Avant de commencer, je tiens à préciser que j'écris pour me sortir la tête de l'eau étant dans une passe difficile. Ne vous étonnez donc pas si ce chapitre parait morbide ou triste, mes écrits sont toujours le reflet de mon humeur. Merci.
L'homme marchait devant moi, la tête haute sans m'adresser un regard.
- vous comptez rester muet pendant longtemps ou vous présentez ?
- Mais enfin Alice! Tu sais très bien qui je suis! Dépêche toi un peu! Le lièvre nous attend pour prendre le thé.
- le thé? Mais il n'est que 8h ! Vous vous moquez de moi, le thé se prend à 17h précise là d'où je viens.
- chez nous aussi mademoiselle la prétentieuse. Regardez le soleil, il est 17h.
D'un coup le soleil accéléra sa route vers l'ouest pour arriver en fin de journée.
- Mais ... Comment ?
- Alice! Il se retourna brusquement et s'approcha de plus en plus de moi. De si près je pu remarquer qu'il était d'une beauté diabolique avec ses yeux noir encre et ses cheveux soyeux qui sortait péniblement de son chapeau. N'as tu pas honte de me faire croire que tous ça t'es inconnu!? Arrête de jouer la comédie et embrasse-moi!
Quoi? QUOI?! Mais cet homme était fou! Je m'écartais brusquement de lui et dit:
- Stop! J'en ai assez! D'abord je ne connais pas ce monde et je ne vous connais pas! Ensuite je n'embrasse pas les inconnus! Je n'ai d'ailleurs jamais embrassé personne ... Alors vous allez me ramener chez moi toute suite!
Il resta sans voix pendant un moment et ... commença à pleurer!
- C'est donc vrai ? Tu ne te souviens vraiment pas ?
- C'est ce que je vous répète depuis des heures espèce de... FOU!
- Mais bien sûr que je suis fou! Sinon je ne serai pas le chapelier fou pour rien! Bon oublions ces quelques larmes et allons prendre ce thé histoire de te rappeler tous ceci!
- Bien ... Je vous suis... Mais essayez encore une seule fois de m'embrasser et je vous gifle!
Pour la première fois je vis sous regard changé ... Il devint sombre et triste.
- Ne t'inquiète pas ma chère Alice ... Tu te rappelleras j'en suis sûr...
Au loin, une table était placé au milieu de nul part. Et à sa table un homme portant un chapeau lui aussi et une veste très large y buvait du thé.
- Bienvenue Alice! Heureux de te revoir.
Et sur ces paroles il sortit un pistolet de sous sa veste et la pointa sur moi.
Voilà j’espère que ça vous a plu... Finalement rien de morbide la dedans, je préférai bien suivre l'histoire. Je ne sais pas quand je posterai le prochain vu ma situation. A bientôt mes amis.