Et si la CHM s'était passée autrement ?

Chapitre 11, jour 14, partie 2, sous partie 2 : La CHM est fini, Zelvac. La CHM est finie.

                        Et les émeraudes ? Elles furent le plus magnifique outil de manipulation de toute la CHM. - Tu sembles déçu. A quoi t'attendais tu ? - A plus « qu'à cela » ? Tu est assez injuste. Elles ont eut un rôle réel dont tu ne sembles pas mesurer l'ampleur. « Seul le roi de la CHM pourra en sortir vivant. » Votre destin est entre vos mains. Il ne tient plus qu'à vous de survivre ou de périr. Cette promesse ouvrit à des êtres condamné une perspective d'avenir qui, aussi dérisoire puisse t'elle te paraître actuellement, ne l'a pas été pour eux. Voilà ce qu'a créé la chasse aux émeraudes : l'espoir.
                         Écoute les insectes frapper contre la vitre pour atteindre la lumière qui les hypnotises. Ils s’assomment. Ils tombent. Ils se tuent. Le verre de l'ampoule est chaud. Regarde le moucheron qui y vole et qui s'y grille. L'espoir est aux hommes ce que la lumière est aux insectes. Aveuglés, ils donnent toutes leur force pour l'atteindre mais ne fond que se fracasser sur le mur invisible qui les en séparent. Une lueur dans la nuit amènent les poisons à mordre à l'hameçon. L'espérance dans la misère amènent des familles entières à se ruiner en grattant des feuilles de jeu pour l’hypothétique million à gagner. Les émeraudes créèrent un espoir de survie pour lequel ils se sont tué...
                          Ils oublièrent tout. Ils oublièrent le danger que j'étais pour eux. Ils oublièrent le danger qu'ils étaient pour moi. J'étais seul. Combien étaient-ils au début... Que se serait il passé, s'ils avaient refusé de combattre et tenter de se révolter contre moi ? La ruine de la CHM aurait pu être si simple. Mais la chasses aux émeraudes était lancée avec son espoir obnubilant. C'était comme une solution donnée avant le problème, une fois qu'on la connaît, il est impossible de s'en détourner et de voir qu'il y avait une autre possibilité. La couses aux émeraudes semblât être la solution. Ils s'y lancèrent tête baissé. Dépasser son voisin était dans toutes les têtes, la révolte ne l'était nul part. Plus aucune alliance durable n'était possible. Chacun pour soit. Jeder für sich. L'égoïsme devient roi. L'autre se fit un concurrent, avant d'être un ennemi. Un seul survivant. Tu veux survivre. Les autres doivent donc mourir. Et c'est alors que le danger se renverse. On ne pense plus à moi, mais à tous ceux qui en veulent à ta vie. Ce sont tes adversaires. Ils te mettent en périls. La menace existera toujours tant qu'ils vivront. Il faut les éliminer. Et moi dans tout cela ? Moi, on m'oublia.

                         Dès qu'il eut les premiers morts, aucun retour en arrière ne fut possible. La mort appelle la vengeance qui, à son tour, appelle la mort. Constate par toi même : Siphano tue Harry et Thaek, As2pick fait de même avec Xef et Brioche. Un mort en entraîne plus d'un... Aypierre élimine Playfan. Skillnez se venge sur Shorty, emportant Nathek au passage. Nathek, dont la mort ne lui apporte que la colère de Potaro rendant inutile le sacrifice d'Aypierre. Une fois, le cycle de vengeance enclenché, il est impossible d'en sortir. Aypierre le tenta. En vain.

                          Voilà ce que fut le rôle des émeraudes : les désolidariser, les dresser les uns contre les autres, pour un espoir diaphane, dans l'oublie du réel danger que je représentais.




                         Le maître du jeu était venu à la cité et avait caché les commandes blocs subrepticement, alors que Zelvac s'occupait ailleurs. Mais cela posait un problème de place. A raison de 40 participants au début de la CHM, et au moins une trentaine de commandes bocks par personne pour gérer les émeraudes, la localisation et l’espionnage ; A cela à ajouter la compte à rebours des 14 jours, la protection de la cité, le mur et l'organisation générale pour qu'il n'y ai au finale qu'un seul programme dans lequel chaque tache interagissait avec les autres ; sachant qu'un commande bloc fait un mètre cube, le volume physique qui soutenait l'algorithme de la CHM était aussi important qu'une petit immeuble. Difficile à cacher, difficile que Zelvac ne s'en rende pas compte. Non, les commandes blocs ne pouvait avoir été installé dans la cité. En tous cas pas tous... Un seulement y avait été mit et c'était à partir de lui que le maître du jeu avait créer tout les autres, une fois la cité lancée.Ce qui expliquait qu'il y ai eut des erreurs, il a du se dépêcher. Mais connaissant son programme par cœur, c'était possible.
                         Ce commande bloc devait d'ailleurs être celui qu'il avait utiliser par la suite, lorsqu'il avait eut besoin de son pouvoir, pour faire apparaître October 22, ou bien changer les papiers lors que la mort de Bill pour que son nom n'y figure pas. Qu'il ait un commande bloc à son usage personnel n'était pas bête. Il n'allait pas déranger l’algorithme de la CHM pour un rien, c'était trop dangereux, démultipliant le risque d'y créer une erreur. Ceux ci devaient être dans un lieu strictement inaccessible. Inaccessible à tous et donc à lui même également. Un lieu que seul le pouvoir des commandes blocks rendait accessible...
                         Voilà pourquoi il n'avait pas utiliser son pouvoir tout au long de la cité ! Potaro, mettant le feu à la cité, rend son commande bloc « à usage personnel » inaccessible, l'ensevelissant sous une ruine par exemple. Le maître du jeu n'avait utilisé ses supers pouvoirs que deux fois et s'était retrouvé forcé de se salir les mains en intervenant lui même, parce qu'il n'avait tout simplement pas pu faire autrement. Les autres commandes blocks étant tous inaccessible et le sien à la cité l'étant devenu, il s'était retrouver à être ce qu'il était, un homme sans pouvoir particulier. 




                         Un groupe su me faire peur. Ils le firent sans s'en rendent compte. Trop nombreux, trop forts, trop bien organisé, ce ne fut jamais leurs actions qui m'inquiétèrent mais le nature même de ce groupe et de ceux qui le composaient. Je les connaissait pour n'avoir que trop entendu vanter leur mérite. Je savais ce dont ils étaient capables s'il se décider à ce mettre en marche. La puissance des Patrick sur la CHM faisait de l'ombre à la mienne. Il fallu donc les détruire pour que jamais ils ne mettent cette puissance au service de la révolte.
                          Les dissoudre fut bien plus facile que ce à quoi je m'étais préparé. Pour une fois, pour une unique fois, Aypierre marcha dans mon sens. En quittant les Patrick, il abattit ce qui les réunissait. Il cassa l'amitié par son départ.
                          Ils chassèrent Bill, ce qu'ils n'aurait jamais fait si Aypierre avait été là. Je n'eut plus qu’une petite impulsion à donner pour voir le groupe s'écrouler.
                          Le Nether était le poison. L'épée suffit. La jalousie, le climat de tension et la nature humaine firent leur travail. Les concurrents potentiels qu'il représentaient, appartenait au passé...




                         Les yeux de Frigiel se posèrent sur une feuille : « /Et durant tous le temps où il faisait les préparatifs que nous avons vu plus hauts, Zelvac n'avait rien remarqué alors qu'il est le constructeur de la cité, et celui qui avait passé le plus de temps et qui la connaisse le mieux ?/ » Zelvac était en retard à la fin de son projet. Il avait travaillé à fond et été très content que l'on vienne l'aider. Il n'avait pas perdu pas son temps à vérifié outre mesure le travaille de son « ami ». Il a été aveuglé, manipulé par cet amitié. Il n'a rien remarqué car il lui faisait confiance. A la remarque de Bill, il était facile de répondre « Je ne crois pas Zelvac suffisamment stupide pour ne s’apercevoir de rien et pour faire consciemment l'erreur qu'il a faite. » Il n'avait pas été méfiant parce qu'il n'avait pas eu de raison d'être méfiant. Zelvac était de genre sentimentale qui du moment où il vous a ouvert son cœur, se confie à vous sans crainte et vous croit sur parole. Le maître du jeu était un très bon ami. A qui d'autre qu'à un très bon ami aurait il donner les rênes de sa précieuse cité ?
                         Le cœur de Frigiel se serra. Les paroles de Zelvac lui revenait. Il lui avait raconter cette terrible nuit où il avait prit sa décision. Il ne s'était souvenu qu'une confiance immense, rien d'autre. Hors la confiance, tous comme la haine, l'espoir ou l'amour sont des sentiments et non des perceptions. On ne peux donc ni pas les fausser, ni les recréer... Contrairement à l'amnésie qui l'était très facilement. L’alcool pouvait l'amener. Zelvac n'était pas résistant. Il avait fait confiance. Il s'était fait soûlé. « /Si donc notre hypothèse sur l'identité du maître du jeu est vrai, une question persiste, comment se fait il que Zelvac, quand il l'a rencontrer, ne s'en soit pas aperçue ?/ » S'apercevoir veux dire remettre en doute. En tel état de faiblesse, comment Zelvac aurait il résister à cette force qui s’imposait à lui pour la remettre en doute ?
                         Le Lendemain, il avait tout oublié, sauf ce que l'alcool ne pouvait pas créer : la confiance. Le reste de ses souvenirs ayant été gommé, ce sentiment avait grossit pour combler le vide de sa conscience. Zelvac en avait cru la force en avait été décupler par ce qu'il ne lui restait rien d'autre. Mais il n'y avait que 5 personnes à avoir une telle influence sur lui. Siphano – Léozangdar - lui même, Frigiel – October – Croustinette. Le maître du jeu était l'un d'eux. 

                          Quelque chose de soudain le serra dans le poumon, il se mit à tousser à s'en écorcher la gorge. Il se sentait brûler tout à coup. Il fini par cracher une étrange glaire blanche, taché de sang. La toux prit fin. Le sentiment de brûlure partit lentement avec elle. Seul resta un impression de nausée et de fièvre. C'est alors qu'il remarqua qu'il avait mal au poignet et ne pouvait plus le bouger.




                         - Un des buts de la bataille du Nether était en effet de détruire les Patrick, mais la bataille en elle même ne leur été pas destiné. - Oui. Tuer le plus grand nombre des participants, pour, en cas de révolte, avoir moins d'ennemi à combattre était un objectif. Commencer le carnage, rompre leurs dernières apparences de moralité pour les plonger dans le meurtre et les y celer par la rage aveugle et vengeresse l'étaient aussi. Le premier meurtre est toujours un pas difficile à faire. Ils faut un événement qui force à le franchir, un événement où la fuite n'est pas possible, où désarmer ne suffit plus. Un accident se produit, la légitime défense devient tous à coup attaque, la douleur et la peur prennent le dessus un court instant ; et voilà. Il est déjà trop tard. Le meurtre est commis avant même que l'on se rende compte de ce qui se passait. Tuer, la première fois, n'est jamais réellement voulu. C'est un accident, un situation qui y a poussé et sans laquelle rien ne serait arrivé. Mais l'on découvre alors que prendre une vie est bien simple, bien plus pratique. Supprimer l'autre revient à supprimer le danger qu'il représentait. L'on prends conscience de l'incroyable tranquillité qu'il y a dans la mort. Plus de menace, plus de peur, juste le calme, le calme complet... Enfin... Alors l'on passa inconsciemment de la défense à l’attaque, de l'attaque au meurtre, du meurtre au carnage. On ne cherche plus à désarmer mais à tuer. Quand l'on a trop vu le sang couler, il devient anodin. Quand la mort est partout qui pourrait encore accorder valeur à la vie humaine ? Quand l'on a tuer une première fois rien n’empêche de recommencer. C'est alors que l'on devient des chasseurs d'hommes.
                          Mais il faut d'abord un événement qui force au premier pas. La bataille du Nether fut cette événement. Elle n'était pas indispensable. Le hasard des situations aurait amener au fils des jours de pareilles conséquences. Mais cela aurait pris plus de temps. La bataille du Nether à accélérer le processus. Elle força au crime tous ceux qui s'était jurée de ne combattre que pour protéger. Elle réduisit en cendre la pudeur qui retenait entre ces hommes de s'entre tuer comme des bêtes. Donner la mort est un pas sur lequel on ne peux pas revenir. Quel qu’en soit les circonstances, il sera trop tard dans tous les cas. Mais il n'est pas facile à faire. La bataille du Nether les força à tous faire ce pas. Ils firent ensuite d'eux même les suivant.
Tous cela faisait partie des buts de la bataille du Nether. Mais il y t'en manque encore un. Un autre qui s'appelle Aypierre...





                         4 noms : Siphano, Léozangdar, October, Croustinette.

                         Frigiel avait les yeux clos. Il respirait lentement. Il avait peur de la réponse qu'il s’apprêtait à trouver. Très peur. A cette instant précis, il ne cherchait plus qu'à faire le vide dans sa tête. Écouter son souffle, écouter son cœur qui bondissait dans sa poitrine ; ne ressentir rien d'autre que la vie qui l'habitait et oubliait ce monde horrible dont il remuait les entrailles. Se calmer avant tous. De pas trouver trop vite. Attendre d'être près à encaisser le coup. Il rouvrit les yeux. Il ne serait jamais près à encaisser le coup. Jamais. Jamais plus qu'il ne l'était déjà.




                          Aypierre... Ai je réellement besoin de parler d'Aypierre ? Comment, avec une cité fondée sur les commandes blocs, pouvais je ne pas le craindre ? Le maître de la redstone contre le maître du jeu, voilà ce que fut notre combat. Combat qui commença bien avant qu'il ne s'en doute, Combat dont l’issue entraîna l'avenir de tous les participants de la CHM.
                          La guerre commença réellement à cause de sa base. Aypierre fit involontairement le premier pas. Je crois qu'il ne se douta jamais de l'importance que cela avait eut pour moi, mais à partir de ce moment, chacune de mes décisions furent liée à son sort. Si notre combat ne fut jamais physique, jamais réellement en tout cas ; il fut éminemment moral. Comme au jeu d'échec, il s'agissait d'anticiper sur les actions de l'autre pour le devancer, de savoir réagir et modifier ses plans à temps. La CHM fut la lutte de deux hommes et une lutte stratégique. Les autres n'ont été que des pièces sur notre échiquier, des pièces que nous renversions du doigt. Des pièces qu'il a fallu manier avec diplomatie, dans tous ce qu'elles avaient de subjectif et d’émotionnel. Certes. Ils fallaient les prendre en compte. Je conçois qu' elles avaient un pouvoir, mais il ne fut jamais conscient de leur part. Elles ne comprirent pas les conséquences que leur choix entraînaient, comme elles ne surent jamais que ce qu'elle croyaient entreprendre librement avaient été pensés à l'avance et anticipés par Aypierre ou par moi. Ainsi donc, dans le vrai jeu de la CHM, aucune de leur volonté n'eut de réelle importance, il n'y avait que nous deux à jouer sur les cordes du destin. Pour nous, elles n'étaient que des paramètre à prendre en compte et à manipuler. Skillnez ne réalisa jamais ce qu'il conclua quand il causa la chute d'Aypierre. Il n'était pas un acteur de la CHM, juste une variable collatéral et non pensant dans la lutte qui se menait. Elle se fini par sa main comme un jeu se fini lorsque l'on voit son adversaire tirer la mauvaise carte. -
                         Ah ah ah... Tu as bien raison. C'est bien en maître du jeu que je parle et que je pense. Aypierre, lui ne suivit pas cette logique, c'est vrai et c'est justement pour cela qu'il est tombé. Il s'est lui même mit en échec alors qu'il avait gagné. Il a fait cela pour sauver un pion sans importance qu'il aurait du laissé mourir... Il aurait du suivre la logique froide, il aurait du oublier son cœur d'homme et mettre ce masque d’indifférence qui avait si bien sus passé devant ses yeux au début de la CHM. Mais il n'a pas pu s'y résoudre. Les remords le rongeaient. Te souviens tu du spectre qu'il était ? Il ne pouvait plus tout sacrifié pour son objectif comme il l'aurait fait avant. Il ne pouvait plus tuer, il s'en voulait trop pour cela. Entre la mort et la victoire ; il choisit la mort pour ne pas causer celle d’autrui.
                         Mais en réalité, ce n'était pas vraiment pour Skillnez qu'il a accepté la mort. Aypierre en perdant la vie à sauver ses principes. Il y a bien plus d'égoïsme dans son acte que ce que tu sembles le croire. Ce n'est pas pour Skillnez qu'il a fait cela, mais pour lui même ! Aypierre a une fierté et un honneur démesuré. La nature même de son être réside sur l'intégrité, sur l'accord entre sa conscience et ses actes, d'où son orgueil. Casser cette dignité revenait à le détruire. Ses principes fondent ce qu'il est. Les perdre aurait été pire que la mort pour lui. Voilà pourquoi il a accepté de se « sacrifier ». Le vrai sacrifice aurait été de tuer Skillnez et du même geste transformer la fin de ses jours en torture continuelle. Il a prit ce qui lui faisait le moins de mal et voilà pourquoi il a perdu. Aypierre aurait gagner s'il avait su souffrir comme moi je l'ai fait. Je l'étais, ce monstre de logique qu'il n'arrivait pas à redevenir, et cela m'a mener à la victoire. J'ai sus faire mes sacrifices aussi dure qu'ils aient été. Il eut des fois où mon cœur influença mes décisions, et cela me mit souvent en danger. Mais toujours je sus séparé ce que j'éprouvais de ce que je devais faire et contre moi même, accomplir les actes qui me faisait cruellement mal. - Oui, j'ai du faire des sacrifices et qui parfois on été bien plus dure que ce que tu crois. Pour la réussite de la CHM, je n'avais pas le droit d'éprouvé quoi que ce soit ; je n'avais pas le droit d'avoir de cœur. J'ai donc agit comme le monstre que tu m'accuses d'être. Mais ce n'est pas parce que j'ai agit comme si je n'avais aucune sensibilité, que je n'en avais réellement aucun. J'ai souffert. J'ai beaucoup souffert. Mais je ne reviendrais sur aucune des décisions que j'ai prise. Bien qu'elles me fassent encore saigner le cœur. C'était le prix à payer. Je ne regrette rien. - Tu m'accuse de ne pas avoir comprit Aypierre ? Peut être... Peut être que je ne l'ai pas comprit comme je n'arrive pas à te comprendre, toi... Ou peut être es tu, tout comme lui aveuglé d'illusions qui te masque ta propre réalité ainsi que celle du monde.

                          Pour en revenir à sa base, ce premier problème ne fut pas tant sujet d'inquiétude en lui même. Ne pas réussir à situer la base d'Aypierre n'était pas grave. C'est symboliquement qu'il fut important. Cela me fit prendre conscience du réelle danger qu'Aypierre représentait. Ce fait lança la guerre que je lui menais. Avec la guerre arriva également la peur. La peur de tous les instants. La peur qui serra mon cœur durant toute la CHM. La peur... Pour la CHM, je m'étais préparée à tous, à tous sauf à cette peur qui me faisait mal jusque dans mon corps. Je n'avais pas cru que le danger serait si grand pour moi. Finalement c'est cette peur que je retiendrais de toutes les horreurs de la CHM. La terrible angoisse que rien de peu éteindre. La terrible angoisse qui ronge  et interdit tous repos
                         Pour la base d'Aypierre, j'avais des coordonnées. Il devait donc recevoir les mots mais ces coordonnées qui me semblèrent absurdes. Je ne comprenais pas. Cela ne voulait rien dire. Jamais, je ne fit l'hypothèse que l'on puisse franchir la bedrock et accéder au toit du Nether. Mais je comprit tout de même le danger qui me menaçait. La peur comme un éclat de glace, se logea dans mon cœur. Le danger pesait sur moi. Je le sentais, j'en étais pétrifié, mais contre l'ombre qu'il était, je ne pouvait rien faire.
                          Je venais de comprendre que la plus grande faille de la CHM venait de moi même. Ce qui donnerait à Aypierre le pouvoir de me détrôner était mon ignorance.
                          Je ne connaissais pas les règles du monde aussi bien que lui les connaissais. Mais surtout je ne maîtrisais pas ma propre arme, ce qui me donnais mon pouvoir : les commandes. Bien sûr je m'étais renseigné. Pour coder algorithme de la CHM, il avait fallu apprendre, mais cela n'avais jamais été ma spécialité. Je me rendis compte que j'avais d'immenses lacunes et qu'Aypierre commençait déjà à les exploiter.

                          Ce fut son savoir que je commençais en premier à craindre en lui. Mais bientôt, après avoir constater mes défauts, je constatais quelque chose de bien plus terrible, un pouvoir plus grand que le mien, un pouvoir que les commandes blocs ne pouvaient contrôler. Aypierre avait une vrai arme contre moi. Une arme qui lui permettait des transgresser toutes les lois de la CHM, une arme dont j'ignorais les limites, dont je ne pouvais pas estimer la portée, une arme qui pouvait causer ma chute et contre laquelle je ne pouvais rien faire. La redstone.
                          Aypierre avait tout pour ruiner la CHM et bien que ce soit en totale inconscience, il commença, dès les premiers jours, à marcher sur les voix de la révolte. Il détournait mes choix sans même s'en rendre, jouant avec mes décisions comme bon lui semblait. N'est ce pas le comble pour le maître du jeu de n'avoir aucun contrôle sur un de ses pions...

                          J'avais choisit les potions comme objet d'échange pour une raison très spécifique. Lors de la cité des sables, ce furent des minerais qui remplir ce rôle, mais cela ne pouvait pas convenir à la CHM. J'ai choisit les potions parce qu'elle ne peuvent pas se staquer et parce qu'elles demandent une préparation assez longue et minutieuse. Vois tu ce qui rends ce deux faits importants ? Le temps. Préparer les potions et les transportait demandais beaucoup de temps. Le temps qui sert à réfléchir et la réflexion qui mènent à la révolte. La couses aux émeraudes volait ce précieux temps aux participants. Obnubilés, travaillant comme des bêtes, il ne leur restait aucun instant de pause pour s’arrêter, réfléchir et se retourner contre moi. Ils étaient prit dans un cycle dont ils ne pouvaient pas s'émanciper mentalement.
                          Et puis il y avait la tache en elle même. Fabriquer des potions. Quoi de plus répétitif... Le travail peut développer l'esprit de l'homme et l'enrichir spirituellement, comme il peut le détruire et faire de lui une brute imbécile. La fabrication des potions par sa monotonie et sa stupidité servaient à ravager ce qui rends différents l'homme de la bêtes : sa faculté de penser. Des créature abruties se sont aussi facile à manier que des outils et, comme eux, ils ne peuvent pas se révolter contre celui qui les casse.

                          Ce stratagème fonctionna bien... Jusqu'à ce qu'il fut totalement détruit par Aypierre. Il contourna le problème avec une facilité qui me fit ragé au delà de l'imaginable. Il trouva une manière de transformer une tache fastidieuse en activité intelligente et rapide. L'exacte contraire de ce que j'avais voulu. Son usine à potion fut comme un coup de couteau dans mon ventre. Si Aypierre aurait voulu me ridiculiser, il n'aurait jamais pu mieux faire. Mais la encore, son affront était involontaire. Il n'en resta pas moins qu'en quelques jours, il détruisit totalement cette prison mentale que j'avais construit. Bientôt, et sans ce fatigué, il eut plus d'émeraude que quiconque ne pouvait espérer en avoir. Tout naturellement, voyant qu'il ne servait plus à rien de farmer, les participants passèrent à autre chose. Lui même s'en désintéressa rapidement quand il vit que plus personne ne pouvait espérer le rattraper. D'un seul coup, il avait éteint l'espoir hypnotisant. D'un seul coup, il fit disparaître ce qui motivait les participants à perdre leur temps et à s'abrutir pour une tache imbécile. D'un seul coup, il fit s'écrouler les murs de la prison qui retenait tout ces esprits de songer à la révolte.
                          - Cela te paraît anodin ? Mais regarde combien de personne en était captif ! Les Patricks avaient déjà chuté dans la violence, prison spirituel dont seul Shorty a réussit à s'extraire. Mais en ce qui concerne Ectalite, il n'aurait jamais lancé tous ces poulets porteur de poison dans la cité, si la course aux émeraudes n'avaient pas été le centre de l’intérêt générale. Potaro voulait participer à cette course. Elle était prête à tout pour cela, te souvient tu ? Et c'est son échec face à ce que faisait Aypierre qui l'a poussé à changer de stratégie et de rejoindre avec Ectalite, les Patricks dans le cycle de la violence. Et Croustinette ? Te souviens tu de l'énergie qu'elle dépensait à farmer les émeraudes ? Ce fut quand elle a du quitter la cité et que cette tache lui a été rendu impossible qu'elle commencer à se rendre compte du réelle problème de la CHM. Alors elle a rejoins Aypierre dans la révolte. Donc non. Ce n'était pas un fait mineur.
                         Il aurait eut encore plus d'importance si Aypierre l'avait cassé plus tot. Quand il le fit, trop de mort avait été commis, trop d'esprit était captif de la violence de la CHM. La vengeance hantait déjà de nombreux cœurs, et de cette prison, on ne sort jamais sans faire couler le sang.
                         Donc même si cela n'eut pas tant d’impacts finalement, cela prouva au moins une chose : la supériorité d'Aypierre.
                          Je n'ai cependant pas attendu ces preuves pour constater qu'Aypierre était incontrôlable. Et ce que je ne pouvais pas contrôler, moi, maître du jeu, devait impérativement être éliminer. Ne t'ai tu jamais demander pourquoi la bataille avait eut lieu dans le Nether ? Bien sûr pour la lave, et la hostilité de lieu, mais aussi car il s'y trouvait la base d'Aypierre. - Comment j'ai sus qu'elle se trouvait dans le Nether alors que ce n'est jamais indiqué par les coordonnées ? Par logique. Tu sais que les distances dans le Nether sont divisées par huit en passant dans l'Overword. Le toit du Nether, qui est la hauteur maximum dans cette dimension, corresponds à une très forte l'altitude dans l'Overword, quelque part au dessus des nuages. Aypierre avait donc soit construit sa base au niveau de la bedrock ( Comme je te le rappelle, il était impensable pour moi que l'on puisse la franchir. ) ou bien avait il une cité volante quelque part dans les cieux. Dans les deux cas je ne pouvais m’empêcher de trouver cela digne d'un roman de fantaisie, mais pas de la réalité. Une base volante ? Avec le froid qu'il fait en altitude ? Et surtout visible de tous ceux qui passe en bas ! Quand au Nether, alors qu'il ne peut pas avoir d'eau dans cette dimension... Cependant entre deux fantasme, c'était le plus probable. Aypierre n'aurait jamais fait une base à la vue de tous... Mais il n’empêchait que ses coordonnées n'en paraissait pas moins absurde pour un non initié au pourvoir de la redstone.

                         Je organisais la bataille près des coordonnée présumée de sa base. Cela permettait premièrement de donner à tous les participants le lieu où il pouvait aller le trouver. Je savais que déjà les rancœurs s’exerçait contre lui. Si Skillnez trouvait sa base, il ne serait que trop content de tuer celui qui me causait problème. Ensuite concentrer tant de personne à proximité de chez lui renforcerait forcément les probabilités que quelqu'un, par hasard, fasse ce que je n'avais pas pu faire ; c'est à dire trouver sa base. Ai je besoin de précisé que ce ne fut absolument pas le cas ?

                         La bataille du Nether, en ce qui le concerne, a eut une conséquence à laquelle je ne m'étais pas attendu. Aypierre en sortit si immensément puissant que je me rendis très bien compte que je ne pouvais pas l'éliminer en intervenant directement comme je l'ai fait, plus tard, avec Bill. Je n'en avait ni la force, ni le courage. Oh, le Nether m'avait offert une belle excuse pour camoufler mon geste, si jamais l'on me surprenait... Tous le monde aurait pris cela pour une vengeance... et j'y ai longtemps rêvé. - Oui, mes maigres tentatives furent assez dérisoires. Mais il faut toujours essayé, non ? A force d'y rêver, j'avais voulu tenter le coup. Bon... A la vue du résultat qu'elles ont eut, je ne crois pas que cela vaille la peine de revenir dessus. Mais je n'ai pas eut besoin de ces échecs pour me rendre à l'évidence, la bataille du Nether à suffit pour me le faire comprendre, même si je me suis un peu acharner après. Tuer moi même Aypierre au combat n'était pas possible. Ce ne sera pas ma main qui tiendrait la lame couverte de son sang. Aypierre était bien trop fort. Non, Mais ma main, ne pouvant pas manier l'arme directement, devient alors celle poussant le bras du meurtrier qui finalement ne fut que mon instrument. Il allait falloir utiliser la ruse ou la manipulation pour qu'un pion plus fort que moi puisse donner le coup mortel. Ce pion s'appela Skillnez... - Enfin... On peut aussi voir la mort d'Aypierre comme cela, certes... En effet, elle ne s'est pas du tous passé comme je l'avais prévu et Aypierre en refusant de combattre Skillnez a beaucoup enlevé à la victoire qu'était sa mort pour moi. Mais Skillnez a pris la vie d'Aypierre par vengeance et cette vengeance, n'est elle pas le fruit de la manipulation que j'ai exercé sur tous les participants de la CHM depuis le début ?

                         La bataille du Nether eut bien d'autres conséquences. Je remarquais avec une certaine vexation que la plus part des participants le craignaient plus que moi. Ce qui ne fut pas pour me plaire, attaquant trop fortement mon mon ego. Qui aurait aimé se voir détrôné si rapidement ? Mais il était indéniable que, de nous deux, il était le plus fort. Je ne pouvais que constater sa suprématie et sa puissance dont la taille avait enflé au point d'en ébranler la mienne. Alors comme toutes personnes ayant peur d'un objet que l'on ne connaît pas réellement. Je commença à mystifier Aypierre. Ses « exploits » lors de la bataille du Nether d'abord, puis avec ses usines à potions ensuite, et cette base introuvable, tout cela influença la vision déformée que je portait alors sur lui. N'arrivant pas à m'expliquer comment il pouvait aussi aisément dominer, tordant et contournant mes décisions avec une telle facilité ; je lui prêtait quelque chose de surnaturel. L'ignorance et le mystère qui l'entourait lui donnaient un aspect fantastique. Aypierre que tout le monde cherchait et que personne ne trouvait ; Aypierre qui semblait être plus maître du jeu que moi même tant il était crains. Impénétrable, entouré de secrets et de triomphes inexpliqués, l'homme avait laissé place à quelque chose d'autre issus de l'imagination. Il semblait être plus qu'un homme. Inaccessible, au dessus du simple mortel. Toute sa personne avait prit un éclat merveilleux et terrible. Et cette vision que j'avais d'Aypierre était confirmé par celle qu'en avait les autres participants. Rappelle toi comme il était craint de tous, comme il était admiré de tous... Il avait pris cette aura, ce flamboiement que crée le mythe.
                         C'était une figure fictive que nous créions sur Aypierre, ce ne fut jamais l'homme en lui même. Et même s'il donnait largement de quoi nourrir le rayonnement de sa personne et que cette admiration était loin d'être immérité, il n'en restait pas moins humain. C'est ce que je découvrir vers la fin de la CHM et qui me fit encore plus peur dans un sens. Mais au début, je suivait exactement ce fantasme dont était ornée sa figure. Je songeais à lui en tremblant, comme le faisait tout les participants. Je divinisais Aypierre par mon admiration et ma peur. Je ne voyait que le mystère et le surnaturel en lui... Tu peux te douter que cela à beaucoup influencé mes décisions.

                         - Oui, comme Aypierre... Ils n'y eut que deux hommes que j'entourais de ce voile mystique. Deux hommes qui me firent trembler, qui à eux seul incarnait toute l'angoisse que j'ai enduré durant la CHM. Deux hommes dont le pouvoir me força à intervenir moi même. Deux hommes qui aurait renverser la CHM. Deux hommes, deux amis... Et bien que le premier fut généralement crains. Personne n'eut peur du second. Il n'était un danger que pour moi. Mais quel danger ! Aypierre était l'un d'eux. L'autre était Bill




                         Comment trouver ? Comment choisir ? Frigiel ressentait la panique monter en lui. Le panique du doute, la peur dedans la vérité. Elle l’empêchait de réfléchir. Elle lui troublait l'esprit. Son arme était la logique, la clarté. Il n'avait pas le droit à ces sentiments qu'il sentait remonter en lui. Il devait retourner à la logique. La logique.
                         Il lui manquait quelque chose...
                         Était il possible que le maître du jeu ai installé l'algorithme de la CHM la nuit où elle avait commencé ? Était ce humainement possible ? Non. Même s'il le connaissait par cœur, il y avait un problème de temps. Ou de nombre. Le maître du jeu n'avait pas pu faire cela seul. Il avait au moins un complice qui l'aurait aidé. Et le fait frappa Frigiel comme une gifle. Les deux armes du maître du jeu avait été les commandes blocs et l’anonymat. Aypierre avait mit en danger le premier, Bill le second. Mais ils n'avaient pas été seuls... Zelvac !
                          Si les commandes blocs avaient été installé lors de la construction de la cité, se pouvait il que Zelvac ai remarquer quelque chose qui puisse nourrir ses soupçons ? Zelvac, lors de sa « passation de pouvoir » avait du voir le maître du jeu en face pour commettre cette erreur. Zelvac était celui qui en avait su le plus sur le maître du jeu. Zelvac avait été un très grand danger. Le Maître du Jeu avait forcément voulu garder un œil sur lui... Et que c'était il passé au début de la CHM ? Zelvac avait été rejeté de toute part. Il était la cause de leur mort. Tout le monde lui en avait voulu... Tout le monde ? Tout le monde sauf deux personnes qui l'avaient accueilli et qui avait même décidé de le sauver. Pourquoi Croustinette et October avaient elles choisit de se sacrifier pour lui ? Il était à l'origine de leur mort ! Elles s'étaient montrées obstinées à faire de lui l'unique survivant ! Alors que le rejet subit par Zelvac était parfaitement logique, humain et vraisemblable ; cette générosité de la part des deux filles ne l'était pas. Bien au contraire.
                         Zelvac, prit au dépourvu, s'était jeté dans leur bras. Il s'était accroché à leur aide comme le ferait un homme qui se noie à une bouées de secours. C'était le début de la CHM, le choc était grand. Ce combat à mort était de sa faute, il y avait eut la dissolution de la Coopteam. Zelvac s'était retrouvé seul et écrasé de culpabilité. Dans un tel désespoir, l'on ne rejette pas la main qui se tends, et après l'avoir saisit, comment critiquer celui qui vous à sortit du gouffre ? Voilà comment le maître du jeu avait réussit à gagner immobilité de Zelvac. Accusée ses si charitables sauveuses de son malheur avait du être bien loin de son esprit.
                          Il y avait eut le Nether ensuite. Aishy qui se désolidarise, October tente de le sauver et se fait tué. Contre les principes même qu'elle avait énoncés ! Il est toujours douloureux pour un chef de groupe d'accepter la mort d'un membre sans rien faire, de partir en le laissant derrière soit. Mais October avait toujours été une stratège dure, prête aux sacrifices que ce soit de sa propre personne comme de celle d’autrui. Elle aurait du laissé mourir Aishy. C'était ce que lui demandait la logique. October est quelqu'un qui suit la logique. Et pourtant...
                          Croustinette, qui était là, n'est pas intervenue non plus... Parce qu'elle avait frappé un Pigmen. Était il possible qu'October se soit volontairement fait abattre ? Une fois prétendue mort, elle pouvait agir comme elle le voulait. Séparée de son groupe, elle était libre. Elle n'avait plus eut à rendre compte à personne, elle n'avait pus eut à justifier ses actes. Mais elle aurait garder un œil sur Zelvac par l'intermédiaire de Croustinette qui aurait volontairement fait en sorte de ne pas intervenir dans le combat sans que cela ne paraisse pas anormal.

                          Zelvac ne se trouvait pas dans le Nether, sur ordre d'October. Il apprit la mort de toute sa team par le voix de Croustinette. Avec la culpabilité que cela entraînait, il n'était plus possible pour Zelvac d'accusée Croustinette ou October du crime d'être le maître du jeu. Il n'était plus un danger.
                          Depuis la bataille du Nether, depuis qu'il en portait la culpabilité, il obéit à Croustinette et ne le quitta plus. Restant constamment sous sa surveillance, jusqu'à ce qu'ils eurent à quitter la cité. Après... Après y avoir croisé la sorcière au traits d'October... Ou bien October elle même ? October qui pouvait très bien être là pour tenter de saisir Aypierre quand il amenait ses potions aux marchants. Saisir Aypierre pour le tuer. Éliminer la menace qu'il était. Elle avait combattu Aypierre. Elle n'avait pas réussit à le tuer dans le Nether. Alors elle essaya par fourberie, dans une zone prétendument sécurisée... Il était très possible que l’algorithme de la CHM ai été truqué pour leur donner un avantage. Et c'est justement ce traitement de faveur qui causa le bug qu'exploita Potaro en faisant cramé la cité...

                          Croustinette était arrivée juste à temps après Zelvac, comme si elle s'était doutée, comme si elle avait su... Ensemble ils quittèrent la cité et ce départ ne fut pas la décision de Zelvac... On avait voulu les éloigner de la cité. C'était l'endroit ou se trouvait le seul commandes bloc accessible et c'est bien l'endroit où est restée la « sorcière » October.

                         Quand à Bill, quand à Bill, il était mort le septième jour. Le jour du départ de l'Octoteam... Coïncidence étrange ? Ensuite le groupe rencontra Aypierre. Et l'on tenta de le tuer avant qu'il ne disparu dans les grottes. Croustinette et Zelvac était descendu à sa recherche et selon un hasard surprenant, ils ne le trouvèrent pas. Ils furent même séparés. Enfin Zelvac mourru... Comment ? Tué par un squelette ? Était ce réellement un mob qui avait tenu l'arc et non pas un main humaine ? Une main féminine. Croustinette qui avait été tué par Potaro, sans se défendre... sans ce défendre. Comme October qui à genoux, attends le lame d'Aypierre. Résignation ou tour de passe passe ?

                          Deux maîtres du jeu. Voilà ce qu'avait été la CHM. L'une veillant sur les dangers ; Zelvac, Bill et Aypierre voilà le rôle qu'avait eut Croustinette. Et l'autre agissant en maître du jeu, agissant dans l'ombre de sa prétendue mort.

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                          Un courant d'air parcourut le bunker faisant voler les cheveux de Frigiel et lui arrachant la feuille des mains. Il ne bougea pas pour la récupérer. S'était-il seulement aperçu que le papier venait de lui échapper ? Ses pensées étaient occupées à autre chose. Très lentement il leva les yeux. Les lettres tournoyaient dans sa tête. Les pattes de mouches tracées à l’encre sombre devenaient des symboles qu’il n’arrivait plus à déchiffrer, des boucles et des lignes qui se tordaient sur le papier comme ses pensées dans sa tête. Les mots se changeaient en hiéroglyphes. Tout tournait autour de lui. Il n'arrivait plus à lire, il ne cherchait plus à lire. Il n'en avait pas besoin. Il avait compris, cela lui suffisait. Peu lui importait ce qui était marquée, Il avait trouvé ce que Bill avait découvert quand il avait tracé ses lignes. IL SAVAIT.
                          La vérité éclatait dans son esprit. Ses doigts tremblaient. Il était devenu aveugle à tout ce qu’il l’entourait pendant que la vérité l'illuminait. Ses yeux s'étaient ouverts sur un nouvel horizon. La lumière qui l’éblouissait n'était pas celle du jour, mais celle d'une clairvoyance soudaine qui le coupait du monde sensible. Mais tandis qu’il revenait à la réalité, il se sentait vivant à nouveau, l’émotion grandissait en lui.
                         Venant du fond de lui-même, du fond de son cœur, elle enflait dans son ventre. Il la sentait grossir dans ses entrailles, gonfler dans son cœur, se répandre jusqu'au bout de ses doigts tel un feu de forêt qui aurait pris dans son sang. Il avait très froid tout à coup. Il se sentait malade, nauséeux comme pris dans l'ivresse d'un mauvais alcool trop fort pour lui. Tandis qu'il serrait ses bras contre lui, en vain tentant de retrouver le calme qui avait été sien quelques secondes auparavant. Mais le malaise grandissait. Ses yeux se trouvèrent trop secs pour les larmes que l'émotion lui apportait. Il ne pouvait pas pleurer tant le choc était brutal, tant la vérité était dure. Frémissant jusqu'à la racine des cheveux, recroquevillé sur lui même pour faire face à la douleur qui bientôt le prendrait, Frigiel ne pouvait qu'admettre la nouvelle qui lui perçait le cœur.
                         Le sanglots qui se gonflaient dans sa poitrine ne pouvaient franchir ses lèvres crispées. Il devinrent si grand que Frigiel se sentait sur le point d'éclater. Il était tel une outre trop chargée prête à exploser tandis qu'en lui la tristesse se mouvait en désespoir. Il voulait hurler, il ne le pouvait pas. Il voulait pleurer, il ne le pouvait pas. Il souffrait comme il n'avait jamais souffert et aucun des gémissement de sa confiance déchirée ne franchissait ses lèvres. Il y a des douleurs trop fortes pour être dites. Il y a des douleurs trop fortes pour exister dans le bruit. Celle ci étouffe, celle ci oppresse mais ne peut être autrement que muette. Frigiel ne pouvait plus respirer. Il contemplait les ruines d'une amitié vraie qu'il avait donnée a quelqu'un qui n'avait fait que lui mentir. Il avait donné tout son amour à une illusion. Celle ci s'était envolée et il était forcé de constater l'étendue de son erreur. Comment avait il pu se tromper à ce point ?
                          Et puis le souvenir de Siphano pendant au bout d'une corde remonta dans la tempête de sa douleur. Le poids horrible qui se pressait contre son cœur se leva brutalement. Avec un regain de force, le sang monta à la tête de Frigiel. Son désespoir fut emporté par la vague rouge de la colère. La douleur se changea en haine. Ce n'était pas le fait d'avoir été trompé qui fit surgir sa rage, mais le fait que tous les autres l'ait été et que ceux ci dans la mort n'aient cessé de vouer une amitié sincère à celui qui les tuait. Il les avait tous berné. Il les avait tous tué. Trahis ! Sans exception ! Poignardés dans le dos et morts dans l’ignorance. Mais cela ne valait il peut être pas mieux ? A nouveau la douleur devint reine. 

                          Prit dans le tourment de ses sentiments, Frigiel était perdu. La tempête seule triomphait sur son esprit. Ne sachant que penser, ne sachant que sentir. Dans sa tête vide, se suivaient un à un colère et regret, haine et désespoir. Il ne pouvait plus réfléchir. Son corps tremblait. Son esprit était paralysé. Sa tête n' était que flot ininterrompu et contradictoire de sentiments dont la force terrassait sa raison. Une seule et unique larme perla au coin de sa paupière. Petite, invisible, elle était bien insignifiante par rapport à l'ampleur de ce qu'il portait en lui, mais elle le brûla comme un acide en descendant contre sa joue.
                          L'essuyant du revers de la main, Frigiel releva la tête. Dans ce déluge interieur, Frigiel n'avait pas bougé d'un cil. Il avait été pétrifié malgré les rafales d'émotion qui s'étaient déversées en lui. Il avait tout oublié tandis que l'image d'un ami disparaissait dans sa conscience. Mais à présent, il ouvrait les yeux pour constater que le monde existait encore. Mais il était fort et avait été préparé à cela. Il redevenait maître en lui. Agir!il devait agir ! Rester passif à se contempler de l’intérieur ne servirait à rien. Il fallait bouger, tenter quelque chose n'importe quoi, qu'importe mais ne pas rester la sous terre comme dans sa tombe. Le souvenir des commandes blocs le frappa brutalement. Les détruire. Il devait les détruire. Les trouver et les détruire.

                          Caché dans un lieu inaccessible de tous... Un lieu immense... Il y avait quelque part une barrière incassable qui interdisait l’accès aux commandes blocs. Des paroles ne cessaient de lui traîner dans la tête, comme un message remontant du fond des ages. Il vivait dans ses illusions. Le maître du jeu aussi. « Tu es comme cette femme. Alors que mon épée allait lui transpercer le ventre, ses dernières paroles étaient de faire pousser un arbres au plus profond de la terre, un arbre dont les racines feraient exploser la bedrock. La vie casserait l'incassable. La vie rendrait possible l'infaisable. Elle avait vécu dans un monde de certitude fausse. » Cette découverte avait réellement ébranlé Croustinette. Pourquoi ? Ce n'était pas seulement les murs de son monde qui s'écroulaient ; elle prenait conscience que les commandes blocs n'avait jamais été à l’abri. Voilà pourquoi elle s'était précipité dans les grottes. Elle n'avait que cette pensée en tête, cela lui avait échappé. Elle l'ignorait et l'avait découvert. Comme lui Frigiel l'ignorait, et le savait à présent.




                         Oui. Bill... Bill... Ou le plus grand échec de manipulation. Je savais que si tout les participants étaient hypnotisés par la lueur du maigre espoir que laissait filtrer la chasse aux émeraudes, il y en aurait toujours un pour réfléchir. Je me doutais que Bill verrait toute la futilité de ce cirque. Il n'est pas du genre à s'abrutir en répétant sans cesse la même action monotone, alors qu'il n'était même pas prouvé que le « roi » serait épargné. Il n'est pas du genre non plus a se laisser en bobiner par de veine parole. Il est trop lucide, trop prudent, trop sage pour cela - Bien sûr, Aypierre non plus n'est pas de ce genre. Mais Aypierre aime le défit et la compétition. Ce n'est pas le cas de Bill. Aypierre a prit la courses aux émeraudes comme un défit. Voilà pourquoi il y a participé : pour le simple plaisir de gagner. Et on a déjà vu comment il y avait participer...

                          Pour en revenir à Bill, mon action à son égard fut d'abord motivé parce que ses « amis » lui firent subir. Ils le chassèrent parce qu'il était trop vieux, trop faible. Les Patrick résumèrent leur ami à un poids. Un poids qu'ils l’abandonnèrent avec la même facilité qu'Aypierre avait eut à les laissé tomber. Bill fut jeter comme un vielle outils qui ne peut plus servir. Je savais que cela arriverait. Je connais l'Homme et tu sais ce que je pense de l'amitié. Mais si tôt... J'eus mal pour Bill, très mal. Les premiers sentiments que j'eus donc pour lui furent la compassion - Parce que je ne le pouvais pas. J'étais désolé pour lui, mais il était trop tard. Je ne pouvais rien y faire. Je ne devais rien y faire. Oui, tous mes « beaux sentiments » pour Bill ne l'on pas aidé comme tu le dis. Mais lui faire un traitement de faveur n'aurait fait que m'attirer les soupçons. Je n'avais pas le droit de faire d’exception. La CHM d'abord, tant pis pour Bill... Et puis tu oublies qu'il était un danger pour moi ! Cependant je souffrait un peu avec lui. Ne suis je pas bien placé pour cela ? Cet abandon injuste...Tu comprends pourquoi je me sentais si proche de Bill, et c'est justement la subjectivité de mes sentiments qui me fit commettre ma première erreur.

                         Cependant c'était à présent un de mes ennemis. Il fallait que je le combatte. Si les Patrick l'avait garder avec eux, le bruit de l'action, du danger rodant sans cesse, tous cela l'auraient empêchés d'entendre la voix de la raison. Avec eux, il aurait été plongée dans une aventure de tout les instants, il n'aurait pas trouver le calme suffisant pour réfléchir. Mais alors qu'il n'était plus avec eux, le silence l’engloberait. Cela aurait été le sous estimé cruellement que de le soupçonner de se laisser aller dans la solitude. Trop vieux, j'étais sûr qu'il ne participerait pas au massacre, comme je me doutais bien qu'il ne participerait pas non plus à la course aux émeraudes, trop intelligent pour y croire. Cela lui laissa un temps infinie, un temps pour réfléchir et s'attaquer à ce qui faisait ma seconde arme : mon anonymat. Or Bill était quelqu'un qui a apprit à penser et en cela, il était réellement dangereux. Il fallait que j'agisse pour m'assurer son inactivité.

                         J'ai voulu l'endormir dans le confort. On ne compte plus le nombre d'intellectuels dont le idéaux dérangeaient le Pouvoir et dont le caractère révolutionnaire s'est dissipé lorsqu'ils se sont installés dans une douce aisance bourgeoise. Une vie calme, un quotidien tranquille dans une maison agréable ; voilà la prison des esprits qui ose trop penser. Le pot de vin, ou la place bien rémunéré dans un ministère quelconque fut toujours une arme très utile contre ce genre de gens ; Ce fut l'arme que j'employais sur Bill.
                         Avec les commandes blocks, je faisait augmenter quotidiennement ses ressources. Doucement, petit à petit pour qu'il ne remarque rien. J'avais deux espoirs : Premièrement que ce surplus de ressources pousse Bill à commencer un projet de grande ampleur. Un projet qui lui demanderais tout son temps et qui lui occuperait l'esprit un temps assez long. Ensuite le projet de construction fini, il s'y serait installé. Le confort aurait fait son effet et sa perspicacité aurait laissé mes affaires en paix. Mais si les émeraudes ont finalement très bien fonctionné, cela n'as pas été le cas pour Bill.

                         Il construisit sa maison, mais sans démesure. Et une fois le travail terminer, plus tôt que de se laissait sombrer dans le docile assoupissement du confort, il commença à détruire tout l'inconnu qui entourait mon rôle. Ce que je l'avais aidé à faire se retourna alors contre moi car cette belle maison lui offrit le cadre propice à sa réflexion.

                         Je pense que j'ai trop aidé Bill. J'avais en plus pour lui une sorte de solidarité. Lui épargné quelque souffrance dans le labeur de rassembler les ressources pour l'aider à surmonter plus facilement la peine qui me serait également le cœur : l'abandon. Il a trop rapidement finit sa maison et était trop puissant mentalement pour se laisser endormir dans le confort de celle là. Il était naturel que cette esprit vif emploie  son temps à enquêter sur moi. - Oui, comme tu le dis. Bill fut un magnifique fail. Mais Bill était trop érudit pour se laisser avoir si facilement... Je ne pouvais pas grand chose contre lui. - Oui, grand chose, sauf le tuer.




                          Elle était là, baignée dans une immense flaque rouge. Le liquide s'était figé. Le corps s'était retrouvé prit dans la gelée. La membrane qui en recouvrait la surface s'était accrochée au tissu de son vêtement, à sa grande tresse rigidifiée par la coagulation. Elle n'avait pas bougé depuis longtemps et ne semblait par prête à le faire. Frigiel s'approcha. La lame brillait dans sa main. Ses pas produisirent quelques éclaboussures qui mouillèrent son pantalon déjà trempé du sang d'un autre. Coulant de sa propre manche, s'infiltrant entre ses doigts, suivant le tranchant de la lame blanche, c'est le sang de Siphano qui tombait goutte à goutte dans la flaque de celui de Potaro. Frigiel mit un genoux à terre à coté d'elle. D'une main sûre, il chercha la veine du cou. Elle palpitait encore. Bien que froide de tout le sang qu'elle avait perdue, Potaro vivait.
                          La tenir était inutile, elle ne bougerait pas. Dans ses yeux se reflétaient la lame blanche qu'elle ne voyait pas. Elle était consciente pourtant, mais l’hémorragie lui avait pris la vue. Elle était aveugle à cette arme brandie au dessus d'elle. Frigiel visait soigneusement. Il n'avait qu'à abattre la dague. Il savait tuer. Il n'avait pas d'excuse. Il se revit combattant dans le Nether ; tombant sur Ectalite, pour le transpercer de son épée ; fracassant le cou de celui ci contre le rocher. Oui, il savait tuer. Il n'avait qu'à le faire, c'était aussi facile qu'une ligne à tracer. Il savait comment faire.
                          Il avait chercher l'endroit où frapper, il l'avait trouvé. Instinctivement, il avait prit Potaro à la gorge et l'avait fait basculer légèrement pour exposer le bas de la mâchoire.
                          Abattre la dague.
                          La tuer. 
                          Tuer !

                          Qu'attendait il ?
                          Dans cette cité, ce serait la première vie qu'il prendrait.
                          Qu'attendait il ?
                          Il savait le faire. C'était si simple. Frapper. Un coup suffirait. Un seul et unique coup.

                          Et l'image de Siphano pendant à sa corde lui revint. « Nous avons tous ce que nous méritons » Alors il se leva brusquement. Non, il ne la tuerait pas. Elle avait ce qu'elle méritait comme elle le disait si bien. Il la laisserait mourir lentement. Qu'elle crève dans toutes les souffrances qu'un être humain peu endurer ! Il n'avait pas à être bon avec elle.
                          Il lui semblait que la bouche de Siphano déversait encore son sang contre son épaule. Il tremblait. Ses bras ne serraient qu'un cadavre anonyme contre lui. Tous ce qui avait fait l'homme qu'il avait aimé avait disparu dans la destruction. Le mort était derrière lui. Il attendait. Frigiel sentait le froid qui glaçait le cadavre.
                          Le sang brillait. La femme ne bougeait pas. Pas un de ses cils ne frémissait. Comment était mort Nathek ? Était ce une excuse ? Et lui qui avait vu son ami mort était il pour autant devenu un monstre ? 

                          D'un coup il abattit l'arme. Elle eut un sursaut et tout son corps retomba. Potaro était coupable, mais ce n'était pas une raison pour qu'il le devienne aussi. Elle avait fait le choix de faire souffrir aux autres la douleur qui fut sienne, il n'avait pas à faire la même faute.




                        Alors Frigiel ? On s'est enfin décidé à tuer ?




                         Frigiel sortait du bunker. Il commençait à faire le tri de tout ce qui s'était bousculé dans sa tête, se réveillant lentement comme s’il naissait à nouveau. Il sentait encore la colère en lui, mais elle lui paraissait lointain comme un souvenir, comme des mots écrits sur du papier dont le message lui était totalement étrangé. Il était d'un calme froid. Rien ne tremblait en lui, Rien ne frémissait. La crise était passé. Son cœur s'était serré, durcit pour combattre la douleur. Il ne semblait plus capable de ressentir à présent. Sous les feux de la colère et la glace de la douleur, sa conscience était devenue pierre. Il ne restait plus que la logique sèche. La logique sèche qui l'avait fait trouvé.
                         Il sentait le sang sur ses doigts. Il tenait encore la dague bien serré dans son poings. Il était près. Il avançait vers un but. Chaque pas l'en rapprochait un peu plus. Il allait tuer. Il était là pour tuer.

                         Dehors le soleil brillait. Le ciel était claire. Tout était noir dans le yeux de Frigiel. Il ne connaissait plus la nature qui avait été l'amie si intime de ses pensées. Il ne la voyait même plus.
                          Les oiseaux chantaient doucement. Frigiel était sourd à leur appels. La pierre ne remarque pas la vie merveilleuse qui fourmille autour d'elle. La pierre est dure. La pierre reste froide. Frigiel était indifférent à ce qu'il avait autrefois tant admiré.




                         Et voilà. Frigiel est mort. Il n'existe plus. Il n'a plus rien de l'homme juste qu'il était. Il n'y a plus rien de lui même. Certaine chose ne mérite pas d'être connue. Parfois ignorer et préférable à savoir...

                         J'ai gagné...




                         Au nom de tous ceux qui avait été trahit... Trompé... Manipulé... Torturé... Tué... Au nom de sa confiance violée...

                          Il ne faisait pas cela pour vivre. On lui avait déjà pris la lumière. On lui avait déjà pris la vie. On l'avait pris à tant d'autre. Ils avaient perdu. Mais son pion restait encore sur l’échiquier. La partie n'était pas finie. Il n'y aurait pas de vainqueur.

                         Il revoyait Siphano pendre, il imaginait Léo s’effondrait sous le coup d'Ectalite. Et puis Zelvac... Son œuvre, sa CHM était recouverte de cadavres. Les dents serraient, Frigiel jura : « C'est fini. La CHM est fini, Zelvac. »

                         D'abord détruire et tuer ensuite.

                         Une ombre d'oiseau passa au dessus de lui. Il la suivit des yeux jusqu'à la perdre dans le bleu céleste. Il fallait replonger sous terre. Il quittait une fois de plus ce ciel qu'il aimait tant ; ce ciel brillant qui serait noir s'il avait la chance de le revoir avant d'en être privé à jamais. Il allait au plus profond de la terre. Il n'était pas sûr qu'il puisse en sortir. Il était là encore. Le « maître du jeu » dont il allait détruire l'arme, qu'il allait tuer.

Je suis désolée pour le retard.    je sais la permière sous partie est sortie il y a pas mal de temps. J'espère que cela ne fais pas trop décousu...
Encore une fois le forum m'empêche de mettre mes derniers points de vue. Donc ils ont été reporté à la partie suivante. Enfin, bon... Voilà. On va pas dire qu'on a l'habitude mais quand même un peu...  
Bref, j'espère que cela vous à plus, et si vous avez le temps de me laissé un petit commentaire  

Myss...ensorceleuse ? oui OK, si on veut. C'est pour Halloween, je suppose. ( belle remarque inspecteur, mes félicitations ) XD Moi je n'ai pas besoin de changer de speudo. Je suis Mich, c'est déjà suffisant...

heu.... enfin bref. Travaille bien ton texte !! et que la force que l'écriture soit avec toi !
Merci pour ton commentaire très gentil qui dilue un peu le stresse de mon attente de retour. En tous cas j’espère qu'il va te plaire... Surtout toi, ancienne grande fan de l'Octoteam...

"l'avant dernier chapitre... Ca va faire bizarre que cette fic sera finie..." Oui de la CHM, c'est l'avant dernier chapitre ( si le forum veut bien... ) mais après il reste encore les épilogues ! Donc ce n'est pas encore totalement, complètement fini. Seulement les épilogues, ce n'est pas la même chose que la CHM, c'est moins travaillé. C'est plus un délire, mais qui est quand même prometteur. Donc il y aura encore un peu de lecture Bon après, en effet ( et j'insiste sur ce point ) les épilogues ne sont pas la CHM, C'est juste des appendices...

"ta signature est très... très toi, j'aime beaucoup" XD merci Raikya de me l'avoir inspirer ! Je suis contente qu'elle te plaise. Oui, j'essaye de faire quelque chose qui me ressemble, comme ma présentation, quoi, c'est particulier...

En tous cas, merci de ton passage ! Je hate de te retrouver quand tu auras eut le temps de lire !
bye

(et oui, Mich ou le pouvoir de faire toujours des réponses méga longues )

Ohla, ohla, qu'est que tu nous fait là .-. ? Je ne suis absolument pas prête pour ça. Mais regarde, j'ai même pas commenté sur le dernier chapitre (enfin... pas sérieusement u_u) et j'ai encore une autre réponse à te faire... Mais le temps, est-ce que je l'ai, hein? Non il me file entre les doigts.
Donc, je ne lirais pas. Pas avant d'avoir lu plus attentivement le chapitre d'avant. Et je n'aime pas être pressée, alors je vais prendre tout mon temps. Désolée... je ne peux faire autrement :'(

En fait, même pas besoin de lire. Le titre en dit bien assez long ~

Hello!
Mouais bon j'ai pas lu. Le titre me met en confiance hein... *toussote*
À tous les coup c'est Frigiel qui dit ça.
Mais moi je me l'imagine d'une façon... Très spéciale.
Notre Zelvache, qui a souffert, a été rejeté par tous, a vu sa CHM devenir un théâtre.
Sauf qu'on y joue une tragédie grecque.
Le fatum c'est le 14ème jour.
La puissance supérieure qui décide du destin c'est le maître du jeu. Un peu comme Héra qui chasse Ulysse.
On sait que ça va mal finir. Fuck l'espoir.
Donc ce pov' Zelvac ne demande qu'une chose: la fin de la pièce.
Et notre petit Frigiel il lui dit "Chuuuut, la CHM est finie, Zelac. La CHM est finie."
SAUF QUE NON.
Bah non elle est pas finie c'pas le dernier chapitre.
Donc Frigiel va faire quelque chose qui va mettre fin à la CHM.
Il va tuer le maître du jeu et son complice, si il en a un.
J'imagine trop une scène classe avec Frigiel qui sort du bunker, son épée traçant une ligne dans la terre parce qu'il la traîne, prêt à en finir.
Mais ça c'dans mes rêves.
Tu as sûrement prévu autre chose. Si on a pensé au même truc je comprends plus rien à ma vi

Raikya l'Alchimiste

J'adore les commentaires de Raikya. J'adore les commentaires de Raikya. Ils sont tellement drôle et je regrette tant de ne pas avoir l'humour nécessaire pour maintenir le niveau derrière.

Bah ah vrai dire ce que je vous ai fait la me deçois un peu car le forum à coupé trois points de vue c'est qui est beaucoup et qui me frustre pas mal. Deux points de vue du maître du jeu, un de Frigiel; cela enlève beaucoup d'indice et d'explication d'un seul coup... C'est la tristitude. Enfin bref, c'est pas trop grave non plus. C'est pas pour dire qu'on fini par avoir l'habitude mais quand même.

ah le problème du temps... Je compatis grandement. Mais de toute manière tu n'es pas obligé de faire un com super poussé avec une longue enquête derrière. Je n'ai pas le tallent d'Agatha Christie et ma CHM n'est pas la plus grande oeuvre du siècle, donc au pire tu sais, tu ne te casses pas la tête. Même si cela me ferait très plaisir et je m'en sentirais très flatée, ce n'est pas indispensable. De passer par exemple, comme cela pour dire que tu n'as pas le temps de faire un commentaire avec ce mot si bien tourné que tu as écrit, me fait aussi très très plaisir et je t'en remercie grandement. Cela soulage beaucoup mon stresse perpétuel XD. Non vraiment ce genre de petits mots sont
très important pour moi. C'est un contacte directe. Après les grand sont incomparablement géniaux, mais comme je te le disais plus haut, ne te casse pas la tête non plus.

Mais enfin bref, fait comme tu veux. prends ton temps. Merci beaucoup d'avoir signaler ton passage, comme cela j'arrète de stresser et de me tordre les doigts en me disant "mon Dieu, Raikya, la grand conseillère, n'as pas aimé, c'est horrible.... "

"Le titre en dit bien assez long" ah ah !!! Oui en effet, le titre en dit long. Mais est ce vraiment ce que tu crois ( comme je ne sais pas du tous ce que tu crois, je ne peux pas dire autre chose, c'est la trititude. XD )

Aller ! A plus quand tu auras le temps.

Miss Otaku

Tu comprends plus rien à ma vie

ah ah ah Ton commentaire avant lecture est génial !! Bravo, tu as bien illuminer ma soirée avec Raikya. ALors là, je dois dire que je ne m'attendais pas à cela XD

Alors c'est un commentaire avant lecture que tu nous as fait là. C'est super originale, c'est trop bien !! J'ai adoré vraiment ce que tu as écrit là. Et puis c'est d'une rare finesse aussi, alors que dire de plus que j'ai été ravie ? Ce fut vraiment très intéressant pour moi, ce fut formidable de te lire !

Au début j'ai été assez surprise. Une commentaire de texte qui commence pas "je n'ai pas lu" le texte en question est, tu me le concéderas assez surprenant. Donc j'étais assez perplexe avant d'être éblouie ( oui peut être que j'y vais un peu fort là, mais je ne trouvais pas de synonyme et c'est quand même un peu cela )

"À tous les coup c'est Frigiel qui dit ça." Bien joué, et une victoire pour madame !

"Notre Zelvache, qui a souffert..... Donc ce pov' Zelvac ne demande qu'une chose: la fin de la pièce." et c'est la fête ce soir !! une deuxième victoire pour madame. A ce propos, j'aime beaucoup la métaphore du théâtre et de la tragédie que tu nous a filée la. J'en suis même très flatté, surtout qu'elle est superbement juste, bien menée et a propos.

"Et notre petit Frigiel il lui dit "Chuuuut, la CHM est finie, Zelac. La CHM est finie."" Oh ne les compte plus, c'est extra ordinaire !! Et une troisième victoire pour madame !! Nouveau tallent, elle devine le texte sans le lire !!

"Donc Frigiel va faire quelque chose qui va mettre fin à la CHM." la foule est en explosion. On ne sait plus où donner de la tête ! Quatrième victoire pour madame !

"Il va tuer le maître du jeu et son complice." Bon là le commentateur, il ne sait plus quoi dire. Il en a le souffle coupé. C'est la cinquième victoire...

"Frigiel qui sort du bunker, son épée traçant une ligne dans la terre parce qu'il la traîne, prêt à en finir." alors ce n'est pas exactement cela, mais presque, presque presque. Non ce n'est pas dans tes rêves, c'est dans le texte. Madame, nous voilà avec 6 victoires !!
Le quatrième et la troisème me font surtout très très très plaisir. Mais vraiment beaucoup

"Tu as sûrement prévu autre chose." hum... Comment dire... En fait, si il me reste encore une carte en mains... Les sens cachés, tu as découvert tous ceux que le texte donnait. Il y en a d'autres, plus implicite... Mais déjà d'avoir tous deviner sans lire le texte, alors là chapeau !! enfin bref, je suis très très impressionné !

Merci beaucoup pour ton com. Il est super, et avec les autres filles, vous êtes géniale, je vais pouvoir arrêter de stresser !

Le titre est un peu spécial, pour une partie de "fin" (qui n'arrive pas. je pense sérieusement qu'à ce niveau là, le site te troll. Non, vraiment, je crois que le fofo te refuse les points de vue exprès pour que ça dure encore plus longtemps x) Une partie de fin... compliquée cette histoire !

Bon, je m'explique (même si Ota a finalement déjà tout dis. Entre commentatrice on se comprends XD) : le fait est qu'on pourrait le faire à toutes les sauces, ce titre. Du genre Cyrano et la tirade du nez, si tu vois ce que je veux dire.

Triste: Frigiel qui atteint le fond du désespoir, seul avec le poids de la CHM, parle à Zelvac, son créateur d'une mélancolie profonde. Le calvaire s'achève, mais à quel prix?
Consolateur: comme disait Ota.
En colère : après tout, Zelvac porte une part importante de responsabilités. Une part peut-être plus importante qu'on ne croit. Hum?
Résigné: en ce cas, Frigiel reste dans l'état dans lequel il était avant d'entrer au bunker. Résigné à finir, ce qui mettrait fin à la CHM (tous les participants morts. Bon, tu as dis que Pota est tout comme morte mais je me méfie quand même u_u)
Colère (bis), mais contre le maitre du jeu, pour venger Zelvac.

On peut même imaginer que le maitre du jeu parle, mais il me semble que tu as déjà écartée cette option. Bon, c'est ce que j'ai pensé en voyans le titre... ah oui et aussi "Ah, il va bouger" mais ça aussi Ota l'a déjà dit... bonchour le commentaire inutile XDD

OMG JE SUIS DEVIN!
Nan mais je suis trop forte! *fière*
Mon imagination sert à quelque chose!
Je suis super contente. Que ça soit juste et que ça t'aie fait plaisir!
Bah maintenant on a une preuve que je suis intelligente! Mais je pense qu'il en faudrait un peu plus que ça pour... Au pire OSEF. Je profite de mon instant de gloire!
P.S. : Vive la tragédie !

Miss Otaku

savoure ton instant de gloire tu l'as bien mérité !! bravo encore. mais bon après, il se passe quand même pas mal d'autre chose dans ce chapitre ^^ ( message caché " Mich espère quand même avoir un commentaire de poste lecture ^^ " y a surtout une scène qui devrait te plaire, je pense, te connaissant un peu...

Raikya l'Alchimiste

"je pense sérieusement qu'à ce niveau là, le site te troll. Non, vraiment, je crois que le fofo te refuse les points de vue exprès pour que ça dure encore plus longtemps" XD Voilà donc l'explication !! J'étais sûre que l'espionne saurait,elle. C'est un complot contre moi. Tous cela est on ne peut plus claire !

Alors ensuite tu as une étude très très intéressante. Mais de genre vraiment. Même plus que tu ne dois toi même t'en douter XD Tu tape dans le sens caché ( bon comme tu lui donnes un peu tous les sens que l'on peut lui donner, il aurait été surprenant que tu le rattes XD ) Mais quand même, tu dis beaucoup beaucoup de juste. Et c'est pour cela que je n'en dit pas plus.

D'ailleurs je penses que les points de vue qui ont été coupé vont te manqué, toi qui cherche dans les secrets, car ils en apportaient beaucoup, et beaucoup de clef aussi. Enfin bref cela va se retrouver au début de la dernière partie, c'est pas grave, c'est juste que je ne sais plus du tout comment la tournée. On va espérer que l’inspiration va me venir du ciel ( ou d'une fille géniale qui se surnom Raikya, comme la dernière fois ou elle m'avait bien sortie d'affaire... )

En tous cas Vous êtes géniale toute les deux !! Vous êtes trop forte, mon totale respect vous est dévolu.

P.S. quand à Potaro, tu as la réponse dans le chapitre... et NON Ce commentaire n'était pas du tous inutile TRES loin de la. Vraiment TRES loin...

J'ai fini de lire o/
Franchement, définitivement, Mich, tu m'épate.
Je m'explique.
Non seulement, enfin, l'explication vient, tranquillement mais sûrement, pointant du doigt les détails qui nous ont échappés, mais en plus, tu nous manipule xD Tu nous manipule en attisant ce désir avide de connaître le fin mot de toute cette histoire, en rajoutant d'autres détails pour nous semer, et puis, excusez le langage, merde quoi ! C'est juste trop génial ! xD

Et puis, et puis, cette phrase est juste ÉPIQUE à mes yeux :

Citation :

Alors Frigiel ? On s'est enfin décidé à tuer ?

C'est LA phrase qui balance tout ! Du moins, c'est le déclencheur du fait que Frigiel devienne froid suite à son "meurtre" (entre guillemets parce qu'il l'a juste achevée).

Donc voilà, personnellement, je sais pas comment je vais faire quand la CHM sera réellement finie. J'aurais plus ma dose de torture régulière TOT (oui j'aime la douleur~ :3)
Impatiemment,
Nyal.

Ok... Ok...
Un peu de calme avant de commencer ce commentaire.
Donc c'était elles deux.
C'est épatant. Je suis juste bouche bée.
Je vais essayer de raisonner quand même.
Mais avant tout...
RESPECT FRIGIEL.
Ce raisonnement était génial.
Était parce qu'il y a une phrase qui gâche tout.
"J'étais seul."
Mich. Tu n'as pas fait une telle erreur. Si? Ce serait décevant. L'éffondrement du mythe de la Déesse de l'Écriture.
Elles sont deux. Il est seul. Impossible. Non October n'a pas enrôlé Croustinette, c'est trop incohérent et je refuse de formuler la phrase qui détruira le mythe. Frigiel a eu tord, pas toi Mich. Je ne veux pas que ce soit toi. Je ne veux pas que cette CHM me déçoive comme l'autre. J'ai fini par m'y attacher on dirait.
Donc on va dire qu'il a eu faux d'accord?
Bad Apple passe dans mes oreilles. Un peu de réconfort.
Mais si ce n'est pas les deux mais quelqu'un d'autre...
Attends. Frigiel s'est basé sur les sentiments. Certes, je pense que ça innocente Zelvac mais si le maître du jeu avait fait semblant de rejeter Zelvac?
Et on a eu plein d'infos sur le MDJ dans ce chapitre.
Il n'a ni la force, ni le courage de se mesurer à Aypierre. Du moins physiquement.
Et ça fait encore un truc qui rend October incapable d'être MDJ. Elle est courageuse et elle pourrait, avec de la chance, éclater Aypierre à l'arc. Donc le MDJ est faible...
Léo est faible. Bon, il a été tué par Ectalite. Mais c'est plausible. Croustinette a bien été tuée par Potaro non? Au fait je parlerai d'elle plus tard.
Donc Léo n'est pas innocenté.
Bon pour Siphano, c'est simple, il est courageux et ça me semblerait bizarre que tu aie ne serait-ce qu'envisagé de le choisir.
Tout ce raisonnement n'est valable que si tu es un pur génie divin. Sinon tu seras un pur génie tout court.
Mais tu resteras Déesse de l'Écriture.
Bien bien bien...
En un mot: POTARO.
J'adore ce passage. Pourquoi? Bah tu le sais Mich.
PARCE QU'ELLE SOUFFRE MOUAHAHAHAHA!
Et aussi pour autre chose.
R.I.P pureté de Frigiel.
Il l'a fait!
" "Alors Frigiel ? On s'est enfin décidé à tuer ?"
MDJ JE T'AIME QUI QUE TU SOIS!
J'ai pensé la même chose! C'est génial!
Honnêtement, entre la souffrance de Potaro et la destruction de Frigiel... Le choix est vite fait.
"Frigiel n'était plus"
BAH C'PAS TROP TÔT!
"J'ai gagné."
Psychologiquement, t'es un gagnat.
Physiquement, il va te... Fuck la politesse, il va TE NIQUER TA RACE! Fuis, mon ami, fuis!
R.I.P MDJ, on t'aimait! Enfin juste moi mais c'pas grave.
Bon bah voilà. Mon avis sur ce chapitre? Soit incroyable, soit... On va avoir un problème.
Dans tous les cas il qera bon mais il risque d'y avoir un hic.
Mais j'ai confiance en toi, ça va bien se passer.
Hein, rassure-moi ça va bien se passer?
Au fait la scène finale est classe! Elle est pas aussi géniale que la scène de Potaro mais est est cool.
Allez salut! Oh Die in a fire qui passe!

Nyal, toujours en rendez vous !

Je dois dire que ton com m'a beaucoup rassuré.

Tous d'abord par ce qu'il m'apprend que le chapitre t'as plus. Une seconde partie ou il ne se passe presque rien, que de la reflexion, j'avais peur que cela soit lassant et que l'on s'ennuie. La logique n'est pas très passionnante. Donc j'avais peur que cela soit lourd et chiant. Peur que tu enlèves puisqu'il t'a plus et toi, tu l'as lu donc tu sais ce dont tu parles.

Ensuite, et cela me fait vraiment très très plaisir, c'est que j'ai bien réussit a te manipuler ( désolée, non, ne m'en veux pas c'est pour le bien de l'intrigue !! Il faut tous sacrifier à l'intrigue... ) Écrire un bon texte c'est savoir bien manipuler son lecteur, pour qu'il s'attache aux personnes et ressente de la peur quand ils sont en danger, de la tristesse quand ils meurent... Mais aussi pour leur faire des surprises lors de cou de théâtre inattendu. Et la en parlant de cou de théâtre, j'espère que la dernière partie va en être un. Mais pour que cela ne semble pas tomber du ciel, il a fallu que je l'annonce et c'est ce que j'ai fait. Or il est très dure d'annoncer sans pour autant détruire la surprise en en disant trop. C'est une vrai épreuve pour l'auteur, son style et sa manière de manier le narrateur. Il faut qu'il réussisse à manipuler le lecteur suffisamment pour pouvoir lui dire tous sans pour autant que celui ci comprenne. Et tu viens de me confirmer que tu as exactement comprit ce que je voulais que tu comprennes. XD Tu l'as d'ailleurs très très bien comprit et je pense que tu y crois. Ca c'est merveilleux ! J'ai réussit ! Tu as parfaitement fait ce que j'attendais du lecteur. Merci ! Merci beaucoup !
J'imagine que tu ne dois pas être un peu septique face à ce que j'ai marqué plus haut, ne t'inquiéte pas. Tu es sur des railles, tout va à merveille. Cela n'avait pas pu mieux se passer. Je contrôle la situation ( en ce qui concerne ton cas. Cela va être plus dure de manipuler Raikya, d'ailleurs je m'attends plus à ce qu'elle trouve, mais bon il lui manque quand même trois points de vue assez important, on va bien voir... ) Mais me croyais tu si gentille pour envisager que je vous donne toutes les réponses si facilement ? Non se serait beaucoup trop simple. Un bon auteur n'aide jamais son lecteur sans que celui ci en paye de sa personne; cela ne ferais pas du bien ni au texte, ni au lecteur lui même. L'auteur doit l'aider à chercher, mais le lecteur doit quand même faire l'action de chercher et ne pas rester passif. Tu as bien remarqué que depuis le début j'aime jouer avec le lecteur, il ne serait pas du tous dans mon genre de tous donner si facilement. Je suis trop perverse pour cela. Bref, la CHM n'est pas fini. Il me reste des cartes en mains et des spectacles à te faire decouvrir ^^. Et sur ceux je me tais. IL ne faudrait quand même pas que je détruise l'effet que j'ai tant de mal à installé.

En tout cas merci beaucoup. Vraiment Merci pour ton com qui m'a beaucoup rassuré. Peut être un peu trop je devrais me taire et attendre le com de raikya ou celui d'Otaku ( qui a décidé de se faire voyante pour ce chapitre à apparemment.) pour retomber brutalement au sol et voir que l'on me soupçonne de quelques fourberies ou même que l'on a démasquer mes ruses. Au moins grace à toi, j'aurais le réconfort de me dire que j'ai réussit au moins pour une personne ^^.

« Tu nous manipule en attisant ce désir avide de connaître la fin » ^^ contente de voir que les effets de suspenses ont fonctionné. Tous ceci n'est que pour me réjouir.
« en rajoutant d'autres détails pour nous semer » Il n'y a pas de détaille anondin. Déjà je souhaite montrer que tous à une raison d'être. Que rien n'était livré au hasard, que tout avait sa logique... Mais oui, certaine chose sont moins importante que d'autre, et c'est justement à c'est moment là qu'il faut se méfier. Si le passage semble au premier abord sans importance, c'est que celle ci est cachée. Dissimuler une information sous une autre... Les parties ou il se passe beaucoup de chose, les parties qui semble révolutionnaire sont souvent moins profonde que celle qui ne le montre pas. Dans les deux cas, il y a quelque chose, sauf que dans l'une, c'est directement visible, et pas dans l'autre. Enfin bon, oui quand même, j'avoue, certains sont moins importante que d'autre, mais si le but a été de vous caché des choses, cela n'a jamais été de vous perdre.
« "meurtre" (entre guillemets parce qu'il l'a juste achevée) » Il aurait été plus méchant de la laissé souffrir ( et c'est ce qu'il a hésité à faire par vengeance ) que de la tuer. Ce n'est pas réellement un meurtre, c'est un acte généreux. Elle voulais mourir. Mais oui, en effet Frigiel a changé...

« quand la CHM sera réellement finie. » RT si c'est triste. Bah, j'ai encore des cartes en mains ( n'est ce pas XD ) Il y a le projet de l'épilogue qui est un projet collectif, donc je serais ravie que tu y participes ! J’explique tous cela à la fin de la dernière partie et puis, j'ai plein d'autre idée de projet... Mais si non, oui, moi aussi cela me fera bizarre...;( L'épilogue, c'est pas la CHM, et les autres projets non plus. RT

En tous cas merci beaucoup pour ton commentaire tout plein de compliments qui me font chaud au cœur. Il était absolument adorable et m'a fait vraiment très très plaisir. Je suis très touchée. Merci. Je suis si contente que la CHM te plaise tant et que tu ais si envie de continuer à la lire. Merci.

« Impatiemment » Je parts finir ce texte tout de suite !

Miss Otaku

dis moi, tu écris ton com au fur et a mesure que tu lis, ou après avoir tout lu ?

"RESPECT FRIGIEL." ah pour une fois tu lui fais un compliment ! incroyable !

"J'étais seul." ah ah ah !! j'attendais à ce qu'on la relève celle là, et tu as PARFAITEMENT RAISON de la faire. Non je n'ai pas fait d'erreur. Non ce n'est pas l'effondrement du mythe de la déesse de l'écriture. Tu relèves cette phrase, il y en a plein d'autre. Je suis très contente que tu l'ai vu, et que tu ais suivit le raisonnement... (et je suis très touché de la façon dont tu refuses le fait que j'ai pu faire une erreur. Hélas, j'en ai fait plus d'une, mais je fais en sorte de les cacher. Il faut vraiment les chercher si tu veux les trouver. Malheureusement je ne suis pas aussi géniale qu'on le crois ) Mais ça, c'est pas une erreur !! LE maître du jeu est SEUL ( sans “es” ) masculin singulier... Donc en effet, comme tu le dit très bien : “Frigiel a eu tord” ( pas toi Mich <3 ) et je vais même souligné a EUT tord. Car, je t'aide un peu mais quand il est marqué IL SAVAIT. Et bien il savait réellement. A ce moment là de l'histoire, il a comprit, il a trouvé. Il sait et il a juste. Mais comme je suis absolument adorable et gentille et pas du tous sadique, et bien j'ai passé sous ellipse la fin de son raisonnement. Je saute les dernières étapes. Si vous croyez que j'allais vous donner le nom si facilement !! Ah non. Maintenant Frigiel sait, et il va agir, mais le lecteur lui ne sait pas... Tu te souviens de ce que je disais à Nayara a propos des soupçons sur October, « ce que comprend une personnage, rien ne dit que c'est vrai »... Tu remarqueras qu'il y a « *** » entre la partie ou il accuse Croustinette et October, et le moment de la révélation. C'est qu'il y a eut un petit saut temporel. Je vous ai épargné la dernière explication de Frigiel. La dernière étape, la dernière marche... Mais quand il dit savoir, il sait réellement et il a raison.
Petit indice supplémentaire. La découverte que fait Frigiel lui fait mal. Réellement mal. Cela le déstabilise et plus que la mort de Potaro, c'est celle nouvelle qui le transforma. Il parle de « confiance violée » Frigiel n'aurait pas employé ces termes pour October et Croustinette. Ils n'étaient pas assez proche. Il n'aurait pas été aussi choqué, cela ne lui aurait pas prit autant au cœur.

« Donc on va dire qu'il a eu faux d'accord? » oui il a eut faux, mais ce n'est plus le cas à la fin du chap...

Alors je ne connais pas « bad Appel » mais j'écouterais dès que je pourrais, pour l'instant je peux pas mettre de son.

Alors je ne dis pas grand chose sur ton raisonnement. Ce n'est pas parce que tu as raison ou tu as tord, c'est surtout parce que je ne veux pas trop t'aider et que je ne veux pas m'auto spoil. De mon silence ne tire aucune conclusion, c'est que je ne peux pas confirmer ou infirmer sans en dire trop.

« Il n'a ni la force, ni le courage de se mesurer à Aypierre. Du moins physiquement.
Et ça fait encore un truc qui rend October incapable d'être MDJ. » tu as parfaitement de relever cela, c'est important. Tu te souviens, il a fuit devant Aypierre a la mort de Bill... Mais pour autant cela ne disqualifie pas October. Elle a perdu quand elle l'a combattu. Il est plus fort qu'elle. Pour un combat physique, elle ne peut espérer s'en tirer au combat contre Aypierre sans être blesser, donc c'est assez dangereux pour ne pas vouloir le tenter. Donc cela reste logique. Mais bon, comme on l'a vu plus haut. October est disqualifiée entant que maître du jeu. Après entant qu'aide c'est autre chose... quand à Croustinette tu n'as pas observé son cas, tu l'as fait pour les autres, mais pas pour elle...

« Donc le MDJ est faible... » voilà résumons, tu as parfaitement raisons sur ce point et c'est un sacré avantage.

« Tout ce raisonnement n'est valable que si tu es un pur génie divin. Sinon tu seras un pur génie tout court. » et bien je suis déjà très flatté d'être « juste » un pur génie tout court. C'est déjà pas mal comme titre, j'aime. Enfin déesse de la littérature est pas mal aussi. Seulement même si mon idée n'est pas exactement ce à quoi tu as pensée, je crois que cela va être pas mal quand même, ou du moins j'espère...

« Mais tu resteras Déesse de l'Écriture. » ah bah dans ce cas je suis parfaitement rassuré ! Ouf ! XD

« Pourquoi? Bah tu le sais Mich. » ah maintenant tu m'épargnes le fait de poser les questions, tu le fait à ma place XD

« R.I.P pureté de Frigiel. » ah tu crois ? Oui en effet... Il a perdu beaucoup de sa pureté. Il est détruit. Mais son geste est généreux. Il épargne des souffrances à Potaro. S'il s'était vengé, et c'est ce qu'il a voulu faire un instant, il l'aurait laissé souffrir encore longtemps.

« MDJ JE T'AIME QUI QUE TU SOIS! » XD ai je besoin de te rappeler qu'il est faible ? Tu l'aimes quand même ? Tu es plus a aimé les personnages badasses toi non ?

« BAS C'EST PAS TROP TÔT! » ne cris pas victoire si vite. Le personnage a plus qu'une corde à son arc.

« Fuck la politesse, il va TE NIQUER TA RACE! Fuis, mon ami, fuis! » XD !! je suis morte de rire. Mon père qui est dans le salon avec moi est en train de me regarder bizarrement. Tu es trop forte. L'humour, la seule arme contre Mich.

« il risque d'y avoir un hic. » outre que le sexe et le nombre du maître du jeu ?

Bon maintenant c'est à moi de finir. Alors j'ai trois points. Tous d'abord merci beaucoup pour ton commentaire ! Merci beaucoup, c'est le com le plus poussé et le plus réfléchit que tu m'as écrit sur toute la CHM. Il est vraiment très bien. Très intelligente ! Cela me fait très plaisir que tu ais vu le petit piège, en fait j'adore quand les gens le voit ou quand les gens tombe dedans dans les deux cas c'est génial, dans les deux cas je suis ravie ! Merci beaucoup de tous ce temps que tu as du passer à réfléchir et à chercher et à rédiger tous cela et à … Enfin bref, c'est vraiment un très bon com que tu m'as fait. C'est formidable, merci beaucoup !!
ensuite ce commentaire m'as fait très plaisir, non seulement parce qu'il est intelligent, mais aussi parce qu'il est très très gentil, plein de compliment et de confiance. Merci beaucoup pour cela. Je suis très touché et ravie que la CHM te plaise tant.

<3

Ouf, ça me rassure.
Oui j'ai fait un compliment à Frigiel mais là il faut avouer qu'il a du génie.
Donc tu as voulu nous induire en erreur en mettant uniquement la partie ou il raissine en mode "Si c'était October ett Croustinette" ce qui est très fort.
Si ça lui brise le cœur, de sa liste de suspects il ne reste que Léo et Siphano.
Or, le fait que ça soit Siphano lui briserait plus le cœur que Léo.
Ou pas en fait.
MAIS OUI! Oh si c'est Léo c'est vraiment incroyable.
Quand il est passé par une phase 'Dark Frigiel" il a failli tuer Léo mais il ne l'a pas fait.
Il lui a dit de ne plus jamais croiser son chemin, il lui a fait confiance pour ne pas lui planter un poignard dans le dos, il pensait qu'il ne représentait aucun danger. Il a laissé la vie au pire de tous.
Et là c'est du putain de génie parce que ça ne nous vient pas tout de suite à l'idée.
Perso ça fait 10 minutes que je réfléchis intensément.
Mais si c'était Siphano- Oh wait. Il pouvait pas feinter lui.
Une infection, une dépréssion et un suicide..
Faut le faire. Faire semblant de faire tout ça... Ouais Siphano est innocent.
Ça me rassure. Pourquoi? BAH J'AI DIT QUE J'AIMAIS BIEN LE MDJ.
Ah zut le caps lock. C'est trop long à effacer, tant pis.
Mets ça sur le dos du Samsung Galaxy Y d'accord?
Donc mon coupable est Léo.
Et je l'aime bien même si il est faible parce qu'après tout... Les méchants c'est la vie.
Mais je préfère Aypierre à lui parce qu'il est badass.
Et je commence à apprécier Frigiel.
Au fait j'avais pas parlé de Croustinette!
Il est dit que Croustinette (bob on va dirz C parce que ce nom est trop long) apparaît pure et belle.
Jusque là c'est pas étonnant, elle ne s'est pas sali les mains.
Et que Potaro est laide, sombre, les lèvres ensanglantées.
TU M'ÉTONNES QU'ELLE A FLIPPÉ!
La pauvre C voit Potaro dans tout sa splendeur, évidemmnt le mis de tuberculose et d'ebola l'a rendue magnifique!
Du coup C se fait tuer et elle ne se défend pas.
On peut pas accuser C! Elle était pétrifiée de terreur! Il me semble même qu'il est dit qu'elle a peur nob?
Comment tu veux qu'elle survive? En plus elle aurait perdu de toute façon.
Bah oui, Potaaro enragée c'est pas la joie et c'est pas un bisounours non plus!
Donc Croustinette n'a plus vraiment de preuve accablante et il y a la fameuse phrase qui l'innovente.
Voilà. Il y a peut-être une faille dans mon raisonnement mais ça colle vachement bien.
Après il me manque le mobile.
Mais ça... Tu nous en trouve un cool? J'ai confiance en toi.
Et pour moi, Frigiel est gentil quand on trahit sa confiance...
Allez, tu fais ta magie en écrivant, je fais la mienne en commentant!
Salut!

Comme on pouvait s'y attendre, Mich ne connait pas Bad Apple. C'est un pur ressort de la culture pop-japonaise dans laquelle elle (je veux dire toi XD) n'est pas du tout versée. Cela ne fait rien, Raikya l'espionne est là pour toi, elle va éradiquer cette "lacune" (c'est juste une chanson très connue de l'univers pop-japonais/aussi appelé Otaku, rien d'absolument indispensable je te rassure ;p )



Donc, Bad Apple est l'un des nombreux (genre, TRES TRES TRES TRES nombreux dérivés de la license Touhou Project, une licence de jeux vidéos créée par ZUN extrêmement populaires au Japon et réputés pour leur difficultés. Les jeux sont généralement des shot'em ups et se déroule tous dans une ville scélée il y a longtemps hors de l'espace temps du Japon relié à celui-ci par un portail spirituel. Dans cette ville (Gensokyou), les yokai (des esprits japonais, parfois semblable à des démons) et les humains coexistent. Le personnage central de presque tous les jeux est Hakurei Reimu, la gardienne du portail qui défend cette ville. Dans chaque jeux, une floppée de personnage (majoritairement féminin) s'ajoute. Souvent, les antagonistes des jeux précédents deviennent jouables par la suite, mais Reimu reste toujours le personnage principal.



La licence a connu un tel succès au Japon qu'aujourd'hui le nombre d'oeuvres de fiction autour est absolument colossale: Chanson, vidéos, textes et même de nombreux animés ou même des jeux. Vraiment, Tohou est en partie connu exclusivement pour cette création artistique immense autour.



Bon, venons-en à Bad Apple maintenant. Cette chanson était à l'origine un soundtrack d'un des jeux, Lotus Land. Voilà cette musique :


Comme beaucoup de soundtrack de ces jeux, Bad Apple a été remixé pour donné la version qu'Otaku a certainement écoutée et qui est aujourd'hui bien plus connue encore à l'extérieur du japon que le jeu d'où elle vient. Ce mérite est du, je suppose, à son rythme entrainant et ses paroles entrainantes et pourtant profondes. Le PV est aussi très beau, jouant beaucoup sur les blanc/noir et rendant le tout très bien enchainé.



Suite au succès de ce remix sur niconicodouga (le Youtube du Japon) cette petite chanson est venue jusqu'à nos oreilles et étant un tout aussi grand succès, a elle-même été détournée à toute les sauces...

Des cover en chinois, en englais, en Français, en allemands, en tout ce que tu veux. Parmi les covers il y a aussi à compter des versions instrumentales (attends, à l'ocarina stp. Ca pèse XD)


et des [music box]

D'autres remix se focalisent sur le PV : on peut ainsi trouver des choses tels que le sand art ou encore ce truc que je trouve juste énorme :


Et pour bien appuyer mon argumentation car tous ces exemples ne suffisait certainement pas, voici une vidéo qui démontre clairement la multiplicité de Bad Apple:



Voilà s'en est terminé de mon petit cours. Vous pouvez disposer x3

Coucou^^

Alors... Commençons par les choses simples...Je n'ai pas de mots!
Ce que tu as écrit la... c'est tout simplement magnifique! Tu arrives à nous plonger dans ton histoire avec le fond de notre âme et ce n'est qu'un délice que de souffrir devant tes phrases...
Je dois dire que j'ai toujours des chapitres qui m'ont plus marqués...Mais laissons cela à plus tard...

Oui je sais, ça fait longtemps (tu en sais les raisons, c'est pourquoi je ne vais pas développer cela ici, mes excuses n'y ont pas la place (sache quand meme que je suis désolée de t'avoir fait tellement attendre) ....

Et tu sais quoi? Je ne te crois toujours pas...

Je ne suis pas d'accord avec le"s" maitres"ses" du jeu....
Je vais t'envoyer (encore ce soir si j'y arrive) mon propre  raisonnement... Il ne sera pas propre, et il y aura surement plein de fautes... Ja l'ai écrit avant et pendant que j'écrivais, c'est pour cela qu'il y a parfois des coupures ou des détails qui semblent venir de nulle part. J'ai commencé à me fabriquer cette espèce d'analyse avant de commencer à lire le jour 14... Et par la suite je rajoutais mes idées après la lecture d'une partie ou d'une phrase... Cela a pas mal ralenti ma lecture, comme tu peux surement te l'imaginer... d'ou la venue de ce commentaire qu'aujourd'hui au lieu du début des vacances (j'espère cependant qu'il n'en sera que plus intéressant!)

Tout d'abord, je dois te féliciter! Ton texte est vraiment magnifique!
Comme tu le sais, j'ai relu toute ta CHM pendant les vacances. Les progrès que tu as fait sont impressionnants! Ils sont d'autant plus visibles que tu as pris ton temps pour bien écrire cette histoire, ce qui à laissé le temps à ta vie de tous les jours (je pense surtout aux cours) à t'influencer.
Je dois dire que ces deux derniers chapitres (oui, ceux que j'ai du rattraper ...) sont particulièrement bien. Tu as réussi à faire un très bon mélange, alors que par moments tu avais des chapitres avec énormément de philo, ou de littérature, ou de descriptions etc... Ces derniers chapitres étaient bien plus variés, malgré le peu de points de vue... D'ailleurs si une fois tu t'ennuies et que tu ne sais pas quoi faire (et que tu n'as pas d'autres idées d'histoires) je te dirais de réécrire le début... Je sais, cela fait beaucoup de travail, car si tu soignais tes parties de l'époque comme tu le fais aujourd'hui tu risques de te retrouver avec 20 chapitres par partie... Ce qui n'est pas grave et si jamais tu le faisais un jour, n'hésite surtout pas à me contacter!!! Je lirai cela avec plaisir
En tout cas Bravo!
je ne peux que te féliciter de te dire à quel point j'ai du plaisir à me laisser torturer par tes mots... D'ailleurs la preuve est que je reviens toujours non?

Je ne vais, a cause de mon retard, pas m'attarder sur les different chapitres, mais les analyser en un ensemble, en sortant des scènes qui m'ont particulièrement marqués.
Je sais, je devrais faire cela plutôt à la fin de l'histoire, lorsque tout se sera résolu (ou pas... te connaissant quand même un peu, je doute que tu répondes à toutes nos questions... et si tu le fais ce sera juste pour que nous en ayons encore plus... je me trompe?) mais (pour reprendre ma phrase) je ressentais le besoin de faire le point avant le grand finale (même si celui-ci arrivera d'après toi en plusieurs parties, ce qui ne m'étonne pas et me réjouit! après tout cela veut dire que tu y auras mis au moins autant d'attention qu'au reste^^).
(desolée, à cause des parenthèses cette phrase est un peu difficile à lire...si tu as des questions hésite pas à me les poser!)

Tout d'abord, la musique: mélange de soundtracks de films (harry potter tous les films, narnia, phantom of the opera, avatar (celui avec las navis), sherlock) et un peu de classique (si tu veux les titres, demande moi sur skype...)

Alors!

Pourquoi as tu été obligée de tuer Bill et Aypierre?!!!! Je sais, c'est pour le bien de l'histoire.... mais à chaque fois qu'on les mentionne une peine immense s'installe dans mon coeur, et il me faut tout mon courage pour continuer à lire (non ce n'est pas vrai... mes yeux sautent d'eux même à la prochaine ligne, pour éviter à mon cerveau de trop me poser de questions qui me feraient pleurer...)
Je trouve magnifique la relation que tu mets entre ces deux. Malgré leur mort physique, ils sont présents spirituellement, et même plus que avant! En refaisant la suite de pensées de Bill par Frigiel, ou lorsqu'il voit la maison qu'ils ont construite... la tombe... ou lorsqu'on arrive à sentir le respect, l'admiration et aussi la peur dans le maitre du jeu lorsqu'il les évoque...

D'ailleurs il est très intéressant que tu fasses parler le maitre du jeu... et cela me fait encore plus penser que Frigiel a tort! Son raisonnement est bon, mais le fait que tu évoques qu'il ne regarde plus les pages de Bill après avoir fait sa propre idée me laisse penser qu'il y a une faute dans son raisonnement (ou je ne veux peut être pas m'avouer que c'est moi qui ai eu tort) ... Effectivement, même si le maitre du jeu parle à quelqu'un (regarde mes théories en même temps que ce com!) son interlocuteur ne semble pas être d'accord avec lui!
Du coup je garde mes théories... Mais bon, je verrais cela lors de la prochaine partie (sous partie? sous sous partie?)

Quant à l'évolution de l'histoire en général, je la trouve bien.... c'est juste dommage que tu n'avais pas le temps pour laisser les choses s'évoluer à une bonne vitesse... Tu avais le même problème que le maitre du jeu (quoique vers toi c'est plus sadique! comment se faire attacher les gens aux personnages le plus rapidement possible afin qu'ils désespèrent quant les personnages meurent...) c'est que tu n'avais à disposition que tes 14 jours... Je trouverais très intéressant de voir ce qui se serait passé s'il a avait eu plus de temps (vers la fin ça va, les trois derniers jours pourraient rester tels quels) par exemple mettre trois semaines pour la CHM pour que les joueurs aient vraiment le temps de réaliser qu'ils doivent tuer et aussi pour que les combats soient un peu plus espacés...
Mais bon, l'histoire est déjà excellente alors je ne veux pas risquer de la briser...

Ton histoire comporte un équilibre très intéressant, moralement (je tue/ je ne tue pas, je joue seul/en équipe, etc...) physiquement (vie/mort, les combats qui peuvent se retourner à chaque instant) mais aussi au niveau de la fin de la CHM! ( maitre du jeu gagne/un joueur/tous les joueurs (ou au moins plusieurs)...Cela est super intéressant, je pense que tu aurais aussi pu rajouter cela dans tes descriptions (et depuis le début, comme je l'ai dit, si une fois l'envie te prenait d réécrire le début......)

Ce que j'apprécie dans l'ensemble de ton histoire est la proximité que tu donnes avec les personnages. Ce n'est absolument pas chiant, au contraire je trouve cela passionnant! Parce que tu donnes une profondeur à tes personnages, et que pourtant tu nous permets de nous retrouver dans chacun d'eux. Ceux vers qui cette profondeur se sent le mieux sont Aypierre, Potaro et Frigiel... Tu as commencé à "bien" la développer pour Siph, mais c'était trop vers la fin, tu n'as (malheureusement) pas eu le temps d'en profiter et de commencer à jouer avec. Aypierre l'avait presque dès le début (même lorsque tu le représentais encore craint et admiré des autres, en surhomme, en homme machine, dès la bataille du nether en fait). Peut être que c'est lié au fait qu'il avait tellement d'importance dans l'histoire (et c'était aussi un de tes préférés non?) Ensuite Potaro... comme tu t'en souviens surement, je n'aimais pas trop son caractère au début... et bien, cela n'a pas changé... c'est un des personnages auxquels je m'intéresse le moins, même si elle est extrêmement importante bien sur, et qu'elle joue un rôle majeur à la fin. Il n'empêche que je n'ai jamais réussi à m'en sentir proche, même si tu l'as bien améliorée depuis les premiers commentaires que j'ai fait sur elle! Je pense malgré tout que tu aurais encore pu la rendre plus profonde... Mais je n'ai absolument aucune idée comment, donc bon...Et puis finalement Frigiel... Au début, il n'était pas plat, il n'empêche que son caractère n'était pas dans mes préférés non plus... Mais dès le moment ou il est parti, ou il a voulu s'enfuir, et surtout dès le moment ou il a vu la mer, il a eu comme un saut. Il s'est approfondi d'un coup, et tout d'un coup je me suis extrêmement identifiée à lui. Son calme m'a beaucoup plu, et il avait quelque chose de très rafraichissant malgré ce qu'il représente (je cherche un mot la, mais il ne veut pas venir...c'est chiant...) Je dirais qu'il est ample, profond...glorieux? Non, ce n'est aucun des trois... Bon... J'abandonne...
En tout cas, son personnage me plait beaucoup maintenant, même plus que celui de Siph... Mais moins qu'Aypierre (tu m'as juste trop fait adorer son personnage... et comme je le disais tout à l'heure la relation Bill/Aypierre est mon absolument préférée de toute l'histoire...)

Ce que je trouve un peu dommage dans les derniers chapitres, est le peu de présence de descriptions. Cela est inévitable bien sur mais quand même... Ils étaient toujours d'un tel délice à lire! Je comprends bien que avec un personnage et demi (plus le maitre du jeu) qui restent (enfin, un maintenant) il est difficile de faire énormément de descriptions et que tu t'y exerces avec Frigiel...
Malgré tout, ce qui n'est pas mauvais!, tu te concentres de plus en plus sur l'esprit de tes personnages, et même si je trouve cela hyper intéressant, je trouve que l'histoire perd un peu de réel... Mais bon, peut être que ce n'est qu'une impression qui est du au fait que j'ai lu juste après un gros test de maths...

Pour revenir à ces derniers chapitres (en particulier au jour 14) J'aime bien la tournure que cela prend... je dois dire que j'aurais beaucoup aimé avoir plus d'un caractère encore envie, et pas seulement à cause du fait que je n'aime pas que tu nous fasse souffrir en tuant tes personnages (même si en réalité je m'en délecte) , mais aussi pour donner encore un coté surprise: vont-ils se rencontrer? se font-ils les mêmes idées sur l'idée du maitres du jeu ou sur ce qu'il faudrait faire? Mais bon...
Je pense aussi qu'il aurait été intéressant de faire se rencontrer Siph et Frigiel, même si Siph serait mort deux minutes après leur rencontre, juste pour voir leurs réactions face à l'autre, pour permettre aussi d'une certaine manière de bien démontrer les différences de leur développements respectifs de personnalité lors de la CHM... Je pense que, en tuant Siph avant cela à été enlevé à l'histoire... Mais j'aime bien aussi l'idée du "arriver trop tard" comme pour les autres personnages en fait... c'est cela qui me dérange, c'est le fait que arriver après aie déjà été fait, et que les conséquences sont très semblables...
J'espère que ces quelques critiques ne te dérangent pas mis a part ça... Mon but n'est absolument pas de rabaisser ton histoire, mais juste de donner mon avis... si tu as des questions particulières par rapport à ces remarques hésite pas à me les demander (parce que mon com est déjà bien trop long et que tu auras déjà assez de manière à traiter je pense (j'espère))

Ah oui, je voulais aussi te demander.... Pour les moments ou tu tues les gens, et que tu nous en fais la description... est ce que tu vas chercher des images? Ce n'est pas horrible? Et ne te fais-tu pas frissonner toi même en écrivant? Parce que c'est peut être different pour tous les autres et particulièrement pour toi, mais moi je trouve que tu décris avec tellement de réaliser tes morts, un film n'aurait pu mieux faire... D'ailleurs, si un film venait a être fait avec ton histoire, je pense qu'il aurait toutes les peines du monde à représenter tout ce que tu montre au travers de simples mots...

Enfin bon, je vais m'en arrêter la pour ce soir...

Bonne lecture^^

Et encore Bravo pour ton écriture et pour cette histoire! Elle est magnifique!

(Et si tu as encore des questions (ou que des idées en plus me viennent) --> skype^^

Enfin voila... Bonne soirée (en espérant que tu pourras lire ce com rapidement     )


Hmmm je viens de voir la Prévisualisation... ce com est long!
Bref...^^

Miss Otaku

Non, non, je n'allais pas faire une aussi grosse incohérence. Enfin, cela aurait pu être une faute d'orthographe, c'était plus mon style. Je m'attendais d'ailleurs à ce que l'on me fasse cette remarque. Mais voilà quoi, pour le coup, ce n'est pas le cas. Ni orthographe, ni incohérence.

Ah je suis contente de voir que tu t’aies réconcilié avec Frigiel, j'aurais été triste si l'on finissait la CHM avec un personnage que tu détestais. Quand je disais au début du chapitre qu'il était intelligent, c'est bien qu'il l'étais au moins un peu.

« Donc tu as voulu nous induire en erreur en mettant uniquement la partie... » exactement <3 je suis sympathique, non ? Vraiment ! Cela aurait été trop fort si je vous avez donner le nom du maitre du jeu directe ; Ce n'était pas possible, je suis trop fourbe pour être aussi franche et dire la vérité aussi directement. Il fallait que je le fasse par des moyens détourné.

Bon alors, je ne dis rien sur tes hypothèses. Tu sais très bien pourquoi. Mais je veux quand même insinuer que ma manipulation ne s’arrête pas à livrer October et Croustinette au lecteur pour qu'il les prenne pour les maitresses de jeu. Non donner cette fausse conviction au lecteur fait partie d'un plan plus large. Après je ne vais pas en dire plus, mais quand même, n'oublie pas que je n'aime pas la simplicité et que pour l'instant, tout ceci est encore trop simple pour moi.

« Quand il est passé par une phase 'Dark Frigiel" il a failli tuer Léo mais il ne l'a pas fait. » heeuuuu tu sembles si sûre de toi que je doutes... Mais en fait... C'est que... je ne me souviens pas de ce passage XD Il semble bien pourtant que cela devrait être le cas, tu es si sûre de toi, mais... Mais je ne vois pas du tout de quoi tu parles.
Cela ne serait pas de la CHM de The Miss ? Cela ne m'étonnerait pas. Mais elle a tellement lancé d'éléments et de petites aventures du même style, je n'ai pas pu leur donner à toutes un sens. Il y en avait trop et puis je voulais que quelqu'un n'ayant pas forcément lu la CHM de the miss puisse à peut près lire la mienne. Je n'ai pas internet, si non je serais aller chercher le passage en question... C'est la tristitude. Mais si non, il n'y a pas eut de passage comme cela dans le CHM et s'il y a en effet eut cela dans celle de the Miss, je te prix de m'excuser le fait que je ai oublié jusqu'à son existence même au point de ne même pas réussir à m'en souvenir. Mais en tous, même s'il y a ce passage chez The Miss, cela ne pose aucun problème pour mon texte.

« putain de génie » alors tous tes compliments me vont droit au cœur et me fond très très plaisir. Mais je ne peux pas les accepter. Ce n'est ni par modestie, ni parce que je ne considère mon texte et mon style méritant de telle éloge ( même si en effet je ne crois pas qu'il les méritent ) c'est surtout pour prévenir une grande déception. IL y a une incohérence dans la CHM. Et une grosse incohérence. Très très grosse. Très très problématique. C'est horrible, les incohérences pour moi sont les pires dans choses. C'est contre mes principes d'écriture. Une histoire est un accord passé entre lecteur et auteur. Beaucoup d'auteur joue sur cette accord et cela produit souvent de très beau effet, mais jamais il ne fond quelque chose qui lui es contraire. Ce contrat, il s'agit de quelque chose de très simple. Le lecteur accepte de se laissé porter par le texte de l'auteur, auteur qui donc peut faire ce qu'il veux du lecteur et le porter ou il veut, mais il n'a pas le droit au moindre faux pas, à la moindre erreur. Or l'incohérence est la plus grande faute possible... Et il y en a une dans mon texte. J'hésite à la dire. Je continue à espérer que personne ne l'a verra... Mais le pire est que je ne peux pas l'enlever, elle est logé dans le cœur même de mon texte. L'enlever serait pire qu'enlever la bataille du nether. Or tu vois bien les conséquence qu'aurait la disparition de la bataille du nether... October encore en vie, les Patricks qui n'ont aucune raison d'exploser et tant d'autre choses super importante que je ne vais pas tous dire. Le texte après serait totalement différent. Ce serait une autre histoire... et bien c'est pire pour mon incohérence. Mais quelle furoncle au milieu du tableau que je viens de finir. C'est vraiment horrible...
En fait il y a une autre incohérence XD, il en a deux. Mais la seconde vient du fait que je sois très conne par instant. Il y a des choses que je n'aime pas écrire, mais du genre pas du tous. Mais vraiment pas. Et il y a un de ses passages dans mon texte. C'était comme cela dans le plan. Et puis il est venu le jour ou il a fallu rédiger le passage. Et je ne l'ai pas fait PARCE QUE J AVAIS LA FLEMME. Tu te rendes compte de la stupidité. Seulement si je l'avais fait et bien il n'y aurait pas eut d'incohérence... Ne pas le faire comme je l'avais prévu dans mes plans m'a forcé à faire bidouiller des trucs bancales, qui maintenant font bien moche. IL n'y aurait eut aucun problème si j'avais fait cette scène. Mais je déteste tellement écrire ce genre de chose... Enfin bref, la il y a une petite incohérence, mais bon, je l'ai déjà corrigé sur le texte originale. Elle n'existe plus et 6 pages de point de vue supplémentaires ont été remplacé par 2 pages de la scène en question... Mais bon, dans le seconde version de la CHM, il y a eut pas mal de modification. Elle est quand même pas mal mieux niveaux rhétorique. Mais je suis vraiment désolée, ce que tu as lu est la première version.
Donc bref avec une incohérence et une mal adresse. Je ne peux peu pas légitimement accepter ce titre de génie que tu me présent si gentiment. Cela ne serait pas très beau de ne pas dire en face qu'il y a des gros problèmes. Je suis sincère, je ne m'en cache pas... Et si j'ai réussit à enlever la mal adresse, je ne peux rien contre l'incohérence, a part récrire un texte totalement différent, ce qui n'est quand même pas mon but...Mais merci beaucoup quand même.

« Ouais Siphano est innocent. » XD Tous juste. Je ne peux même pas faire semblant. Ton raisonnement est trop juste pour que j'y mets un peu de doute.


« je l'aime bien même si il est faible » je profite du fat que tu évoques la faiblesse du maitre de jeu pour rebondir. Il y avait un moyen très simple de constater la faiblesse du maitre du jeu. On sait que c'est lui qui a tuer Bill, et si l'on reviens à la mort de Bill, on peut voir qu'il a beaucoup galéré, mais quand même, faut le faire, galérer pour tuer Bill. Y a pas beaucoup de gens a qui cela peut s'appliquer dans la CHM

« Aypierre à lui parce qu'il est badass. » et encore tu crois connaître Aypierre, tu ne sais presque rien de lui en réalité. C'est comme pour le maitre du jeu. Crois tu que je donne si ouvertement le nom de mon maitre du jeu ? Crois tu que je montre si ouvertement les pensées du plus grand de mes personnages ? Trop simple tout cela... Aypierre a encore quelque secret à révéler. N'oublie pas l'interprétation qu'il a faite des carnets de Bill. Il n'est pas con, il y a une raison derrière tous cela. Aypierre a mener un vrai combat contre le maitre du jeu, un combat dont tu ne vois pas encore l'ampleur. Faire une alliance et mener la révolte, certes. Mais ce n'ai qu'une partie de sa lutte. Comme la bataille du Nether faisait partie de la lutte du maitre du jeu contre Aypierre, d'autre événements ont une double valeur.

A propos de « badass », il y avait une question que je me posais sur ce mot depuis longtemps. Bien sur je sais ce qu'il veut dire, je ne suis pas coupé dans mon monde de livre au point de ne pas savoir ce que cela veux dire. Mais quand même, je me pose un question. Quel est l'étymologie de ce mot ?

Quand a Croustinette ton raisonnement est tout aussi infaillible que pour Siphano. En effet ce n'est pas Croustinette. Il y a peu de gens parfaitement gentils dans la CHM, elle fait pourtant partit de l'un d'eux. Elle était sincère dans toutes ses actions. Et la pauvre, elle qui était si généreuse, qui voulait aider tous le monde, elle qui était si gentille, et bien elle s'est fait accusé d'être le maître du jeu... Même chose pour October. C'est quand même assez immérité comme accusation.

« Après il me manque le mobile. » alors la encore je me sent très mal. Je ne dis pas que le motif de mon maître du jeu est fumeux, mais quand même un peu. Un peu beaucoup. Il n'est pas très important pour la CHM en elle même, il l'est beaucoup pour les épilogues. Le motif du maitre du jeu me sert d'ouverture. Il relève d'un de mes principes. Dans le vie, tous ne se finie jamais brutalement, comme cela, un beau jour. Il y a toujours des mystères qui restent et qui peuvent rester toute la vie. Je veux la même chose avec mon histoire. Je ne veux pas que tous soit nette, bien tranché, bien claire. Je veux qu'il y ai de la brume, je veux qu'il reste des mystères pour que l'on puisse, même si le texte est fini, continuer à y penser, à rêver, à réfléchir. Je ne veux pas conclure la CHM en la fermant, en disant tous au contraire, je veux l'ouvrir et que l'esprit du lecteur, après la fin du texte puisse continuer d'y penser et peut être invente et écrive sa propre suite... Or le motif de la CHM est ce qui ouvre mon histoire. Je n'en parle donc pas beaucoup, j'espère que tu ne seras pas déçue...

Enfin, j'en parle quand même un peu. On va faire un d'histoire. Tu sais que l'empire romain fut la plus grande période de paix autour du bassin méditerranéen ? Napoléon lors de ses guerres constitua un empire dans lequel il diffusa ses idées d'égalité et de réussit par le mérite, les compétences, le savoir et non pas par la naissance et les privilèges. Mais dans les deux cas, les guerre restent des guerres. Elles purent être parfaitement horrible, les espagnoles se souviennent encore de Napoléons avec plus de haine encore que les anglais et ils ont raison vu ce qu'il s'est passé en Espagne. J'ai encore un exemple. Hitler ( le nom qui fache ) avait dans l'esprit l'idée d'une grande europe sans conflit, dans une paix durable, dans uns stabilité et sécurité incroyable. Bon après il est inutile que je rappelle toute l'horreur des autres idées d'Hitler qui font que ce petit point positif se pert comme un goute d'eau dans la mer. Mais enfin bref, tous ces exemples témoignent d'un fait : le pouvoir d'une idéologie. Au nom de cette idéologie, aussi belle soit elle, l'on peut commettre de vrai et horrible drame. Les communistes veulent un rêve. Une égalité parfaite entre les hommes, une utopie formidable et majestueuse. Une utopie que j'aimerais voir se réaliser. Mais pour la mettre en place, ils utilisèrent la dictature du prolétariat. Ai je besoin de rappeler les horreurs de Staline, la famine artificiel en Crimée ? Les camps de déportation en Sibérie ? Et pourtant l'idéale était si beau... Comme les autres, un belle idéale pour lequel tous les sacrifices ont été fait, des sacrifices tellement gros, tellement horrible que tous cela semble bien absurde... C'est la même chose pour le maitre du jeu. Il avait un but. Il voulait montrer quelque chose. Et il utilisa la même methode que ce que nous avons vu plus haut... Mais bien qu'il dit avoir gagné, pour moi il a échoué, comme on échoué tous les autres plus haut. On ne peux pas tous sacrifier à son idéale.

Voilà le motif de la CHM est philosophique (quel surprise venant de ma part ) Et il n'est pas simple. C'est pour cela que j'espère que personne ne sera déçu... Mais non, je ne suis pas du genre à vous sortir la mort d'une petite copine dont on n'a jamais entendu parler et qui sort comme cela de nulle part et sans raison, d'un temps avant la CHM, temps jamais évoqué.

« Tu nous en trouve un cool? » bah voilà, j'espère que cela te plaira mais je n'en suis vraiment pas sûre... et puis j'en parle pas beaucoup. Jamais directement, je ne fais que des allusions. Cela serait trop facile si je l'expliquais directement. Non, en ce qui le concerne, il s'agira d'un travaille d'implicite et de sens caché. Je ne veux pas d'un lecteur légume. Je le forcerais à se bouger les méninges. Il devra réfléchir pour ce point la. Je ne lui offre pas un philosophie bien claire, bien expliqué, mais un entrelacs d'allusion qu'il devra démêler. Mais s'il ne réfléchie pas assez, alors le motif du maitre du jeu lui paraîtra très bancale, inabouti et bien décevant.

« Frigiel est gentil quand on trahit sa confiance... » XD oui peut être un peu trop, mais Frigiel est d'un naturel gentil et plus c'est devenu un philosophe, ne l'oublie pas, et cela implique une manière assez étrange de réfléchir et de se comporter par instant...

« J'ai confiance en toi. » est ce encore le cas, malgrès tous ce que j'ai dit plus haut ? Me pardonne tu mon incohérence et ma maladresse ? Accepte tu mon motif ? Me conserve tu dans ton estime comme la déesse de la littérature ? Ou ai je chuté, le myth est il détruit ? Je suis bien malheureusement humaine, et l'erreur est humaine. Enfin bref, je ne le saurais qu'avec la dernière partie. Et j'espère que tu ne seras pas déçu. Que j'aurais encore ta confiance et ton estime. Et j'espère que Raikya lira aussi cette réponse, car mes tourments à l'égard des incohérences et du motif de la CHM, lui sont tous aussi destiné... et aussi parce qu'elle pourra peut être me répondre en ce qui concerne l’étymologie de « badass »

Enfin bref, merci beaucoup pour ta réponse. Elles me font de plus en plus plaisir car elles sont de plus en plus réfléchies, argumentées et intelligentes... voilà ma seconde réponses. J'espère qu'elle te satisfera.

P.S. Ah oui, je te dois un très grand respect d'avoir taper tous cela sur mobile. Je reconnais le tallent, car il y en a. Moi qui galère à écrire un SMS... Mes respects, madame !

WTF raikya !! Qu'est ce que j'ai fait pour si soudainement réveillé en toi un telle flot de parole ! Alors là, je suis sonnée... Enfin je pense que cela doit être parraille pour toi quand je me mets à délirer sur des concepts philosophiques que tu as eut le malheur d'utiliser XD. Raikya, je te crois très sérieusement atteinte de ma maladie. Bon et bien je vais suivre ton cours très attentivement.

« Comme on pouvait s'y attendre, Mich ne connait pas Bad Apple. » mais !! attends je m'améliore ! Mon frère m'as fait voir 3 animés ! C'est beaucoup pour moi. Attends j'ai vu 14 épisodes de Sword Art Online, j'ai vu Fate / Zero et je suis entrain de regarder The Melancholy of Haruhi Suzumia. Je trouve que j'ai une grande culture maintenant ! XD et mon frère m'a classé dans les insupportables, car je ne peux pas m’empêcher de critiquer tous le temps. Et la tu sens que je n'ai pas du tous était convaincue, mais alors ps du tous. A si dans Fate / Zero y a quelques personnages que j'ai bien aimé. Comme j'ai bien aimé le narrateur de haruhi machin. Enfin bref, le seul truc pour lequel j'ai du respect, c'est Miyazaki. J'ai grandi avec Miyazaki. Enfin bref, au lieu de raconter n'importe quoi, je vais commencer à lire.

« aussi appelé Otaku » aaaaaaaaahhhhhhh.... Mich vient de comprendre un truc.

« Touhou Project » ah ! J'ai déjà entendu parler de cela sur le forum. Attends je commence à comprendre des trucs, c'est super. Je me sens un peu moins à coté de la culture générale du forum

« Les jeux sont généralement des shot'em ups » ou la la la cela devient très très spécialisé pour moi. Tu sais que je ne connais que Zelda, Minecraft, Mario, live is strange, Evolande, moi. Tu pars dans des notions que je ne suis pas sûr d'avoir ( et la j'imagine facilement ton désespoir. Tu ne t'attendais pas à ce que mon niveau serait aussi lamentable) je ferais des recherches sur mon amis Google. Ah en fait si je connais, je ne savais pas que cela s'appelait comme cela, mon frère avait un jeu sur advence comme cela ( oui mon frère est celui qui me fait a culture jeu vidéo aussi... )

« les yokai (des esprits japonais, parfois semblable à des démons) » merci pour la définition XD Je serais rester très septique si je n'avais eut que le nom en japonnais...

« qui défend cette ville. » Contre quoi ? Ne me réponds pas, pas la peine de te fatiguer, je vais faire des recherches

« les antagonistes des jeux précédents deviennent jouables par la suite » ah ça c'est sympa ! Et donc cela fait une sorte de grande histoire ou chaque opus du jeu sont relier entre eux, genre comme pour Zelda ?

« niconicodouga (le Youtube du Japon) » Ils ont pas le même youtube ? Ah bon …

C'est quoi le « PV » ? Le point de vue ? Le point de vie ? Autre ?

« en Français, en allemands, » j'aime bien Raikya qui pense à moi et qui me met la version française et Allemande en lien. Elle a fini par bien me connaître... Merci pour cette attention de ta part. Surtout pour la version allemande ^^. A vrai dire, j'ai pas mal de problème avec le musique en japonais, Ce n'est juste pas trop mon truc. Changer de langue est pas mal pour moi. Peut être par ce que je n'ai pas juste écouter une musique, j'ai besoin de comprendre.


OK, alors là je suis super impressionné. Je crois avoir tous bien suivit et comprit à quelque détaille près peut être, et même... En tous cas, c'était très très claire, merci. Sans toi je ne me serait jamais douter de l'importance de la création artistique autour de cela. J'aurais survoler sans rien comprendre. Mais là c'était très claire. Et puis j'admire beaucoup ta culture, car c'était super précis comme exposée. On sent que tu t'y connais. Tu rentre dans des détailles super précit ( du genre je n'arrive pas à concevoir que l'on puisse retenir des mots comme  niconicodouga sans s'enmêllé dans les syllable.) Et c'est vraiment impressionnant. En tous cas pour moi cela l'est beaucoup.

Bon maintenant j'ai a nouveau internet et je peux regarder les vidéos... ( avant je n'avais fait qu'un copier coller du texte, je n'avais pas eut assez de temps )

Il est vrai que le noir et blanc est très beau. Que l’enchaînement entre les figure est très réussit. Mais après j'ai un peu de mal avec le manière dont sont dessiner les personnages. Ce n'est qu'un question de goût, mais c'est ce que je reproche par mal à la fantaisie japonaise. De mettre trop de nœud, de bouche, Cela fait trop de chose, on s'y pert. Et là encore plus, quand il n'y a que des contour. Cependant je penses que cela à du me géner parce que je ne connais pas les persos. Quelqu'un les connaissant, reconnaitrait leur attribut. Mais voilà, je n'ai jamais été une grande fan de cette manière de dessinée. Enfin bon, c'est très jolie quand même.

Pour la reprise, y a des gens qui ont du tallen ! L'ocarina sonne très bien.
Mais alors là, en ce qui concerne la pomme.... Je n'arrive même pas à y croire. C'est tellement impressionnant. Les gens sont fous ! Waaahhh J'en ai perdu mes mots. Le travaille que cela à du être. Et le niveau pour avoir cette précision dans le gravure... Je n'oses même pas imaginer le nombre du jour qu'il a du passer à faire cela. Et le nombreux d'heure de travaille préalable pour atteindre ce niveau. Je suis moins impressionné par le sand art, même s'il est très beau est très poetique, et que je n'aurais jamais les compétence informatique pour faire de même. Seulement comparré à la gravure à la main... La pomme, non mais, quoi...

Après il y a les vertions avec plein de petite vidéo. A vrai dire, je préfère largement la musique chanté en cœur. Je trouve que cela lui donne beaucoup plus de force.

Commençons par les trucs drôles.
Je vais pifer (j'aime pas ce mot mais bon) l'étymologie de badass.
Ça risque d'êtee faux mais au moins on va s'amuser avant la réfléxion.
Si on décompose le mot, (c'est super idiot mais drôle donc j'aime bien) on obient bad et ass. En français... Mauvais cul.. Oui j'ai explosé de rire. Ne me juge pas je suis une enfant! (comment ça d'habitude tu joues sur le fait qu'à 13 ans on dit ado? Nooooon...)
Donc mauvais cul. Et là si mon cerveau part n'importe comment (ça va être hilarant) on peut partir sur un mec qui s'est tellement battu, qui est si fort que ça se voit sur ses fesses.
Maintenant qu'on a dit des trucs faux, cons (faucon xD) et drôles, on peut passer aux choses sérieuses.

Alors il y a deux incohérences.
Moi je dis respect.
Maintenant que dans ta tête une voix hurle "WHAT THE FUCK IS SHE SAYING?" je vais expliquer.
On va prendre mon exemple. Égocentrisme? Peut-être.
Moi du peu de textes que j'ai écrit (un peu moins de 40 pas très longs) j'ai du faire au moins... 1, 2, 3, 4, 5... 6 grosses incohérences. Donc mis à part le fait que je suis pas trop bien placée pour parler erreurs, ce dont je me fours totalement d'ailleurs puisque je parle actuellement, je ne peux de toute façon pas te blâmer.
La plupart des personnes le savent, je ne suis pas laxiste. Surtout quand on parle de la Langue Française.
Mais j'ai fait mine de ne plus voir les fautes pour profiter au maximum de cette merveilleuse CHM.
Alors pourquoi une incohérence me poserait problème? Même deux.
Tu as dit avoir rectifié la première. Je ne lirai JAMAIS la version corrigée. Hors de question. Les incohérences font partie de ce récit et si ça ne tenait qu'à moi, je t'aurai interdit de corriger cette incohérence. C'est fait, c'est une erreur, c'est con mais tu assumes ma grande. Et je ne t'en voudrai pas.
Ou je ne t'en aurai pas voulu. Si je troyve l'incohérence je vais m'amuser. (oui c'est une mauvaise nouvelle pour toi mais je serai peut-être gentille)
Mais pour celle que tu ne peux pas changer... Bah... On s'en fout au pire.
Tu sais quoi? Je vais faire un truc que j'adore.
Utiliser tes propres arguments contre toi. Ou pour en fait.
Mais je vais prendre ceux du mobile.
Donc tu disais que dans tant de choses horribles, cette bonne intention se perdait? On peut tout inverser.
Dans ce flot de perfection, ces erreurs disparaissent Mich. Moi je ne retiendrai qu'une chose négative de la CHM : Elle me rappelle l'autre. *vomit*
Sinon niveau positif j'ai pas le temps de tout dire, j'ai des devoirs moi madame!
Sans plus tarder nous allins passer au mobile.
Une idéologie? Je te reconnais bien là ma chère. Toi et la phulosophie...
Ne t'inquiète pas, ça me va. Je sais que tu n'est pas du genre à nous sortir la mort d'une petite-amie comme ça. Non, tu fais dans le grandiose! Oui maintenant la philo c'est devenu grandiose à mes yeux. Si le Maître du jeu veut prouver quelque chose et qu'il a échoué...
Le Grand Aypierre y est pour quelque chose. Simple instinct.
Mais il y a un truc. Une personne.
Frigiel, Frigiel, Frigiel...
"J'ai gagné." qu'il nous dit le MDJ. Tu aimes les détails, rien n'est là par pur hasard. Non rien. Et ça c'est dur de ne pas penser à l'exploiter. Il a gagné, il a prouvé que même le plus pur des êtres pouvait faire le mal.
Ça me fait penser à un de mes cours de français. À deux en fait. Où le prof avait dit "On a tous un Hitler en nous." tu avais dit "le nom qui fâche" non? Eh bien tout le monde s'est indigné et moi j'ai continué mon dessin en réfléchissant et en me disant qu'il avait en quelque sorte raison, la folie meurtirière est humaine et enfouie au plus profond de chacun d'entre nous.
Il y a un autre cours. "l'être humain a besoin de massacre" il avait appuyé sur massacre pour nous choquer alors qu'il voulait communiquer violence. Et ça a marché. Et personne n'a réussi à sortir d'argument valable. Moi? Je dessinais en me disait que ce prof faisait preuve d'une éloquence qui donnerait forcément du fil à retordre à tous ceux qui débattraient avec lui. Je me suis abstenue parce que j'ai l'assurance et le charisme d'une truite à côté de lui.
Revenons à nos moutons.
Le mobile se rapprocherait donc de "Prouver que la nature humaine est mauvaise." ce MDJ est misanthrope ou c'est moi qui vais trop loin?
Tu pensais que je pouvais être déçue par tes erreurs et par tes choix?
Eh bien je suis déçue que tu aie pu penser que je puisse être déçue.
Tu es et seras toujours Déesse de l'Écriture.
Étonnant puisque je viens de dire que l'erreur est humaine, non?
Aimes-tu la mythologie grecque? Moi oui.
Eh bien tu es une Déesse grecque. Si tu n'as pas encore compris où je voulais en venir... Bah... Euh... Explication?
Les Dieux grecs sont exactement comme des humains mais immortels et tout-puissants.
Tu perdurera par tes écrits, tu es toute-puissante en écriture et tu as un caractère et des faiblesses humaines.
Tu es la Déesse de l'Écriture et moi je viens de temps en temps à l'Olympe qu'est la CHM. Ça me change des parties d'échecs avec Hades xD
Bref bref bref... Je suis contente de tout.
Au fait pour le tel, j'avais aussi du mal avant mais sans ordi faut se débrouiller! Un peu d'entraînement et hop!
Faut que je fasse mes devoirs mais j'ai la flemme et la rentrée c'est demain...
Sur ce, à bientôt!

Je crois bien, Mich, que je suis contaminée, désespérément... j'ai une amie qui écrit pas mal IRL et depuis que je lui ait fait un long comm' je suis devenue sa commentatrice attitrée XD) Telle marie Curie, je suis vouée à tomber sous la maladie que j'étudie...

" attends je m'améliore !" Je le constate. Mais c'était juste pour rire tu sais XD . C'est ... enfin, moi-même je ne connais, absolument rien en fait. Voilà, tout cet univers d'iconographies, chansons et autre qui nous viennent du Japon sont passionnantes, intéressantes mais n'ont rien d'essentiel. Tout comme les cartoon (là je pense à Avatar le dernier maitre de l'air, un chef d'oeuvre plein de nostalgie pour moi) ou encore toute la culture BD américaine avec Marvel, c'est un monde de divertissement, de joie, parfois de peine, aussi de morale quelquefois et de plaisir qu'en on tire. Ne pas en connaitre chaque détail ne fait absolument pas de toi quelqu'un d'inculte. Bref.

Fate/Zero c'est bien. Reconnu comme chez d'oeuvre et réalisé par le meilleur studio en matière d'animation graphique du Japon. C'est ce que j'en ait retenu. Après SAO (que je n'ai pas vu, mais enfin j'avais pas envie ça me parraissait vraiment bof) et la mélancholie de Haruhi Suzumiya (me semble, archi lourd ce titre x) c'est un peu étrange pour faire découvrir les animés à quelqu'un qui n'est pas du tout dans cet univers là. J'ai... moyen aimé pour ma part. Pour Haruihi, si tu veux voir quelque chose de beau et pas mal WTF aussi il faut regarder le film (The Disaperance of Haruhi me semble) Vala vala, c'était la séance critique XD
Mais MIAZAKI (enfin, le studio G en général, faut pas réduire il y a d'autres excellents films qui ne sont pas de Miazaki) c'est le BIEN absolu <3333

Ah oui elle défends la ville contre les démons qui voudrait passer de force le sceau. Enfin, c'est différent à chaque fois aussi.

SI y a YT aussi au Japon mais il on leur propre site de partage vidéo.

PV > Promotional Video = Clip vidéo. Clair?

Bof, tu sais tout ça vient à force d'expérience.

Voilà alors les autres réponses que je te dois sont en chemin. Petit à petit, tout ça prends une forme très embrouillée mais enfin, qu'importe XD

Miss Otaku

Alors j'ai un peu de mal de trouver en quoi « bad ass » est si drôle mais passons. Cependant j'ai quand même eut 18 au bac en anglais, donc j'étais capable de me trouver cette traduction, cependant je n'y crois pas trop. Il doit être le dérivé de quelque chose d'autre. Mais bon, je crois que je suis la seule à chercher la provenance de ce mot, d'autant plus que je ne l'utilise pas. Mais bon, j'aime comprendre les choses. Enfin, merci quand même
« des trucs faux, cons (faucon xD) » ah celle là par contre elle est mieux !

« On va prendre mon exemple. Égocentrisme? Peut-être. » Nop, c'est normale. C'est ce que tu connais le mieux, c'est sur quoi tu peux parler le plus aisément et sans risque de contradiction, donc non, ce n'est pas égocentrisme. On prends en exemple ce que l'on maîtrise. Si j'utilise la CHM dans certaine de mes critiques, dans mes coms, sur d'autre histoire, ce n'est pas par vanité, c'est par ce que je sais parfaitement ce que je dis. Si j'utilise souvent des références littéraires aussi, ce n'est pas pour me vanté et montrer de la culture, c'est juste par ce que je sais de quoi je parles.

Ah oui, avant de revenir sur le vif du sujet, je voudrais d'abord clarifié un point.
« La plupart des personnes le savent, je ne suis pas laxiste. Surtout quand on parle de la Langue Française.
Mais j'ai fait mine de ne plus voir les fautes pour profiter au maximum de cette merveilleuse CHM.
Alors pourquoi une incohérence me poserait problème? Même deux. » parce que la forme et le fond ne sont pas deux choses à confondre. Dans ce contexte très très large, la forme est la manière dont le texte est écrit (orthographe, police en ployé ) et sa présentation. Le fond est le style, les idées qui y sont, l'intrigue ext... . Et l'important est le fond, non la forme.
Flaubert, Balzac et je ne sais combien d'autre avait une écriture presque illisible à une époque où un texte est avant tous manuscrit ; est ce une raison pour ne pas les publier ? Beaucoup d'auteur de cette époque qui sont aujourd'hui dans l'oublie, avait une très belle écriture, mais qu'est ce s'il n'y a pas de fond ?
Juger sur le forme est obtus. Cela revient à juger quelqu'un sur son visage et non sur toutes les qualités qu'il peut avoir, à lui refuser son amitié par ce qu'elle a un bouton au niveau de la figure alors que c'est une personne avec un cœur d'or.
L'orthographe attaque à la forme. L'incohérence au fond. Ce n'est pas le même niveau d'importance.

« Les incohérences font partie de ce récit. C'est fait, c'est une erreur, c'est con mais tu assumes ma grande. » Et bien, non justement. Je comprends ce que tu veux dire. Un texte réécrit et réécrit à perdu sa franchise. Il n'est pas spontané. Certes. Mais l’improvisation à de grandes limites : elle ne mène nulle part. Shakespeare n'a jamais écrite aucune de ses pièces en les improvisant. Madame Bovary a été récrite plus de quinze fois par Flaubert. Il y a deux versions publié du Horla. La première est mal habile, vraiment pas digne de son auteur. Quel dommage si Maupassant ne l'avait pas réécrit une seconde fois pour nous produire un chef d’œuvre que l'histoire conservera à jamais comme un des plus grands de la littérature.
Rester au premier geste est stérile. Il faut savoir se relire, une œuvre est le résultat du travaille exercé sur l'inspiration. Rester à la première version est rester dans un cul de sac. Tu ne pourra jamais rien écrire si tu t'en tiens à l'improvisation. Un texte vieux d'un ans n'est pas fini. Il a besoin de voir le temps passé, d'être vu et revue pour être aboutis.

« c'est une mauvaise nouvelle pour toi mais je serai peut-être gentille » En quoi serais une mauvaise nouvelle pour moi ? Un commentaire est un échange. Un dialogue où, à égale, on confronte des opinions, on fait des remarques sur ce qui a plus ou non, on oppose deux vues pour arrivé à une recherche commune. Toute remarque est positive, car toute remarque apporte une pierre à l'édifice de cette réflexion, même si elle se trouve être invalidé par la suite. Qu'elle soit juste ou qu'elle soit fausse, que ce soit un reproche ou un compliment, dans tous les cas, je la reconsidéré comme un bien.

« Dans ce flot de perfection, ces erreurs disparaissent Mich. » et bien non justement. J'aimerais bien croire ce que tu dis. Et j'espère que tu as un peu raison, ce qui est en effet relativement le cas. Mais je ne vises pas le relatif. Je vises l’Absolue. Le parfait n'existe pas, c'est un idéal. Mais chaque erreurs est un pas qui m'en sépare, un pas que je peux encore franchir si je la corrige. Enlever les maladresses, revoir comme tu me le fais tous le temps remarqué, l'orthographe, sont des points qui améliore la qualité du texte. Prenons un pot de peinture blanche, ok ? Chaque erreur est de la peinture noire que l'on y ajoute. S'il n'y a pas tant d'erreur que cela. Le pot va rester assez blanc, c'est ce que tu dis et c'est ce en quoi tu as raison. Mais il n'en restera pas moins que la peinture ne sera pas blanche mais légèrement grise. Et peut être certaine personne ne le verront pas, il n'en reste pas moins que d'autre le verrons ( on en a déjà une qui le voit : moi est cela me dérange beaucoup ) et puis même si personne ne le voit, il n’empêche que le peinture ne sera pas blanche dans l'absolue. Ce n'est pas parce que l'on ne le voit pas, que ce n'est pas le cas quand même. Si j'étais étouffé d'orgueil et qu'ainsi je ne voyais pas les fautes de mon texte, cela ne changerait rien au fait qu'elles y sont ! Et elles n'ont pas à y être !
Mais ton encouragement est très gentil et remonte un peu le morale, merci <3

« Moi je ne retiendrai qu'une chose négative de la CHM : Elle me rappelle l'autre. *vomit* » Je ne crois pas être réellement bien placé pour commenter cela XD. Je penses que j'ai assez dis clairement que je n'aimais pas la CHM de THA. Peut être trop clairement même, car j'écris quand même un remake de ce qui est SON histoire, à la base... Je crois qu'elle n'en a même pas lu une seule partie. Je ne dois être pour elle que fille assez conne, vaniteuse à l’arrogance et assez incorrecte. Je comprendrais très bien qu'elle n'aime pas que quelqu'un sorte de nul part pour dire « attends, ce que tu fais, je ne trouves pas ça réussit. Je vais prendre tes idées et te construire un truc bien, tu vas voir... » J'ai bien conscience que je dois t'être assez insupportable à ses yeux... Remarque, moi, pour ma par, j'aimerais bien que quelqu'un fasse cela, J'y prêterais une grande attention, ce serait très intéressant. Voir ce qu'il trouve mal, voir ce qu'il améliore, voir quel nouvelle idée il a. Enfin bref, je crois qu'elle ne m'aime pas trop, et je vois des raisons pour cela, donc je me sens très mal placé pour la critiquer.
Par contre ce que je ne comprends pas, c'est qu'elle ai réutiliser son histoire en la postant sur épicube. Elle ne s'est pas donné la peine d'écrire quelque chose de nouveau, elle a juste reposter la CHM...

« Si le Maître du jeu veut prouver quelque chose et qu'il a échoué... Le Grand Aypierre y est pour quelque chose. » Nop beaucoup trop simple. Et puis le coup d'Aypierre, je l'utilise tellement que cela finirait par être lassant. Quand même, il y a d'autres personnages dans le CHM. Le maitre du jeu dit que ce e sont que des figurants, c'est lui qui le dit, pas moi. Au contraire, si je me suis cassé la tête à faire une histoire avec tant de personnages, c'est qu'ils ont un rôle. Et n'oublions pas pour autant que le maitre du jeu à clairement dit qu'il avait gagné... Enfin cela serait aussi bien trop simple s'il avait simplement gagné, ou s'il avait simplement perdu.


« il a prouvé que même le plus pur des êtres pouvait faire le mal. » certes. Et en effet, c'est ce qu'il a prouvé. Mais cela n'est qu'une partie de son expérience.

« On a tous un Hitler en nous. » oh cela n'est qu'une question de point de vue. Oui une certaine philosophie dirait qu'en l'homme, il y a une part de bien et du mal. C'est ce qui est sous entendu là. Mais cela ne pas forcément vrai. L'on peut aussi dire que l'homme se constuit lui même par ses choix. Ainsi il n'y aurait pas de nature humaine. L'essence n'est que le résultat de choix, elle est donc évolutive. L'homme se construit à chaque instant, il n'y aurais donc pas de part de bien ou de mal en nous, surtout que le bien et le mal ne sont que subjectivité. Ils n'existent pas en soit, mais c'est nous qui nommant bien et mal, donc cela n'a de réalité que celle que nous lui créons. Il y a plein de philosophie qui peuvent combattre cette doctrine, comme il y en a qui la défende. C'était juste pour te donner un aperçu ;

"l'être humain a besoin de massacre" le besoin de violence est encore autre chose … et peut être tous aussi contre carré. Le premier point est de savoir ce que l'on entends pas « avoir besion ». Alors ces un besoin animal, une soif de sang, que l'on pourrais voir dans les succès qu'avait les gladiateurs à une autre époques et les films de combat à la notre ? Est ce que l'homme a besion de spectacle brutaux ? OU bien est ce que la violence est nécessaire à l'homme pour qu'il puisse apprendre. Ils y a des enseignements tiré des guerre. On apprends des massacres. Mais est ce que cette apprentissage est il réelle. Il y a des exemples. D'un coté. La crise de 1930 ( premier choc pétrolier ) à créer des mécontentements, qui à mener à une neutralisation et une radicalisation de certaine personne qui ont aboutis au 3 Reich. Je sais c'est très très résumé. Mais si l'on regarde ce qu'il s'est passé à l'époque, on revoit exactement le même scénario se reproduire de nos jours... Mais on a d'autre part l'exemple inverse. On peut remarque que le nombre de démocratie augment au fure et à mesure de l'histoire... Marcherait elle vers un monde plus juste comme le croient les communistes ?

Tu relèves avec la nature humain, ici deux sujet philosophique très complexe que tu ne peux pas résumé à une vérité si simple et qu'il me coute chère de survoller aussi superficiellement. J'ai l'impression de les écorchér en résument des notions si complexe, si rapidement en oubliant plein de fait important. Mais bon je suis fatiguée, et je ne veux pas te faire attendre.

« Le mobile se rapprocherait donc de "Prouver que la nature humaine est mauvaise." » se rapprocherais d'accord. Mais si ce n'était que prouver la noirceur de la nature humaine cela serait un peu creux, un peu simpliste

« Tu es et seras toujours Déesse de l'Écriture. » <3 <3

« Aimes-tu la mythologie grecque? » tu sais à qui tu parles ? Tu sais que j'aime autant la mythologie grec que j'aime la philo ou la littérature et que j'ai pris une obtion de deux heures par semaines uniquement destiné à la mythologie ? Donc ouais, je connais et pas qu'un peu... et le compliment que tu me fais me fait vraiment plaisir. « Tu perdurera par tes écrits, tu es toute-puissante en écriture et tu as un caractère et des faiblesses humaines. » C'est a dire que... J'ai du mal avec mon texte. Je ne suis pas satisfaite, je trouve qu'il a de nombreux défaut autant dans le style que dans l'intrigue. Enfin bref d'un certain coté de je ne l'aime pas et je ne l'assume pas. Pourtant, quand même si je l'aime, car s'il n'est pas aussi bien que ce que je voudrais, il est quand même pas mal. Il a des qualités, et j'y ai mis tellement de cœur qu'il serait difficile que je ne l'aime pas un peu. Je ne peus pas l'assumer tellement certain de ses défauts me fond horreur, mais j'en suis quand même fière... That contradiction, et donc je ne le montre pas du tous dans ma vie IRL, mais je suis super ravie quand de plus en plus de gens le lise et me dise ce qu'il en pense sur internet... Et ta comparaison me fait particulièrement chaud au cœur car elle me flatte et surtout elle calme un peu ce reproche continue que je fais à mon texte par ce qu'il n'est pas aussi bien que je le voudrais. Elle m'aide à me pardonner mes erreurs. Elle calme le tourment interne.

Voilà !!! merci pour ta réponse ! Alors si tu veux ( ou quelqu'un d'autre) que je reviens sur les deux points philosophique, qu'on me le fasse savoir dans le com. J'ai déjà une réponse philosophique à faire à Raikya donc cela se mettra sur liste d'attente, mais je le ferais. Dès que j'aurais le temps et l'énergie...
Enfin si tu as quoi que ce soit à reprendre sur ce que j'ai dis, n’hésite pas ! Tu sais très bien que je serais ravie de continuer cette échange très interessant.
Enfin bref. Merci pour ta réponse et à plus !

Raikya l'Alchimiste l'espionne

« Telle marie Curie, je suis vouée à tomber sous la maladie que j'étudie... » tu me vole ma réplique. C'est ce que je voulais répondre !

« c'était juste pour rire tu sais » biensûr

« Fate/Zero c'est bien. Reconnu comme chez d'oeuvre et réalisé par le meilleur studio en matière d'animation graphique du Japon. » oulala je ne suis pas du tous aussi positive. Je trouve qu'il y a de très grand manque au niveau de l'intrigue et de son équilibre.

« SAO, ça me parraissait vraiment bof » et tu as raison.

« la mélancholie de Haruhi Suzumiya » j'ai pas trop aimé non plus, en fait comme SAO, je ne l'ai pas fini...

« Mais MIAZAKI, enfin, le studio G en général, c'est le BIEN absolu » on est d'accord !

Et si non, je suis en train de te préparer un com sur un truc, mais je trouve pas le temps, RT si c'est triste. Enfin, je réponds à Lielea et je te donne de mes nouvelles dans un autre topic. (et oui, aussi incroyable que cela puisse paraître, Mich sort de la section remake et part à lexploration de ce forum... C'est une grande aventure qui commence ! Quel territoire inconnu va t'elle découvrir, qu'elle endroit mystérieux va t'elle trouver ? Mich va enfin mériter son nom de strogoff, car quand même c'est un roman d'aventure ! Il reste pas tranquille à Moscou, Michel Strogoff. et puis, elle va se faire un tous petit peu espionne aussi (en fait pas du tous, elle a pas le temps )

enfin bref, salut !

LIELEA LE RETOUR



Après des mois d'absence, de l’isolement froid et scolaire revient aujourd'hui Lielea dans une contrée quelle connaissait bien. Abandonnant au prétexte des vacances cette prison de cahier et de devoir qui le retenait bien loin ici, elle refait le voyage vers un royaume d'imagination. Remontant sur ses pas, elle revient en arrière comme l'on remonterais dans les terres de son enfance. Elle retrace tout son parcourt , revoyant les qui lui sont familiée et puis elle arrive au croisement ou sa route s'est séparer de la notre. Devant elle se trouve le chemin de l'inconnue. Ce quelle n'a pas encore vu. C'est un nouveau paysage qui s'ouvre à elle, elle finit par arriver au bout du chemin,au petit amo du dernier chapitre qui attend de pouvoir elle plus loin. Elle y revoit celles qui était qui était ses camarades de route depuis longtemps. Elle retrouve celles qui y était depuis ce sentier depuis le début, elle rencontre ceux qui sont arrivé entre temps. Et maintenant. Aujourd'hui, une des première lectrice de la CHM est revenue !

Bon en fait ce n'est pas si vrai, cette acceuil que je te fais, car cela fait déjà plus de quelque semaines que l'on se parle par skype, mais bon, on va faire comme si l'on avait rien vu.

« Je dois dire que j'ai toujours des chapitres qui m'ont plus marqués... »C'est normal ^^ Moi aussi. C'est la même choses pour tous livres. Du genre le jour 6 ( l’incipit n'est pas passionnant, c'est normale c'est un incipite, mais on se souvient du premier chapitre, puis de la bataille du Nether, par contre entre la bataille du Nether et la mort de Bill, il y a un chapitre qui est un peu démunie... ) et le jour 12 ( après l'explosion du jour 11, mort d'Aypierre, de Skillnez et de Croustinette, le jour 12 ou il ne se passe presque rien, c'est un peu la misère ) Cependant ils sont tout aussi indispensables. Les autres ne sont bien parce qu'il y a eut des scènes pour les préparer. Le jour 11 ne sort pas de nul part.

« Et tu sais quoi? Je ne te crois toujours pas... » tiens fallait s'y attendre... Je m'en doute bien que tu ne me crois pas !! Je ne donnerais pas la solution si facilement. Enfin si. Je la donne la solution dans la prochaine partie et de manière pas si compliquée, mais c'est que je crois qu'à une sous partie de la fin, il serait temps de vous le dire. Et surtout qu'il faut quand même que j'explique comment le maitre du jeu a vecu la CHM, et que cela n'a pas grand intérêt si je le fait sans que l'on sache qui il est.

tes hypothèses, puis que tu me les a envoyé par mail, j'ai répons par PM et non dans les coms. Même si je crois qu'il aurait été plus simple de mettre le tous en spoilé pour que ceux qui ne veulent pas être influencé par ce que tu penses ne soit dérangé. Cela aurait suffit. Mais enfin c'est gentil d'être aussi prévenante.

« Comme tu le sais, j'ai relu toute ta CHM pendant les vacances. » oui pauvre folle... J'arrive pas à y croire. Tu es folle. Et bien tu as du t'en taper du texte ! Parce que quand même relire toute la CHM en une semaines, c'est un sacrée record. D'ailleurs oui, j'y pense, Otaku désolée, on vient te piquer le record du marathon de la CHM. Lielea entre le message que tu m'as envoyé au moment ou tu commençais ta lecture et celui ci, pour le décompte de 10 jours,

« ce qui à laissé le temps à ta vie de tous les jours (je pense surtout aux cours) à t'influencer. » tellement !! c'est énorme ! Moi qui sais quel cours j'ai eut à quel époque, je vois bien les références qui se sont glissés dans le texte. Cela concerne surtout la philosophie et la psychologie des personnages. Mais je savais dès le début que telle personnage serait empirique, telle autre cartésien, un tel plus apparenté à Machiavel, un autre à je ne sais qui, même si je savais la logique et la façon de penser de chacun, ils n'ont pris de réelle personnalité qu'au fur est à mesure que sur un nom je mettais non pas une doctrine mais une véritable façon de pensée dans tous ce quels ont de complexe. Et puis, par de heureux hasard, parfois la CHM rencontrait des concepts philosophiques que je venais de voir en cours et je ne me suis pas retenue de réutiliser les connaissance. Donc oui, je suis entièrement d'accord avec toi. On ressent le point des cours sur la CHM. Il y avait aussi un autre truc. L'année dernière commençait une nouvelle matière qui consiste à parler du travaille de l'écrivain. Qu'est ce qu'écrire une histoire ? Quelles sont les méthodes de création des auteurs ? Comment on t'il fait ? Étudier le travaille des « grands » est une chose. Il s'agit de savoir faire un commentaire de texte, une disertation. Une fois que tu maîtrises à peu près cela, ton style commence à se spécifier, à apparaître. Mais avoir un style n'est pas suffisant à la création. Il faut pourvoir concevoir son travaille. Et ce cours m'a beaucoup apporter. Flaubert m'a donner de la méthode et de la rigueur. Il m'a donner l'exigence envers soit même. Balzac et Kafka m'ont montrer les splendeurs et les dangers du travail nocturne. Stendhal, la légerté, la spontanéité ( bon on sent très bien que je ne suis vraiment pas une grande fan de Stendhal XD ) Donc oui, il y avait cela aussi.
Et puis la CHM a été aussi le moyen pour moi dé réfléchrir sur ce que je penses vraiment. Je m'explique. Je connais beaucoup de philosophie et à part Platon que je ne supporte absolument pas. J'approuve dans une certaine mesure toutes les philosophies. Je sais ce qu'elles disent et je trouves cela très logique, très intelligent ( non sans blague ) Bref elles me plaisent toutes beaucoup car je peux toute les utiliser comme moyen de réflexion sans gène et sans contradiction. D'un certain coté, je les approuve toute, alors qu'elle peuvent parfois être parfaitement antagoniste. Donc je prends les idées de tous les mondes mais n'ai aucune idées propres... Finalement, je me rends compte que je ne sais plus ce que je penses et ce que je prends pour vrai, je me rends compte si je le fouille un peu que ce n'est que préjugé, des certitudes que je prends pour vrai sans réellement y avoir réfléchit parce qu'on m'a dit ceci, ou que j'ai entendu cela et que cela m'a marqué. Je remets donc en question ce que je sais pour trouver ce que je pense. La CHM est cette remise en question. Plus elle progresse, plus je suis forcé de fouillé au fond des choses, plus cela deviens intéressant. Et maintenant que l'on arrive au dernier chapitre, maintenant que je suis en train de conclure, je vois ce que j'ai trouvé. Après ce n'est pas certain de tous, et je suis très très méfiante, d'ailleurs cela se sent dans le texte, on ne sait pas la position du narrateur à l'encontre de ce qu'il se passe, parfois il semble pour, parfois contre. Bref c'est compliqué. Et bien c'est la même chose pour moi. J'ai trouvé quelque chose, mais je ne sais pas encore quel valeur lui accorder, et donc je continue à chercher ce que je penses.
C'est un peu hors sujet, mais il y a différent stade dans le processus philosophique. Le premier est que l'on ne crois ne rien savoir et le travail est de découvrir ce que l'on sait. Mais une fois que l'on connaît bien que ce que l'on sait et que l'on a bien apprit, il reste un travaille encore plus dure à faire, celui de connaître ce que l'on ne sait pas. Le plus sage n'est pas celui qui à réponse à tous, car celui là même crois souvent savoir plus qu'il ne sait vraiment.

« malgré le peu de points de vue... » ah, ça c'est mon désespoir depuis la mort de Fukano et d'Ectalite. Je trouves les points de vue monotones. Ils n'y en a pas assez. Ils ne sont pas assez diversifiés. « Je m'ennuie » serait peut être un peu fort, mais quand même, j'aime bien alterné les plaisirs...

« je te dirais de réécrire le début... » Les premiers chapitres ou la partie écrite par TheMiss ? En ce qui concerne les premiers chapitres, j'ai déjà commencé à les réécrire. Je le fais pas mal dans le désordre, je rectifie un point de vue par ici en entière, seulement quel que phrase par là, sautant de chapitre ne partie. Et parfois même c'est des points de vue entière que j'ajoute, comme parfois se sont des points de vue entière que je supprime... Une grande activité est aussi de mettre encore plus de sous entendu parfaitement invisible, mais extrêmement méchant pour celui qui relis et qui voit le double sens. Ca c'est très drole. Surtout quand c'est le maitre du jeu qui parler ou que l'on est dans sa tête. Mais enfin, c'est un très gros travaille que je n'aurais pas fini avant longtemps je penses. En plus y a les épilogues qui me font craindre m'être lancé dans quelque chose de beaucoup trop gros, j'ai peur de perdre mon énergie à les faire et finalement, ne pas aboutir la réécriture de la CHM

« tu soignais tes parties de l'époque comme tu le fais aujourd'hui tu risques de te retrouver avec 20 parties par chapitre » pas réellement, le volume n'augmentent pas. Je ne veux pas d'un incipit trop développer, trop long. Il sert à faire connaissance avec les teams, mais on n'apprend à les connaitres qu'en avançant dans l'histoire. Tous dire sur elle n'est pas forcément une bonne idée. Mais il n'en reste pas moins qu'il y a de nombreux problème est amélioration possible, surtout au niveau des points de vue.

« n'hésite surtout pas à me contacter!!! » et bien je le ferais quand je mettrais à jour ^^ Comme cela tu pourras me dire tous les différences que tu remarquera et ton avis sur les modifications.

« ou pas... te connaissant quand même un peu, je doute que tu répondes à toutes nos questions... et si tu le fais ce sera juste pour que nous en ayons encore plus... je me trompe? » pas du tous. En tous cas c'est ce que je veux faire. Après est ce que c'est ce que je vais réussir à faire, c'est pas sûr. J'ai écrit hier la dernier phrase de la CHM ( oh la la on se calme, j'ai écris les derniers mots de la CHM, mais je n'ai pas écris ce qui les relie à l'endroit ou je vous ai laissé, c'est à dire qu'il me reste encore pas mal de boulot, enfin bref ) Donc j'ai écrit les derniers mots de la CHM et je dois avouer qu'ils me plaisent pas mal, mais le problème c'est qu'ils ne sont pas assez mystérieux. J'ai pas envie de vous laisser comme cela. Avec le souvenir d'un texte, non j'ai envie de vous laisser avec un problème que votre esprit devra mastiquer, tourner et retourner dans tous les sens, Une question dont la raison et le temps passant ne pourra pas se débarrasser si facilement. Une question qui restera, du moins un peu... Mais pendant ce temps, ce n'est pas le cas XD

« le grand finale » wooohh on se calme. On se calme. Y a pas de grand finale. Enfin si, il y en a une, mais il est déjà passé, c'est la mort d'Aypierre. Ce qui arrive n'est qu'un aboutissement, une conclusion, il n'y aura pas réellement de spectacle et même la seule scène d'action qu'il reste encore, et bien je l'ai passé sous ellipse, on prend le personnage avant, on le retrouve après. On ne voit rien, le suspense n'est pas le but de la dernière partie.

« en plusieurs parties, ce qui ne m'étonne pas » maaiiiss !!! C'est pas a faute OK ! XD

« parenthèses » je finis par avoir l'habitude avec toi ^^ Ne t'inquiète pas, je comprend très bien.

« Pourquoi as tu été obligée de tuer Bill et Aypierre?!!!! » Pourquoi leur ai je donner les deux plus grands roles de la CHM ? Pourquoi la construction de l'histoire est totalement fondé sur leur destin ? C'est leur sort qui construise la CHM. Il n'est pas anodin que leur mort entraîne un changement de cycle à chaque fois. La mort de Bill commence la CHM, La mort d'Aypierre la fini. Aypierre, Bill et le maitre du jeu... Cette scène dans le désert ou ils sont tous les trois présents, cette scène est la première de la CHM, C'est celle qui m'a fait écrire la suite, c'est la première pierre sur laquelle j'ai posé toute les autres.
Mais je suis très flatée par ta tristesse, et de ce regret envers ces deux personnages. Car c'est une vrai réussite pour moi d'avoir réussit à te les rendre si chère. Oui, je suis vraiment très flattée. Je comprends le compliment  très à cœur car il témoigne d'une impression réelle. Tu te souviens, on parlait du fait de ne pas accepter les compliments, ce qui est un peu vrai. C'est que je ne peux pas les accepter quand je ne les juge pas mérité. Du genre, « style merveilleux », cela me fait très très plaisir, mais je n'arrive pas à y croire car je vois très de défaut dans mon style, ou « chef d'oeuvre » je ne peux pas accepter ce titre pour mon texte car j'ai beaucoup trop de reproche à lui faire. Aucun de ces deux compliments n'est vrai pour moi. Voilà pourquoi j'apporte souvent une nuanciation. Seulement le sentiment que tu décris, tu n'en parles que parce qu'il est vrai, il est en toi. Un Compliment vrai fait incroyablement plaisir et chaud au cœur. J'ai l'impression d'avoir réussit quelque chose. Quelque chose que je ne peux pas mesurer moi même, mais dont j'ai la preuve par ton témoignage. Quelque chose que je peux accepter entièrement et sans remord.

« Malgré leur mort physique, ils sont présents spirituellement » c'est cela qui montrent bien qu'ils sont mes personnages principaux. Jamais ils ne quittent l'histoire. Le présence fut si forte que la CHM en porte la trace indélébile.

A oui, et à partir de maintenant, ma réponse est plus longue que la tienne ^^ je te l'avais dit très chère. Je te l'avais dit. N'est ce pas ma caractéristique de faire des réponses longues ? Bon je continue

« tu fasses parler le maitre du jeu... »  Alors je ne sais pas si tu as lu les commentaires des autres parties. Si c'est le cas, je vais un peu me répéter désolée.
Le but à peu près de ses points de vue est de perdre le tecteur, de cré un effet de surprise, un autre type de suspense, il ne s'agit pas de voir ce qu'il a arrivé, mais de comprendre ( dans la théorie tous cela, dans ce que je voulais faire, après est ce que j'y ai réussit, c'est une autre affaire... )

1) aucune description ; la description est ce qui donne le cadre, c'est ce qui permet au lecteur de se situé. Sans cela il est perdu. Ici le lecteur n'a que le discourt rapporter. C'est le premier point de déstabilisation. Ce flot de parole est donnée ex nihilo, il n'a rien pour la raccrocher. Même pas le ton de la voix. Le narrateur lui même a disparu.
2) Pour troubler encore plus les pistes ; il a s'agit de bien montrer la subjectivité du personnage. Tous ce qu'il raconte n'est pas la Vérité avec un « V » majuscule, mais juste la perception qu'il a eut des événements. C'est son point de vue. Uniquement son point de vue. Cela se voit très bien par exemple sur la mort d'Aypierre. Celui ci n'aurait pas du tous été d'accord avec ce que disait le maître du jeu. Le maitre du jeu ne ment pas. Il dit juste ce qu'il crois, ce qu'il pense, et il le fait sincèrement. Mais après ce n'est pas forcément la vérité absolue comme ce n'est pas nécessairement faux. Le texte ne dit donc pas clairement qu'elle interprétation il faut avoir, le choix en ai laissé au lecteur. Et celui ci, qui avait durant tous les chapitres précédents l'habitude de se laissé guider, il se retrouve tous à coup sans aide et un peu perdu.
D'autant plus que s'il l'on peut sans problème se forger un avis sur quelque chose qui ai claire, un événement dont on a tous vue de manière externe, il est parcontre difficile de juger quelque chose que l'on n'a vu qu'à travers la subjectivité de quelqu'un. Tous ce qui nous ai donner dans ces points de vue est biaisé, ce n'est pas neutre. Il est donc plus compliqué pour le lecteur de s'y retrouvé, il doit prendre pas mal de truc en compte, tenter de ne pas être influencer, manipuler, que ce soit par ce qu'il crois avoir vu, avoir comprit ( qui n'est pas forcément l'exacte vérité aussi, les personnages peuvent mentir durant la CHM, jouer un rôle, Ce fut le cas pour le maitre du jeu, il n'est pas le seul... ) et ce que dit le maitre du jeu. Bref, le lecteur est perdu dans ce qu'il sait.
3) mais cela aurait été trop simple s'il n'y avais pas eut une troisième voix pour foutre encore plus le bordel. A qui parle le maître du jeu ? Plusieurs solutions sont possibles.
Cela peut être un personnage, qui comme lui, aurait prétendu à la mort. Si le maître du jeu est en équipe, cela est fortement possible, il s'adresse à un allié. Mais enfin cette hypothèse reste quand même un peu bancal, grâce à la phrase qu'a relever Otaku, et puis parce que cette allier ne semble pas très d'accord avec la CHM et donc c'est bisarre qu'il ai participé à un truc qu'il désaprouvait.
Cela peut être … XD en fait j'ai supprimé ce qui suis parce que je me serait de cette hypothèse dans l'épilogue... Bon elle n'est pas parfaite, mais c'est juste pour le fun. Je ne respecte pas entièrement la CHM en la choisissant, cela ne corresponds pas parfaitement, mais c'est juste plus amusant, et l'épilogue, ce n'est pas la CHM, je ne vise pas la perfection, juste le plaisir
Cela peut être à peut près qui le lecteur veux que cela soit. Et cela continue de le perdre. Il doit faire son choix. La liberté est souvent étourdissante. Surtout après avoir été dans un prison narrative assez stricte. Durant toute la CHM, le narrateur était là pour manipuler, ou pour plus joliment dit, guider le lecteur, et finalement rare été les occasions où le lecteur était libre de penser ce qu'il voulait et ce n'était pas sur des trucs très importants. En tous cas, il y avait une pression sur son jugement et des barrières assez stricte posé par le texte. Et tous à coup, il y a ce point majeur dont doit décider le lecteur. Donc il est possible que pas mal de personne ai eut des idées que je n'ai pas eut. Bon j'ai quand même mit des limites, mais quand même. L'important est que souvent le lecteur ne choisit pas. C'est d'ailleurs, si on faisait un sondage, la solution qui serait majoritairement choisit, je crois.
Le lecteur de choisit pas, Il reste donc ce flou, ce mystère. Un vide qui trouble le lecteur. Un Mystère que j'adore. Tu te souviens de ce que je te disais ? Je n'aime pas les choses trop claire, dans la vie, on ne sait jamais tous, il y a toujours ces questions sans réponse et qui resterons à jamais sans réponses. ET JE LES AIMES CES QUESTIONS ! Qu'est ce que ce serait embêtant, si l'on savait toujours tous. Ce moment dans l'amour où l'on se chercher réciproquement, on l'on doute, on ne sait pas ce que pense l'autre, ce moment est précieux. Et puis la question suprême : La mort, qu'est ce qu'il y a après , quand arrivera t'elle ? Quel sens donner à la vie, si celle ci en a aucun, il faut le construire nous même, mais quoi construire ? Bref, j'aime ces questions. Et avoir une question sans réponse dans le texte me plaît vraiment ( bon c'est très relatif, car ce n'est pas aussi important de savoir à qui parle le maitre du jeu et savoir si le bonheur est le sens de la vie. Et puis j'aime aussi pouvoir tous contrôler, et ce contrôle est encore présent )
Enfin il y a une dernier possibilité qui, comme la troisième, produit un peu un effet de vertige. ( ou du moins je voulais qu'elle le produise, après si cela à marché... Souvent tous ces effets sont ressentis inconsciemment par le lecteur. Il trouve cela cool car il trouve cela étrange, mais il ne sent pas réellement pourquoi et ne va pas chercher. Tous ce mèlle en un grand flou ) enfin bref, il y a une dernière possibilité. Cela peut être au lecteur qu'il parle. Tu sais que j'ai des grands principes. Personnage, Narrateur, et Auteur ne sont pas du tous la même chose. C'est très important. Ce n'est pas moi, Mich qui raconte l'histoire de la CHM, mais le narrateur que j'ai créer. Et quand le narrateur est ironique, cela peut être pour faire passé un sentiment de l'auteur, mais ce n'est pas l'auteur qui porte un regard ironique. D'ailleurs le narrateur peut être parfois en sympathie avec des personnages sans que l'auteur ne le soit. Même si le plus courant et de voir la voix de l'auteur et celle du narrateur se mêler, ce n'est pas toujours le cas, et c'est loin de faire de ces deux entités la même chose. Quand au personnage, il peut se faire narrateur sans l'être. Par exemple quand Aypierre raconte ses cauchemars. Aypierre parle et le narrateur se tais. Ce sont les paroles directes d'Aypierre que reçoit le lecteur et non ce que dit le narrateur ( l'ironie de Flaubert passe souvent d'ailleurs par l'indirecte libre ou les paroles du personnage sont retransmise au lecteur mais teinté par la voix du narrateur ) Pour en revenir au directe libre, c'est un endroit privilégier pour l'auteur de faire entendre sa voix qui en modulant la formulation des phrases prononcé par le personnage va montrer au lecteur qu'il n'est pas d'accord avec ce qui est dit ( pour la plus part des cas. ) Enfin bref, les trois sont comme dans des mondes parallèles séparés. Et une règle de mon cher XIXème siècle est de ne jamais rompre les barrières qui sépare ces mondes parallèles. Il y a l'action avec les personnages, il y a le narrateur qui raconte l'action et l'auteur qui cré l'action et le narrateur. Et moi (enfin tous le nouveau roman avant moi – nouveau roman qui ne fait en fait que casser les régles ) et bien, j'ai rompu pour la fin cette règles. Le maître du jeu devient narrateur. Quand à moi même, auteur de la CHM, ne suis je pas en quelque sorte le maître du jeu suprême au dessus de celui de la CHM ? Mais pourtant c'est un personnage qui parle bien encré dans le texte. Il a agit ! Or le narrateur et l'auteur ne peuvent pas agir. Ils ne peuvent que regarder, que retransmettre ou que faire faire, mais pas être acteur eux même. Le personnage qui parle regarde à un moment l'heure, l'auteur et le narrateur ne peuvent pas regarder l'heure, il ne peuvent que faire qu'un personnage regarde l'heure. Ainsi donc mon narrateur et l'auteur deviennent personnages. ( c'est d'ailleurs une des raisons pour laquelle il regarde l'heure : garder un belle accroche au récit, une chaine que l'esprit du lecteur ne pourrais pas éviter par commodité ) Et le personnage, lui, s’émancipe de l'histoire pour parler directement au lecteur comme pourrait le faire le narrateur et l'auteur. Voilà la dernière possibilité:le personnage parle directement au lecteur. Mais simplement si le personnage parle au lecteur, alors il rentre dans l'histoire également et devient lui même personnage ! Et d'ailleurs j’appuie bien sur ce point en prêtant à l'interlocuteur des pensées qu'aurait pu avoir le lecteur. Si c'est bien fait, le lecteur est d'accord, au moins un peu avec celui qui parle. Enfin voilà le lecteur est pris lui même dans ce cirque d'échange de role car pour pouvoir parler avec un personnage, il faut qu'il deviennent lui même personnage. Et cela crèe une confusion que je rechercher, pour le perdre encore plus, pour rendre tous cela encore plus brumeux. Mon but est de déstabiliser le lecteur. ( mais enfin je reste vraiment moi même car je laisse quand même des règles assez strictes pour contenir tous cela. Je ne cherche pas le vertige totale )
4) Justement ce personnage mystère, je le fais parler mais je ne dis pas ce qu'il dit. Comme je le fais bouger sans qu'il n'y ai eut aucune description de son mouvement. On a que la réaction du mettre du jeu. Ainsi donc le lecteur dois deviner ce que fait l'autre, cela laisse de l'incertain et du mystère et beaucoup de plaisir que n'aurait pas contenu un simple dialogue.
5) Pour compliquer la chose, il y a encore un dernier point, la voix de l'auteur. Si tu regarde bien. Il y a un jugement péjoratif porter sur le maître du jeu. Je suis pas toujours d'accord avec les principes qu'il énonce ; par exemple : « Tout est histoire de point de vue ; a chacun sa conception de monde, après tous. » et l'inverse de ma philosophie. Et l'on sent ce jugement au travers du destinataire du dialogue. Mais parfois je suis d'accord avec le maitre du jeu, ou encore je ne sais pas ce que je penses et je m'interroge. Mon avis est très souvent là, présent et sensible, mais il n’arrête pas de bouger. Parfois je sui d'accord avec le destinataire, parfois au contraire je le critique et partage l'avis du maitre du jeu. Et le lecteur qui sens un peu ce point de vue que j'exerce sur les paroles dites, se trouve perturber par ce changement de camps, comme il se trouve aussi influencé par mon propre avis ce qui le gène dans sa liberté de réflexions et renforce le trouble...

Donc voilà c'est un peu un gros micmac. C'était très drôle à faire. Assez chaud. Mais j'adore ce genre de chose. Après je ne sais pas si le lecteur en est dérangé, mal à l'aise, un peu perdu, comme c'est sensé le faire au début.
Et c'est pour cela que j'ai choisit pour titre de la partie ou cela commence ; Toi, moi... et lui ? Mich, bien sûr pour l'auteur, le narrateur et le maître du jeu, car c'est lui qui dit cette phrase. Dich pour le lecteur et le personnage destinataire du dialogue. Et Ihn pour le personnage et Frigiel, parce que finalement, on ne parle que de Frigiel dans toute cette partie. Même si dans le passage en italique, il est mit au second plan, d'où les points de suspension et le « und ».

Ces passages sont inspirer du nouveau roman, en particulier de la méthode narrative de « la chute » de Camus. J'ai mis ces passage pour rompre la monotonie de la narration. On aurait eut toute la logique de Frigiel en un seul morceau puis tous le blabla du maître du jeu qui raconte comme s'est passé la CHM en un autre gros pavet, cela n'aurait pas été supportable. Donc je les ai entremêlé. Et C'est Raika qui inconsciemment m'a proposer cette idée, j'en ai profiter pour rompre avec la méthode de narration classique pour amener un peu de diversité.

« mais le fait que tu évoques qu'il ne regarde plus les pages de Bill après avoir fait sa propre idée me laisse penser qu'il y a une faute dans son raisonnement » Non pas cela au contraire, C'est bien selon moi. Cela suggère symboliquement l’assertion au savoir. Bon là on va fouiller dans l’immensité des symboles cachée de la CHM. Faisons un petit peu de philosophie. Qu'est ce qu'est savoir ? C'est entretenir une relation (de connaissance ) à une vérité. Qu'est ce qu'enseigner ? C'est prendre par la main l'élève, et le guider vers la vérité, c'est lui montrer la vérité. Mais lorsque l'élève regardera la vérité, il ne verra plus le maître qui la lui montre. Il se créera sa propre relation à la vérité et finira à ne plus être du tout relier au maître, mais à la vérité directement. Quand Frigiel s'émancipe, c'est très positif. C'est qu'il commence à se créer sa propre relation à la vérité. Il ne saura réellement que lorsque par la force de sa conscience il aura entièrement construite une relation aussi forte que celle que le maitre entretenait. Mais cela personne ne peut lui apprendre, c'est uniquement par sa propre réflexion que l'élève peut arrivé à la vérité. Donc au contraire. Frigiel dans ce cas viens de quitter le maitre, il en ai à la moitié du chemin de connaissance.

« je garde mes théories... » tu mets du theasing pour tout ceux qui lirons ton commentaire sans en avoir la seconde partie ?


« c'est juste dommage que tu n'avais pas le temps pour laisser les choses s'évoluer à une bonne vitesse... » en fait les 14 jours de la CHM sont très théorique. Psychologiquement cela ne tient pas le coup. Les choses ne seraient jamais allée aussi vite. Dans vrai vie, les choses auraient pu évolué potentiellement comme cela s'est passée dans mon texte si un jour équivalait à une semaines. Le temps n'est pas du tous viable. Tous va vraiment trop vite. Ils ne seraient pas devenue des brutes aussi vites. Donc oui un jour = une semaine.

« Tu avais le même problème que le maitre du jeu (quoique vers toi c'est plus sadique! comment se faire attacher les gens aux personnages le plus rapidement possible afin qu'ils désespèrent quant les personnages meurent...) » Le maitre du jeu s'en fout que l'on s'attache aux personnages... Il ne cherche pas à désespérer le lecteur... Moi oui, mais lui non... Je crois que je n'ai pas du comprendre. Quel est mon problème, quel est le sien ?

« Je trouverais très intéressant de voir ce qui se serait passé s'il a avait eu plus de temps (vers la fin ça va, les trois derniers jours pourraient rester tels quels) par exemple mettre trois semaines pour la CHM pour que les joueurs aient vraiment le temps de réaliser qu'ils doivent tuer et aussi pour que les combats soient un peu plus espacés. » en fait j'aurais écrit la même chose, simplement dans ce cas là, cela aurait été vraisemblable. Je me suis totalement fichu de la contrainte du temps, j'ai compressé en 14 jour ce qu'ils en aurait fait en 14 semaines. Ce n'était plus réaliste, mais je m'en suis fiché. Après si je l'avais écrit sous la forme que tu me proposes, cela m'aurait premis de dévelepper plus, de bien montrer l'évolution des états d'esprits. Par exemple je te répondais le 13 Sep 2014 ( la fille est allé fouiller dans les archives des commentaires XD )

« A vrai dire en tant qu'auteur, j'aurais préféré que la révolte de Bboy soit plus tard, qu'il est encore un peu de temps pour ruminer sa condition et en un sens sa bassesse. Mais vois tu, il y avait un petit "probleme" ( ce n'en ait pas un mais bon ) de timing : je m'explique:
Jour 8 :  Croustinette et Zelvac quitte la cité. Invasion de poulet sur la cité, point de vue interne de Bboy.
Jour 9 : Potaro se trouve face au poulet et Bboy se révolte.
jour 10 : ah mince je peux pas t'expliquer. Ce serais bête que je te dise ainsi la suite ( en fait c'est sa mort, ma j'allais pas la spoil )
Bref tous cela pour dire que c'était indispensable et que le temps entre chaque événement est très court donc qu'il n'y a as eut toute la maturation que je désirais, mais à cause de certaine conséquence qui influe sur beaucoup d'autre chose, je ne peux retarder les événements. En fait c'est le cas pour tous le jours 8, 9, 10, et 11. C'était un vrai sac de neuds pour tout compiler au brouillons, qu'il y ai pas de faux raccord... Je te dis pas la galère. » bon finalement il y a eut faut raccord. L'incohérence dont je parlais à Otaku.

Enfin bref pour en revenir à ce dont nous parlions, oui, il y a un problème de temps dont nous avons déjà parler. Effectivement comme nous le disions à l'époque, si j'avais eut plus de 14 jours, j'aurais développer plus. J'aurais approfondi la psychologie de chaque personnage. Je me serais un peu plus lâché sur les réflexions internes ext... Mais je n'aurais rien changé à l'action. Je pense que dans ma réécriture, je rajouterais quelque passage de psycho, mais pas tant que cela. Depuis le jour 12, je trouve qu'il y en a un peu trop, bien qu'ils soient tous nécessaires. Et puis la lecteur lit la CHM pour une aventure et non pas un condensé psychologique. Ce trait est important, mais je ne veux pas le forcer outre mesure.
Par contre ce qui serait intéressant, c'est de voir comment la CHM se serait passée si elle avait vraiment duré 14 jour et qu'elle avait été réaliste avec ce facteur temps. A vrai dire, je ne sais pas et ce n'est pas mon intérêt premier, j'aime avoir le temps et l'espace pour développer. Mais la synthèse est intéressante aussi, si quelqu'un a une idée à proposer, j'aimerais bien voir...

« tu aurais aussi pu rajouter cela dans tes descriptions » mouais, je ne suis pas d'accord, bien au contraire. J'ai supprimé des descriptions. On ne décrit pas pour décrire, bien au contraire. La description est un outil qui montre un fait bien précit. Son but n'est pas de faire un jolie petit passage poètique entre deux scènes d'action. Rajouter des descriptions comme tu le proposes ne serait que semer des scènes inutiles dans le texte et je suis vraiment contre cela. Oui, je sais faire une description, oui c'est cool, c'est jolie. Mais cela n'est pas suffisent. Il faut que quelque chose de réelle demande la description. Qu'il ai un but, qu'elle soit nécessaire et faire une pause récré nature pour le lecteur n'est pas nécessaire, bien au contraire. Je prends l'exemple de Frigiel regardant la mer. Il se trouve durant la mort d'Aypierre. Avoir un jolie passage comme celui là fait en effet une pause qui contraste avec la pression de l'autre scène. Un contraste qui les mets toutes les deux en valeur et qui les augmente réciproquement. C'est important et c'est une raison de cette scène. Mais la belle description est loin de ne servir qu'à cela. Elle sert a camouflé l'énorme indice qu'est le mur. Emporter le lecteur dans un lyrisme à le faire réver et à le rendre aveugle à ce qu'on lui met devant les yeux. Qu'il le prenne comme fait et qu'il n'y réfléchisse plus. La description ici avait ce but de lui faire gober un gros indices. C'est souvent le cas d'ailleurs. Mais voilà toute les descriptions qui avaient une raison d'être y sont déjà. Je ne vais pas en rajouter sans quelle ai un but et il n'y a pas de but à rajouter. Après je pourrais améliorer celle qui sont déjà là, bien sûre et je suis entrain de le faire. Mais je ne vais pas en créer d'autre, ou très peu. Décrire pour décrire est contre ma philosophie, il faut qu'il y a une utilité.

Mais cela me fait pensé à un des effets de la description. La description est une pause dans le récit, elle ralentit le cours de l'action. Hors je suis assez satisfaite du rythme de la CHM. Je ne suis pas sûre de vouloir ralentir le rythme de l'action. Je ne veux surtout pas d'impression s’immobilise avant la mort d'Aypierre. Après c'est normal, mais elle est déjà là, ce n'est pas la peine de la renforcer.

« Parce que tu donnes une profondeur à tes personnages, et que pourtant tu nous permets de nous retrouver dans chacun d'eux. » Pourtant ? Cela va de pert. Tous être humain est complexe. Ce qui permet ce rapprochement doit être le fait que chacun incarne une philosophie et une question que je me pose. Seulement on ne pense pas seul, l'époque est la et ce qui me fait me poser cette question, les expériences que j'ai vécu, vous devez en avoir vécu des semblables et si bien que nous sommes fasse à peu près au même interrogation et donc peut être trouve tu une partie de réponse inconsciente dans un personnage. Enfin, Durant tous les jours de sa vie, l'on baigne dans la philosophie. Tout act, tout choix est philosophie, ainsi donc, on retrouve dans les personnages des manière de raisonner et d'agir que l'on connaît par ce que l'on fait de même ou que les gens autour de nous fond de même. Il n'y a pas besoin de connaître le concept pour connaître.

Mais après je trouve que certain personnage ne sont pas assez développer. Bill avant tous les autres. Mais aussi Zelvac, Shorty et Bboy qui sont des personnages envers lesquels j'ai des regrès. Je les ai suvoler alors qu'ils avaient trous les trois vaiment des points interessant à développer. Leur point de vue risque d'être rallongé. Et puis je trouve que c'est trop souvent le point de vue d'un seul personnage dans une team, je vais essayé de faire varier tous cela un peu plus.

« Ensuite Potaro.. » A vrai dire, j'ai un problème avec Potaro. Je ne l'aime pas. Oh, ce n'est pas la seul. Je n'aime pas Brioche est pourtant ses points de vue ne sont pas si désagréable. C'est qu'avec Brioche je m'amuse, et je m'amuse bien. Mais je n'aime pas son rôle de jeune femme ayant perdu son amant. C'est ce genre de truc que je déteste écrire. Mais du genre, vraiment.

« Et puis finalement Frigiel... Au début, il n'était pas plat, il n'empêche que son caractère n'était pas dans mes préférés non plus... » Frigiel a patis beaucoup au début du fait que je me foutais de lui. Il ne m’intéressait pas et il ne m'intéresse toujours pas. Simplement au début, il avait une vrai concurrence. IL y avait plein de personnage en vie et plein de personnage qui m'intéressait bien plus que lui. Énormément plus. Donc il était vraiment placé en second plan, et même si je tenais à qui ne fasse pas personnage de troisième zone, je ne me suis pas forcé plus que cela. Mais à la fin, quand il ne me resta plus le choix qu'entre lui, Potaro, et un mourant (la folle qui fini qu'avec les personnages dont elle ne veut pas... ) et bien, entre ceux que je n'aimais pas, il est apparu plus tot pas mal, finalement. Mais il n'en reste pas moins que je ne l'aime pas. Ce qui est assez étrange quand même. Je n'aime pas mon personnage littéraire et philosophique... Par contre ma correctrice, elle l'aime beaucoup. C'est son personnage préféré avec Skillnez.

« même plus que celui de Siph... » je n'aime pas Siph non plus. Je m'ennuie avec lui. Le long chemin vers le suicide était un peu lourd, même si l'acte lui même était pas mal.

« Ce que je trouve un peu dommage dans les derniers chapitres, est le peu de présence de descriptions. » Qu'ai je à décrire ? Rien. C'est d'abord des sentiments puis de la réflexions... Non, vraiment, je ne veux pas faire de descriptions inutile qui ont pour seul but la beauté.

« Ils étaient toujours d'un tel délice à lire! »

« tu te concentres de plus en plus sur l'esprit de tes personnages » Parce que c'est le sujet. Comme cela l'était moins avant. Aypierre est mort. La CHM est déjà fini. Les derniers jours sont plats et froids. C'est qu'il n'y a plus d'espoir.

« je trouve que l'histoire perd un peu de réel... » que veux tu dire ? Oui, il y a une distance qui est prise avec le réelle, car l'on traite plus de la pensée, et la métaphysique est connue pour être un peu coupé de la réalité des choses. Mais je ne crois pas très bien comprendre ce que tu dis, tu peux préciser ?

« j'ai lu juste après un gros test de maths... » bah au contraire. Les Maths sont fondée sur l'abstraction,comme la philosophie c'est une étude du réelle qui s'en ai émancipée. Et les maths plus que la philo, car les maths parlent d'un absolue indépendamment de toute existence. 1 +1 = 2 sera toujours vrai, même s'il n'y avait jamais eut d'Homme pour le dire ou le pensée. C'est un concept en soit. Alors que la philosophie concerne avant tous l'homme, sa relation au chose et à lui même dans le but du bonheur. Elle n'est donc pas absolue même si elle vise à l'être dans la mesure de son possible.

« Je dois dire que j'aurais beaucoup aimé avoir plus d'un caractère encore en vie » moi aussi, c'est triste avec un seul personnage. Mais c'est voulu. Frigiel et le maitre du jeu doivent être seul.

« pour donner encore un coté surprise: vont-ils se rencontrer? se font-ils les mêmes idées sur l'idée du maitres du jeu ou sur ce qu'il faudrait faire? » et justement ce type de suspense n'est pas le but. Aypierre est mort. La CHM est fini. Le dernier cycle est celui de la retombé. Ce genre de suspense meurt avec Aypierre. Il n'est pas le but de la dernière partie. Tu peux me dire, qu'alors c'est chiant que la CHM est mal construite, qu'il aurait fallu faire duré ce suspense jusqu'à la fin, peut être aurait tu raison par ce que je n'ai pas encore du vrai tallent. C'est ce manque qui m'empèche d'arriver à l'effet voulu. Mais je le sent bien, c'est pas que l'on se fait chier dans le dernier cycle, mais quand même un peu. C'était le grand danger et je n'ai pas réussit à l'éviter.

« se rencontrer Siph et Frigiel » Oui cela aurait été intéressant de voir leur évolution comparée. Simplement que Frigiel n'aurait jamais laisser Siphano se suicider. Il l'en aurait empêchait. Or il fallait que Siphano meurt. Il aurait été un poids pour Frigiel et pour l'action. Il m'aurait encombrer et puis je veux qu'il n'y ai qu'un personnage à la fin pour rencontrer le maître du jeu. S'il y avait eut deux personnages, il y aurait eut un déséquilibre, 2 contre 1. Non je veux qu'ils soient à parfaite égalité.

« le fait que arriver après aie déjà été fait » oui, la je suis d'accord avec toi. Il y a ce niveau une insuffisance par rapport à l'intrigue. Mais il n'aurait pas été du tous possible que siphano se suicide si Frigiel arrivait. Tous d'abord car Frigiel ne l'aurait pas rejeter comme l'a fait Zelvac, donc il se serait racrocher à lui et à la vie.

« est ce que tu vas chercher des images? Ce n'est pas horrible? Et ne te fais-tu pas frissonner toi même en écrivant? » Alors il y a différent stade. Le fondement viens de moi, et uniquement de moi. Shorty, As2pick, Siphano, Potaro, tous cela vient d'abord de mon imagination. Je réfléchis tous les soirs avant de m'endormir à la CHM. Cela peut être pour penser à la gestion narrative ou à des scènes de torture. Non pas que je m’endors bien si j'ai torturé mentalement deux ou trois personnes avant, non, c'est que le soir est un moment de calme parfait pour penser.
Donc je tire d'abord tous de moi. Je regarde ce qu'il me fait horreur ; être mangée vivante ne me plairait pas trop. La douleur non plus n'est pas très agréable. Voir mon corps se décomposer de l’intérieur à cause de la maladie, mais rester bien vivante et pensante pendant tous ce temps, n'est pas terrible non plus, comme arriver à un telle stade de désespoir pour recourir au suicide. Tous cela n'est pas génial. Je tire de ce qu'il ne me plairait pas mon idée de base. Après je l'organise toujours seul et je la rédige une première fois, avec toujours, uniquement l’imagination comme appui. En question volume texte, c'est environ 2/3 qui est écrit, mais le travaille est loin d'être terminer car il faut revoir ce texte.
Après je vais voir mon bon ami internet pour avoir des descriptions, des témoignages, des articles scientifiques ( beaucoup d'article scientifique ) pour que cela soit physiquement viable. La maladie de Potaro pourrait exister dans la nature ( et elle existe presque ) Je veux et c'est très très important que tous soit scientifiquement valable. Par ce que cela crè un effet majeur : l'illusion romanesque. Bref, c'est de la manipulation. Je prends plein de fait réelle et que le lecteur sait réelle, pour les combiner ensemble. Le résultat semble très réelle également, mais il ne l'es pas. Plus ce sera réaliste, plus le lecteur en sera ébranler. Il connaît ce dont je parle, peut être pas aussi bien, car il n'a pas fait de recherche, mais il n'est pas ignorent, il a ses propres fantasmes, ses propres peurs, il connaît la douleur, il a vu des images. Par l'effet réalise, je fais remonter tous ce qu'il a vécu et tous ce qu'il sait, mais en le mélangeant à la premier partie d'imagination, j'ajoute les peurs au vrai, le fantasme au réelle. Ainsi donc je rends ce fantasme réelle. Donc oui. La phase de recherche scientifique est MAJEUR. C'est d'une importance grave et un énorme manque à beaucoup de texte sur le fofo, il faut se renseigner sur ce que l'on écrit. Il faut le connaître pour pouvoir l'utiliser et en parler. Plus on maitrise son sujet mieux c'est.
Après au article scientifique, il faut ajouter les témoignages des gens qui ont vécu cette expérience. Pour la connaître il faut la ressentir. Il faut donc aller voir ce qu'en dise les autres. Comme on ne peut pas parler de la couleur rouge si on ne l'a jamais vu, on ne peut pas parler de la douleur si on ne l'a jamais souffert. Dans la vie quotidienne, il y a toujours un peu de douleur, c'est ce qu'il te permet de comprendre l'autre, mais à certain niveau, cela ne suffit plus, il faut aller entendre la voix de celui qui à du la supporter.
Enfin je cherche des images pour pouvoir décrire. Il faut rencontrer la connaissance par la raison, c'est ce que nous avons vu plus haut. Mais il faut aussi la rencontrer par les sens, pour la connaître réellement. Il s'agit de deux types de connaissance, et n'en déplaise à Platon ( haine ) c'est deux types de connaissance sont à égalité. Les sens sont ce qui encre dans le réelle, ce qui te fait prendre conscience du monde. Les sens seront toujours là, Ils t'entourent à chaque instant, ils sont indispensable. Tu ne peux pas pensée sans les sens. La réalité te rappellera sans cesse par leur intermédiaire, tu ne peux pas t’émanciper de leur pouvoir. Et C'est la même chose pour le lecteur, le texte doit lui donner à voir, doit lui donner à toucher bref il doit lui donner à sentir, pour qu'il puisse comprendre. Car lui aussi est constamment stimuler par ses sens à chaque instant de sa vie jusqu'à la mort.
Bref c'est indispensable de voir. Donc je vais chercher des images. Il aurait été aussi très bien pour le texte que je puisse sentir, toucher, ressentir, entendre la douleur. Mais comment dire que je n'y tient pas trop... Je ne suis pas Flaubert qui va à un enterrement pour observer la douleur proche ou au contraire la douleur feinte. Donc non, merci, je ne suis pas aller toucher. Mais j'ai cherché. Donc voilà pour répondre à ta première question. Oui je vais chercher. Avec ces recherches, je finis d'écrire et je remodèle l'imagination. Ce qui est un travaille beaucoup plus gros et long.

Alors ça c'est valable pour la plus part des cas. Après il y a des morts symboliques. Par exemple Skillnez avec la prédominance de feu. C'est ses crimes passé qui remonte à lui par l'intermédiaire de Potaro et le feu qui le tue est celui qui l'épure. Dans toute religions ou mythologie, le feu est purificateur. C'est une marque qui est encore bien présente aujourd'hui.

Ensuite la seconde, est ce que c'est horrible ? Oui ça l'est. Étrangement la page wikipédia sur la torture n'était pas très chaude à lire. Par contre celle sur la pendaisons l'était pas mal. Mais en gros Wikipedia sait qu'il est un site grand publique et donc il est assez softe. Je pense par exemple au poison ou il donne plein de terme scientifique, mais évoque peu le concret. Il le fait rapidement, de manière précise et synthétique, ce qui fait que je l'aime beaucoup pour la première partie de la recherche. Après Wikipédia qui me donne une bonne connaissance, je vais voir les institues médicaux qui sont pas mal aussi. Il faut bien connaître le corps que je vais détruire, que ce soit pour la maladie par exemple, pour la torture ou le poison. Pour la maladie, cela me donne les symptomes, l'évolution du malade, ses douleurs dont il se plaint jusqu'à la mort. Pour la torture, les premièrs secours donne pas mal d'information, hémorragie, problème respiratoire... Il décrivent bien ce qui est mortel, pour que les gens puisse réagir. Pour moi, il s'agit de ne surtout pas toucher à ces points là qui sont vitaux. Pour les poisons y a pas mal de cite scientifique, c'est très utilisé dans la littérature donc je connais un peu ( inutile de parler de Madame Bovary, mais il y en a tant d'autre ) Pour les poisons il est aussi utile de chercher en venin.
Enfin bref, on ne trouve pas de truc trop choquant, cela reste très abstrait, très scientifique, une liste de symptômes coupé de la douleur que cela peut causé, avec tout un jargon médicale que transforme la douleur en sujet d'étude. Les mots cachent un réalité qui peut être bien sale, mais la rendent assez abstraite, je fais l'exacte contraire dans mon texte. Il n'en reste pas moins que certaine pages ne sont pas des lectures commodes.

Je pense à ce poison qui rends fou par la douleur, poison utilisé dans la torture, je pense à celui qui attaque les nerfs et qui fait que l'on devient prisonnier de son corps, on ne peut plus le contrôler, mais on continue à être conscient et quand il attaque le cerveau, l'on est toujours conscient et c'est horrible, on constate de la diminution de ses propres capacités mentale sans pouvoir rien faire. On est témoins de sa propre abrutissement. On ne meurt pas de ce poison, on devient juste un légume qui ne peut rien faire, même pas pensée. On n'est même plus un animal, mais l'on est vivant et conscient de sa décadence durant toute la chutte. C'est dure de ne même plus arrivé à penser. Mais la ce n'est pas par ce que l'on est mal réveillé... Je pense aussi à Ebola ou le corps se dissout de l’intérieur. Le corps devient une outre, la peau se tend comme un ballon de baudruche, elle retiens le corps qui se dissout. Les vaisseaux sangins éclate, on devient un ballon gonflé. Je pense aussi à la pendaison qui n'était pas cool comme lecture. Pas très agréable...

Mais si non, ça va. C'est lisible sans difficulté. Oui, très majoritairement lisible sans problème. Enfin pour moi.

Après il y a la recherche d'image. On peut trouver des trucs très horrible et c'est ce que je cherche. Je veux ressentir l'horreur que j'aurais à voir certain image pour pouvoir la transmettre au lecteur. Il s'agit de sentir. Et donc oui, je n'évite pas les images les plus gores car c'est indispensable pour connaître et le sentiment que j'éprouve doit un peu être transmit au lecteur, donc il faut que je le ressente. Après pour les images je ne vais jamais chercher aussi loin que pour les mots. Je me contente des deux premières pages Google image, c'est suffisant. Il n'est pas nécessaire d'aller chercher dans les très fonds de l'horreur.
La encore je support sans réelle problème. Comme pour le texte quand il est chaud, cela n'est pas agréable, mais sans plus. Dans c'est cas, la, quand c'est vraiment chaud, je me met une protection mentale. Je me renferme en moi même. Je passe ce masque que passait Aypierre au début de la CHM, tu te souviens ? Ce même masque que mets aussi le maitre du jeu. Je reste froide, distante. C'est une protection. Le plus dure était « ébola » et « massacre » tu trouve des images de génocide, des attentats en Tunisie, des corps éventrés, des images très brutale. Et puis celle de la maladie sont assez horrible aussi. D'ailleurs cela me fait pensé que je n'ai pas cherché « torture »... Jamais. Je n'y tiens pas trop, mais je vais le faire maintenant car si non cela va m’embêter. Mais bon je ne suis pas sûre de le vouloir, on se retrouve après...
Mouais... Bon, C'est pas joyeux. Vraiment pas. C'est même assez horrible. Je crois sans hésitation quand peu le mettre au même niveau que les deux autres mots. Je ne te conseille pas d'aller voir. Faut être un peu résistant. Mais enfin les images sont petites, ce n'est qu'un écran ce que tu vois, mais cela laisse pas mal à suggérer ce qu'il y a derrière.

Est ce que je frémis quand j'écris ? Non jamais, par contre là, cela ne me pose aucun problème pas le mois du monde. Je ne ressent absolument rien, si ce n'est un certain excitation quand je sens que le texte va être bien glauque, mais cette excitation, je la ressent aussi quand j'écris une belle description ou une scène d'action avec du suspense. L’excitation témoigne juste de la puissance du texte, quelque soit l'objet traité. Mais non, je n'ai jamais rien ressentis de l'horreur à l'écrire, ni à le lire, quand c'est moi qui le fait. Je suis froide, je ne vois que ce que je voulais faire, comment je le fais, quel procédé littéraire j'utilise, bref le sous texte, les clefs, en sautant ce qu'il dit réellement. Mais parfois le texte, les images souvent, dans ces cas là, je ne peux pas être totalement froide.

« si un film venait a être fait avec ton histoire, je pense qu'il aurait toutes les peines du monde à représenter tout ce que tu montre au travers de simples mots... » je ne crois pas, même si je suis très flatté pour la raison vu précédemment plus haut. Il y des moyens de filmer l'horreur et qu'elle soit bien horrible. En ce qui concerne le coté glauque de la CHM, C'est parfaitement reproductible. Je ne regarde pas de filme d'horreur, mais je pense qu'il doivent faire pire. Mais après la CHM ne se résume pas à une suite de scène gore et pas mal de chose que les mots peuvents transmettre, sont difficile à faire passer en image. Je pense à Philo par exemple. Elle ne passe pas bien à l'écran, je pense par exemple à ce filme sur la peau de chagrin. Une œuvre philosophique de Balzac ou les vrais question ont été littéralement recalé au second plan. Non, il n'y a que la controverse de Valladolid qui a été bien philosophiquement parlant, et encore, ce n'est rien comparé au texte. Mais cela reste un filme très intéressant à voir. Enfin bref, oui, je pense que pas mal de chose serait perdu par le changement de type d'art. Mais je ne doute pas que pas mal de chose serait ajouté. Des choses que les mots ne serait pas rendre. Les images peuvent être d'un grande force et le bon cinéma a de grand pouvoir.


Bon, nous voici à la fin... Il est temps de conclure. Merci beaucoup pour ton commentaire. Merci pour tous les compliments que tu me fais, que je n'ai pas relever mais qui m'ont fait très plaisir. Même si je n'ose pas croire à certain. J'ai un problème avec le dernier cycles, il me semble un peu mort. Je cherchais un autre type de suspense en cette fin, Il ne s'agissait pas d'être impatient de voir ce qui allait arrivé, mais d'être impatient de découvrir, de savoir. Mais je n'arrive pas à voir si c'est réussit. Comme pour la mort d'Aypierre, j'ai peur que le lecteur s'ennuie car le texte est un peu immobile, il ne se passe pas grand chose, on pense beaucoup... Mais enfin merci pour ce commentaire super gentil et très intéressant. Et je suis très épatée que tu ai relue toute la CHM. C'est très impressionnant, j'en suis très flatée.

Et bien tu te souviens que l'on parlait de la longueur des coms sur skype ? Je t'avais dit que ma réponse serait longue... Ne l'est elle pas ?

Enfin il faut que tu m'expliques pour quel raison tu es aller mesurer la taille du chapitre 3...

Sur ceux, en attendant ta réponse
Mich