PDV FeedJe me taisais, car, de toute manière, le bruit n'avait pas lieux d'être. Aurais-je du faire quelque chose? Oui, sûrement. J'aurais pu m'y opposer, me jeter contre elle, et la faire taire, mais il était trop tard. Enfin, je crois? Doit-on pourtant retenir quelqu'un contre ses choix?
Un geste aurait pu sauver un avis, un opinion. Un geste aurait permit à une personne de faire le bon choix. Mais, l'était-ce vraiment?
Mes yeux azur la regardaient, et semblaient ne pas comprendre l'ampleur que venait de prendre mes actes, comme les siens.
Je les sentais encore, sa main quitter la mienne, ses doigts glisser sur les miens, son visage se tournant vers moi, avec une sorte de demi-tristesse gravée sur le visage, son sourire désolé s'afficher sur ses lèvres, ses yeux refléter une part de regret, et une autre de fierté, ses cheveux noirs retomber en cascade dans son dos lorsqu'elle eut abandonné mon regard, et, surtout, ses pas avançant vers cet être...
Je serrais alors les poings, refusant d'admettre que, oui, il y avait deux possibilités dans cette situation, mais qu'aucune n'était bonne, et qu'aucune n'était mauvaise. Avais-je réellement bien fait de ne pas la suivre? Devais-je à présent m'inquiéter du sort de mon amie?
Mes larmes coulaient sur le rebord de mes joues, et venaient s'écraser comme de vulgaires objets sur le sol, laissant un «plic» sonore retentir dans tout le vide présent, et dans toute cette étendue d'eau. Peut-être étais-je seul, mais, ça, je m'en fichais. Mes pensées étaient encore trop embrouillées pour que je me préoccupe de savoir si, oui ou non, j'avais bien fait de rester là, plongé dans mes songes.
Son ruban était encore dans mes mains, bien qu'abîmé. Mais, cela m'importait peu. Tout ce que je voulais, c'était d'entendre son rire parvenir aux tympans dissimulés par mes oreilles, de pouvoir relever la tête, et de voir sa silhouette élancée arriver vers moi, en sautillant joyeusement, et qu'elle me dise d'un ton jovial, de sa si belle voix :«Allons, Feed, je suis encore là, ne t'inquiète pas!».
Ce n'était qu'un rêve éveillé, celui d'un avenir perturbé, d'une guerre autant mentale que physique ouverte, mais j'aurais du le savoir, le deviner.
C'est dans les gestes les plus simples, après tout, que l'on retrouve ceux qui auraient du nous donner les raisons des actes à venir, ceux qui se passent dans le présent, et ceux sur lesquels nous n'avons eu aucun contrôle, et qui nous ont glissé entre les doigts, comme de la poussière. Aurais-je du m'accrocher plus fortement? Et ne pas la laisser glisser?
Alors que le vent qui ruisselait à la surface de l'océan venait ébouriffer mes cheveux roux d'une main légère, constituée d'air seulement, comme le ferait une personne qui tenterait de nous consoler, je le sentais tenter de me rassurer, même si il ne s'agissait que d'un élément de la planète... Je ne me sentais bien que face à lui, que face à cet aura bienfaisant qui n'était autre que celui qui nous aidait à respirer, à vivre, tout simplement.
Pourquoi cette fois l'entraînement avait-il eu lieu à la surface? Oui, je sais, je devais essayer de faire voler l'eau dans les airs, et, elle, elle devait tenter de contrôler les animaux sans que ceux-ci ne se retournent contre elle...
Mais, malheureusement, je ne comprenais toujours pas...
En relevant mon visage vers cette vaste étendue, je vis deux lumières arriver vers moi, rétrécissant ma pupille, et me brûlant la rétine. Ce ne fut pas pour cette raison que je détournai le visage, mais, en m'apercevant que mes yeux me faisaient mal, je détourais le regard. Devant moi, je vis lentement la capsule s'ouvrir dans un bruit de métal, et un jeune homme en sortit, ses cheveux bruns collant lourdement à son front.
Il semblait la chercher.
Ses pas le menaient de long en large sur la plate-forme, alors que ses yeux saphir se posèrent enfin sur mon corps, agenouillé au sol, sur mes joues, ruisselantes de larmes, sur mes mains tremblantes, puis sur mes yeux, inondés de buée.
Je le vis s'approcher de moi, dans de lourds pas, faisant frissonner toute mon échine, et dans un laps de temps qui me semblait durer des années, je vis son visage en face du mien, alors que ses mains se posèrent sur mes épaules, secouées de violents soubresauts. Il planta ses yeux dans les miens, cherchant à capter mon attention.
«Feed, que c'est-il passé?, me demanda alors Siphano.
-Je n'en sais rien, je ne suis même pas capable moi-même de comprendre qui était cet homme! Je ne sais même pas quel aura malfaisant il avait autour de lui! Je ne sais même pas pourquoi Keena a attrapé sa main!
-Hé, tout va bien, calme toi, ce n'est rien..., me dit le brun.
-Si, c'est quelque chose! Si, pour vous, le fait de se sentir nul face à un inconnu pour une amie, tout comme le sentiment de laisser s'échapper de la poussière entre ses doigts comme si l'on cherchait à ne pas la perdre, même si on est sûr que, de toute évidence, ce n'est que tentative veine, si voir quelqu'un qui vous est cher vous tourner le dos avec à peine autant de remord que quelqu'un dont l'âme disparu, si entendre un simple désolé, si se sentir brisé de l'intérieur, et si se sentir seul veut dire allez bien, alors, oui, je vais extrêmement bien!, hurlais-je à plein poumons.»
En le regardant dans les yeux, je vis son énorme étonnement, et sa culpabilisation prendre le dessus. Y étais-je allé un peu fort? Peut-être, mais je devais avouer que, lâcher ses paroles, m'avait fait aller beaucoup mieux.
Mes larmes avaient cessé de couler, mais je me sentais comme vide de vie, comme si les cris que l'on pouvait pousser se répercuteraient contre les parois de mes cellules sans même réagir, et les laisseraient se répercuter dans les airs, tel un échos sourd, que personne ne pourrait réellement entendre, ou tout simplement intercepter.
Je sentis alors la prise des mains du jeune homme s'affermir sur mes épaules, et son regard s'endurcir, avant que je ne relève les yeux vers lui, et que je ne croise son magnifique regard, celui qui aurait pu redonner le courage à n'importe qui, et qui n'allait certainement jamais en changer. Un sourire confiant était dessiné sur ses fines lèvres roses, et ses airs durs promettaient une sorte de protection.
«Ton amie est peut-être partie, Feed, mais je te promets que, quoi qu'il en soit, nous veillerons tous sur toi, et nous sommes une famille, sache-le, personne ne sera mit de côté. D'ailleurs, tu peux me tutoyer.
-Je sais très bien que je ne suis pas seul, et que tous les autres sont là aussi, mais je la considérais comme une sœur... Je... Je ne sais pas ce que je dois penser. A-t-elle fait le bon choix? Aurait-elle du rester avec nous?
-Tant que toi tu as fait le bon choix, tant que toi tu es resté avec nous, cela veut dire que ta raison est la bonne.
-J'ai hésité à la rejoindre, et à, moi aussi, attraper la main de cet inconnu... Après tout, nous sommes dans un monde où, ni les gentils, ni les méchants, existent...
-Feed...
-Tu peux me le dire aussi longtemps que tu veux, tu peux me le répéter autant que tu le souhaites, mes opinions resteront inchangés! Vous pensez que personne n'a compris?! Vous pensez que notre cause est la bonne?! Mais qui nous dit que la leur ne l'est pas?! Qui nous dit que ce ne sont pas nous, qui sommes en tord?! Est-ce que vous avez la moindre idées de leurs idéaux?»
Il ne disait rien, en se contentant de me regarder, totalement incrédule, et ne laissant aucun sentiment traverser la paroi sombre de ses yeux. Je savais qu'il se battait pour quelque chose, mais ils ne nous en parlaient pas. Sommes-nous donc des objets qui ne servent qu'à assouvir un objectif dont personne ne connaît la nature?
«Nous ne sommes donc que des pions sur un échiquier, continuais-je, de simples êtres qui vouent leurs vies à des causes inconnues, dont il est inutile de nous parler? Nous ne sommes pas tant irréfléchis que cela, au point de ne pas savoir ou remarquer que vous avec un objectif, et que nous ne sommes que des pions au service de ce dernier! Quel était cette personne? Et je te conseille de me le dire, car je ne suis pas quelqu'un qui n'est qu'un manipulateur.
-Il s'agissait d'un... Sorden...»
Je fronçais les sourcils. Je ne savais pas de quoi il s'agissait, mais ce dont j'étais certain, c'était bien le fait que, j'aurais beau lui demander de m'expliquer ce qu'était un Sorden, il ne m'en dirait rien. Je me levais lentement, sous son regard désespéré, et, dans un geste simple, je lui passais à côté, pour rejoindre le sous-marin, laissant tout de même un murmure parvenir à ses oreilles.
«Je ne serais pas l'un de vos jouets, vous ne me contrôlerez pas.»
PDV IloJe ne savais pas pourquoi, mais j'aimais le narguer, l'énerver, j'aimais voir sa bouille adorable se déformer dans un rictus de colère, et son ami blond tenter de le calmer rien qu'en déposant sa main sur son épaule, ou en le détournant de moi. Même si, il fallait l'avouer, ce blondinet m'énervait tout de même, car il faisait toujours en sorte que je ne puisse pas embêter son ami en paix. Mon «petit biscuit», comme j'aimais bien l'appeler.
Aujourd'hui encore, je laissais mes yeux de chats observer les longs couloirs, juste avant l'entraînement. Je n'attendais qu'une seule chose, de pouvoir annoncer aux entraîneurs que j'avais enfin découvert mon don, et que je pourrais enfin en user. Nous n'étions plus que quelques uns à ne pas encore l'avoir découvert, et je devais avouer que faire partie de ce groupe me rendait plutôt mécontente.
Ce fut en regardant l'heure, que je me relevais tel un félin dans une grâce sans pareille, et que je me dirigeais d'un pas léger vers la grande salle, où nous attendaient déjà quelques instructeurs. Enfin, ils n'étaient que deux... NT était là, et Léo aussi, nous observant de leurs yeux rubis et émeraudes.
Je souris un peu, dévoilant mes petites canines pointues, et, lorsque l'habituelle question des dons se posa, je levai la main, en même temps qu'un jeune homme à ma droite. Il s'agissait de Frigiel, si je me souvenais bien. Je ricanais en tournant mon visage vers Brioche, et vis qu'il faisait partie à présent d'un groupe de quelques personnes seulement.
Au fur et à mesure, j'avais bien compris qu'il n'était pas du genre à être sûr de lui, et qu'il pensait ne pas posséder de don. Le sourire aux lèvres, je me dirigeai lentement vers lui, avant de le regarder de haut, étant donné qu'il était plus petit que moi, avant de lui ébouriffer les cheveux, un sourire mauvais aux lèvres.
Il me lança un regard remplit d'éclairs, et me donna un coup pour que je recule, chose que j'esquivai sans aucun soucis. Il grogna un peu, et parut détourner le regard, comme refusant clairement le fait que j'ai l'air supérieure à lui.
Il était vrai que j'aimais bien faire la même chose aux autres, mais ses réactions étaient de loin les meilleures. Je m'amusais tellement à faire cela, à lui faire remarquer qu'il était moins bien que les autres, qu'il n'était pas encore parmi les plus forts, et, surtout, qu'il n'était qu'un faible physiquement, car je devais avouer, bien que contre mon gré, que, mentalement, il en avait dans le cerveau!
Il était largement capable de contenir ses émotions sans problème quelconque, tout comme il pouvait parfaitement prouver qu'il pouvait rester fort, sans même flancher, ni bouger le petit doigt lorsque l'on s'attaquait à tout ce qui pouvait atteindre ses sentiments.
Mais, malgré tout, je connaissais bien ses faiblesses du côté de ses muscles, qu'il ne possédait presque pas.
«Allons, Brioche, ne sois pas jaloux, nous savons tous très bien que tu n'as rien à faire ici, et que tu n'as pas de don. Il y a ceux qui l'ont découvert trop tôt, ceux qui le découvriront trop tard, et il y a toi, qui est inclassable, puisque tu ne fais partie d'aucun des deux. Toi, tu n'en possède tout simplement pas..., lui murmurais-je au creux de l'oreille.
-Tais-toi..., dit-il en fermant fortement les yeux.
-Quoi donc? Tu n'assumes donc pas le fait que tu n'as rien à faire parmi nous, tu en es certain?
-Je t'ai dis de te taire...
-Il n'y a aucune honte à cela, tu sais, il suffit de se remettre en question, de s'avouer que l'on n'est pas fait pour ça, que, de toute manière, nous n'aurions jamais du arriver au sixième grade... Tu sais, j'ai presque pitié pour toi, mais, comme tu dois t'en douter, j'ai trop peu de cœur pour t'en offrir, ris-je amèrement.
-Je t'ai dis de te taire!
-Oulah, la petite Brioche se rebelle, c'est pas très très bien. D'ailleurs, tu me diras, je ne pourrais plus t'embêter, durant les séances d'entraînement... Quel dommage, tu devras te passer de moi..., dis-je en replaçant ma mèche.
-Je ne supportes plus que tu me traites ainsi, Ilo! Avant, cela passait, mais maintenant, je n'en peux plus! Je ne suis pas qu'un faible, j'ai aussi de quoi être fort, et je le suis peut-être, voire sûrement, plus que toi! Que je sache, ce n'est pas moi qui n'arrive pas à bien contrôler mes émotions, qui pique des crises de colère, ou qui ne sait quelle réaction adopter à quel moment, je me trompes? Alors il est hors de question que je me laisses insulter, bien qu'ironiquement par une fille qui ne sait elle-même pas où elle en est! Arrêtes de me coller, de me dire ce que je devrais faire ou non, de m'exploiter, ou tout simplement de me parler! Je n'en peux plus de te voir sans cesse me narguer, car, oui, tu peux te donner de grands airs, auxquels tout le monde croit, mais ce n'est pas mon cas! Tu peux très bien prétendre que ton passé n'est pas intéressant pour ne pas en parler, mais moi je sais que c'est tout simplement pour cacher de la souffrance! Tu peux tout aussi bien te donner tes airs de dur, te cacher derrière tes sourires narquois, mais je sais que tu ne fais cela que pour dissimuler de la tristesse! Est-ce que tu as une famille? Est-ce que tu as, ne serait-ce qu'une seule seconde, été heureuse, avant de venir ici? Toutes ces questions, saurais-tu y répondre sans te mettre à pleurer au beau milieu de tes phrases, sans qu'un hoquet presque sourd ne traverse tes lèvres, ou tout simplement que tes sanglots entre-coupent trop souvent ta parole? Si tu as autant d'excès de colère, ne me fais pas croire que c'est à cause de tes camarades de chambre, c'est bien par un passé compliqué, et non pas parce que mademoiselle est sûrement bipolaire! Je ne suis pas dupe, moi, mais je sais me taire, peut-être aurais-tu du arrêter, avant que je ne laisse mon savoir se dérouler sur un tapis rouge, là où tout le monde peu poser ses pieds sans même savoir s'il le salit ou non!»
Je ne savais plus que dire, que faire. Il avait tellement raison... Il n'avait pas vraiment crié, mais quelques visages s'étaient bel et bien retournés vers nous, et je devais avouer que, pour la première fois depuis longtemps, je me sentais mal, atrocement mal.
Mon cœur était serré comme si quelqu'un s'amusait à fermer sa main dessus jusqu'à ce que je ne le sente presque plus battre, alors que je sentais comme une soudaine envie de laisser mes larmes parler pour moi, mais je ne pouvais pas, je devais rester forte, comme toujours! En inspirant profondément, je croisais de nouveau les yeux noisettes de Brioche, avant de tenter de faire de nouveau un sourire moqueur, ce qui ne conclu qu'un rictus déformé, ressemblant à une émotion entre la peine, la souffrance et la haine.
Oui, c'est vrai, maintenant que je savais qu'il avait raison sur toute la ligne, je ne pouvais me permettre de l'apprécier, alors que, autrefois, c'était le cas... Puisque, quand je l'énervais, ce n'était pas une preuve que je ne l'aimais pas, juste que j'avais besoin de m'amuser...
J'ouvris la bouche, dans l'espoir de dire quelque chose, mais rien n'en sortit, comme si mes cordes vocales avaient été coupées. Je n'arrivais pas à mettre au clair mes émotions, et je n'avais qu'une seule envie : laisser de nouveau éclater ma colère. Mais, si je faisais cela, je risquais fort de voir mes derniers appuis sur le fait que personne ne pouvait m'atteindre mentalement se briser en des milliers de morceaux.
Alors que je tentais de reprendre mes repères correctement, je vis de nouveau une vague me prendre d'assaut, et ce fut sûrement le coup en trop, car je sentis comme une barrière se briser en moi.
«Tu avais quoi? Une mère qui t'adorais, qui ne faisait que t'embrasser chaque soirs, avant que tu n'ailles te coucher, en te murmurant des mots doux, avant que tu ne sois dans l'obligation d'éteindre ta lampe de chevet, et un père qui te racontait des histoires, tout en te lançant des regards doux, alors que ses paroles te berçaient tendrement dans ton oreiller, et que tes paupières se fermaient d'elles-même pour laisser les bras de Morphée t'accueillir dans le pays des rêves? Et puis, peut-être que, un beau jour, un accident des plus grave est arrivé, et tu en as trop souffert, tu t'es fermée au monde alentours, et tu es devenue quelqu'un de trop solitaire pour se rendre compte des sentiments des autres? Je peux aussi bien te manipuler mentalement que toi tu essaie de me le faire, tu sais?
-Tais-toi!, dis-je en serrant les dents.
-Et puis, dis-moi, tes parents sont morts, c'est ça? L'un physiquement, dans des cris douloureux, en souffrant, alors qu'il s'est sacrifié pour toi, pour venir te chercher, pour te protéger du danger, et l'autre, mentalement, te prenant pour principal acteur de la flamme de sa vie? Et, si c'est le cas, ne t'es-tu jamais demandé s'il avait raison? Et, d'après toi, es-tu la coupable?»
S'en était trop pour moi, je ne pouvais plus. J'avais sûrement trop joué avec le feu, mais je n'y tenais plus.
Soudain, alors qu'il s'apprêtait à redire quelque chose, une lame se plaça sous sa gorge, alors que je le regardais férocement.
«J'ai dis : Tais-toi.»
PS: Niouky les Zorua! :3
On arrive de plus en plus vite vers la fin de la première "saison", les amis... Mais il y aura une suite, héhé èwé
Je sais que, pour vous peut-être tout ce qu'il s'est produit dans ce chapitre n'est pas forcément important, mais sachez que si! Tout dans ce chapitre est important!
Bon, par contre, je penses que je ne réussirais pas à incruster tout le monde dans la fiction, ou du moins, pas correctement, donc sachez que, si vous n'apparaissez pas dans la première "saison" de la fiction, vous serez sûrement dans la deuxième, pas d'inquiétude! ;D
Je continue de ne plus mettre de musiques, mais ça, ça ne changera pas, mis à part pour l'épilogue
Comme vous l'aurez sans doute compris, Keena a rejoint les Sorden, ce qui aura un impact important sur la suite, mes Zorua! Je ne dirais rien, mais je penses que, dans les chapitres à venir, l'action se présentera avec des bras grands ouverts èwé
Je ne sais pas trop que rajouter de plus, donc si vous avez des questions ou quelque chose que vous ne comprenez pas, demandez moi dans les commentaires!
Voilà les Zorua, le chapitre est fini, merci de me donnez vos avis dans les commentaires, et d'appuyer sur le petit "+" en haut à droite de l'article si le chapitre vous a plu!
Je vous aime, à dimanche prochain! Keur et beusoux! <3