Je suis né le 6e jour de Cielazur dans un petit village pauvre nommé Bassenuit. Bassenuit était en majeure partie peuplé de personnes séniles et âgées. Mais ces personnes sont dotées d'une incroyable gentillesse . Ils sont toujours là pour s'entraider. Je suis né d'un père forgeron et d'une mère libraire . Mon père s’appelait Nathaniel Yel et ma mère Jane Yel. Ils étaient tous deux de magnifiques parents même si je ne pouvais pas supporter leur point de vue philosophique sur le monde. Ils pensaient que chaque chose a un prix et donc pour la même raison la vie n'a pas de prix. Je trouvais ça complètement absurde.
A l'âge de 6 ans mes parents ont voulu me placer dans une école. Depuis ce jour je n'ai pas cessé d'aimer l'école pour ce qu'elle m’a transmis. Je ne m'arrêtais pas d'aiguiser mon esprit car à chaque fois mon enseignante venait me dire "Si tu le veux, tu le peux !". J'aime beaucoup cette phrase qui fait référence à la volonté humaine. Mais même si j'avais beau étudier et affiner mon raisonnement, je restais toujours sujet de moqueries et de violence physique. Je n'arrivais pas à supporter ce genre de comportement, je ne les comprenais pas.
Lors de mes 9 ans, un de mes camarades de classes a insulté mes parents pendant 20 minutes. Je ne pouvais plus raisonner normalement à cause de ces propos sans-cœur sur mes parents. Et je lui ai cassé le bras. Je ne sais pas ce qui m'a pris mais mes sentiments ont pris le dessus sur ma conscience. Pour cet acte inexplicable je fus renvoyé. Ma mère prit le relais pour reprendre mon éducation en main. Elle m'a appris beaucoup plus que ce que je croyais. Elle m'apprit en premier lieu la compréhension de soi-même et la compréhension des autres, c'était assez dur comme cours et de temps en temps je ne comprenais pas ce qu'elle me disait, mais ses cours m'ont beaucoup aidé a comprendre ce qui m'entoure et me comprendre moi-même. En fait, je ne regrette pas trop que je me sois fait renvoyer de cet établissement car cela m’a permis de réviser ce que sont les autres. Par la suite, elle arrêta de m'enseigner la réflexion humaine et passa à la réflexion logique. J'aimais beaucoup cela mais de temps en temps, je m'endormais pendant ces cours, ce qui n'était pas bien malin.
L'année de mes 16 ans, je me détournais un peu des cours pour regarder les jeunes filles qui s'amusaient. Je ne suis pas très fier de cette période de ma vie, j'étais un vrai pervers. Les jours devenaient de plus en plus banales et sans intérêt pour moi. En ce temps-là, ma vie se résumait à manger, étudier, manger, étudier, regarder les filles, manger, dormir, et ainsi de suite. Ma vie était ennuyeuse, mais je regrettais très vite cette période de bien-être.
Pendant ma 19e année, ma mère est décédée d'une maladie inconnue. Je ne savais pas quoi faire, j'étais triste, profondément triste, dès cet instant je compris la philosophie de mes parents: "Chaque chose a un prix". Ma mère avait payé le prix pour avoir vécu. Mais elle n'avait rien fait de mal. Tout le monde l'aimait. A l'enterrement j'ai vu mon ancienne enseignante. Elle s'est excusée pour ce qui est arrivé à ma mère, cependant elle n'avait rien fait. Elle savait que j'étais triste et me réconforta avec ces paroles qui me marquèrent pendant toute ma vie: "Ta mère est morte. Tu ne peux pas défaire l'oeuvre du passé. Déprimer ne servira à rien, va de l'avant et tu découvriras un monde nouveau." Ces paroles m'ont choqué mais elles m'ont permis de me ressaisir. Il est dommage que mon père n'ait pas entendu ces phrases.
Durant mes 22 ans, mon père s'est suicidé. Depuis la mort de ma mère mon père avait sombré dans l'alcool. Cette attitude d'ivrogne m'énervait au plus haut point. Je ne pouvais rien y faire. Son suicide m’a fait beaucoup de mal, mais j'ai décidé de rester fort car "Ce qui est fait, est fait.". Je me débrouillais comme je le pouvais pour survivre sans mes parents en faisant des petits travaux chez mes voisins.
A l'âge de 23 ans, j'ai décidé de partir de ce petit village. Ce lieu me manquerait mais je ne pouvais pas me débrouiller en travaillant ainsi. Je suis parti dans une ville au hasard car je n'aurais pas pu en choisir une.
En route, je commençais a me sentir mal, je perdais peu à peu de la force, je me sentis mou, j‘aperçus un sol fait en brique, à ce moment là, je commençais a être fatigué et je perdis conscience lorsque qu'on passa sur le sol fait en brique.
Je me rappelle encore de ce rêve qui précédait mon évanouissement. Je ne suis pas sur en fait si c'était un rêve ou non, j'avais l’impression que c'était une vision. J'entendais des voix, je n'arrivais pas a savoir de qui c'était, mais elles me parlèrent d'un ordre, elles me racontèrent aussi que je ne pouvais plus vivre comme avant mais que maintenant j’étais un remortel. Je ne comprenais pas ce qu'elles voulaient dire. Qu es qu'il fait cette ordre ? Pourquoi est-ce que je n'en avais jamais entendu parlé auparavant ? Et c'était quoi cette affaire de remortel ? Puis je me sentis tiré de mon sommeil.
Je me suis réveillé dans un tunnel. Je repris mes forces et je suivis un sens du tunnel. Au bout il y avait une pancarte qui indiquait "Suivez les yeux pour arriver à l'académie. La nuit vous portera conseil." Je me suis dit que je n'avais rien à perdre et avec un peu de chance dans cette "académie" ils acceptaient sûrement de m'offrir leurs hospitalité. Je suivis les yeux. En cours de route je rencontrais des personnes, je leur demandais ce que c’était ce fameux ordre. Certains me disaient que c'est une secte qui avait pour but de ressusciter un ancien dieu. D'autres me disaient que c'était un ordre qui avait pour but de découvrir la nature des choses ayant pour centre une certaine personne et ceux qui me repoussèrent lorsque je parlais de cet ordre. Il y avait tellement de récit que je ne pouvais pas en distinguais le vraie du faux. Il y a une chose dont je suis sûr, c'est que cet ordre tournait autour d'un certain Herobrine. Quand je suis arrivé à l'académie, j'ai lu sur le mur qu'il fallait attendre un étudiant ou un enseignant pour les nouveaux venus. J'ai attendu 1 cyclame pour que l'on vienne m'introduire a cette académie . Ce fut un étudiant qui s'appelait Natba, il me présenta le mythe d'Herobrine.
[Serveur rôleplay: Herobrine.fr]
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Ven 22 Aoû - 11:52
