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[Johnlock SACD] Le récit caché...

Silen
Silen
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Ven 22 Juil - 18:34
Silen
Salut !

Je tiens d'abord à vous expliquer le titre :

Je différencie deux sortes de johnlock. La version SACD et la version SMMG. La version SACD est celle dans l'univers de Sir Arthur Conan Doyle et celle SMMG est la version de Steven Moffat et Mark Gatiss. Je vous propose donc ici une version Sir Arthur Conan Doyle. J'espère m'être rapprochée un minimum du style d'écriture de ce génie mais sachez que c'est bien difficile ! En tout, j'espère que ça vous plaira Very Happy




Je venais de poser le dernier carton dans mon nouvel appartement de Londres avec un soupir d'épuisement et de satisfaction. En bonne fan de Sherlock Holmes que je suis, j'ai réussi à acheter le 221B Baker Street avec la bonne somme et la garantie que je ne péterai aucuns murs.

Je me reposais sur l'un des fauteuils après avoir allumé la cheminée et regardai, pensive, le crépitement des flammes. Me rendant compte d'où j'habitais, je sautais sur mes jambes en un cri d'excitation non retenue. Mon regard balaya la pièce quand je tombais sur quelque chose d'irrégulier dans le bow-window, au niveau du plancher. Je soulevais sans aucun mal une planche et en retira un petit papier jaune, en état de décomposition avancé. Je le daterai même du début du vingtième siècle... Dessus était écrit ceci :


J. H. W.'s chamber - under bed


Quel curieux message, trouvais-je... Je le traduit ainsi :


Chambre de John H. Watson – Sous le lit


Qu'y avait-il sous le lit de l'ancienne chambre de Watson ? Mmh... Peut-être devrais-je vérifier...

Ainsi, je me rendis dans la chambre à gauche de la cheminée et poussa le lit massif pour me retrouver nez-à-nez avec la même aspérité dans le plancher. Je soulevais une nouvelle fois la planche et vit la mallette. La fameuse mallette du docteur Watson où se trouvait ses notes sur les affaires de Sherlock Holmes ! Je hurlais de joie en la retirant de son trou et la posa sur le bureau, l'ouvrant.

Je vis dans la mallette une multitude de notes, de dossiers et même le pistolet du docteur ! Je feuilletais tout avec l'immense intérêt d'un collectionneur trouvant la pièce originelle – car c'était cela – jusqu'à tomber sur un manuscrit – oui, oui, un manuscrit ! - qui me fit froncer les sourcils. Le titre prouvait que jamais cette nouvelle n'avait été publiée ni même connue. Je m'en saisis avec précaution. La signature était bien celle de John Watson tout comme l'écriture, pourtant peu connue car il tapait ses textes. Seules ses notes étaient à la main ou les quelques griffonnages de plans ou de codes pour appuyer ses récits.

La stupeur laissa finalement place à l'empressement de lire ce bijou et c'est ainsi que je dévorais ce que vous pouvez retrouver si dessous :


L'histoire que je vais vous raconter est au delà de toutes les autres que j'ai pu vous raconter. Je vous présente la véritable dernière aventure de Sherlock Holmes, bien singulière, vous pourrez le constater, par rapport à toutes ses aventures les plus merveilleuses et grotesques.

J'étais assis dans mon fauteuil, fumant tranquillement, quand je reçus une lettre de mon ami que je n'avais pas revu depuis bien longtemps. Je fus frappé de voir avec quel empressement elle avait été écrite, connaissant mon ami comme quelqu'un de méthodique et soigné.



Mon très cher Watson,


Pardonnez-moi cette singulière lettre mais je devais vous parler. Je ne compte pas m'épancher ici, dans cette lettre, et c'est pourquoi je vous prie de venir me retrouver dans ma maison du Sussex d'où je pourrais vous expliquer, à tête reposer, ce qui me travaille tant pour vous déranger maintenant. Je me serais bien déplacé moi-même si quelques travaux ne me retenaient pas dans le Sussex. Venez au plus vite, Watson.


Votre dévoué,

Sherlock Holmes.


Je la trouvais bien mystérieuse mais je savais qu'il n'y avait pas de temps à perdre. Aussi, je me préparais promptement et pris le premier train en direction du Sussex. Le voyage me sembla interminable d'autant plus que de nombreuses questions me tenaillaient l'esprit. Surtout une en particulier : De quoi veut-il me parler pour que ce soit si pressant et en même temps si confidentiel qu'il ne peut en parler dans une lettre ?

Arrivé là-bas, je montais dans un fiacre. Une demi-heure de route plus tard dans les terres verdoyantes caractéristiques de cette région de l'Angleterre, je me retrouvais devant l'humble demeure du détective – ou du moins ancien détective – à attendre dans le froid de l'hiver qu'il ouvre. Il ne tarda pas et me fit entrer dans son salon. Il s'assit devant le feu et je pris place dans le fauteuil juste à sa droite. Il semblait pensif, comme souvent, mais une heure passa sans que je ne vis son visage s'éclairer, montrant qu'il avait trouvé la solution. Il sembla oublier ma présence.

-Je suis face à un problème redoutable, Watson, dit-il enfin. Bien plus redoutable que tous ceux que j'ai eu à traiter...

J'eus un sursaut de surprise et lui témoignais mon impatience de savoir de quoi cela retournait.

-Les sentiments, cher ami. Il y a un moment où le cœur prend le dessus sur le cerveau et même les plus grands esprits peuvent s'y abandonner...

-Comment ! m'écriais-je.Vous voulez dire que vous êtes tombé amoureux ?

-Je le crois bien, Watson... Mais avant de parler de cela, nous allons, une dernière fois, nous exercer. Vous savez bien que je ne peux résister à quelques enquêtes extraordinaires et il semble qu'aujourd'hui, une semblable à celles-là se soit présentée sous la forme d'un télégramme.

Holmes me tendit un petit carton que je lus avec étonnement.



Ce soir vengeance

M.


Je vis mon ami sourire face à mon air ahuri.

-Qu'est-ce que cela veut dire, Holmes ?

-La signature est celle des acolytes de Moriarty et il semble bien qu'ils souhaitent se venger. Je ne pensais qu'ils auraient pris autant de temps...

-Et vous pensez à quel genre de vengeance ?

-La mort, Watson. J'ai tué leur précieux chef et ils veulent que je subisse le même sort, je suppose.

-Mais pourquoi diable maintenant ? demandais-je avec ferveur.

Mon ami haussa les épaules en bourrant sa pipe.

-Il semble qu'ils aient trouvé une occasion...

Holmes retourna dans sa contemplation intérieure muette. Ne tenant plus face au silence de mon hôte, je me décidais à partir en balade toute l'après-midi.

Je ne revins qu'au soir chez mon ami mais ne le trouvais pas là où il était quand je suis parti et le cherchais en vain dans le reste de la maison. Je haussais les épaules et m'assis devant l'âtre éteint depuis plusieurs heures, décidé à l'attendre. Je n'entendis pas les pas derrière moi ni le mouvement du tissu mais je sentis bien l'éponge au chloroforme se poser sur mon visage. Je me débattis comme je le pouvais, pris de court, avant de sombrer.

Je me réveillais attaché à une chaise de métal et me remis difficilement les idées en place. Je relevais la tête et croisa le regard désolé et impuissant de mon ami debout devant moi. Un homme que j'identifiais sans aucun mal comme étant un acolyte du Professeur Moriarty fit irruption dans la pièce. Il était mince et élancé, dans la force de l'âge. Des fins sourcils qui témoignaient d'une grâce certaine surmontaient ses yeux espiègles. Ses lèvres fines et fermes et son menton droit montrait une force d'esprit. Tout son corps était un mélange d'intelligence et de malveillance.

-Je ne pensais pas vous avoir si facilement, dit-il sur un ton moqueur.

Aucun de nous deux ne répondit à sa provocation. Il se plaça devant de curieuse commande et se tourna vers Sherlock Holmes, un sourire malveillant étirant ses traits. Celui-ci le regarda droit dans les yeux mais je remarquais sa panique quand l'homme actionna une manette. Je ressentis une vive douleur dans mes bras, mes jambes et mon dos qui me fit crier et je comprenais bien ce qui m'arrivait. J'étais attaché à une chaise électrique. En rouvrant les yeux que j'avais fermé sous l'effet de la surprise, je vis Holmes, les poings serrés et levés vers celui qui me torturait.

-Allons, monsieur Holmes, ria notre bourreau. Ce serait dommage qu'une fausse manipulation ne tue votre cher ami le docteur Watson...

Holmes se résigna alors à toute violence et l'acolyte de feu le Professeur Moriarty s'approcha de lui d'un pas élastique. Il le força à me regarder fixement et lui parla à voix basse.

L'homme reprit sa place et actionna une seconde manette. Une sensation plus douloureuse encore s'empara de mon corps tout entier et je fermais encore les yeux. Lorsque je les rouvris, je tombais sur mon ami qui paraissait bien souffrir. Il parla à voix basse et je pus lire sur ses lèvres.

-Désolé Watson.

Il se tourna alors vers celui qui voulait se venger et se jeta sur lui avec une fureur et une vigueur que je lui connaissais déjà. Je regardais la scène de mon œil impuissant de prisonnier. Tout deux se battaient avec rage et force et rien ne semblait pouvoir les arrêter. J'entendis le bruit sourd d'un coup de feu étouffé et aperçut l'impact de balle dans le mur. Aucuns des deux n'avaient été touché.

Ils luttèrent encore un moment quand le disciple du Professeur réussit à toucher Holmes de son pistolet. Je hurlais de terreur quand le blessé tomba au sol, le visage crispé à cause de la douleur. Son adversaire se positionna au dessus de lui et voulut retirer dans sa tête mais mon ami arracha un morceau de fer du tableau de commande de la chaise et l'envoya dans la tempe de l'homme qui l'avait touché.

Je ne pouvais rien faire et regardais ce spectacle m'était insupportable. Je détournai le regard mais me forçais de nouveau à regarder le combat en entendant un second coup de feu. C'était Holmes qui avait tiré dans la gorge de son kidnappeur. Il resta un moment immobile, sur le dos, le pistolet dans les mains, avant de se relever et de venir me détacher de cette maudite chaise. Il m'aida à me relever car mes membres étaient engourdis après cette insupportable expérience. Il s'assit lui-même à ma place en soupirant de soulagement et je détaillais sa blessure par balle à son genou.

-Vous allez bien, Watson ? demanda-t-il en levant ses yeux vers moi, visiblement très inquiet.

-C'est plutôt à vous que je demanderais ça, Holmes... Laissez-moi examiner votre blessure.

Je me baissais au niveau de sa plaie et commençait à déchirer mon pantalon quand je sentis ses doigts fins et nerveux me repousser. Il était penché sur moi.

-Plus tard, nous devrions partir. Maintenant.

-Non ! Vous ne pouvez pas cavaler blessé ainsi ! protestais-je.

Holmes me fixa de son regard froid et impassible mais malgré ce masque de glace, je décelais une grande inquiétude et une immense angoisse.

Mon ami se leva et boita jusqu'à la porte où l'homme maintenant mort était apparu. Je le suivis et apporta mon aide.

-Ça va aller, Watson. Mais nous devons nous dépêcher.

Je fus surpris de voir que, même blessé à la jambe, Holmes pouvait courir. Il attrapa mon poignet, le serrant plus par crainte que par réflexe, et s'élança dans un long couloir aux tableaux étranges et à la tapisserie rouge sang. Nous aperçûmes une silhouette qui bifurqua dans notre direction et mon compagnon me poussa dans la première salle à portée. Nous étions maintenant seuls dans un immense bureau.

Holmes referma la porte par précaution. Je le vis défaillir et il faillit s'écrouler sur le parquet. Je le rattrapais de justesse et l'allongea sur la causeuse au coin de la pièce. Elle se trouvait juste à côté d'une bibliothèque en bois sombre en symétrie à un buffet rempli d'armes inutilisables. Je déchirai cette fois-ci la jambe de pantalon de mon ami sans recevoir de protestations et commença un examen minutieux de la plaie. Je trouvais dans un tiroir non verrouillé d'un secrétaire un matériel de chirurgie que je m'empressais d'utiliser pour retirer la balle toujours logée dans sa jambe et stopper son hémorragie. Je pansais son genou avec attention, veillant à ne commettre aucunes erreurs. J'attrapais un tabouret et m'assis en face de mon compagnon, attendant son réveil.

Une heure s'était écoulée quand, enfin, je vis les yeux glacials de Holmes s'ouvrir et me considérer avec un étonnement qu'il tentait de cacher. J'aperçus l'espace d'un instant de la tendresse dans ses yeux et le témoignage de sa reconnaissance. Il baissa les yeux vers son bandage ensanglanté et s'assit sur la causeuse.

-C'était idiot, Watson, d'accepter de le suivre par amour du danger et soif de savoir. Je voulais voir la maison de feu le Professeur Moriarty et rencontrer ses acolytes, les tester. Je ne pensais pas qu'ils allaient, vous aussi, vous emmener et j'ai eu la désagréable surprise de vous voir attaché à cet horrible objet de torture que peut-être une chaise électrique. Je vous dois des excuses pour vous avoir entraîné là-dedans... Vous sembliez faire parti de son plan pour me torturer avant de me porter le coup de grâce.

-Ce n'est rien Holmes. Ils m'auraient enlevé à un moment ou un autre si, comme vous le dites, je faisais parti de son plan. Et je dois aussi vous remercier de m'avoir délivré de cette horrible machine.

Holmes me regarda un moment, en pleine réflexion.

-Je ne vous comprends pas Watson, finit-il par dire. J'ai beau faire d'incroyables erreurs et vous entraîner dans les situations les plus dangereuses qui soit, vous revenez toujours me voir comme un ami et ne refusez pas une seule aventure que je vous propose. Vous semblez garder le même intérêt pour moi qu'à notre rencontre...

-C'est exact, Holmes. J'ai toujours le même intérêt pour vous. Après de nombreuses années de service à vos côtés, vous me fascinez toujours, je dois l'avouer. Surtout que vous ne m'avez toujours pas dit pourquoi vous m'avez fait venir ici, dans le Sussex...

-Oh, c'est vrai !

Mon ami baissa les yeux puis les releva, apparemment indécis sur ce qu'il doit dire.

-Comme je vous l'ai dit, je crois bien que mon cœur a pris le dessus sur mon cerveau. Je n'agis plus entièrement par raison mais plus vraisemblablement par...

Il hésita longtemps à finir sa phrase si bien que je la terminais à sa place.

-... Amour ?

-Oui, par amour... murmura-t-il.

Ses yeux fuirent ma vue et il semblait déstabilisé. Aussi loin que je me souvienne, je ne l'avais jamais vu comme ça, réellement faible.

-Qui est l'heureuse élue ? demandais-je pour briser le silence devenant oppressant.

-Mon très cher Watson... Je crains attiser votre haine en vous disant que...

Il déglutit difficilement en se levant pour faire les cents pas dans le bureau.

-Ce n'est pas une femme.

-Holmes ! m'écriais-je, étonné. Vous voulez dire que c'est un homme ? Mais comment un homme peut-il en aimer un autre ?

-Par excentricité ou fantaisie, sûrement...

J'avais déjà entendu une histoire semblable de deux femmes qui s'aiment mais jamais de deux hommes. Même si je supposais bien que cela existât. Après tout, j'en étais peut-être moi-même un exemple sans le savoir.

Je remarquais que Holmes était quelque peu déçu de ma réaction.

-Et qui est-ce, alors ? tentais-je de me rattraper.

-C'est là que ça se complique, mon cher... ça se complique vraiment !

-Mais pourquoi ?

J'étais bien incertain de sa réponse. En quoi était-ce compliqué ?

-Je crains que ce ne soit tombé sur vous...

Je restais bloqué à ses mots. Je n'aurai jamais soupçonné que Sherlock Holmes pourrait avoir des sentiments envers moi. Même envers quiconque, finalement, bien qu'il était plus émotionnel sur la fin de sa carrière.

Quand la stupeur disparue, je me tournais lentement vers mon ami et le regardais de haut en bas. Il était debout, devant moi, un main dans sa poche. Son regard triste trahissait sa grande déception et ses remords. Nous restâmes ainsi à nous regarder dans les yeux pendant de longues, très longues minutes. La lune pointait ses rayons pâles dans le ciel et je ne voyais le visage de Holmes qu'à la lueur de la bougie qui avait été allumée pendant que je veillais sur lui. Il s'approcha lentement de moi avec une démarche claudicante à cause de sa blessure. Il se pencha avec cette même lenteur et, ne voyant aucune réaction de ma part, il posa ses lèvres un instant sur les miennes.

Holmes s'écarta à contre cœur, l'air désolé encore une fois.

-Il serait temps de partir, Watson. Ne prenons pas racine ici.

J'acquiesçai et nous sortîmes par la fenêtre.

Nous nous retrouvâmes plus tard dans sa maison retirée. J'avais rassemblé mes affaires et trouva mon ami dans le salon, en pleine rêverie. En m'entendant entrer dans la pièce, il se tourna vers moi et fronça les sourcils devant mes bagages.

-Vous partez déjà Watson ?

-Oui, lui répondis-je, un peu embarrassé. Je pense qu'il vaut...

-C'est bien dommage ! me coupa-t-il. Je me lassais de votre absence...

J'ouvris la bouche pour répondre mais, une fois de plus, Holmes me devança.

-Allons, restez quelques jours de plus ! Vous ne me dérangez sûrement pas...

Devant son entrain et comme à mon habitude, je ne pouvais pas refuser. Il m'installa dans la seconde chambre, en face de la sienne.

Après les quelques jours de calme passés, je me suis finalement éternisé. J'eus l'agréable surprise de découvrir pendant mon séjour un Sherlock Holmes bien plus tendre que durant sa vie aventureuse avec moi et je me suis finalement attaché jusqu'à ne plus partir.

Ce n'est qu'à sa mort que je vendis sa maison et retournais à Baker Street d'où j'écris ces mots. Je gardais précieusement ses affaires qui se trouvent maintenant dans son ancienne chambre. Je tiens à finir mes jours ici, en souvenir du bon vieux temps.


Je prie la personne qui trouvera ce récit de le montrer à mon public seulement quand celui-ci sera prêt à lire un tel récit. Je ne veux pas causer polémique ni ternir la réputation acquise par mon ami Sherlock Holmes pendant toute ses aventures grotesques en divulguant trop tôt ces lignes. Cela serait fort dommage pour un l'homme talentueux et intelligent qu'il était.



Après avoir lu ce texte avec un sourire niais flanqué sur le visage, je sautais de joie et courus à mon ordinateur portable.

C'est ainsi que je vous montre aujourd'hui cette histoire retapée par mes soins et écrite de la main du docteur Watson.



Pfiou, presque trois mille mots ! Quasiment un millier de plus que Rockeur dans l'âme !

Bisous à vous :3
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Raikya l'Alchimiste
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Lun 29 Aoû - 22:17
Raikya l'Alchimiste
Ta capacité à rendre tes OS aussi proches du style original me laisse toujours admirative. Vraiment, je suis epoustoufflée. Et 3 milles mots ! C'est de la haute qualité, et tellement rapide <3

Continue comme ça Silence :3

*bisouw :coeur:
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Silen
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Lun 29 Aoû - 22:41
Silen
Han'w, ton commentaire me fait super plaisir <3 Je suis heureuse que l'on me dise que j'arrive à me rapprocher du style de l'auteur original ! Après tout, Adrian Conan Doyle, le fils de Sir Arthur Conan Doyle, l'a bien fait avec brillot !
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