"Je suis désolée. Elle n'as pas survécut."
Cette phrase résonna dans la pièce blanche, la pièce immaculée. Pepper ouvrit la bouche, mais aucun son n'en sortit. Les larmes commencèrent juste à couler le longs de ses joues, tandis qu'elle essayait de respirer.
Mais peine perdu. Sa respiration était bloquée. Au moment où elle commençait à croire qu'elle allait rejoindre sa sœur, elle pût enfin prendre une bouffée d'air.
Elle aurait voulut crier son désespoir, mais elle n'y arrivait pas. Elle intériorisait.
Ses oreilles se mirent à siffler, et d'un coup, tout les sons, qu'elle avait arrêter d'entendre revenir d'un coup.
La plupart de ses amis avaient l'air choqués. Fuka lançait des regards paniqués en direction de Crazy. Unster serait Asallé dans ses bras, ses lèvres murmuraient en boucle "ho mon Dieu..." pendant que les larmes envahissait la jeune fille qu'il tenait dans ses bras. Et Frigiel, lui tenait Funina dans ses bras, elle avait l'air choqué. C'était tellement inattendue... Frigiel posa un baiser sur son front, et elle eut l'air de se détendre.
Si seulement quelqu'un faisait ça pour elle... Zelvac, Rosgrim et Léo se dirigeaient vers l'infirmière (elle supposait que c'était le métier de la jeune fille).
Soudain, elle vit Nizzy et MissValentine qui apparurent devant elle. Les deux jeunes filles, qui étaient devenue des amies, la prirent dans ses bras, en lui murmurant des phrases de réconfort.
Siphano après avoir prononcé ses quelques phrases, avait laissé son cœur prendre le dessus.
Il s'était mis à pleurer, et des idées noirs l'avaient envahit. Il n'avait même pas la force de les rejeter. Lui qui d'habitude restait fort, il serait sans doute déjà mort si un couteau avait trainé dans la salle.
Au bout de quelques minutes, il s'endormit, épuisé, la tête sur le ventre de Blondie, ses larmes qui coulaient encore.
-Comment vous vous appelez ?
-Kamia. Et vous ?
-Moi, c'est Léo. Lui c'est Zelvac, et lui, Rosgrim.
-Qu'est-ce qui se passe ?
-On aimerait bien savoir pourquoi elle est morte. Vous avez du lait à volonté ! Et ou est Siphano ?
-Il est resté dans la chambre. Je n'ai rien put faire, c'était du poison du wither, et vous l'avez amenez trop tard ! Dit Kamia, désolée.
-Où est Siph ? Dit Zelvac.
-Chambre 024.
Zelvac s'élança dans le couloir, suivi de Léo, tandis que Rosgrim préférait rester dans la pièce (et aller dire le numéro de la chambre à Frigiel et Pepper).
Zelvac fit irruption dans la chambre avant de se stopper net en voyant la scène.
-Bouge Zézé.
-Il dort...
-Faut le réveiller. Tu le connais, il va faire un cauchemard, et ça va être encore pire que si il était rester éveiller !
Zelvac s'avança doucement, avant de secouer Siphano par les épaules. Son ami se réveillat directement. Il faisait peur à voir. Ses yeux étaient rouges, et il avait l'air complétement déprimé, ses cheveux totalement décoiffés.
-Zézé... Léo...
Siphano se leva, avant de se diriger vers Zelvac, qui était retourné à côté de Léo.
Frigiel entra dans la pièce, avec Pepper. Il était là pour consoler son ami, alors il resta à côté de Zelvac, tandis que Pepper se précipitait vers le lit où reposait Blondie.
Siphano, les larmes aux yeux, murmura :
-Les gars...
Ils le prirent tous dans leurs bras, pendant qu'il pleurait, encore.
Frigiel prit la parole...
-Siph, je suis vraiment désolé... J'imagine même pas ce que je ressentirais si la fille que j'aime mourrais.
Siphano releva légèrement la tête, avant de dire :
-C'est pas ta faute Frigiel, tu as pas à être désolé... C'est la faute à personne, sauf à moi.
Léo fit les gros yeux avant de reprendre :
-Ha non ! Tu nous fait pas le coup de "C'est ma faute, je mérite de mourir, j'aurais du m'en apercevoir". C'est pas ta faute, et comme tu dis c'est la faute à personne. Si même Pepper avait rien remarqué, c'est que personne le pouvait, même toi. Faut que tu arrêtes de tout prendre sur toi. Tu es quelqu'un de formidable Siphano. Mais il faut que tu te reprennes, et vite. On a une brioche à sauver. Et si on s'apitoie trop longtemps, on va rester bloquer là. Je suis désolé, mais on à pas le temps de la pleurer. Tu vas vite te reprendre, et on va continuer. On va pas désespérer, sinon on arrivera pas à continuer. Une personne est morte, et on va faire en sorte que personne d'autre ne meurs. OK ?
-Je...
-Je te sens venir. Pas de mais. J'ais dit : OK ?
-Oui, Léo.
-Alors on y va.
-Maintenant ?
-Oui. Zelvac et Frigiel, vous vous occupez de Pepper ?
-Ok. Dirent-les deux amis en même temps.
Le groupe était complet. Il venait de sortir de la ville quand Rosgrim poussa un cri.
-A L'AIDEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE !
Siphano se retourna immédiatement, et se mit à courir vers son ami. Une fois devant lui, il se stoppa.
Matéo le tenait, une dague courte appuyé contre a gorge.
-Alors, La deuxième capitale vous a plût ?
-Connard ! Relâche-le ! T'as déjà tuez quelqu'un ! Ils meurent pour de vrai !
-Je sais bien. C'est ça qui est drôle. Je viens juste t'informer que ta prochaine destination est le village de naissance de ce gentil nain.
-Lâche-le !
-A ce que je voit, on connait pas la politesse !
-Je suis désolé de me répéter ainsi, môôônsieur. Mais : "Connard". Avec les services de la maison. (POPOPOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO)
-Tu l'auras voulu.
Matéo, sans aucun remord, enfonça la lame dans le coup de Rosgrim.
Le sang jaillit, rouge écarlate.
Le sang, symbole de vie.
Sang qui quittait ce corps...
Matéo lâcha le corps déjà totalement blancs de Rosgrim. Il s'approcha de Siphano.
-Je sais déjà qui sera le prochain... Fait attention à toi !
Siphano tomba à genoux... Deux personnes mortes à causes de lui... Il était trop en colère contre ce Matéo... Il aurait dût se calmer, et sauver Rosgrim. Il poussa un cri, à la fois de rage et de désespoir.
Petit à petit le sang coulait... Il coula tellement qu'il atteignit le pantalon de Siphano.
Petit à petit, les vêtements de Siphano se teintait de rouge.
Il se releva, le bat de son pantalon teinté de sang, pour aller voir le corps de Rosgrim.
Une longue trace rouge barrait son visage.
Ce connard avait osé l'abimé, en plus...
Il allait souffrir.
Siphano se retourna vers les autres, les yeux noirs de rage, au moments où le corps de Rosgrim se transforma en une multitude de payettes, qui volèrent dans le ciel.
Le soir, les expert ne comprirent pas ce qui s'était passé dans le ciel de minecraft. Deux nouvelles étoiles avaient apparues dans le ciel. Une était petite, comme une étoile naine. L'autre, plus jaune que les autres, rappelait les cheveux blonds par sa couleur.
Cette fois, la jeune fille était gentille. Brioche le savait, parce qu'elle ne brillait pas, et parce qu'elle avait été jeté brutalement dans le cachot. C'était bien la même, mais cette fois, elle n'avait pas forcément l'air d'être de leurs alliés.
Elle lui lança un regard triste avant d'aller s'assoir sur la chaise à côté de lui.
-Je suis tellement désolée... Je voulais pas être dans leur camps... Mais, mon amoureux, et l'autre moi...
Brioche vit les larmes couler sur les joues de la jeune fille. Elle lui brisait le cœur.
-Ne t'inquiètes pas. C'est pas de ta faute.
-Si... Je suis pas conne non plus... Faut que je te dise un truc.
-Quoi ?
-Nos... Leurs alliés, ils ont tué Blondie et Rosgrim... Il va avoir d'autre morts...
Brioche ferma les yeux... C'était trop horrible...
Il s'était attaché à cette jeune fille. En tout cas, à cette partie de la jeune fille.
Pendant que ses larmes coulaient, il posa la tête sur l'épaule de la jeune fille.
Il en pouvait plus, il avait besoin de réconfort.
Il n'entendit pas la porte s'ouvrir, et ne réagit qu'au moment où la jeune fille se leva brusquement. Il serra les dents.
-Chérie ! Qu'est-ce que tu fais avec lui ? Tu n'as rien ? Je suis désolé, je pensais pas qu'il allait être violent avec toi !
-Oui, ça va. Et je faisais rien. On parlait
L'homme s'approcha de Brioche.
-Je peux savoir pourquoi tu avais TA tête sur l'épaule de MA petite amie ?
-Je...
L'homme commença à frapper Brioche avec violence.
-Arrêtes !!!
La jeune fille s'interposa entre les deux hommes, et elle se prit un coup dans le ventre qui la fit se plier en deux. Elle s'éloigna lentement... Brioche se prit un dernier coup de pieds, avant que le jeune homme se retourne vers la fille, la prenne dans ses bras, inquiet, et la porte dehors.
Voilàààààà chapitre écrit...
Je me sens méchante pour la fin
Je vous ai tendu la main, avec dedans un peu de poésie, un peu de gentillesse, puis je l'ai enlevé, en faisant "Bah non ! T'as crus quoi ? on est sur un forum sadique là !
Pour le discours de Léo, j'ai pensé que c'était la bonne personne pour le faire, grâce à ses tweetlonger
C'est tout ce que j'ai à dire...
Vous avez des remarques sur le chapitres ?
Les avis font toujours plaisirs, je crois.
Cordialement,