Je tiens juste à préciser avant de commencer que je sors un chapitre de *Le temps est précieux* à la place de *La disparition* car je suis plus motivée pour cette histoire, et j’ai un manque d’inspiration pour *La disparition*, mais le chapitre 3 devrait arrivé dans pas longtemps… Voilà, maintenant, on peut commencer...
Asallé
La fille qui m’avait attrapé m’avait emmené dans l’hôtel. Elle referma la porte. Puis elle se tourna vers moi.
??? : Vous l’avez échappée belle. Heureusement que j’étais là…
A : Merci… Je ne m’attendais pas à ce que quelqu’un réagisse comme ça en me voyant. Pourquoi les gens ont peur en voyant ma sacoche ?
??? : Ho, vous savez, je reste presque tout le temps dans l’hôtel. Je ne suis pas vraiment au courant de tout ce qui se passe en ville.
La fille me sourit avant d’aller s’assoir derrière le comptoir.
??? : Bon, reprenons les choses sérieuses. Bienvenue à l’hôtel Duke, l’un des hôtels londoniens les plus respectables. Je m’appelle Crazy. Il nous reste une chambre de libres. Voulez-vous dormir chez nous ?
A : Oui, Si possible…
C : Puis-je prendre vos bagages ?
A : Nous n’en avons pas…
C : Ho, et bien laissez-moi vous dire le numéro de votre chambre : La 13, avec vue sur notre étangs aménagé.
N : Etangs aménagés ?
C : Vous verrez bien
Elle nous sourit de nouveau, nota quelque chose dans un livre avant de nous amener dans notre chambre.
Magnifique… Il n’y a pas d’autres mots pour la décrire… La vue est magnifique. Un lac aux eaux de plusieurs couleurs est visible par la fenêtre.
La pièce principale, spacieuse, est une sorte de petit salon. Les lits sont un tout petits peu plus loin. Un lit double et un lit simple.
J’ouvre la bouche pour demander qui dort où quand Nizzy parle, me dévisageant.
N :Je préfère prendre le lit simple, si ça ne vous dérange pas…
S : Ça ne me dérange pas du tout.
Je rougis en baissant la tête, avant de marmonner un moi non plus pas très audible.
Ça ne me dérangeait pas de dormir avec Siphano… Au contraire ! Mais je sais bien que Nizzy a fait exprès…
Je regarde l’heure… Il est déjà tard… Je soupire. J’ai mangé avec Nizzy et Siphano il y a à peine deux heures… Je dis bonne nuit aux deux *insérer surnom débile*. Je me dirige vers le lit, avant de me rendre compte que je n’ai pas de pyjama…
…
Je soupire à nouveau, avant de me mettre sous les draps… Je vais dormir en T-shirt.
Je n’ai même pas le temps de réfléchir à ce qui va se passer que mes paupières se ferment.
Je me réveille, une heure plus tard quand Siphano entre dans le lit. J’ai dû faire du bruit en me réveillant, car il murmure :
S : Je t’ai réveillé ?
A : Oui, mais c’est pas grave…
S : Désolé… Je voulais pas…
A : Je te jure que c’est pas grave. Je t’aime quand même !
Qu’est-ce que je viens de dire ? Non… Tournée vers lui, je sens le rouge monté sur mes joues. Ca l’amuse, vu le sourire qu’il fait.
Il s’allonge sans rien rajouté.
…
Je me réveille vers dix heure du matin (les réveils n’ont pas sonné…) Nizzy et Siphano ne sont pas encore réveillés.
...
Une fois tous sortient de l’hôtel, je vois Xylaune et Brioche qui nous attendent. On ne devait pas se retrouver au café ?
Je me dirige vers eux. Soudain, j’entends une voix derrière.
C : Attendez !
N : Crazy ? Qu’est-ce qu’il y a ?
C : Je vous ai dit que je ne sortais presque jamais de l’hôtel ? Et bah j’aimerais bien sortir, cette fois ! Je vous accompagne !
S : D’accords, après tout on sera plus.
Encore une fois je me retrouve à expliquer notre histoire. Puis les présentation. Ensuite, Brioche prends la parole.
B : Pour aller a la ligne de métro la plus proche, il suffit d’aller un peu à l’est et de remonter la rue. Mais j’ai visiter un peu la ville, et je pense que même si ça fait un petit détour, nous devrions passer sous les arcades. C’est magnifique, et en plus, il y a un resto délicieux. Et je commence à avoir faim…
N : Bonne idée. Les arcades, c’est là où il y avait le petit garçon ?
B : Celui qui faisait BZZZZT ? Oui.
A :Ok, donc… C’est partie !
Nous commençons à revenir sur nos pas. Quand on arrive vers les arcades, il est déjà presque midi, et Brioche nous fait accélérer pour aller manger. Quand nous arrivons enfin sous les arcades, je suis impressionnée…
C’est tellement beau, on a l’impression que le toit est en porcelaine ! Un magasin chinois se trouve derrière le restaurant. Apparemment, il ouvre à onze heures et demie. Il est midi moins quart. J’allais entrée à la suite de Brioche dans le restaurant quand je vois l’homme en noir qui m’avait agressée hier.
Je pousse un petit cri avant de me cacher derrière Siph. Depuis quand je l’appelle Siph moi ?
Il me sourit et se dirige vers l’homme en noir. Il lui parle.
S : Bonjour, c’est vous qui étiez devant l’hôtel hier ?
??? : Non, je suis resté là toute la semaine. C’est pas tes oignons de toute façon…
S : D’accords… Merci quand même.
??? : C’est ça.
Siphano revient vers moi, sourcils froncés, avant d’entré dans le restaurant.
Le chef nous interpelle.
??? : Désolé, mais le restaurant n’est pas encore ouvert. Il y a un panneau devant la porte avec les horaires d’ouverture.
A : Le panneau semblait indiqué que vous étiez ouvert, mais ne vous en faites pas, nous…
??? : Pfff… Le stagiaire est vraiment tête en l’air, vous n’imaginez pas combien de fois je lui ai dit de changer le panneau. Je suis désolé, asseyez-vous, nous sommes presque prêts.
A : Désolé, mais nous repasserons plus tard, nous sommes pressés par le temps…
??? : Très bien, de toute façon, il faut que je m’occupe de quelque chose.
A : Quel est le problème ?
??? : C’est la porte de derrière, ma femme à changer le code ce matin, et je n’arrive pas à lire la note où elle l’a écrit.
N : Attendez, je vais vous aidez…
??? : D’accords, tenez. Mon code est un code à trois chiffre, et ma femme m’a laissé cette note pour indice. Je n’arrive pas à comprendre.
Il tend un petit papier. Dessus, les lettres RHB sont écrites. Nizzy s’approche et s’exclame :
-C’est pourtant évident ! 121 – 113 ! Le code, c’est 008 !
Je la regarde, étonnée. Brioche la regarde avec admiration. Elle me montre ensuite que ce que je prenais pour un R était en faites un 1 et un 2 collés, le H était un 1, un – et un autre 1 collés, et le B était un 1 et un 3… (si je n'ai pas écrit les chiffres en lettres, c'est pour que vous visualisiez
)
L’homme essaye la combinaison, qui est la bonne, et nous remercie.
??? : Merci, maintenant que je peux aller aux fourneaux, je suis prêt ! Repassez plus tard, je vous invite !
B :Merci à vous !
Nous partons le sourire aux lèvres (surtout Brioche, il va pouvoir prendre ce qu’il veut, c’est gratuit cette fois !)
A la sortie des arcades, un homme avec un journal nous interpelle :
??? : Dites, vous avez vu ce vandale qui traine par ici ?
A : Pourquoi cette question ?
??? : Evitez ces individus, ils ne sont pas fréquentables. Ils se font appelé « Le Clan » et ils surveillent toutes les allées et venus dans le quartier.
X : De qui voulez-vous parlez, exactement ?
??? : Vous savez ! Avec des chapeaux, manteaux et lunettes noirs ! Ne faites pas les malins avec eux, sinon, vous aurez des gros ennuis…
S : C’est terrible ! Pourquoi la police n’intervient -elle pas ?
??? : La police ? Voilà un mot que je n’avais pas entendu depuis bien longtemps… Ca fait des années qu’elle n’est plus là. Maintenant, c’est Le Clan qui fait la loi.
C : C’est affreux.
??? : Voilà un de ces gangsters… Evitez de le regarder…
A : Pourrais-je voir le journal que vous tenez ?
??? : Biens sur, tenez.
Il me tends son journal. Je n'ai qu'une chose à regarder...
Quoi !?
A : Nizzy ! Regarde !
N : C’est impossible !
S : On serait vraiment en 2020 ?
Je regarde Nizzy et Siph… De plus en plus de chose me confirme ce que je redoute…
??? : Faites pas cette tête, c’est qu’un journal. Il faut que je m’en aille, je peux le reprendre ?
A : Oui, tenez
Nous soupirons, avant de sortir des arcades. Sur le côté, un homme nous regarde en tremblant de tout son corps. C’est lui qui m’avait bousculé en sortant du café. Je vais lui parler.
??? : Qu’est-ce que vous me voulez ? Je vous en prie, ne me faites pas de mal ! N’approchez pas ! Laissez-moi !
Il s’enfuit.
C : Pourquoi fait-il ça ? On dirais qu’il a peur de nous !
A : De moi, enfin, de ma sacoche, plus précisément. Ce n’est pas le seul, beaucoup de gens réagisse bizarrement en la voyant.
C : Mais pourquoi ?
A : Je ne sais pas…
C : C’est bizarre…
…
La ligne de métro… Elle est là… Enfin !
Je vais enfin savoir ce qu’il y a dans cette chambre… Et si nous sommes réellement dans le futur.
Ou si nous sommes dans une manigances des plus terribles…
Voilà, chapitre 4 écrit, j'espère qu'il vous plait
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Cordialement,
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Mar 12 Aoû - 14:23
(Ça va les chevilles?) Roooh j'ai le droit de m'envoyer des fleurs! 
