit de vêtement déchiré et une pochette vide. Je l'est ai mit à la poubelle, à la place où il méritait d'être. Comment ose-t'on laisser trainé des trucs pareil devant la porte de MON magasin ?
Coraline : ...C'était mes choses monsieur... J-J'aidais une jeune fille, enfin, j'essayais, puis j'ai laisser mes sacs devant la porte afin de venir les chercher plus tard et et-
V.H : N'en dite pas plus. Je ne veux rien entendre. Sortez je vous prie.
Je le regarda et lui obéis. Une fois sortie, je pris place sur le bord du trottoir et appela ma mère. Elle répondit presque tout de suite.
Mère : Allo ?
Coraline : Maman... C'est un fiasco... Ça fait 48h et j'ai... *avale de travers* J'ai toujours pas d'amis...
Je ne voulais pas lui dire la vérité, pas comme ça, au téléphone. Je discuta un peu avec pour la rassurer puis raccrocha. Soudain, je tourna la tête pour regarder le magasin qui m'avait littéralement rejeter. Et c'est alors que je vis ce qui allait probablement m'aider dans la recherche.
Coraline : Bien sûr ! Je n'y avais pas pensé !