PDV Brioche à écouter avec cette musiqueJe voulus lever la main, j'avais été persuadé que je me rendrais dans le grade des quatre. Mais lorsque je m'aperçus que personne ne le faisait, je m'abstins du moindre geste. Je vis alors des regards de nos supérieurs nous scruter, comme cherchant une seule personne qui lèverait la main. Mais ce ne fût pas le cas, personne ne le fit.
Lorsqu'ils nous annoncèrent qui seraient nos instructeurs, je me mis à les observer sous toutes leurs coutures. Ils avaient l'air très robustes... J'espérais sincèrement ne pas à avoir les combattre dès notre arrivée... Ils nous firent signe de les suivre, et, c'est lorsque je voulus avancer, qu'un jeune homme blond me coupa le chemin. Il pencha la tête sur le côté, un grand sourire s'affichant sur ses lèvres. Je le reconnus sur-le-champ et lui fit une tape amicale dans le dos.
«Dortos, j'ai crus que je me retrouverais seul, ici!
-Eh bien, non! T'as pas de chance, tu vas devoir me supporter, encore!
-Je ne vais pas m'en plaindre, j'ai bien crus que je me retrouverais seul...
-Je te comprends, j'ai, moi aussi, crus que j'allais devoir rester seul. Mais tu es là, alors tout va bien. Et je refuse de t'abandonner, maintenant.
-Je suis d'accord, restons ensemble. Dis... Tu savais, toi, dans quel grade aller?
-Hm, non... Je ne savais absolument pas dans lequel me rendre. Mais, maintenant, j'ai hâte de voir de quoi je suis capable, ici... En fait, je crois que personne, ici, ne serait capable de choisir un grade par rapport à ses vraies envies... Si?
-Eh bien, je dois avouer que j'étais sûr de vouloir aller dans le grade quatre...
-Pourquoi n'as-tu pas levé la main?
-J'ai voulus le faire, mais j'ai remarqué que personne ne ferait de même... Alors, j'ai pensé que je ne devrais pas le faire.
-Je penses que tu devrais être franc.
-J'ai peur de le faire. Je ne sais pas pourquoi, mais j'ai un mauvais pressentiment si je dis quoi que ce soit...
-Tu as raison, ne vas pas tenter le diable... J'essaierais de cacher le fait que tu le savais déjà, dans quel grade aller.»
Je lui lançai un regard reconnaissant. Ce n'était pas pour rien qu'il était mon meilleur ami! Je fus, et lui aussi, dans l'obligation de suivre nos instructeurs. Je voyais ses yeux améthystes observer la moindre personne, et l'imita.
Lorsque je voulus regarder la personne se tenant à mes côtés, je me sentis bousculé par quelqu'un, et vis une jeune femme me passer à côté. Elle se tourna vers moi, un sourire espiègle scotché sur le visage dévoilant ainsi ses incisives pointues, pendant que ses yeux s'apparentant à un chat cherchaient à obtenir l'attention des miens. Lorsque je le fis, je vis alors cette forme étrange entourée d'ambre m'observer comme une proie. Je déglutis légèrement, alors qu'elle avait décidé, apparemment de ne pas me lâcher ainsi. Je la vis s'approcher de moi, peut-être un peut trop dangereusement, et elle me toisa lentement, de la tête au pieds, de son regard chafouin.
«Tu pourrais pas faire attention où tu vas?
-Je devrais te dire la même chose, me sembles-t-il.
-T'es même pas sûr? Mon pauvre, c'est pitoyable de ne pas être certain de ce que l'on veut.
-Je ne me rappelles pas de t'avoir demandé ton avis, me semble-t-il.»
Elle s'approcha de moi, et me mit un coup pile entre la hanche et la taille. Je reculais brusquement, alors qu'elle me lançait un regard taquin.
«T'apprendras à te taire, la prochaine fois.
-Tu devrais faire de même...
-Brioche, arrêtes...»
La tigresse se tourna vers mon ami, et rit légèrement. Elle se passa une main dans sa mèche rouge coupée de quelque mèches noires qui lui cachait légèrement l'oeil.
«Tu devrais écouter ton pote, petit biscuit.»
Je serrais les dents, lorsqu'elle se retourna, laissant clairement voir ses courts cheveux rouges bordeaux suivre le mouvement de sa tête. Je l'examinais brièvement, et vis qu'elle portait des vêtements peu communs... Sa veste était cloutée aux épaules, mais je n'eus pas le temps d'en voir plus, car elle passa à travers une foule et je ne pus voir que le haut se son crâne. Je soupirai, alors que le blond à mes côtés semblait se poser quelques questions auxquelles je devrais répondre, sûrement...
«Tu la connais?
-Absolument pas, et, honnêtement, je n'ai aucune envie d'apprendre à la connaître.
-Eh bien, tu te fais des ennemies dès ton arrivée, quel veinard!
-Garde ton ironie pour toi... En plus elle fait mal...»
Je venais de parler, en me frottant à l'endroit où elle m'avait frappé. Il était vrai qu'elle était tout de même allé fort dessus, de plus, elle savait viser, je vous assure. Alors que je relevais la tête, je me remis à marcher aux côtés de mon ami. Je savais que si j'avais besoin de quelqu'un, il serait là, et ça me faisait incroyablement plaisir de voir que je ne serais pas seul dans cette aventure qui me paraissait tout de même assez imposante. Ce n'est pas tous les jours que l'on peut voir une guerre menée entre deux états différents, qui, de plus, sont cachés aux citoyens.
Nous tournâmes à une intersection, et, en regardant derrière moi, je vis que les Inverses prenaient, quant à eux, le couloir juste derrière. On pouvait dire que l'intérieur était aussi majestueux que l'extérieur... Les mêmes tons, les mêmes formes, des ronds, des vitres bleues, partout... C'était pour le moins original... Je ne fis pas directement attention au chemin que nous empruntions, mais m'en voulus. J'allais me perdre dans un bâtiment aussi grand... Il n'y avait aucune autre solution! Lorsque nous arrivâmes dans ce qui semblait être une salle commune, tous le monde la regarda d'un air ahuri.
«Voilà, vous devrez vous répartir dans les chambres, sachant que vous serez trois dans une seule. Les filles, la porte à droite, les garçons, la porte à gauche. On se retrouve dans une heure en bas, mettez des vêtements plus accoutumés à l'entraînement.»
Sur ces paroles, il se retourna, et prit la porte de sortie. Tous le monde se dirigea vers les dortoirs, et firent des plans de chambres. Moi et Dortos, évidemment, choisîmes de nous mettre ensemble. Il ne manquait plus qu'une personne. Je vis alors un jeune homme, seul, et me dirigeas vers lui, mon ami blond sur les talons. Je voyais ses yeux bleus saphir observer chaque recoin de la pièce, alors que, lorsque je me mis devant lui, ils se visèrent sur ma personne, faisant en sorte que ses cheveux bruns foncés se stoppent dans un léger rebond.
«Salut, moi c'est Brioche, et lui, Dortos. On aimerait se mettre ensemble, mais on ne sait pas avec qui d'autre, donc on aimerait savoir si tu venais avec nous.
-Pas de soucis, je veux bien. Appelez moi Unster.
-Enchanté, Unster, répliqua l'homme aux yeux améthystes derrière moi.»
Il nous fit un sourire, et nous choisîmes tous les trois une chambre. Elle était assez spacieuse, et toujours décorée de la même manière, dans un style très moderne, ou le noir, le bleu, et l'argenté dominaient tout. Je vis alors trois lis alignés, l'un à la suite de l'autre, et décidai de m'installer sur celui de gauche, Unster celui du milieu, et Dortos se mit à droite. Nous vîmes alors des vêtements posés dans les armoires, et les enfilâmes. À vrai dire, je ne pouvais pas vraiment dire quoi que ce soit là-dessus, étant donné que les vêtements étaient parfaitement à ma taille, et, de plus,c'était ma couleur préférée, le marron.
Nous eûmes le temps d'en apprendre un peu plus sur notre nouveau colocataire, si on pouvait appeler ça ainsi. Nous avions donc découvert qu'il venait du grade numéro deux, et que, par conséquent, il savait parfaitement soigner les gens. Nous étions, moi et mon ami, assez surpris en sachant qu'il avait déjà soigné beaucoup de personnes. Soudain, en regardant l'heure, nous vîmes qu'il ne nous restait plus que cinq minutes pour nous rendre dans la salle d'entraînement. Lorsque nous fûmes dans le couloir, nous nous regardâmes à tour de rôles.
«Vous savez par où c'est?, demandais-je.
-Absolument pas, dis Unster d'un air détaché.
-Bon, alors on est mal, termina Dortos.»
PDV Ash à écouter avec cette musiqueJe courrais encore plus vite dans les couloirs, j'y étais habituée. Les jeunes filles avec qui je m'étais installée dans une chambre avaient voulus m'attendre, mais je leur avais dis que ce n'était pas nécessaire de m'attendre ainsi. J'avais donc pris tout mon temps, et, à la dernière minute, m'étais mise à courir vers la salle d'entraînements. Je fus assez perdue dans tous ces longs couloirs, et me demandai où, exactement, je me trouvais. Je regardais chaque endroit, absolument éblouie par tant de splendeur.
Mais je n'avais pas le temps, il me fallait me dépêcher! Je piquais donc un énorme sprint vers une intersection, ayant pour but de tourner à droite. Mais, en le faisant, je me sentis entrer directement dans quelqu'un, et me cogner dangereusement la tête contre quelque chose de dur.
En relevant les yeux, tout sembla se dématérialiser autour de moi, et les images du présent parurent disparaître en un instant, tombant par blocs dans le vide sans fin qui venait d'apparaître. Je pris peur, et reculais alors que, de nouveau, le paysage réapparaissait, laissant les affiches du décor se souder à nouveau, mais dans un environnement totalement différent de celui dans lequel je me trouvais quelques instants auparavant.
Les murs étaient totalement blancs, alors qu'une ambiance pesante s'installait de manière maladive. Je sentais une odeur de pain chaud me parvenir doucement aux narines, et je fermais doucement les yeux, pensant que l'air lourd de la pièce n'était qu'une façade à tous ce qu'il pourrait se produire de merveilleux. Mais, je me dis immédiatement le contraire, en entendant un cri déchirant parvenir à mes oreilles. De nouveau, la peur de cet environnement que je ne connaissais pas se faisait ressentir, comment étais-je arrivée ici? Pourquoi ne reconnaissais-je pas cet endroit, alors que, il y a encore quelques secondes, je me trouvais dans le bâtiment du grade six?
Des bruits de pas plutôt lourds et rapides parvinrent à mes oreilles, alors que je vis un petit garçon courir à travers la pièce. Je m'approchais de lui, remarquant son souffle saccadé. Je fronçais les sourcils, alors qu'il reculait pour se cacher derrière une armoire. Lui faisais-je si peur que cela?
«Bonjour, je ne veux pas te faire de mal, ne t'inquiètes pas. Je voudrais juste savoir où je me trouves... C'est ta maison?»
Le petit ne parut pas m'entendre, ou, du moins il m'ignora, alors que ses prunelles saphir observaient chaque recoin de la grande pièce dans laquelle nous nous trouvions. Je voulus poser ma main sur ses cheveux bruns, pour le rassurer, car, à la vue de la peur qu'il éprouvait, mon cœur se serrait, mais, ma main passa à travers son crâne, et je hoquetai légèrement, reculant de quelques pas. Comment...
«Où t'es-tu caché, vile garnement?»
Une vois rauque et grave parut tétaniser le jeune garçon, et je le vis se coincer un peu plus derrière le meuble. J'aurais voulus le prendre dans mes bras, et le rassurer, car, à la vue de ce visage apeuré et extrêmement mignon, je voulais simplement le protéger.
«Unster, montres-toi!»
Je vis le jeune homme trembler comme une feuille, en regardant cet homme, qui semblait être son père. Le visage rond du petit garçon tournait de droite à gauche, comme un signe de négation, faisant voleter ses fins cheveux bruns autour de son visage angélique. Son petit nez retroussé eut alors raison de sa cachette, lorsqu'il renifla. Le père du petit garçon se tourna alors vers lui, et son regard aurait put glacer le sang de n'importe qui.
«Te voilà...»
Je le vis alors s'approcher de lui, en entendant les couinement de terreur dans mon dos. Je me mis au travers du chemin de cette personne, comme pour faire barrage de mon corps, mais, il me transperça le corps sans la moindre difficulté. Cela faisait tellement étrange... Je me sentais totalement invisible, inutile, et... morte. Les mains du père se frottèrent mutuellement, et je vis le petit garçon, prénommé Unster, glisser le long du mur, et mettre ses mains haut devant son visage. Le père leva le bras, et sa main s'abattit violemment, dans un claquement strident, sur la joue du jeune homme. Je me sentis impuissante, et ne pus qu'hurler à plein poumons, alors que, déjà, a vision du garçon se faire violemment frapper par son père disparaissait, et je tendis la main, alors que la vision que je venais d'avoir paraissait s'enfoncer loin, et que je reculais d'un pas, tombant de nouveau dans le milieu d'où je provenais.
Alors que je fis ce geste, je tombais nez-à-nez avec la copie conforme du petit garçon, mais version plus âgés, et viril. Je rougis légèrement à cette pensée, alors que ses yeux saphir m'observèrent lentement, comme vérifiant qe je n'avais rien.
«Désolée, je ne regardais pas où j'allais.
-Tu es, toi aussi, une propre?
-C'est le cas..., dis-je en le regardant, avant de voir qu'il était accompagné de deux jeunes hommes.
-Tu sais où est la salle d'entraînement?, nous venions tous deux de parler en même temps, et je ris un peu.
-Cherchons à quatre, alors, dis l'un d'entre eux, qui avait les cheveux blond, et les yeux d'un violet foncé, mais magnifique.»
J'opinais doucement du chef, et tournais à gauche, les garçons sur les talons.
PDV Ilo à écouter avec cette chansonJe sortis de ma chambre à la suite des deux jumelles, qui semblaient très complices... Elles étaient assez étranges, mais je m'en fichais, elles paraissaient disons... drôles à taquiner... Il se peu effectivement que je m'amuses un peu à les faire tourner en bourrique. Elles n'avaient même pas cherché à apprendre à me connaître, c'était amusant. Il y avait deux possibilités dans ces cas là. Soit elles ne souhaitaient adresser la parole à personne, soit elles ne souhaitaient pas m'adresser la parole, à moi.
En tous cas, nous nous rendîmes dans la salle d'entraînements, comme convenu. Je vis plusieurs paires d'yeux m'observer, mais décidais de les ignorer, comme je le faisais si souvent. Lorsque j'arrivais enfin dans la grande salle, je vis que nos instructeurs nous attendaient déjà, et, comme dit précédemment, on nous sépara des Inverses. Nous nous positionnâmes tous à l'endroit indiqué, et attendîmes.
«Bon, commença Léo, on va débuter doucement, vous apprendre les bases, où viser pour faire mal, et comment parer les attaques. Vous aurez deux stands, le premier, sera pour la défense, géré par NewTiteuf, le deuxième, sera géré par moi-même, pour l'attaque. Vous ne passerez qu'une fois, et on prendre le temps qu'il faudra pour chacun d'entre vous. Nous vous appellerons, et vous viendrez. En attendant, vous pouvez vous entraîner sur les mannequins, ou au lancé de couteaux, comme au tir à l'arc, mais, faites attention à vous. Bien, des questions?»
Un long silence s'en suivit. Je souris, laissant ainsi mes dents pointues apparaître aux yeux de tous.
«Bien, Ilo au stand d'attaque, et Cello au stand de défense.»
J'avançais donc, ne regardant même pas la deuxième jeune fille qui avait été nommée. Je vis Léo me faire signe de me positionner sur ce qui semblait être un praticable. Je fis donc ce qu'il me dit, car j'étais obligée de le faire. Il se mit alors en face de moi, et prit une position.
«Si tu te mets ainsi, tu peux mieux encaisser les coups, car tes muscles sont bandés.»
Je pris donc la même position, un coude en avant, présentant les avants-bras, et les poings vers moi. Mes jambes se fléchirent, et je relevais la tête, afin de lui faire face, alors qu'un grand sourire s'était dessiné sur ses lèvres.
«Parfait, tu sais te positionner entièrement seule. Connais-tu déjà quelques bases?
-Effectivement, j'en connais pas mal, dis-je, un sourire chafouin scotché aux lèvres.
-Bien, montres les moi.»
Je fis ce qu'il dit, et mima un mouvement vers la gauche, alors qu'il voulut se protéger, je changeais de main, et frappa violemment ses côtes à l'aide de ma main droite. Il ne parut pas souffrir pour autant, et attrapa ma main que j'avais laissé en l'air, avant de me faire tourner sur moi-même, ayant pour effet de coller mon dos sur son torse, alors qu'il passait son bras autour de ma gorge.
«Bonne technique, mais tu as oublié le principal dit-il en me relâchant mais en secouant ma main, tu ne dois laisser aucune opportunité à ton adversaire de retourner la situation, placer ta main ici était donc mal pensé.»
J'opinais du chef, et suivis tous ses conseils. Il vit que j'avais pas mal de bases, et me proposa un second essai.
«Concentres-toi.»
Je me remis en position, et lui aussi, avant de souffler. J'attendis, cette fois, qu'il attaque. D'après ce que j'avais compris, parer, puis attaquer, était bien plus simple. Il tenta de me donner un coup de poing dans le ventre, que j'esquivai avec brio, avant de tourner légèrement su moi, pour venir enfoncer ma main dans ses omoplates, juste derrière lui, attrapant ses hanches, je voulus lui donner un coup de pieds, mais il l'attrapa, et me retourna comme une crêpe, ce qui eut pour effet de me faire tomber à plat ventre. Il reprit l'assaut, mais je me roulai sur le côté, évitant ainsi son coup, mais je le sentis m'en donner un dans le flanc, et grimaçai de douleur. Il se positionna de sorte à bloquer le moindre de mes mouvements au dessus de moi, et posa sa main sur ma gorge. Lorsqu'il se releva, il me fit signe que c'était bon.
«Tu dois encore revoir les mouvements avancés, mais, ceux de base, tu les as. C'est super,tu peux disposer.»
Je fis ce qu'il me dit, et sortit du stand d'entraînement, un grand sourire sur les lèvres. Je m'en sortais bien, et j'en étais heureuse.
«Black!»
Léo venait d'appeler quelqu'un d'autre et je vis quatre retardataires arriver, un sourire sarcastique s'afficha sur mes lèvres lorsque je pus voir le prénommé Brioche.
«Alors, on arrive même pas à retrouver son chemin?»
Je ne leur laissa même pas le temps de répondre, que je me dirigeais vers l'endroit où se tenaient les mannequins. L'entraînement allait être intensif...
PS: Alors, voilà (enfin) le chapitre 3 de "Séparé par l'Océan". Je suis navrée de ne pas vous l'avoir livré avant, mais, je dois avouer que j'ai eu quelques soucis pour pouvoir le poster en début de journée... Par conséquent, il arrive le soir!
À vrai dire, je ne peux sûrement pas donner d'heure précise, mais je tenterais de poster tous mes chapitres le dimanche, jamais avant, et, le moins possible après.
Je reprends les cours dès demain, il sera donc plus compliqué pour moi de trouver du temps libre pour ainsi écrire, et, surtout, pour me divertir. On est sur la dernière ligne droite, et je refuse de voir mes notes chuter pour le troisième trimèstre, surtout en maths.
Je dois aussi prévenir que, si un chapitre ne sort pas dimanche, je tenterais de vous prévenir via twitter, mais j'ai aussi une vie à côté, alors soyez indulgents!
Parlons du chapitre en lui même.
Je dois avouer qu'il est plus court que les autres, et qu'il dépasse les 3.000 mots de très peu, mais je ne suis pas là pour vous faire des PDVs à rallonge pour finalement n'aboutir à rien, je prends donc le soin de tout faire pour que le chapitre reste intéressant.
Il est aussi probable que certaines personnes n'apparaissent pas avant longtemps, mais, pas d'inquiétude, vous passerez tous au devant de la scène, ce sera juste long, vous êtes tout de même douze inscrits, et j'ai pas mal de personnages à côté que je fais aussi jouer!
Donc voilà, j'espère que ce chapitre vous a plut, si c'est le cas n'oubliez pas d'appuyer sur le petit "+" en haut à droite de l'article et de me laisser un commentaire qui sera toujours bénéfique pour m'améliorer! Je vous aime fort et à Dimanche prochain!