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La goutte de trop - Chapitre 3

CitrouillePommePoire
CitrouillePommePoire
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Dim 8 Nov - 18:18
CitrouillePommePoire
Hello hello !
Vous allez bien ?
Voici une nouvelle fois un chapitre de notre RP avec Flo, corrigé cette fois par la magnifique Mistakes !
Bon, vous savez qui et qui, normalement, donc je n'ai pas grand chose à rajouter.
Bonne lecture !
---


Fukano

Je ne m'attendais pas à ce qu'il m'emmène jusqu'au parking. J'ignore totalement ses intentions. Ou plutôt, l'alcool m'empêche de savoir. Je me laisse faire. Qu'aurais-je pu faire d'autre ? Je suis fatigué. Ma tristesse accumulée à l'alcool sont venus à bout de moi.

Il ouvre ma voiture. Je ne pose même pas de question de comment il fait, ni de où sont mes clefs. Il me force à m'asseoir sur le siège passager, et je n'ai même plus la force de mettre ma ceinture. Il referme ma portière et contourne la voiture, se glissant sur le siège conducteur en riant comme un Tardos.

" Bon, Fuka, j'ai pas d'laisse, alors on n'a qu'a faire un 'tite balade en voiture ! ", disait-il.

Il tourne la clé dans le contact, et un son horrible s'en échappe, vrillant mon crâne par le biais de mes tympans, m'arrachant un petit cri de douleur. Le rire de Pierre se rajoute à ce bruit atroce pour mon crâne, maltraitant mon cerveau comme pas possible. Aucune information de peut désormais passez cette brume de douleur et d'alcool, et je fus prit d'un haut-le-cœur. Mon teint pâlit, tandis que je porte ma main à ma bouche, réprimant un jet de bile tant bien que mal. La voiture vibre, secouant mon corps et me donnant une forte envie de vomir. Puis j'entends un puissant son, suivie d'un voix très aiguë, comme un cri, m'arrachant les tympans. Puis une violente secousse manquant de me faire recracher mes tripes. Je me sens un court instant surélevé, avant que la voiture ne ré-atterrisse violemment, dans un bruit d'enfer et un tremblement puissant. Je me sens à ce moment plus que mal, le crâne douloureux, à deux doigts de vomir. Je sens un mouvement sur le côté, vers Aypierre, mais je ne prends même pas la peine de tourner les yeux, me contentant d'agripper mon crâne comme s'il allait fuir avec ce vacarme dont un écho horrible résonnait dans ma tête. Je savais maintenant ce que ça faisait de trop boire... quel con !

Puis j'entends des cris. Je reconnais Bboy, malgré le faite que sa voix se transforme en douleur sourde dans ma tête. L'idée de me poser la question de ce qu'il faisait là ne m'est même pas venue à l'esprit. Je crois que tout ça se passe dehors. Tout le monde à du quitter la voiture. Puis je ressens un mouvement rapide à ma gauche, à l'endroit où se trouvait le leader des Patricks tout à l'heure. Le faite d'avoir perdu la connaissance du monde qui m'entoure à cause de ce putain d'alcool me perturbe et m'énerve.

Puis je sens une pression sur mon épaule, suivie de sons proches. Je perçois mon nom à travers ses bribes de phrases douloureuses, me poussant à gémir et à saisir ma tête entre mes pattes. La douceur de cette voix n'atténue pas la douleur, et cette proximité n'arrange rien non plus. Mais les sons doux qui me parvenaient, même s'ils étaient douloureux, avaient aussi le don de me rassurer. D'autant plus que je reconnaissais cette voix; c'était celle de Zera. Je préfère me laisser à ses mains qu'à celle de Pierre, et malgré tout l'alcool que je peux ingurgiter, ça, ce sera toujours un évidence dans ma tête.

Je sens mon meilleur ami frotter un peu mon épaule, avant de m'abandonner. Une pointe de tristesse ponctue son départ. Je n'ai pas la force de me concentrer sur où il va. Si ça se trouve, il va me laisser là ? Non, il est encore tout près. J'entends les bribes de phrases qu'il échange avec un autre depuis la voiture. Peut-être Bboy ? En tout cas, le calme des voix et la distance ne me prennent pas plus la tête que ça.

Puis je sens du mouvement sur le siège du conducteur, et un claquement de portière qui faillit me faire gémir, se contentant de faire résonner en écho son bruit dans ma tête dans une douleur régulière et sourde. Et la voiture vrombit. La douleur double d'importance d'un coup sec, m'arrachant un petit gémissement. Puis elle se met à rouler. J'ai envie de vomir. Vraiment.

Après quelques minutes de route, on freine un peu trop brusquement pour moi. Je me retiens de libérer mes tripes, prêtes à partir à tout bout de champ. Je sens un regard appuyé sur moi, alors que le moteur cesse de fonctionner, me laissant un peu le temps de calmer ma douleur et de reprendre mes esprits, dans un silence le plus total. Silence bientôt brisé par un bruit de portière qui s'ouvre, léger, et pas énormément douloureux. Puis j'entends la portière à côté de moi s'ouvrir aussi, et le son beaucoup plus proche est déjà plus douloureux. Je sens un corps chaud coller à moi, me faisant frémir. Je reconnais presque aussitôt l'odeur de mon meilleur ami, grâce à mon odorat qui, malgré l'alcool, reste tout de même assez puissant. Plus qu'un odorat normal, en tout cas. Je me sens à moitié soulevé, et je tente tant bien que mal de me mettre debout sans l'appui de mon ami, la tête tournant comme la terre tourne. J'ai mal au crâne, et un jet de bile est coincé dans ma gorge.

J'arrive à peu près à marcher, mais j'ai besoin de l'appui de Zerator. J'entends une porte grincer, et je grimace de douleur, avant de me rendre vite fait compte d'où on est, grâce à la couleur des murs et à l'odeur qui s'en échappe : mon appartement. 

Alors, des bribes de mots de Zerator me parviennent : je perçois surtout le mot "étage", avant que ma tête ne se mette à m'apporter un son long, aigu et continue, se répercutant douloureusement dans ma boîte crânienne. J'essaye de garder un minimum de lucidité. A quelle étage j'habite ? Euh... euh... hmm...

" J-j'hab-bite au 5... ", articulai-je comme je pus.

Ça à l'air de lui suffire, car je me sens de nouveau à moitié soulevé, sans que néanmoins je puisse me passer de mes jambes. Je me laisse guider vers une forme rectangulaire grise, sur laquelle s'affiche un rectangle blanc avec des formes noirs semblants être des lettres. Et ça à l'air d'être l'origine du râle douloureux de Zera. Puis il m'emmène autre part. Un endroit que je reconnais du premier coup d'œil, même à moitié-mort : des escaliers. Oh merde...

La montée est très difficile. Autant pour moi, que pour Zera, qui doit supporter mon poids, et m'aider à ne pas chuter. Enfin, surtout Zera qui a du me porter la moitié du chemin parce que je me suis quasiment évanoui dans ses bras. Sa respiration bruyante et lancinante m'indique l'effort qu'il doit faire, et je m'en veux un peu. Mais je ne peux pas trop réfléchir à ça. J'en ai à peine la force. Après quelques minutes à laisser Zera supporter mon poids que je ne tenais plus, je suis réveillé de ma somnolence par une lumière qui s'allume. L'endroit, c'est chez moi. Zera me laisse encore un peu porter mon poids, pour me traîner jusqu'au canapé, avant de m'y lancer brusquement avec un soulagement si intense que je comprends enfin mon poids pour le jeune homme. J'atterris lourdement sur le sofa, et le mouvement brusque me donne un haut-le-cœur. Je palis affreusement avant de porter mes mains à ma bouche, la tête tournante, et de gémir pour avertir mon ami. Je sens un mouvement précipité au niveau de ma cuisine, et plusieurs bruits sourd se font entendre, avant que je n'entende un bruit de pas rapide et une main m'attraper le cou comme un vulgaire chien pour me forcer à me pencher au dessus que quelque chose que je n'arrive pas à identifier. Enfin, que je n'ai pas le temps d'identifier. Le mouvement est si vif que le jet de bile me remonte tout seul, et je me retrouve en train de vomir mes tripes au dessus d'un récipient à salade ou je ne sais quoi d'autre. Ma migraine reprend de plus belle, encore plus douloureuse que les fois précédente, et je gémis.

Puis d'un mouvement doux, je sens qu'on me repasse sur le dos. Quelque chose frotte mon museau, essuyant les traces de ce qu'il vient de se passer. Et Zerator se lève, le récipient entre les mains, alors que je tente vainement de calmer mes migraines. Puis je le vois revenir. D'un geste calme, il me relève du lit, et je me force à rester debout. Mes jambes tremblent, mais j'y arrive sans son aide, malgré le faite qu'il reste auprès de moi au cas où je tombe. Il m'emmène vers ma chambre. Je le suis de près, titubant quelques fois. Et il ouvre la porte grinçante, avant de me traîner à l'intérieur d'un geste attentif. Je chancelle jusqu'à mon lit sans son aide, et m'effondre dessus, épuisé. Je le sens qui me force à m'installer correctement, et je bouge du mieux que je peux pour l'aider. Après m'être mis sous mes draps, je fourre mon museau dans mon oreiller, camouflant un gémissement de douleur dû à ma migraine. Les lumières s'éteignent. La porte se ferme dans un bruit quasi inaudible. Et je m'abandonne à Morphée.



Zerator

Je sais où habite Fukano, j’y suis déjà allé plusieurs fois. Les routes sont désertes à cette heure-ci et je n’ai aucun mal à me repérer, malgré l’alcool qui me brouille légèrement les idées. J’arrive sur le parking devant son immeuble et me gare en une seule manœuvre sur une place libre, le plus proche possible de l’entrée. J’arrête la voiture et me tourne vers mon ami. Il est encore pâle, mais j’espère que je vais réussir à l’amener jusqu’à son appartement... Je le regarde un moment. Le voir dans cet état me brise le cœur... Dire qu’Aypierre et lui auraient pu... Un frisson me parcourt l’échine. Je ferais mieux de ne pas y penser...

Je sors de la voiture et passe de l’autre côté pour aider Fukano à sortir. Je le sens réagir légèrement lorsque je le prends contre moi et que je le fais se lever. Le peu de conscience qu’il lui reste semble lui permettre de tenir plus ou moins sur ses jambes. Il se débrouille quelques instants seul tandis que je ferme sa voiture. Je m’approche de lui et passe doucement son bras sur mes épaules pour qu’il puisse y prendre appui. Il a du mal à marcher et son poids me fait fléchir les genoux. Je serre les dents. Pas question que je le laisse dans cet état. Je me sers de sa clef pour ouvrir la porte d’entrée de l’immeuble et le fait entrer à l’intérieur. Je n’arrête pas de regarder son visage, inquiété par sa faiblesse et son teint translucide. 

Un léger doute s’empare de mon esprit, et je lui demande avec douceur :

« Fuka, à quel étage tu habites, déjà ? »

Un légère grimace passe sur son visage. J’ai peur qu’il ait oublié ou simplement qu’il n’ait pas compris ma question, mais réussi à me le dire. Je suis légèrement soulagé. Il n’est pas entièrement loin... Je l’emmène à l’ascenseur, soutenant difficilement son poids. Mais en arrivant devant mon but, je vois la pancarte. Cette atroce pancarte. Celle qui me dit que l’ascenseur est hors service. Je peste un peu. Pourquoi aujourd’hui ? Hein ? Ça ne pouvait pas être la semaine passée ? Ou n’importe quand d’autre. Je soupire légèrement, Fukano toujours appuyé sur moi. Qu’est-ce que je fais ? On tente les cinq étages ou un rebrousse chemin et on va chez moi ? Je me tourne vers mon ami. Il sera mieux chez lui. Je le force à recommencer à avancer jusqu’à la cage d’escalier. Il n’a pas l’air plus heureux que moi, mais on a pas réellement le choix. Je me mets à côté de la rambarde, soutenant Fukano d’un bras et m’accrochant à la barre métallique de l’autre. Les deux premiers étages sont laborieux, mais mon ami m’aide du mieux qu’il peux. J’aimerais bien l’encourager, mais j’ai trop besoin de mon souffle pour pouvoir continuer à le soutenir. Et puis alors qu’on allait entamer une nouvelle série de marche en direction du troisième étage, je le sens perdre prise. Je m’immobilise et j’ai besoin de mes deux bras pour l’empêcher de tomber. Je le serre contre moi et prend une grande inspiration. Je le soulève comme je peux et ma mâchoire se crispe. Je dois réussir à l’amener jusqu’en haut. Je m’encourage mentalement et fais les trois derniers étages d’une traite. Il est plus lourd que moi... L’effort me donne les larmes aux yeux. J’arrive enfin au dernier étage. J’appuie le corps inanimé du mi-animal contre le mur et libère une de mes mains pour ouvrir la porte de son appartement. Allez, Zera, un dernier effort... Je me remets à supporter Fukano jusqu’à son canapé. Il m’aide un peu plus qu’avant, comme si le fait d’être chez lui l’avait un peu aidé à aller mieux. Ça me réconforte...

Je n’ai plus la force de l’asseoir doucement alors je me contente de le laisser tomber sur le canapé. Mes bras tremblent par l’effort, mais je n’ai pas le temps de me reposer qu’un mouvement brusque attire mon attention. Il a plaqué ses mains sur sa bouche avec un léger gémissement. Mon cerveau ne met qu’une demi-seconde à comprendre et je me jette dans sa cuisine. J’ouvre toutes les armoires brusquement avant d’en trouver une dans laquelle il a empilé soigneusement des tas de saladiers en plastique. Je prends le premier qui passe sous ma main, faisant tomber tous les autres à terre, mais je m’en fiche. Je me précipite vers mon ami qui se retient toujours et lui fourre le récipient sous le museau en appuyant ma main sur sa nuque pour qu’il se penche en avant. J’attends patiemment qu’il finisse de vider son estomac malmené dans le pauvre saladier. Une fois qu’il a terminé, je pose le saladier sur la table et file dans sa salle de bain où j’embarque un chiffon propre. Il n’a pas bougé. Je le fais rouler avec toute la douceur que je peux pour qu’il soit allongé sur le dos et je m’agenouille près de lui pour essuyer sa fourrure soyeuse qu’il avait salie en vomissant. Je le laisse là et vais poser le récipient plein et mon chiffon dans sa cuisine. Je m’en chargerais après. Je m’appuie quelques secondes sur la table. J’ai la tête qui tourne et je tremble de fatigue. Mais je ne peux pas laisser Fukano comme ça... J’inspire un grand coup.

Je retourne au salon. Je le fais se relever en lui promettant que c’est la dernière fois que je l’embête. Je pense qu’il doit me détester. Il arrive plus ou moins à marcher seul mais je reste près de lui au cas où. On arrive à sa chambre et il semble comme attiré par son lit. Il se laisse tomber dedans et je ne peux retenir un petit sourire. Ça doit faire du bien. Je le fais s’installer correctement, malgré le fait qu'il doit sûrement avoir très envie de dormir. Je dégage ses draps qui étaient jusqu’alors coincé sous lui et je le recouvre pour qu’il n’ait pas froid cette nuit. Je passe une main dans sa fourrure toute douce. Il enfouit son museau dans son coussin et j’ai envie de le prendre dans mes bras pour le faire aller mieux. 
« Plus jamais, hein, Fuka... » je murmure pour moi-même. 
Je finis par sortir, éteignant la lumière derrière moi. Je ferme doucement la porte et pousse un soupir de soulagement. Voilà, c’est fini... Ou presque. 

Je retourne à la cuisine et malgré mon dégoût, je me mets à nettoyer le saladier rempli de liquide brunâtre. Je peux bien faire ça pour lui, après tout. Je le nettoie, le rince et le sèche. Mes yeux se ferment tout seul. Je ramasse tous les saladiers que j’ai fait tomber sur le sol avant et les range et pour finir, je me dirige comme un zombie jusqu’à sa salle de bain et lance le chiffon sale sur sa pile de lessive sale. Je commence à grelotter de fatigue. J’hésite à rentrer chez moi, et puis je vois son canapé, tellement tentant. Je m’en approche et m’assieds dessus. J’ai légèrement la tête qui tourne. Oui, je ferais mieux de rester là, finalement... En plus, je pourrais réagir s’il y a un problème. Nonchalamment, j’attrape un coussin et le serre contre moi en m’installant confortablement sur le canapé. Je me souviens à peine de combien de temps j’ai mis à m’endormir, tant ça a été rapide.



---
Bon, je me sentais obligé de faire un petit commentaire final.
Oui, le vomi était dégueulasse C'était pas mon idée, d'abord



Citation :
J-j'hab-bite


...
Bande de pervers.
Sur ce, je vous dis, à bientôt, j'espère que vous avez aimez, je vous aime, bande de lapins <3 (bon, pas plus que Kagura, mais quand même //PAF//)
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Mistakes
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Super Fukanouille
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Dim 8 Nov - 19:08
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La magnifique, la magnifique... MAIS NAN QUAND MÊME PAS 8
J'ai le le début après avoir corrigé, si ça c'est pas génial x) Bon, j'y retourne! j'ai la suite avant vous, muararararrararah
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Nothingness
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Bébé Sadique
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Dim 8 Nov - 19:10
Nothingness
Le changement de taille d'écriture est un peu bizarre xD
Mais sinon, bah... Que dire...
Je veux la suite.
Voilà.
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CitrouillePommePoire
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Dim 8 Nov - 19:13
CitrouillePommePoire
Mista a écrit:
La magnifique, la magnifique... MAIS NAN QUAND MÊME PAS 8
J'ai le le début après avoir corrigé, si ça c'est pas génial x) Bon, j'y retourne! j'ai la suite avant vous, muararararrararah

Alors, la fantasmagorique Mista //PAF//
GG !

Nothing a écrit:
Le changement de taille d'écriture est un peu bizarre xD
Mais sinon, bah... Que dire...
Je veux la suite.
Voilà.

Oui, petit bug.

Attends... tu l'avais pas lu avant, toi ? //PAF//
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Bébé Sadique
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Dim 8 Nov - 19:27
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Sisi, mais justement je veux la suite depuis l'endroit où j'ai dû arrêter :')
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Nyal27
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Mer 18 Nov - 12:33
Nyal27
Non mais en vrai c'bieng.
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Localisation : Je sais pas... je peux peut-être vous faire une description ? Il y a des moutons, et... en fait, je crois que je vais pas faire de description O.O
Mer 18 Nov - 13:45
CitrouillePommePoire
Nyal27 a écrit:
Non mais en vrai c'bieng.

Merki <3
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Localisation : Je sais pas... je peux peut-être vous faire une description ? Il y a des moutons, et... en fait, je crois que je vais pas faire de description O.O
Dim 6 Déc - 9:58
CitrouillePommePoire
LES GEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEENS !
Hmmm... comment vous dire que j'ai oublié un PVD ? Au début ? #Nullité
Bon bah, je vais pas vous en priver lel :
---

Zerator


Je panique complètement. Je n’aurais jamais du le laisser ! Je m’en veux, je m’en veux, je m’en veux ! Surtout que je sais très bien qu’Aypierre est le roi des conneries une fois bourré ! Bboy semble remarquer mon air angoissé parce qu’il claque des doigts devant mes yeux pour me faire revenir à moi.
« Eh, Zera, t’es encore là ? »
Je secoue légèrement la tête avant de parcourir la salle du regard plusieurs fois.
« T’as pas vu Fukano ?
- Il est sorti avec Aypierre il y a cinq minutes...
- Merde... »
Il me regarde sans comprendre. 

Je ne suis pas le genre à m’occuper des autres, habituellement, c’est plutôt le contraire, mais ce soir j’ai pas tellement bu et en voyant l’état de mon ami pokémon, j’avais décidé de rester lucide pour le surveiller. Sauf que là, il était sorti avec Aypierre, qui devait être autant bourré de lui. 
« Je vais le chercher » dis-je simplement à Bboy, qui me dévisage quelques instants. Il repose son verre.
« Je viens avec toi. » 
Je lui souris faiblement, reconnaissant. On part vers l’entrée pour récupérer nos vestes. Souls, complètement pété, vient nous arrêter.
« Eh mais les gars, vous partez !
- Non, on va juste faire un tour, Souls, lui répond Bboy en l’écartant gentiment.
- Trop bien ! Je viens avec vous !
- Oh mon dieu Souls, un ananas ! » s’écrie le génie en pointant le plafond du doigt.
Surexcité, notre ami se tourne et Bboy m’attrape le bras pour m’entraîner dehors. 

L’air est glacial et j’enfile ma veste que j’ai juste eu le temps d’agripper avant que Souls ne vienne nous embêter. Je me tourne vers Bboy qui a lui aussi mis la sienne.
« Merci mec...
- Oh, t’inquiète, j’ai l’habitude. T’as une idée de l’endroit où ils peuvent être ? 
- Non, aucune... »
On reste quelques secondes à scruter la vue qui s’offre à nous et à essayer d’entendre un bruit quelconque qui puisse nous signaler l’endroit où ils sont allés, mais il n’y a rien. Je commence à angoisser sérieusement... Ils peuvent être n’importe où, et Fukano était vraiment dans un sale état. Pourquoi je ne suis pas resté avec lui ? J’aurais du... J’aurais tellement du ! Je ne suis qu’un gros crétin ! Je croise les bras sur mon ventre. Une main réconfortante se pose sur mon dos.
« On va les retrouver mon gars, t’inquiète pas ! Dans leur état, ils n’ont pas pu aller bien loin ! »
Je ne parviens pas à lui sourire et commence à avancer, complètement perdu. J’ai l’impression d’être dans un autre monde... Fukano, pourquoi ? Pourquoi s’était-il mis soudainement à boire, alors que d’habitude il ne le faisait jamais ? Pourquoi il n’était pas resté avec moi... Pourquoi...

Un bruit me fait soudainement tourner la tête. Un claquement de porte. Ou plutôt de portière. Il provient du parking. J’ouvre grand les yeux pour voir les phares de la voiture de Fukano s’allumer. MERDE. Je ne prends pas le temps de prévenir Bboy et fonce vers l’endroit où ils se trouvent, tous les deux. Mon compagnon semble comprendre et se met à me suivre. Dans la vitre, je vois Aypierre sourire comme un benêt et Fukano, à la place passager, complètement amorphe. Il n’a pas l’air bien, mais pour le moment, c’est surtout le plus âgé, le problème. Bboy ouvre violemment la portière et retire les mains d’Aypierre du volant. La voiture fait un saut en avant. Le con, il a appuyé sur l’accélérateur ! Mes pieds ont failli y passer. Je me jette à moitié sur lui et tourne la clef pour éteindre le moteur. Ceci fait, je m’immobilise quelques secondes, à bout de souffle. Je suis couché sur les genoux d’Aypierre, la clef dans la main. On est pas passé loin de la catastrophe. Je me relève difficilement. J’ai la tête qui tourne, je crois que l’effort m’a achevé... Bboy force Aypierre à sortir de la voiture. Il l’engueule. Il a bien raison. Aypierre le regarde toujours avec ce petit sourire d’abruti qui me donne envie de lui en coller une. Mais bientôt, je ne me soucie plus d’eux. Je me précipite dans la voiture et m’assieds à la place où le plus âgé se trouvait il y a quelques secondes. Fukano n’a pas bougé. Je pose doucement ma main sur son épaule et le secoue un peu :
« Eh... Fuka ? Fuka ça va ? »
Il sursaute et porte ses mains à sa tête en gémissant. Je soupire. Au moins, il ne nous fait pas un coma éthylique... Je lui frotte doucement l’épaule avant de ressortir de la voiture. Aypierre a les yeux effrontément baissés. On dirait bien que Bboy a réussi à le faire réagir, finalement. 

Je m’approche du génie et il se tourne vers moi.
« Je vais ramener Fukano, je pense que ça vaut mieux...
- D’accord... Mais tu prends la voiture ?
- Oui. T’inquiète pas, je gère, vraiment. J’ai pratiquement rien bu. »
Il acquiesce doucement et m’étreint brièvement pour me dire au revoir. Je le remercie une dernière fois. Aypierre me fait lui aussi un câlin et je me retiens de toutes mes forces pour ne pas le repousser et lui mettre une droite bien sentie. 


Je retourne dans la voiture. Fukano se tient toujours la tête entre les mains et le vrombissement du moteur lui arrache un petit gémissement. Je soupire et le regarde tristement. J’appuie sur l’accélérateur et je roule jusque chez lui. J’espère que je vais réussir à l’amener jusqu’à sa chambre, dans son état...

---
Disoulay ;-;
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