sarah_the_koalaNewbie Sadique Zodiaque :  Messages : 22
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|  Ven 18 Mar - 0:37 sarah_the_koala Chapitre 2
*Point de vue de la victime ~ La nuit précédente...*
Tout en courant dans les rues sombres, je me demandais : « Vais-je mourir ce soir? » Cette pensée me rendait malade donc je la repoussai et continuai de courir. Avant que tout ça arrive, j'étais simplement en train de me promener dans le parc local, histoire de prendre du temps loin de ma femme et des enfants. Maintenant, qu'en est-il venu de cette soirée?
De la terreur.
De l'immense terreur.
Je ne pouvais pas croire que cela m'arrivait. Il est sorti de nul part. Il est juste sorti. Je ne l'avais pas vu venir. Il s'est juste montré. Et il était désormais à mes trousses. Il désirait mon sang. Il n'était pas un vampire. Il voulait mon sang. Il le voulait éclaboussé partout dans son visage de malade. Je ne pouvais chasser l'image de ma tête! Ce visage cruel et troublant me hantait. Je continuai de courir, espérant, priant que quelqu'un viendrait me sauver. Que quelqu'un l'arrêterait. N'importe quoi! Pitié! Ma respiration se faisait brève. Je devais bientôt m'arrêter, mais j'allais mourir. Il me rattraperait et me tuerait! Je devais continuer à courir.
J'aperçu une maison à l'horizon. Si j'étais assez rapide, peut-être que je pourrais m'y rendre sans qu'il ne remarque où j'allais. C'était assez loin, mais j'allais prendre ce risque. N'importe quoi pour m'échapper. Je frappai à la porte. Peut-être que quelqu'un habitait ici. Si tel était le cas, ils pourraient m'aider! Je frappai environ une douzaine de fois, mais personne ne répondait. Je fus frappé par une certaine douleur jusqu'à ce que je l'entende marcher près de la cours d'avant. « Ah, eh puis merde! » pensais-je, avant d'entrer à l'intérieur. La maison était meublée mais personne ne semblait y vivre. Je regardai rapidement autour et couru dans une des pièces. C'était une chambre à coucher. Aussitôt que j'entrai, j'entendis la porte d'entrée s'ouvrir et claquer. Je paniquai et couru dans la garde-robe, refermant la porte derrière moi. Je me cachai là et restai silencieux. Ce qui semblait être une éternité n'était seulement que des secondes. Comme le temps passait, je réalisai qu'il n'avait pas vérifié dans cette chambre. Je pensai que peut-être il avait abandonné, ou qu'il était encore en train de chercher mais aux mauvais endroits. Je pris cela à mon avantage et ouvris légèrement la porte. La voie semblait libre. Il n'était nul part en vue. Je vis une fenêtre de l'autre côté de la pièce qui ne semblait pas être verrouillée. Je comptai jusqu'à trois et m'y rendis. J'arrivai à la fenêtre et l'ouvris silencieusement. Heureusement, cela ne fit aucun bruit donc j'étais toujours sauf.
Je l'ouvris assez large pour que je puisse m'y glisser et souris. Ça y est. J'étais libre. Je retournais à la maison! Le salopard ne m'attrapera pas! Pas aujourd'hui! Pas demain! Jamais je ne reverrai ce visage révoltant! Je déposai mon pied sur le bord de la fenêtre et commençai à sortir lorsque je ressentis une vive douleur sur mon côté. Je levai la tête et le vis. Il m'attendais dehors. Je ne l'avais simplement pas vu. Je resautai à l'intérieur et essayai de fermer la fenêtre mais comme elle était sur le point de fermer, des doigts blancs pâles agrippèrent le bas et la soulevèrent. Je suffoquai et couru hors de la chambre. Je me rendis à la cuisine et cherchai une arme. Un couteau de cuisine ou quelque chose du genre! Mon côté saignait d'où ce qu'il m'avait poignardé et la douleur était presque insupportable. Je regardai autour. Il n'y avait aucun couteau, rien du tout! Toute cuisine devrait contenir au moins quelques couteaux. Qui diable vivait ici?! Seigneur!
Je continuai à chercher lorsque j'entendis un bruit sourd. C'était des bruits de pas. Je me retournai lentement et le vis à nouveau. Il restait là à m'observer avec ses yeux froids. Mes cheveux étaient désormais hérissés. Qu'allais-je faire? Il avait une main derrière son dos. Il leva lentement sa main. J'étais maintenant terrifié.
« C'est ça que tu cherches? » me demanda-t-il, sa voix obscure et malveillante.
Dans ses mains se trouvaient tous les couteaux de cuisine. Il commença à rire et à me les lancer. Je les esquiviai en temps et lorsque je levai les yeux, je vis qu'ils étaient plantés dans le cabinet derrière moi. Je me levai et essayai d'en prendre un mais il était bien coincé. J'utilisai toute ma force, mais c'était inutile. Il s'approchait, marchant lentement dans ma direction. Je me retournai et le vis devant moi. Il était trop près pour que je me sente sécurisé.
Il sourit et sortit son couteau original. J'écarquillai les yeux et tremblai. Je m'effondrai au sol et me mis à sangloter.
« Non... pitié. Vous ne voulez pas faire ça... Je suis un homme innocent... J'ai une famille à prendre soin... Épargnez-moi par pitié! »
Il ne démontrait aucun remord, quel qu'il soit. Il était vraiment sans coeur. J'essayai de nouveau.
« Écoutez, si vous me laissez partir, je jure de ne le dire à aucune âme, même pas Dieu! S'il vous plaît, laissez-moi vivre! Est-ce que c'est pour me donner une leçon? Pour m'apprendre à ne pas prendre les choses pour acquises? Pour devenir une meilleure personne?! Si c'est le cas, je vais changer! Sérieusement! Je peux changer! »
C'était silencieux pour un instant, jusqu'à ce qu'il glousse un peu. Puis, il dit :
« Hmm, vous êtes tous les mêmes, pas vrai? Chacun d'entre vous, les humains immondes et malades, démontrez de la terreur. Tout ce que vous faites, c'est supplier de vivre. Pourquoi est-ce qu'aucun de vous ne peut me démontrer du courage et me dire qu'il n'a pas peur de mourir? Peut-être que là, je serais impressionné par votre espèce. Mais malheureusement, je n'ai jamais rencontré personne qui était assez brave pour le faire. Mais pourquoi me décourager, hein? Aucun d'entre vous ne le ferrait, même si votre vie en dépendait, ce qui est ironiquement le cas! Peu importe, tu vas mourir de toute manière. La seule différence est que je ne serais pas satisfait des résultats. »
Il leva son couteau dans les airs et me regarda diaboliquement. Je hochai violemment de la tête et criai :
« Non! Pitié! Je veux seulement vivre! LAISSEZ-MOI VIVRE!!! »
Il gloussa profondément, avant d'arrêter brusquement pour dire quelque chose de manière occasionnelle, mais avec une voix menaçante. Calmement, mais tout de même hâtif, il siffla « GO TO SLEEP... » et plongea le couteau dans mon coeur.
(Coucouuuuuuuuuu, mes amis koalas!  Voici le chapitre deux de la merveilleuse fanfiction Tueur & Protecteur, qui est la traduction de la fanfiction originale Killer Protector de EternalLaughter. Je tiens à vous rappeler que je ne fais que traduire l'histoire en français, donc tous les crédits reviennent à EternalLaughter.   Restez bizarres, mes petits raviolis aux piments verts! C'est votre petite Québécoise qui vous dit à la prochaine!
~Sarah  ) |
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