Chapitre 2/ Le livre empoisonnéLorsque le grand chef remarqua leur présence il les salua vivement car il les connaissait bien. Il leur fit remarquer qu'ils étaient trempés de la tête jusqu’aux pieds et leur proposa d'entrer dans sa tente pour discuter.
-Bon les gars que vouliez-vous au juste?
-Bah! On venait se proposer pour aider les gens dans la misère!
-Attendez un instant, faut que j'aille parler avec le grand chef.
-Le grand chef? Tu veux dire Notch, Le Grand Notch?
-Eh! Bien oui Frigiel!
-Bon alors à toute, les amis!
Brioche sortit de la tente, s'avança vers Notch fit une révérence et le salua poliment, mais le maître de Minecraft lui dit qu'il n'avait pas à faire cela car ils étaient de très bonnes connaissances.
-Bon, je crois comprendre qu'ils sont à la recherche d'une mission pour trois, non?
-Oui, c'est bien ça Notch.
[…]
-Alors oui je vois, je vais tout de suite les en avertir!
-Bon alors on se revoit plus tard M. Brioche!
-Bon salut les gars, j'ai une mission pour vous trois c'est.
Nous trois s'exclamèrent? Mr.Phano, Frigiel et Zelvac en se tournant tous les un vers les autres.
-Oui vous trois : Zelvac, Siphano et Frigiel.
-Mais où est Léo? s'exclama le plus vieux des trois
-Bon alors comme je vous disais...
-Non on ne fait pas de mission sans lui! dit alors le châtain
-Alors nous devrons le retrouver avant la mission. Dit alors l'homme dessert
Brioche leur demanda donc si Léo avait dit quelque chose qui pouvait les aider à retrouver le blond aux yeux d'émeraude. Frigiel leur avoua que Léo avait voulu visiter la grande maison pas encore écroulée, mais Frigiel avait refusé de le laisser aller sous prétexte que Bri rentrerait bientôt à cause de la pluie.
-C'est ça, je suis fait en chocolat maintenant!
-Ce n'est pas ce que j'ai voulu dire Bri je Frigiel n'eut pas le temps de finir sa phrase que Brioche l'interrompit.
-Mais oui, mais oui je sais bien Frigiel. Je ne suis pas du tout, mais vraiment pas du tout en colère après toi, je suis même content que t'aie tenté d'empêcher Léo d'y aller. Mais tout de même pourquoi voulait-il y aller?
-Parce qu'il croyait qu'il y avait quelque chose de louche sur cette maison je crois que ça avait rapport avec du feu. Je ne sais plus trop ce qu'il disait.
La vérité c'était que le châtain devait protéger quelque chose à tout prix, mais il ne voulait pas que ses amis sachent que les choses chelou qui arrivaient étaient en partie à cause de lui.
-Ah oui, je sais dit Zelvac, c'est que la maison est en feu et que personne ne l'a éteint.
-Tu as sans doute raison Zézé lui dit Frigiel la tête levée au ciel.
L'homme Brioche leur dit d'aller voir dans la maison et de toujours rester regroupés quoi qu'il arrive. Et c'est alors que la joyeuse bande se dirigea vers la fameuse maison.
Lorsque Zelvac entra dans la maison, il remarqua tout de suite Léo, accourut vers lui, le prit dans ses bras, en hurlant de joie...
-Oh Léo t'est enfin là!
...mais sa joie fut de courte durée car il remarqua que l'éclat d'émeraude dans les yeux de son ami était disparu, enfin bon, pas disparu car Léo était complètement…
-Statufié, il a été statufié murmura Frigiel comme pour que personne ne l'entende.
-Quoi tu m'as parlé Fri? Demanda Zelvac
-Oh non j'me suis seulement parlé à voix haute.
-Oh! Le malheureux, s'exclama tout de suite Siphano en voyant le p'tit blond
-Ouais, il est dans un piteux état dit nonchalamment Frigiel
Siphano eut la brillante idée d'emmener Léo voir Brioche car il saurait peut être quoi faire pour les aider.
-D'abord faudrait le soulever! À trois. Un. Deux. Trois.
Zelvac remarqua que lorsqu'ils soulevèrent la statue un livre était apparu à l'endroit ou reposait initialement la statue, il lâcha donc la statue et courût ramasser le mystérieux livre. Siph et Frigiel déposèrent la statue et lui demandèrent qu'est-ce qu'il avait à ramasser des livres pendant qu'eux faisaient tout le travail. Zelvac leur tendit alors le livre qu'il avait trouvé, Siph inspecta d'abord le livre à la couverture douteuse. Le livre avait une couverture noir sinistre et rongée par la moisissure et par l'acide. Son titre était lui aussi un peu, comment dire, morbide oui c'est ça morbide : Comment torturer des gens déjà malheureux. Il commença à feuilleter le livre car son contenu l'intriguait beaucoup.
Dès qu'il eut fini de jeter un bon coup d'oeil à la table des matières, il commença à lire à voix haute à ses camarades ce qui l'intriguait le plus :
-Comment torturer un Siphano? C'est facile il y a beaucoup de façon de le faire:
1. Le détruire mentalement en torturant ses coéquipiers lors d'un match à mort…
…
Frigiel prit le livre et le feuilleta à son tour.
-Mais qui est l'auteur de ce livre à faire froid dans le dos lui demanda Frigiel qui avait un air faussement intrigué. Comment fait-il pour savoir pour savoir ce qui nous est arrivé?
Siph reprit le livre et alla donc à la page où il y avait ce genre de renseignement habituellement dans les livres. Aussitôt qu'il eut terminé de lire, Siph s'effondra au sol avec les mains plaquées sur sa tête, il avait la tête qui tourne, une terrible migraine venait de s'en prendre à lui et de plus sa gorge lui paraissait enflammée, il aurait voulu leur dire pour le livre, leur dire que le message était empoisonné, mais il ne pût pas et s'évanouit. Zelvac accourut aussitôt vers Siphano pour pouvoir l'aider et s'assurer qu'il n'était pas dans un sale état, il le savait, mais il le niait. Il ne voulait pas savoir que son ami était mal en point. Au même moment, Frigiel accourût lui aussi vers l'évanoui, mais au lieu de se préoccuper de son ami il laissa aller sa curiosité, car il se demandait bien si c'était un coup de… non, il ne devait laisser personne savoir même ses pensées après tout, peut être que quelqu'un lisait ses pensées. Tout de suite après avoir lu la page à laquelle le brun s'était arrêté, il s'écroula au sol comme Siphano l'avait fait quelques instants auparavant, à vrai dire, il avait eu la même réaction que son ami, mais avant de s'évanouir il put dire les quelques mots suivants :
-Maintenant je sais, mon maître.
Au son de ces mots Zelvac se retourna vers son compagnon, mais il était trop tard le mal était déjà fait. Il prit le livre, le lu à la même page que ses deux compagnons et comme eux eu cette réaction. Il ne put dire des mots, mais il put articuler les lèvres, quelqu'un accourût vers lui et on put lire sur ses lèvres : Nous n'avons pas gagné cette bataille, mais nous gagnerons la guerre plus forts. Le côté obscur triomphera toujours! He… il s'évanouit et ne put finir sa phrase ou la commencer.
Pas de message cette fois-ci.
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Ven 20 Juin - 22:08
hâte de voir ce que va donner la suite!