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Et si la CHM s'était passée autrement ?

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M.S.
Petit Sadique
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Mar 21 Oct - 9:13
M.S.
Chapitre 7, jour 10, partie 3 : Avalé par les ténèbres

Frigiel se retourna soudain. Il se trouvait dans un boyau de la mine qui avait était renforcée par des arcades de bois. Derrière lui, il n'y avait que les ténèbres, mais quelque chose avait changé. La menace s’était concrétisée, elle était devenue réelle. Quelque chose dans l'air, un bruit imperceptible le lui disait. Immobile, il attendit un instant et petit à petit une lueur dansant se diffusa tous au bout de la voix qu'il avait suivit. La lumière augmenta peu à peu. L'homme qui tenait la torche se rapprochait. Encore dans l'obscurité, Frigiel avait pu le voir venir de  loin alors que son chasseur, s'éblouissant lui même ne pouvait pas le voir. Il avait un avantage de quelque seconde mais qui ne lui permettrait pas de fuir, mais lui permit de se hisser sur une des grande poutre qui écartait le mur de la mine. Allonger dans le petit espace entre le bois et la plafond, Frigiel en pouvait bouger. Le nez presque contre la pierre, aucun mouvement ne lui était permis.

La torche lançait sa lumière tremblant sur les murs. L'homme à l'armure de diamant regardait l'aiguille de la boussole qu'il tenait dans la main. Le couloir de la mine s’étendait devant lui. Il sentait sa proie toute proche.

Frigiel en penchant la tête pouvait voir la galerie. Il voyait l'armure se rapprocher sans du fait de sa vue plongeant voir l'homme caché sous le casque. Dans la mains de l'homme se trouvait un cercle de métal avec au son centre un tige rouge sang qui pointait son cœur. Le sang de Frigiel se glassa. Il n'y aurait aucun moyen de l'éviter. Toujours cette flèche allait lui donner la piste.
L'homme s'approchait. Frigiel retient sa respiration. L'homme passa sous la premières arcades de bois. Il ne levait pas les yeux de l’écran de verre. Frigiel était pétrifié. L'homme  continuait sa marche sans ralentir. Un pas suivait l'autre. Encore un et il serait juste en dessous de lui. Encore un. L'homme passa l'arcade sans lever les yeux, toujours concentré sur la boussole. Il continua à avancer. Frigiel n’osait plus respirait. Il voyait dans la main de l'homme la pointe rouge qui n'avait pas bouger. L'homme dépassa l'arcade. Il continua un peu tout droit. Frigiel regardait abasourdit l'homme s'éloigner. Et puis l'aiguille fit un tour sur elle même. L'homme s’arrêta immédiatement et se retourna. D'un grand mouvement de bras, il fit passer la clarté de la torche sur tous le boyau sans rien voir. Il dégaina son épée dans un parfait silence et Frigiel le vit revenir vers lui à pas lent. De la main, il caressait la roche. Il cherchait un passage secret, un abris quelconque qui justifia le changement brutale de direction. De son coté Frigiel se contractait. Il fallait agir. Il ne pouvait pas restait ainsi. Lentement, sans bruit, il attrapa le fourreau de sa propre épée. Il ne pouvait retirer la lame, l'espace entre son corps et la voûte ne lui permettait pas un mouvement de cette amplitude.

L'homme s’arrêta exactement sous l'arcade que surplombait Frigiel. Il ne comprenait pas. Frigiel se tourna légèrement. Il allait attendre qu'il se retourne, il roulerait sur le coté et l'attraperait dans le dos. Il voulait lui tomber dessus et l’assommer si c'était possible. Il se prépara. En dessous, la personne ne bougeait toujours pas ; Frigiel rampa sur le coté. Une partie de son corps se trouvait en suspens au dessus du vide. L'homme n'avait qu'à lever les yeux pour le voir. Son gilet glissa légèrement et pendit au dessus de la tête de l'homme. A l’extrême bout commença au se former une perle d'eau. Elle grossissait lentement suspendue dans le vide entre les deux hommes, suspendu dans l'instant, comme si le temps s'était figé avant qu'elle ne se décroche.


Ce n'était pas possible. L'homme regardait sa boussole. Elle tournait comme une folle et lui pointait cette endroit où il ne se trouvait personne. Frigiel devait être là. Cacher, il ne pouvait en être autrement. Il allait inspecter toute la zone, le traquer et le trouver. Il lança un regard tout autour de lui. Mais ne vit rien de suspects … a pars … a pars l'eau qui ruisselait du plafond jusqu'à ses pieds formant une flaque au milieu de la quelle il se trouvait. Il n'y avait pas prêté attention tous d'abord car le ruissellement du plafond est un phénomène classique dans les mines abandonnée et celle ci s'effondre souvent parce que l'eau, traversant le roche, pénétrait le bois des arcades des galeries qui pourrissait et dés lors plus rien ne les soutenait et elles finissaient invariablement pas s'écrouler. Mais la mine qu'il suivait était sèche et la personne qu'il poursuivait était trempée. Il regarda avec un sourire victorieux la flaque. Ainsi Frigiel avait cru lui échapper ainsi, il devait vraiment être désespéré pour arriver à ce point là de lâcheté. Il ne fuyait même plus, il se cachait comme un animal apeuré.

Une goûte d'eau glacial s'écrasa sur son coup et fit courir un long frisson froid dans son dos. L'homme se raidit et leva la tête.

Frigiel roula sur le coté et se jeta sur le homme. Par simple réflexe, celui ci leva son épée. Frigiel, horrifié vit la lame mais il était trop tard pour revenir en arrière. Il s'embrocha sur l'épée tendu. Elle pénétra son flanc gauche et le transperça de part en part. Mais tandis qu'il hurlait de douleur, Frigiel en tombant fondit sur l'homme. Il dégaina en vole sa propre épée, l'envoya à terre et l'écrasa de tous son poids en lui atterrissant sur la poitrine. L'homme telle une poupée de chiffon, s'effondra. Sous le choc, son casque se détacha et roula. Frigiel vit alors qui l'avait poursuivit et traqué comme on l'aurait fait avec une bête, vit qui avait tenté de le tuer. Un homme aux yeux bleus clairs,  un homme aux cheveux blancs, un homme qui ne connaissait que trop bien, et maintenant qu'il le tenait ainsi, bloqué sous lui, la lame contre la gorge, un homme qu'il avait envie plus que tous de tuer.
« Ectalite ! » siffla Frigiel. Il aurait épargné tous les joueurs de la CHM, mais pas le meurtrier de Léozangdar ! Il appuilla la tranchant de l'épée. Il se souvenait de sa promesse aux étoiles. Il se souvenait qu'il s’était juré de tuer personne. Mais il était dans la froid calme de la nuit quand il l'avait faite. Il s'était refusé ce droit de mort sur ses anciens amis, mais maintenant que son sang bouillait, il n'était plus certain de vouloir refuser ce pouvoir. C'était Ectalite qui l'avait poursuivit, qui avait tenté de le tuer, il avait échoué et maintenant que la situation s'était inversée, Frigiel était en tous droit de lui faire subir ce à quoi lui avait réussit à échapper. Ectalite n'aurait pas hésiter, il avait même préméditer ! Pourquoi lui, Frigiel ne pourrait il pas le faire ? Ce n'était qu'un juste retour des choses.
Il appuilla encore un peu plus son épée. Sous son genoux, il sentait le cœur battre. La lame était contre la peau chaud. Une petite pression encore et ce cœur cesserait de battre à tous jamais, et ce corps serait aussi froid que le glace. Encore une petite pression. Frigiel entendait sa propre respiration s’accélérer. L'épée trancha légèrement la peau du coup et le sang coula contre la lame pour s'insinuer entre ses doigts. Alors il lâcha l'arme, attrapa son ancien coéquipière par les épaules, le souleva et le rabattit contre le sol de pierre. Il mis toue sa force dans ce mouvement. La tête, juste à la jointure du cou tapa une arrête de pierre et heurta de plein fouet le sol.
Frigiel se relave. Le corps sur lequel, il était assit gisait inconscient. Ce n'était plus qu'une masse molle autour de laquel se crée un mare de sang qui dégoulinait de la tête et auquel se mêlait le siens. Il chancela. Dans le feux de l'action, il ne s'était pas aperçus qu'il avait perdu tant de sang. Avec une grimace, il arracha l'arme planté dans son flanc gauche. Un flot vermeil jaillit et Frigiel s’écroula au sol. La main sur la plais il sentait se vider peu à peu et le liquide chaud ruisseler entre ses doigts qui ne retenait rien. Il sentait sa vie coulait de son corps, emportée par ce flot ininterrompu. Sa vision se troubla. Il n'avait plus mal. Il avait juste froid comme si peu à peu ses membres se glaçait. Le feu vitale coulait rouge, de sa plaie. En retirant l'épée, il avait céllé son sort. L'épée même qui avait créé la blessure, l’obstrué comme un bouchon qui retenait la vie liquide dans le corps. Mais l'épée avait été retirée et Frigiel se vidait.
« Mourir » pensa t'il, Mourir... par qu'il se serait vidé comme une outre renversée. Non cela n'était pas possible. Non. Il tenta de se relever mais ne pu combattre l'attraction qui le clouait au sol. Alors seulement son regard se posa sur le contenu du sac d'Ectalite. Il l'avait jeter au sol sans prendre de l'ouvrir. Son but n'était pas de piller les cadavres de ce qui avait été ses amis. Le sac s'était ouvert et renversé et dans les profondeurs noirs, à moitié cacher par la toile, Frigiel vit une potion, une potion de couleur rose claire.


***


« Aypierre, non, je ne crois pas que ce sois une bonne idée. On a tous ce dont nous avons besoin, rentrons tant qu'on le peu encore. Il ne faut pas être de nuit dans les grottes et, regarde ta montre, le soleil se couche. Passons la nuit au bunker, on verra cela demain.
- Attends, Zelvac. »
Ce fut la seule réponse d'Aypierre.

Les deux hommes étaient sur le chemin du retour quand Aypierre avait découvert le passage.  Le sac plein de ressource, ils hâtait le pas, ne voulant pas rester dans les grottes pendant la nuit. Alors qu'ils s’apprêtaient à remonter, quand Aypierre avait remarqué dans la pénombre, un bouton sur le gris de la pierre, assez bien camoufler pour être passer inaperçus lors du voyage allé, pas assez pour l'être à celui du retour.
Aypierre, d'une nature curieuse qui ne résiste pas au mystère, avait aussitôt mordu à l’hameçon. Se détournant de la surface, il était revenu sur ses pas pour l’examiner, replongeant volontairement dans les abîmes des cavernes.
Tous le jour durant il avait chercher la vie qui se cachait dans les grottes. Il avait exploré les boyaux un à un, traquer les informations sans cesse, mais cela en vain. A la fin de cette journée, il avait eut le goût amère de l'échec dans la bouche, d'avoir cherché pour rien. Il aurait tant aimé découvrir ce qu'il présentait depuis le début, mais cela lui avait une fois de plus filé entre les doigts. Trop habitué à gagner rapidement, à avoir le dessus sur les événements, il n'avait pas apprit la patience et quand quelque chose lui résistait ainsi, cela l'énervait au point qu'il redoublait d'effort et ne lâchait l'affaire qu'après avoir réussit. Confiant en ses capacités, il aurait volontiers continué ses recherches de nuit, mais il ne pouvais oublier Zelvac et ne voulait pas l'exposer à des dangers inutiles. Il s'était donc préparé à renter en ruminant sa frustration. Mais quand Aypierre avait vu ce bouton offert à sa curiosité, il n'avait pas pu résister. Il s'était détourner de la lumière, pour plonger dans les ténèbres sans même envisager un instant que ce boutons à moitie cacher, comme s'il voulait être trouvé si on le chercher, avait été posé là à son intention par une personne qui le connaissait suffisamment pour savoir qu'il ne résisterait pas à la tentation et qu'il y irait voir. Aypierre n'était pas prudent. Toute chose s’apprend et il avait eut de trop nombreuses victoires pour l'apprendre cette qualité. Elle lui avait depuis longtemps fait défaut et le nombres de KTP qu'il aurait gagné s'il s'était montré un peu plus méfiant ne se comptait plus. L'hybris est considéré dans la Mythologie grec quand le plus grand des tors, c'était sans nul doute celui d'Aypierre.
Il avait creusé derrière le bouton et avait trouver un circuit de redstone très simple qu'il avait regardé avec un léger dédain. Le bouton ne faisait qu'activer des pistons dévoilant un passage caché dans la roche. Ce passage menait à un grand escalier qu'il s'enfonçait sous terre plus loin que la vue  pouvait porter. Ils regardait, tous les deux, à présent, avec une certaine perplexité, cet escalier plus long que celui qui mènent en enfer.

« On n'entre pas la de dans Aypierre. Viens ! On rentre.
- Attends je veux voir ce qu'il y a au bout. »


Zelvac, impuissant, le regarda commencer à descendre les marches. Un instant, il resta à l'entrée du tunnel qui le répugnait, il hésitait à suivre Aypierre. Mais celui ci ne faisait pas demi tour et bientôt, il allait être hors de vue. Alors Zelvac prit son courage à deux mains et entra dans cette bouche noir. Une sorte de vent froid s'engouffrait par l'ouverture et tourbillonnait en gémissant entre les étroits murs de pierre. Le tunnel était si étroit que deux personnes ne pouvait pas passée de face et mur contre la peau, Zelvac avait l'impression les parois se refermaient sur lui, l’écrasant corps et âme. Il imaginait les kilomètres qui le séparait de la surfaces et tous cette pierre lui peser sur les épaules comme la pression de l'eau le fait sur les tympans dans les profondeur abyssales. « Mon Dieu, on n'auraient dû partir tant qu'on le pouvait encore. » pensa Zelvac en se mordant la lèvre. Les ténèbres, si épais qu'ils en devenait matérielle, mangeait la lumière de la torche avant de s'attaquer celle de la vie. Devant lui, assez loin déjà, il distinguait Aypierre dont il ne voyait réellement que l'armure qui, immaculée, ressemblait au voile d'un fantôme. Il tenta de l’appeler mais sa voix sembla se dissoudre dans le silence des pierres au point qu'il n'en entendit même pas le son. Zelvac, privé de tous ses sens - ne pouvant plus entendre dans se silence étouffant, ne pouvant plus voir tant les ombres des pierres absorbait la maigre lueur de sa torche, ne sentant du toucher que le froid des cavernes qui circulait sous sa peau en long frissons de peur - Zelvac se sentit déjà mort et telle un spectre, il descendait dans leur royaume souterrain en suivant un guide immatériel habillé de blanc.
Soudain la silhouette disparue et Zelvac se mit à courir. Un son lui parvint à travers la roche comme si la caverne elle-même criait le nom. « BILL » C'était Aypierre qui avait hurlé. Tous retomba dans le silence mort tandis que Zelvac dévalait au pas de course l'escalier avec son sang comme tambour dans la tête. Il rata trois marche, trébucha et roula jusqu'à s’arrêter sur le sol froid et dur d'une galerie entièrement plongée dans l'obscurité. Au bout, loin, à peine visible, il vit une silhouette disparaître derrière un tournant. Sans prendre garde ni sa cheville qui criait, ni ses genoux qui avait heurter trop durement la pierre, Zelvac se lança à sa poursuite.


Il ne se souvenait de rien, ni de Zelvac qu'il avait laissé derrière lui, ni de la nuit qui était tombée et de tous les dangers qu'elle représentait. Aypierre courrait sans penser à rien d'autre qu'à l'image qu'il croyait avoir vu. Il se retrouvait fou, aveuglé comme il l'avait été lors de sa course dans le désert. Il l'avait perdu et était arriver trop tard. A présent il courrait à nouveau, à la poursuite de Bill. Chaque nuit, il vivait cette même scène et chaque fois il arrivait trop tard, il perdait la course. Mais cette fois, il gagnerait ! Il le sauverait ! Il aurait sa revanche contre au destin. Il arracherait Bill sans cesse à ses mains. Il courrait encore et toujours, hors de temps, aveuglé par la vision de cette tunique blanche qu'il avait entre aperçus au loin caché dans la brume des grottes. Une tunique blanche, aussi blanche que la barbe de la silhouette qui la portait. Il n'existait plus rien d'autre. Il courrait. Il n'arriverait pas en retard cette fois si. Les souvenir et les cauchemars lui montait à la tête et faisait tourner ses pensées dans une danse folle. Telle des vapeurs d'alcool, ils enivrait son esprit déjà perdu dans un trop plein d'émotions. Il la revu, tourner le coins d'un couloir et disparaître dans le noir. Aypierre accéléra le rythme de sa course et soudain surgit devant lui une faille. Le sol tombait abruptement comme si, d'un cou de couteau, on avait taillé une entaille de kilomètre de profondeur dans la roche. Aypierre allait trop vite, il n'avait pas le temps de ralentir et de tous de manière, son esprit, embourbé dans des limbes de rêves, n'aurait pas eut le temps de réagir. Aypierre répondant uniquement à ses réflexes, sauta par dessus le vide. Il resta un instant suspendu en l'air avant de s'écraser contre la pierre de l'autre coté de la faille.

Zelvac hurla en voyant Aypierre sauter. Il cru un instant que celui ci allait tomber, avant de la voir déraper dans le gravier, de l'autre coté de la faille et reprendre sa couse comme s'il ne s'était aperçu de rien. Trop perdu dans son éternel rêve, s'était il seulement rendu compte qu'il venait de risquer sa vie ?
Zelvac, voyant le trous avancer de plus en plus vite vers lui, avait freiné de tous son corps pour s’arrêter net devant le précipice. S'il avait réagit une seconde de plus, il aurait été trop tard. Il n'était pas fort comme Aypierre, il ne pouvait, il le savait sauter cette distance. Séparé par cette barrière infranchissable, Zelvac vit Aypierre disparaître dans la nuit de la grottes, comme avalé par les ténèbres. Il se retrouva seul, tremblant. Il revient sur ses pas, lentement d'abord, sans se retourner et puis la peur explosa d'un coup dans son cœur et il s'enfuit ventre à terre. Il ne s'était pas rendu compte de la distance qu'il avait parcouru sous terre à la poursuite d'Aypierre, mais retrouver l'escalier lui sembla durer une éternité. Il fallait rejoindre Croustinette. Elle saurait quoi faire.


***


Une douce odeur de grillé chatouillait ses narines. La peau du poulet était dorée et la chair bien tendre, pourtant elle n'en avait pas envie. Elle n'avait pas faim. Elle était écœurée. Son cœur chavirait en une légère nausée lorsqu'elle pensait à la nourriture. Potaro jeta son repas dans les flammes et fut secouée d'une toux rauque, profonde. Elle se plia en deux un instant et eut du mal à reprendre sa respiration après. Sa poitrine se soulevait par soubresauts rapides et douloureux. Sa gorge était douloureuse. Il lui remonta dans la bouche une glaire filandreuse au goût amère. Elle ne se sentait pas bien. Quelque chose dysfonctionnait en elle-même. Bien que sa toux ait cessé, une sorte de flamme lui brûlait l’intérieur de la cage thoracique. C'était une douleur douce et continue avec laquelle elle s’accommodait parfaitement, l'oubliant. Non, elle n'avait rien à voir avec celle, piquante qui lui traversait les poumons par instant. C'était très étrange, à cette sensation s’ajoutait une sorte d'étouffement comme si une main invisible lui appuyait continuellement sur la poitrine. Elle éprouvait une légère difficulté à inspirer, à gonfler ses poumons d'un air nouveau. Son diaphragme criait un peu quand l'inspiration était trop profonde. Elle le sentait peiner dans sa fonction. Et ce geste qui était si mécanique auparavant était devenu difficile et douloureux, si bien que l'effort physique l’épuisait plus rapidement et qu'il lui fallait toujours longtemps pour reprendre un souffle convenable. Souvent il lui arrivait de se mettre à haleter comme si elle étouffait ou de sentir un point de coté lui mutiler le ventre alors qu'elle ne faisait que marcher, et elle s'en inquiétait.
Elle était légèrement fiévreuse comme avant une grippe et elle se surprenait parfois dans un demi-sommeil, l'esprit dans le vague alors qu'elle marchait, ou bien elle sentait ses paupières se fermer d'elles-mêmes. Cette fatigue la suivait depuis hier. Elle s'était réveillé comme si elle n'avait pas dormi et toute la journée elle s'était traînée, langoureuse, engourdie et ne pouvant se sortir de ce sommeil qui n'en était pas un. Maintenant, allongée dans la nuit, elle se sentait courbatue. Elle était molle et son esprit et son corps évoluaient au ralenti.
Elle roula la tête sur ses épaules de gauche à droite. Sa nuque était raide comme après une dure journée de travail où elle serait restée penchée sur ses papiers sans bouger des heures durant. C'était une sorte de torticolis permanent, et elle avait beau se masser le cou, rien n'y faisait.
Une nouvelle quinte de toux la saisit, la laissant tremblante. Elle se portait si bien pourtant, quelques jours auparavant !
Potaro s'enroula dans sa cape. Elle n'avait pris que le minimum et cette cape lui servait de manteau comme de couverture. Les étoiles brillaient. Elle entendait une rivière toute proche. Elle était fatiguée, c'était tout. Aucun des symptômes qu'elle manifestait n'était inquiétant. Avec du repos, tout irait mieux.
Potaro s'endormit, lovée dans son cocon sous la lumière bienfaisante des étoiles. Elle rêva de plonger sa main dans la poitrine sanguinolente de l'homme qui la tuait et d'en arracher le cœur. Il palpiterait encore entre ses doigts quand elle le serrerait, si fort qu'il en éclaterait. Elle se tourna et marmonna une phrase incompréhensible dans son sommeil. Un seul nom fut articulé : Skillnez.


***


Zelvac saisit Croustinette par les épaules et la souleva presque de terre. Il criait sans s'en rendre compte. Elle le regardait, pleine de surprise et  légèrement apeurée. Elle ne l'avait jamais vu dans cet état. Et puis peu à peu les mots de Zelvac se frayèrent un chemin jusqu'à son esprit. Les couleurs disparurent de son visage. Son pouls s’accéléra. Elle le savait. Elle le savait pourtant quand ils étaient partis que quelque chose de ce genre aller se passer. Elle le savait mais elle avait laissé Aypierre s’engouffrer dans les ténèbres des sous-sols. Bill ? Non, ce n'était pas possible. Il était mort et sa tombe était protégée par les machines d'Aypierre. A moins que celles-ci aient été détruites par quelqu'un ayant l'intelligence de le faire, mort ou vivant et que le cercueil ait été ouvert. Alors les mobs auraient eu accès au corps et le cadavre aurait servis d’appas pour entraîner Aypierre là où l'on voulait qu'il soit. Et si Aypierre mourait ? Et s'il se retrouvait dans l'autre camp ? C'était lui qui avait construit le bunker, il savait tout, il avait été leur plus grande force, il serait la plus grande force du Maître du jeu. L’ampleur de la nouvelle que Zelvac lui avait apportée chassa celle qu'elle avait, elle, à lui annoncer, si bien qu'elle ne lui avait rien dit quand Siphano, alerté par la voix de Zelvac, entra dans la pièce.

Zelvac se raidit tout à coup. Ses lèvres se crispèrent en une grimace. Son bras se tendit et il referma le poing avec tant de haine que ses ongles entrèrent dans sa peau et furent mouillés de sang. Un tic agita soudainement son cou et son visage. Sa peau frémit comme si quelque chose était passé dessous. Les muscles du cou se contractèrent. Il fronçait tant les sourcils que ceux-ci se rejoignaient. Ses yeux bruns et doux d'habitude flambaient comme deux braises. Toute sa face était livide. On aurait pu croire que tout son sang l'avait quitté pour aller bouillir dans ses mains qui s'étaient rouvertes et tendues comme si elle avaient voulu se jeter sur l'homme en face de lui, pour l'étrangler, le lapider, le tuer.
Pourtant quand il parla enfin, ce fut à Croustinette qu'il s'adressa. Son regard se détourna de celui qu'il aurait aimé transformer en pierre pour mieux pouvoir le briser. Son attitude changea. Sa rage n'en était pas moindre. Mais la colère chaude qui été revenue à l'apparition soudaine de son ancien ami avait été remplacée par cette haine froide qu'il avait ruminée contre les anciens membres de la coopteam depuis son abandon. C'était donc un mépris intolérable, un dédain glacial qu’il accordait à Siph en oubliant totalement son existence.
« Que fait-il ici, Croustinette ?
Elle ouvrit la bouche, stupéfaite par cette réaction à laquelle elle ne s'attendait pas, puis elle tourna les yeux vers Siphano qui, debout, le regardait. Il était totalement immobile, même ses yeux ne bougeaient plus. Son visage avait pris une blancheur de mort. Il contemplait Zelvac et semblait pétrifié par la colère de son ami qu'il ne comprenait que trop bien. Elle ne pouvait rien, elle comprenait Zelvac comme elle comprenait Siphano. Elle n'avait pas le droit de se mêler de cette histoire.

« Zelvac... » Siph, implorant, cherchait le regard de son ami mais celui-ci fixait un point lointain, bien décidé à ne pas croiser celui de Siph. Il refusait le contact visuel. Siphano désespérait. Il avait besoin de Zelvac pour vivre, il avait besoin de son ami. Il reconnaissait tous ses crimes passés envers la coopteam, envers Zelvac, mais il pouvait rattraper ses erreurs. Avec un simple pardon, il pourrait recommencer cette vie à zéro, oublier les atrocités de l'ancienne pour en commencer une nouvelle comme l'on tournerait une page, noire de mots, du passé, pour recommencer à écrire le papier blanc de l'avenir. Un simple pardon. Un simple pardon. Le retour d'un ami.
"Zelvac". Le ton de Siphano était plus suppliant que jamais. Il implorait le regard que les yeux bruns de l'homme refusaient de lui accorder. Rien ne semblait l'atteindre, on eut dit que Siphano n'existait même plus. En refusant de le voir, Zelvac le reniait jusqu'à dénier son existence même.
« Zelvac, écoute, je … Zelvac ! Regarde-moi ! » Siph attrapa le poignet de Zelvac. Celui se retourna et se dégagea avec force. Enfin son regard flambant rencontra celui de Siph.
« Ne me touche pas ! Tu m’abandonnais alors que j'étais au plus bas, alors que j'avais pour la première fois réellement besoin de ton amitié. Alors que tout se refermait autour de moi, que chacun me rejetait, alors que je me voyais déjà souillé du fait de la cité qui tue, par ma faute, mes plus proches amis, tu as fait comme tous les autres, oubliant l'ancienne amitié. J'étais seul et perdu dans mon massacre et me serais donné la mort si October à ta place n’avait fait son devoir d'amie. Elle en est morte. Tout en sachant que c'était à cause de moi qu'elle se retrouvait dans cet enfer, elle a quand même donné sa vie pour essayer de me mettre sur le trône de la cité. Moi qui étais à l’origine de ce carnage, je devais vivre selon elle. Et toi, où étais-tu pendant ce temps ? Je ne te demandais pas le sacrifice qu'elle a fait, je ne le demande à personne, mais j'attendais au moins de toi, mon meilleur ami, que tu sois à mes cotés dans cette épreuve.
« Te doutes-tu de ce que j'ai souffert ? La cité et les remords m'ont longtemps taillé le cœur à vif, mais à cette douleur dont je suis le seul coupable s'ajoutait celle du rejet. Je suis infâme. Je suis la cause de tout. Mais je ne méritais pas d'être traité comme tel par quelqu'un qui me jurait être toujours là pour moi ! J'ai trop souffert par ta faute, Siphano. Je ne pourrais jamais te le pardonner. J'ai subit le dur enseignement de la désillusion et j'en suis devenu un autre. J'essaye de ne pas t'en garder rancune, c'est ce qu'il m'a dit de faire, mais je ne suis pas à la hauteur d'Aypierre et je n'y parviens pas. A faute de pouvoir éteindre le feu de la rage que j'ai contre toi, je vais essayer de l'ignorer mais seulement pour que d'autres n'en aient pas à souffrir et non pour toi. - Alors il se tourna vers Croustinette et se remit à ignorer Siph - Il n'y à pas un instant à perdre. Aypierre peut très bien avoir besoin de nous en ce moment même !
- Je viens avec vous !
- Non. Quelqu'un doit garder le bunker et je ne referais équipe avec toi uniquement que quand aucune autre alternative ne sera possible ! »


Siph, glacé jusqu'au fond de ses os, contempla Zelvac et Croustinette descendre à nouveau dans les ténèbres de la grotte à la recherche, d'un mort peut être... Il se retrouvait seul. Seul avec lui-même, cet autre lui, Siphano. La longue attente allait commencer et il avait encore les mots de Zelvac dans la tête.


MrBboy a été tué par Fukano
As2pick a été mangé par des silverfishs

et je vous souhaite de bonne vacances ! nous passons au jour 11 dans moins de deux semaines, pour la suite de nos aventures qui commence a se précipiter un peu... et oui, il  ne reste 3 jour avant le fatale 14ème jour ...
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Crazy
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Mar 21 Oct - 12:39
Crazy
YES ECTA EST MORT !! et Fri va survivre *o*
Aypierre fait une putain de conneries la. une putain de grosse connerie.
Pota est toujours aussi stylés mais elle est malade. malade a cause d'ecta? et de ses poulets transgéniques?
Zelvac a tres bien reagi je le comprends mais comme Crousti je comprends Siph aussi.
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Kamia
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Mar 21 Oct - 13:28
Kamia
HALLELUJAH, ECTALITE EST MORT ENFIN ! (quoi j'ai commencer comme Crazy non pas du tout x))
Frigiel à échapper à la mort c'est déjà une bonne chose
Aypierre que dire, je ne sais pas si tu fais une grosse bêtises de suivre "Bill" mais je sens que cette histoire va mal se finir.
Potaro est malade dut aux poulets étrange ou je me trompe ?
Je comprend la réaction de Zelvac, comme je comprend Siph aussi
Maintenant j'ai juste hâte de savoir la suite Very Happy
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M.S.
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Mar 21 Oct - 14:18
M.S.
CrazyTheB!TCH

Qui te dit qu'Ectalite est mort ? regarde la liste des morts de la journée... Il est mal en point certe et peut être sortira t'il du coma uniquement pour mourrir mais pour l'instant, il vit encore. On va dire qu'il est à un cheveux de tomber dans le vide...
Je dirais même plus, une putain de Connerie à fait Aypierre... Mais on ne le comprends que trop bien, s'il a vu Bill, de plonger tête baissée dans les ténèbres.
Zelvac et Siphano, aucun des deux à tord, mais se rends t'il compte chacun des conséquences que peux avoir les conduites ?
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M.S.
Petit Sadique
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Mar 21 Oct - 14:31
M.S.
Kamia Natsuya

Non, Ectalite n'est pas mort ! Frigiel aurais abaissé son épée s'il avait voulu le tuer, il l'a juste assommé, un peu violemment, certes mais ne l'a pas tuer. Frigiel ne pouvait pas le faire, c'était son ancien ami... Regarde les morts du jour, il n'y a pas Ectalite a été tué par Frigiel. Mais je suis d'un certain coté d'accord avec toi... Il est mal en point et si c'est sortir du coma pour mourir, je ne sais pas si ces préférable.

ce n'est pas pour rien que cette partie s'appelle avalé par les ténèbres. Tu te doute qu'Aypierre est dans une mauvaise passe, seul, au fond des grottes, de nuit, et surtout entièrement perdu dans sa douleur où se mêle cauchemars et souvenirs.

Oui, c'est a cause des poulets que Potaro est malade et si tu fais un peu de médecine, tu peux identifier ses symptômes car la maladie que je décrit est réelle et ce que je dis est vrai pour la vie IRL.

Ni Siph, ni Zelvac n'a tord. Ils ont fait et ils font juste tous les deux des actes dont les conséquences les dépasses entièrement.
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Lielea
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Mar 21 Oct - 19:11
Lielea
Ohhhh non! Non non non! Pierre! Ne fais pas ça! Reviens! Maintenant!!!!! Rhaaaaa! 

Hum hum... On va y aller doucement ok?

Donc^^ Super chapitre! Beaucoup d'action (ça c'est bien (bien que les actions elles-mêmes ne me plaisent pas trop xD)) Peu de description (ça c'est dommage mais en même temps ils sont toujours dans la même grotte, tu ne vas pas la décrire mille fois ^^) Mais aussi plein de trucs pour lesquels j'ai envie de te crier dessus (pas par rapport à ce que tu écris, c'est toujours aussi bien..) Mais non! Pourquoi tu fais ça a Fri? Il saute dans une lame?! Et Aypierre! Il sait que Bill est mort pourtant! Pauvre Zézé aussi! ça doit être horrible pour lui d'être de la sorte abandonné... surtout après la dernière scène! Et en plus il crois Siph ensuite! J'avais oublié ce qu'il pensait de lui. je me suis dit que ça allait être la joie quant ils allaient se retrouver... et bien non! Tu les fais souffrir les deux, en sur donnant des sentiments qui les ))   d'être de niveau ensembles! Rhaaa! 
(oui c'est la rage... mais je t'aime quand même tu sais Et si la CHM s'était passée autrement ?  Cid:DCF3D3CD-07DC-4AD9-B9F9-04A3DCDDB06E)

Plus sérieusement, je vais te passer mes analyses, ça m'aidera peut être a me calmer... assez pour tenir les deux semaines^^

Partie une alors. Pauvre Frigiel... Mais tiens... c'est le seul qui se souvient que Leo est mort? En tout cas j'aime bien comme tu décris les sentiments des deux, juste avant de se croiser... Puis les réactions, tellement différents.. Ectalite veut vraiment tuer Fri, il le trouve lâche, le hait même...Et malgré ça, Fri ne le tue pas (il l'assomme juste non? a moins que j'ai mal compris) J'espère en tout cas que la potion est vraiment une potion de soins et qu'il arrive à s'en sortir... Parce que je pense qu'il a atteint une certaine lucidité qui pourrait être utile à l'alliance des gens autour d'Aypierre (qui a intérêt a s'en sortir!)s'il pouvait les rejoindre! Mais non... Je sens que ça va être complètement diffèrent... Genre qu'au final il voit qu'il a blessé mortellement ecta (ce qui est bien possible, les blessures au cou sont rarement pas grave...) et qu'il va le soigner avec au lieu de lui même... Le genre de truc con ou tu nous fait être assis devant notre ordi en lui criant de faire autre chose... Ou Fukano va les trouver avant que Fri puisse se sauver... Je m'attends au pire (et au final je ne serais pas du tout préparée à ce que tu vas faire^^) 

Deuxième partie... 
Non! Et moi qui croyait que ça allait bien se passer finalement... Je n'aurais jamais pensé qu'un telle chose arrive... Et c'est la qu'on voit pour la première fois à quel point la mort de Bill a rendu fou aypierre... Pour l'instant ça l'avait changé, mais en bon! On voyait qu'il souffrait, mais j'avais l'impression que du coup il ne pensait plus qu'a sauver tout le monde... Mais en fait la blessure est beaucoup plus profonde et dangereuse. Elle lui fait se haïr lui même plus que tout, cette douleur le rend fou au point de lui cacher la vérité, de ne lui faire vivre plus que ces cauchemars (qui sont encore pires que celui dans lequel il vit en étant réveillé...)  Il aurait donc vu "Bill" Ou ce qui reste de lui... en plus c'est quand même Aypierre qui a eu l'idée d'une armée de mobs pensants! Il devrait s'en souvenir! La encore on voit réellement la blessure qu'il a en lui, qui lui joue des tours... 

Je vais arrêter de relire encore et encore cette deuxième partie qui annonce la fin pour moi, et plutôt me tourner vers la suivante. 
Potaro va mal a cause des poulets non? Ils avaient en eux des potions de poison si je me souviens bien... D'ailleurs c'est un de ces poulets que tu décris au début? Elle les a vraiment mangés?! Elle voyait pourtant qu'ils n'étaient pas normaux... La pauvre. J'espère qu'elle aura sa vengeance... Son personnage est cependant très intéressant au niveau de son évolution au cours de la cité... Elle doit être le personnage qui a le plus changé. Je dois dire qu'elle ne m'a pas toujours plu, mais vu son état, elle mérite ma compassion je trouve, même si je pense que tu aurais du profiter de ce moment de faiblesse extérieur pour nous la montrer de l'intérieur (ses pensées) ç'aurait été intéressant...^^

Je suis désolée, je suis plutôt fatiguée, je vais passer assez rapidement sur la dernière partie (même si je pense que je pourrais réfléchir sur les actions des trois pendant un moment!) 
Je ne sais pas lequel des trois est le plus a plaindre... Crousti doit entre celle qui se rend le plus compte de l'horreur de la situation, je pense que c'est elle qui comprend le mieux l'impact que la disparition d'Aypierre apporte avec elle, qui sait le mieux ce qui risque d'arriver. Zézé n'a pas de chance non plus, après tout il est en train de faire quelque chose qui est complètement contre sa nature. Je n'aurais jamais cru qu'une tels chose puisse arriver. Il doit se sentir vraiment mal avec tout ce qui se passe, de la disparition de Pierre contre laquelle il n'a rien plus faire et ce juste après la scène du pardon (que je trouve encore plus belle maintenant, après tout, c'est peut-être la dernière fois qu'on voit Pierre en "bonne" santé) puis de se retrouver confronté à une personne qu'il ne peut, lui, pas pardonner, car il n'a pas la force d'Aypierre... Et encore Siph qui doit désespérer. Il a déjà perdu tellement de gens, et maintenant il se retrouve rejeté d'une personne dont il croyait qu'il allait pouvoir recommencer a zéro, oublier, se pardonner lui même. Et il se retrouve tout seul. Avec comme seule compagnie ses pensés. ça va mal se finir...

Comme je l'ai dit au début, ce chapitre est très actif, on ne sait plus quoi penser avec tout ça... Et j'ai peur pour Aypierre. Je n'ai pas envie qu'il lui arrive quelque chose! Mais les événements tendent, irréversibles, vers sa fin....
(Je suis désolée du début du com, j'exagère peut être un petit peu, mais tu sais a quel point j'aime Aypierre...:coeur:)
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Aliona Tma
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Mer 22 Oct - 11:41
Aliona Tma
Franchement ! Faire ça à Frigiel ! Pourquoi est-ce qu'il faut toujours que les anciens amis deviennent des monstres sans cœur et que les personnages se retrouvent avec leur vie entre leur mains (Je sais pas si c'est compréhensible ce que je viens de dire...)

Frigiel va mourir ? Ne me dis pas que Frigiel va mourir ! Il ne mérite pas ça... Non ! Je ne veux pas croire que Frigiel puisse mourir ! Par contre, si Ectalite meurt, je m'en fou royalement ! Quoi que... il va devenir un monstre à la solde du maître du jeu s'il meurt. Raaah ! Je sais pas !

La curiosité est un vilain défaut. Aypierre n'est pas au courant ? Je veux bien qu'il essaye de voir ce qu'il y a au bout du tunnel mais comme même ! A partir du moment où il a vu Bill, il aurait dû se douter que quelque chose n'aillait pas bien ! En plus, il est au courant que le maître du jeu fait revivre les cadavres. Il devrait se douter que bill est devenu un monstre ! J'imagine pas mon idole comme ça... Etre aussi con, c'est pas digne de lui ! x)

Potaro est malade ? Au début, je pensais que c'était parce qu'elle commençait à subir la faim et le froid mais après réflexion, je me dis que c'est peut-être parce qu'elle s'est fait mordre par les poulets mutants... Ce serait logique...

J'imaginais la rencontre Zelvac/Siph un peu plus chaleureuse...
La perte de son identité est un premier pas vers la dépression et Siph aurait eu besoin plus que tout au monde du soutient de Zelvac. En même temps, il a fait la même chose à son ami. Il l'a laissé tout seul alors que Zelvac aurait eu besoin de lui plus que tout. C'est un juste retour des choses.


Conclusion :

C'est un bon chapitre. Je dirais qu'il a surtout été focalisé sur Aypierre après, c'est peut-être ma fanatitude à son égard qui me joue des tours.
J'ai presque l'impression que les personnages deviennent cons à force mais ce doit être à cause de la pression. Dis-moi, Aypierre est toujours en tête du classement ? Si c'est le cas, il ne doit pas mourir ! Même si c'est pas le cas d'ailleurs...
J'ai hâte de lire la suite (surtout la fin même si je n'ai pas vraiment hâte qu'elle arrive)
Poutous :coeur:
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M.S.
Petit Sadique
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Jeu 23 Oct - 6:25
M.S.
Lielea

Ce qui dois arrivé, arrive. Rien n'arrête la Fatalité. Cela fait trop long temps que j'annonce ce qui va suivre, il est temps que cela arrive. Cela aurait très bien pu se produire dans la dernière partie, mais maintenant il pourra bien fuir, il ne pourra pas échapper à son destin, celui ci est déjà celer et dejà écrit ( presque fini ) D'ailleurs, il ne fuit même pas.

Oui, il n'y a pas des tonnes de description, c'est vrai. Le chapitre a été écrit trop rapidement... ( oui je dit ca alors que j'ai deux semaine de retard ) Non les descriptions sont très longues à écrire et demande beaucoup de travail de concentration et d'énergie... Je ne pouvais fournir au chapitre aucun des trois. Sans en faire une règle d'ordre générale, les chapitres où je n'étais pas préssée sont plus chargée en philosophie et en descriptions. ( exemple – jour 9 ) Je ne suis pas contente de cette dernière partie, il manque ma touche : les ténèbres et la torture mentale qui enlève la platitude de l'action, la rencontre Frigiel Ectalite aurait dû être mentalement plus douloureuse, l'abandon et l'impuissance de Zelvac aussi, les réveils des cauchemards de Aypierre, la solitude de Siphano, tous aurais dû être beaucoup plus marqué par les ténèbres qui me caractérisent. Mais je vais rattraper cela. La prochaine partie s'annonce très descriptive tandit que celle d'après sera pleine d'action et sera la dernière ou l'avant dernière du cycle des grottes. Après nous passons à celui du dénouement, ou le début de la fin...

Rectifions, Frigiel à pars Ectalite est le seul qui SAIS que Léo est mort. Zelvac et Croustinette avait quitté leur basse à la fin du jour de la bataille du Nether et n'en s'était pas encore instalé dans la cité, donc il n'ont pas eut le mot et Siphano et se team faisait joue-joue avec les Patrick à cette époque... Aypierre le sais mais il s'en foue et ne va pas en parler aux autres car il ne sais pas qu'ils n'ont pas eut la liste des morts de ce jour et qu'il ne veux pas aller jeter du sel dans la plaie ( il sait suffisamment bien ce que c'est d'avoir perdu un être cher... ) Mais tu as raison de t'en souvenir, si j'ai encore insinué que seul Frigiel s'en souvient, c'est qu'il y a une raison...

Frigiel ne l'a pas directement tuer. Pendant ce temps Ectalite est dans le coma, blessure à la tête, ce n'est pas génial... ha ha ha t'ai hypothèses sont géniales ! Elles m'ont trop fait rire. Non, tu ne vois pas du tous ce qui va se passer, ce n'est pas du tous de cette ordre là et pour une fois ce ne sont ni la vie ou la mort de Frigiel et Ectalite qui est en jeu... Mais remarque tu as raison de penser au autres habitants de la grotte.

Et oui, je vous fais croire que le danger est écarté, mais non. C'est comme cela dans tous les films, das tous les livres (qui se finissent mal ) Le protagoniste affronte tous les dangers, il est presque sur le point de s'en sortir, de réussir et c'est alors que tous bascule...

Il faut que j'y aille, la suite arrive dans longtemps... après les vacances
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Petit Sadique
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Sam 1 Nov - 0:23
M.S.
Voilà la réponse qui arrive avec un retard inimaginable !! Désolée, c'était les vacances et je suis partie...

Pourquoi ? parce que si non ce n'est pas drole ! plus y a de sadisme, plus on rit !

La curiosité et la témérité est un vrai très de caractère d'Aypierre, il fallait forcément qu'ils soient aussi présent dans la fiction. Le nombre de KTP perdu parce qu'il ne faisait pas suffisamment gaffe... Ce qui devait arriver et arrivé. Il est pas con, il est juste humain avec ses défauts et j'essaye que mes personnages ressemble un peu aux Youtuber.
Quand à poursuivre Bill, c'est pas la même chose, ce n'est plus de la curiosité ou de la témérité. Voir Bill a réveillé ses cauchemars et la douleur est si forte quand il s'agit de lui qu'il en devient en quelque sort fou et ses sentiments sont si violents qu'il ne peux plus réfléchir. Toi même n'a tu jamais ressentis ce sentiment quand tu es extrêmement troublé, ou tu sais ce que tu dois faire mais où tu n'arrives pas à le faire ? Par exemple quand on aimerais mentir mais on n'y arrive pas. Là c'est a peu près la même chose, seulement tu es encore consciente de ce qui t'arrive alors que dans le cas d'Aypierre, il a tellement perdu le contrôle qu'il n'en ai même plus conscient.

Oui, c'est à cause des poulets, c'est plus développé par la suite.

Non, la rencontre Zelvac/Siph ne pouvait pas être heureuse. Si je voulais garder un semblant de réalisme, cela aurait été impossible et je tiens vraiment à ce que mon histoire sois autant réaliste que possible, qu'il n'y ai pas d'habération.


Oui Aypierre est toujours en tête du classement si bien que s'il meurt, et si les autres joueurs n'arrive pas a abolir la CHM, ils sont tous morts car personne ne pourras rattraper le score d'Aypierre vu que les marchants ont été tué par potaro et que un mort peu être nommé roi de la cité et que seul le roi ( s'il est encore en vie ) peu en sortir. Les autres sont donc condamnés.

Merci beaucoup pour ton commentaire qui fait toujours si plaisir ! je suis vraiment contente d'avoir des lectrices aussi gentilles ! et j'ai hâte de voir ton com quand la suite sortira !!
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Aliona Tma
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Sam 1 Nov - 0:26
Aliona Tma
Je ne dirais qu'une chose :
''j'ai hâte de voir ton com quand la suite sortira'' Et bien poste-là vite ! x)
Poutous :coeur:
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M.S.
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comment dire qu'il n'est presque pas rédigé ? Embarassed
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Aliona Tma
Comme ça... x)
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M.S.
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Sam 1 Nov - 0:35
M.S.
en effet... qu'est ce que tu fous à cette heure là sur internet ? Québécoise ? par ce que normalement quand on n'a pas deux semaines de message à rattraper, on dort à 1h30 du mat...
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Aliona Tma
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Aliona Tma
Bah nan. Je suis française.
Mais à 4 heure je dors toujours pas comme tu peux le remarquer x)
Comme ça j'évite les devoirs jusqu'à midi xD
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M.S.
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M.S.
Lielea

Aller hop, a deux heure du mat je reprends le travail laissé inachevé en partant en vacances.

« Et c'est la qu'on voit pour la première fois à quel point la mort de Bill a rendu fou aypierre... » A peu près tous les personnages ont leur folie à présent. Même Croustinette qui veux sauver tous le monde et qui idéalise chaque participant car elle ne veux pas voir en face ce qu'ils sont devenus. Aypierre a sa folie comme les autres (certes celle ci est plus ou moins forte selon les individus, Skillnez par exemple est assez extrême... ) Aypierre est une sorte d'Achille. Il est toujours aussi fort, toujours aussi intelligent, mais comme Achille, il a une faille mortelle. Son talon est son passé, ses souvenirs, les Patrick, BILL. Si on le touche sur ce point là, il n'a plus rien et est livrer à l'autre qui lui l'a bien comprit et est en train de la mener presque en laisse vers ce qu'il veux et tu te doute que ce n'est pas joyeux.

« Mais en fait la blessure est beaucoup plus profonde et dangereuse. » Ses cauchemardes le montrent assez... Il rêve de se suicider (Shorty dans son rêve lui donne un poignard en lui disant de rejoindre les Patrick dans la mort) Cela montre assez a quel point Aypierre est affaiblit de ce coté là.

Non, Aypierre ne se haït pas lui même. Il cherche à réparer ses actes et à obtenir le pardon. Seulement, il ne peux réparer l'irréparable

« c'est quand même Aypierre qui a eu l'idée d'une armée de mobs pensants! » si tu me permets je te réponds la même chose que plus haut...
La curiosité et la témérité est un vrai très de caractère d'Aypierre, il fallait forcément qu'ils soient aussi présent dans la fiction. Le nombre de KTP perdu parce qu'il ne faisait pas suffisamment gaffe... Ce qui devait arriver et arrivé. Il est pas con, il est juste humain avec ses défauts et j'essaye que mes personnages ressemble un peu aux Youtuber.
Quand à poursuivre Bill, c'est pas la même chose, ce n'est plus de la curiosité ou de la témérité. Voir Bill a réveillé ses cauchemars et la douleur est si forte quand il s'agit de lui qu'il en devient en quelque sort fou et ses sentiments sont si violents qu'il ne peux plus réfléchir. Toi même n'a tu jamais ressentis ce sentiment quand tu es extrêmement troublé, ou tu sais ce que tu dois faire mais où tu n'arrives pas à le faire ? Par exemple quand on aimerais mentir mais on n'y arrive pas. Là c'est a peu près la même chose, seulement tu es encore consciente de ce qui t'arrive alors que dans le cas d'Aypierre, il a tellement perdu le contrôle qu'il n'en ai même plus conscient

oui, pour Potaro, c'est a cause des poulets.
Pour son personnage, il y avait deux possibilités et un postula de départ. Tout d'abord, Natek devait mourir. C'était obligé. 1 parce que je suis une sadique donc le mignon petit amour, c'est mort. Dans toute l'histoire, il n'y a que trois amours Natek-Potaro et Skillnez-Playfan que j'ai cassé par la mort et Croustinette-Zelvac qui lui n'est pas réciproque. Cela aurait été trop simple si ces amour s'étaient déroulé paisiblement. C'est vraiment pas mon truc d'écrire le bonheur. Mais en plus cela aurait été mortellement ennuyant. Les choses ne deviennent intéressantes que quand elles sont troublées. Il n'y a pas d'histoire, s'il n'y a pas d'élément perturbateur. Donc tous cela pour dire que Natek devait invariablement mourir. Il devait d'ailleurs mourir le plus tot possible, pour me laisser le temps de jouer avec Potaro. Donc Chapitre 1, je décris le parfait amour et tous le monde est content, mais je ne fait cela que pour éprouver plus de jouissance à le casser. Ensuite je voulais que Natek meurt par quelqu'un de relativement brutale, pas Aypierre car il aurait fait les choses vite et n'aurait pas violenté Potaro, ni jouer avec elle comme avec une proie, donc il me restait As2pick, Skillnez, Ectalite. Je veux bien sur que Potaro survive, et les patricks sont trop nombreux pour qu'elle ait la moindre chance de s’échapper, donc pas As2pick, et Ectalite, il est déjà très occupé dans ce chapitre a chasser Frigiel et Bboy, trop gentil, ne l'aurait pas laisser jouer avec Potaro, donc Ectalite, non plus. Enfin Skillnez qui lui viens de perdre Playfan. Qu'il détruise l'amour de Potaro est d'autant plus intéressant que lui n'en a plus... Ce que Aypierre a fait, il le reproduit, lui.
Donc Natek est tué par Skillnez qui lui après joue avec Potaro, la sous estime et elle s'échappe. J'ai hésité a ce qu'il l’humilie un peu avant, qu'il profite de la situation, mais bon je n'ai pas vraiment forcé ce trait.
Après Potaro qu'est ce qu'elle peux devenir. Soit en tant qu'héroïne romantique qui vient de perdre son Roméo, elle se suicide. Mais cela était trop clichés amoureux, pas assez surprenant et puis je ne veux surtout pas que deux mort sois semblable et le suicide j'en avait besoin à l'époque pour quelqu'un d'autre. Donc hypothèse rejetée. Il ne me restait donc plus qu'une possibilité. La transformer en son contraire, faire de la gentille jeune fille pure et fragile, un être ténébreux, violent et fort. Et la cela devient intéressant. La transition à demandé beaucoup de chapitre, mais depuis le jour 8, elle est fini. Elle est belle ma Potaro, elle peux rentrée en action.
Oui, j'aurais du plus développer ses pensées durant cette transformation et la montrer aussi de l'intérieur une fois le résultat finale atteint. Mais c'est trop tard. On ne va plus jamais la voire en point de vue interne. Elle a un rôle assez particulier et a cause de lui je veux qu'elle reste froide, mystérieuse et folle. Un personnage donc avec le quel on ne peux pas se rapprocher, car on ne sais pas ce qu'il pense.

« Crousti doit entre celle qui se rend le plus compte de l'horreur de la situation, je pense que c'est elle qui comprend le mieux l'impact que la disparition d'Aypierre apporte avec elle, qui sait le mieux ce qui risque d'arriver. » Croustinette est très claire voyant, et elle toutes les raisons d'être inquiète. Si Aypierre, qui est leur principale avantage, meurt et rejoins l'ennemi, alors il ont carrément dans le caca ; s'il meurt, mais qu'il réussit à faire que son corps soit détruit, donc qu'il ne puisse pas être réincarné, c'est tous aussi la merde par ce qu'il est en tête du classement pour les émeraudes et comme les villageois ont été tué par Potaro, personne ne peut plus le rattraper, s'il n'arrive à abolir la cité avant sa fin, cela voudrait dire qu'elle n'aura pas de survivants car son roi sera un mort et seul le roi survit.
Zelvac a subit deux coup dure en même temps et il est normale qu'il ne puisse pas pardonner à Siph. Au début de la cité, il se rends compte qu'il vient de condamner tous ses amis, ce qui est assez horrible et il se retrouve abandonné par ceux qui lui été le plus proche. Il a énormément souffert, d'une autre manière qu'Aypierre ou que Potaro, certe, souffert comme même (tu te souviens de ce que dit October à Frigiel dans le Nether). Mais lui, contrairement au deux autres, il a réussit à sortir de cette souffrance grace à October qui lui a proposer de l'aide, il n'a donc pas cette case de folie qu'ont les autres mais cependant il ne peux pas pardonné car les cicatrices restent. Et après tu as parfaitement raison quand a la scène de pardon et les concéquence qu'elle a eut sur lui.

« ça va mal se finir... » ca c'est la base avec moi.

« j'ai peur pour Aypierre. » tu as bien raison.

Merci beaucoup pour ton com, c'est toujours un plaisir. Voila j'ai fini.
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Ota
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Mer 1 Juil - 20:33
Ota
ECTALITE EST MOOOOOOOOORT!
Dans la cité, terrible cité, Ecta est mort ce sooooooooooir! Et Otaku danse mal sur sa tombe, Ecta est mort ce sooooooooir!
*danse intérieurement parce que sa sœur est là* :wah:
OUAAAAAAAAAAAAAIS!
J'aimerais pouvoir plus me réjouir mais...
MÊME MORT IL FAIT CHIER LE MONDE!
Excuse-moi. Même mort il m'énerve. Je suppose que Potaro va mourir...
Je t'épargne la suite parce qu'être vulgaire c'est mal.
"Zelvac, privé de tous ses sens - ne pouvant plus entendre dans se silence étouffant, ne pouvant plus voir tant les ombres des pierres absorbait la maigre lueur de sa torche, ne sentant du toucher que le froid des cavernes qui circulait sous sa peau en long frissons de peur"
Bon je vais pas parler des fautes (en parlant de fautes, "aléas" dans la signature? Les aléas du direct? HAHA! Je me tais...) contrairement à ce que tu crois sûrement.
La vue, l'ouïe, le toucher... Et c'est tout? Bon le goût c'est évident mais l'odorat! Il y a tant de choses à dire sur l'odorat! La plus évidente étant une odeur de mort régnant sur ce lieu.
Mais bon je fais plus ma chieuse...
OUI! ZELVAC EN VEUT A SIPHANO! ALLÉLUIA!
Il a fait UN truc jusqu'au bout! Du coup Siph va être encore plus torturé...(Oui j'ai été décue du faux suicide de TMA parce que c'est moins... "bien") Bravo Mich!
Voilà!
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M.S.
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Jeu 2 Juil - 7:00
M.S.
Miss Otaku

"Ecta est mort ce sooooooooooir!" te réjouis pas trop vite, la généreusement de Frigiel est grande
"MÊME MORT IL FAIT CHIER LE MONDE!" Comment cela ? Qu'est ce qu'il t'a fait pour te faire chier comme cela ?

"La vue, l'ouïe, le toucher... Et c'est tout? Bon le goût c'est évident mais l'odorat! Il y a tant de choses à dire sur l'odorat! La plus évidente étant une odeur de mort régnant sur ce lieu." Alors là je ne suis pas du tous d'accord avec toi. les sens sont souvent présent dans mes descriptions. très présent car c'est sur la perception que je fonde la plus part de celle ci même si j'utilise aussi c'est vrai la projection. je sais très bien que l'odorat est important, mais si je ne l'ai pas mit c'est qu'il y avait une raison précise. Il n'a pas sa place ici. Tous d'abord parce qu'Aypierre n'est pas encore mort. C'est beaucoup trop tot pour mettre l'odeur de la mort, même incohérent. Ce n'était vraiment pas possible. Ensuite ici se sont les sens qui guide particulièrement Zelvac, hors l'odorat ne fait pas partis de cela. Non, pas l'odorat, en plus cela aurait fait trop lourd dans un texte qui l'est suffisamment. Si je l'avais mit j'aurais aussi mi le gout en disant que la tension lui faisait monter un gout amère dans la bouche ou quelque chose comme cela.

"Bravo Mich!" et bien merci ! je suis contente que cela te plaise ^^
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