En 2006, l’université « Columbia » de New York, se retrouva classée au sommet de la hiérarchie des universités mondiale, et c’est en partie grâce à ses innombrable professeurs plus brillant les uns que les autres.
Le poste de professeur en psychologie était occupé par le Dr.Connor Pierce , depuis maintenant plus de 20 ans ,c’était un homme qui faisait la quarantaine il était grand de taille moyenne avec de courts cheveux noirs qui laissait paraître la cicatrice qu’il avait au cou ,ses yeux étaient bleus avec un teint plus foncé que celui du ciel et ses sourcils légèrement froncés lui donné un regard sombre qui laissait paraître une grande haine et une énorme tristesse.
En classe il était du genre sarcastique, et il avait le don de faire passer l'information au étudiants ce qui faisait de lui un être très apprécié par ses ces derniers . il se pressentait chaque jours pour ses cours et ne pouvait point manqué l’un d’entres eux, mais en dehors on ne le voyait jamais il était tout le temps chez lui ,quoique ce détail ne touche en aucune matière l’importance ou l’attention de ses confrères,car il n’avait aucune liaison amical avec les autres professeurs,son seul ami était le chef de département Mr.slammar il se connaissaient depuis la fac et c’était le seul à être au courant du mystérieux événement qui remonte a 2 ans de cela,qui l’a marqué et fait de lui un être aussi solitaire , mais cela n’a affecté en rien son potentiel et son intelligence car il avait fait des études supérieures en psychologie et il avait écrit quatre livres dont un venait d'Etre publié.
Un soir d'automne Mr.Pierce avait pris le chemin de sa classe pour récupérer des dossiers avant de rentrer chez lui, il marchait tranquillement avec son sac pris dans sa main droite et sa main gauche profondément cachée dans la poche de sa veste. en arrivant il ouvrit la porte et il franchit son seuil quand une vague d’applaudissement surgit et une horde de journalistes et de photographes l’attendait quand il vint le doyen s’avança vers lui et s'exclama :
-Félicitation Dr.pierce !
-Félicitation ? mais pourquoi ?
-Euh bien vous av….
-Mr.laflonde vous savez bien que je Je n'apprécie pas ce genre de surprises, reprit-il en interrompant le doyen.
-Pierce votre dernier livre a eu plus de succès que vous ne l’attendiez ,vous avez gagner le prix du livre de l’année !
-Le livre de l’année ?Mais mon livre n’est q’un…..
-Soudain un jeune homme sorti de la foule et interrompit :
-Dr.Pierce je m’appelle Owen Mcgonegh, je viens de finir mes études en psychologie ,et j’ai lu tout vos livres, franchement je trouve votre travaille très fascinent !dit-il avec enthousiasme .
Pierce regarda le jeune homme avec un air de pitié en se disant «heh, fascinent hein ? tu ignore tous de ce travail,tu lis des recherches sur ces maladies et ces troubles mais moi je vis avec elles depuis deux ans ».
Il se retrouva plonger dans ses pensés ,sa tristesse et sa haine le rongeant ardemment , soudain il laissa échapper quelques mots de sa bouche :
-Tu ignores tout de ce travail !
-Pardon, monsieur ? Répondit le jeune homme étonné de la réaction de Pierce.
-Euh…non,rien ,soupira-t-il
- Puis il se tourna vers le doyen et lui dit d’une voix basse et gênée :
-Monsieur Laflonde je suis vraiment désolé mais je dois rentrer j’ai beaucoup de travaille à preparer pour demain et il ce fait déjà tard.
-mais, vous…..
Il détourna son regard de lui et l’ interrompit d’un ton énervé :
-Bonne soirée monsieur.
Un des journaliste s’écria :
-Et bien,voila quelqu'un de peu accueillant !
Connor se précipita vers la sortie qui ce trouvait à sa gauche de la où il se trouvait et gagna sa voiture comme si on courait après lui, il ouvrit la portière et entra dans la voiture de manière déséquilibré et heurta le toit avant d’allumer la lampe qui se trouvait prés du frein à main pour pouvoir chercher ses clefs dans les nombreuses poches qu’il avait ,il était emmitouflé à cause du froid glacial qui régnait cette nuit de pleine lune qui lui rappelait tant de mauvais souvenirs. Apres avoir longuement chercher ses clefs il les trouva et tenta de mettre le contact mais il n’y arriva pas toutes ses tentatives étaient soldés par un échec,Connor été très stressé comme si sa vie dépendait de ce qu’il allait faire, puis il se calma et se rendit compte qu’il tournait les clefs dans le mauvais sens,il démarra la voiture et pris la direction de son domicile.
En arrivant cher lui ,Connor gara sa voiture devant celle des voisins les Humphrey, il entra chez lui et posa ses clefs dans une assiette en fer noir qui été posé sur une table en marbre puis marcha le long du couloirs avant de monter dans sa chambre.La maison était composé de deux étages, le premier comprenait une sale de bain et deux chambres ; la premier lui servait de bureaux et la deuxième été une chambre à couché,quant au rez de chaussé il comptait une sale à manger,une cuisine et un vaste salon. Connor vivait seul ou du moins depuis quelques temps,et sa maison en témoignait d’elle-même ,les meubles été recouverts d’une épaisse couche de poussière et les provisions contenus dans les placards ne pouvait nourrir q’un seul homme ,quoique sa chambre était munie d’un lit de couple mais c’était le seul a l’occupait. Il étais minuit,Pierce était allongé sur son lit et n’arrivait pas à s’endormir, le vent avait ouvert la fenêtre qui visiblement était mal fermé, ce vent si glacial et si humide ne fit que l’éveiller d’avantage et l’éclat de cette magnifique pleine lune lui blanchissait le visage qui était si pale, et il ne pu s'empêcher de contempler sa splendeur malgré le fait que sa lueur le troublait bizarrement , son explication était que ça lui rappelait trop de mauvais souvenirs mais la réalité était tout autre …
Son esprit alla errer dans ses souvenirs, tant de portes s’affichaient et toutes renfermaient une mémoire, elles était luisantes de bonheur et de joie devant la tristesse et la haine de cette sombre porte enfoui tout au fond de son esprit,il faisait tout pour ne pas revenir sur cette triste page de sa vie mais il ne pu se résoudre d’évoquait cette pensé de son esprit,cette sombre porte renfermait les événement du 23 Décembre 1943. C’était une nuit de pleine lune,Connor était comme d’habitude en route pour rentrer cher lui au volant de sa voiture, il avait hâte d’entrer car sa magnifique femme l’attendait pour fêter leurs anniversaire de mariage, il gara sa voiture dans le même emplacement habituel mais il remarqua que la voiture des Humphrey ne ce trouvait pas la,mais il ne prit pas le temps d’en déduire la cause,tout ce qui l’importait c’était de rentrer au prés de sa femme.
Il ouvrit la porte, accrocha son manteau puis s’exclama d’un air enthousiaste :
• Hélène ! je suis rentrée !
Il attendit un moment mais aucune réponse n’est survenue, alors il s’avança lentement dans le couloir, toutes les lumières étaient éteintes mais il put apercevoir de la ou il se tenait la lumière des bougies que sa femme avait allumait pour leurs dîné, ça l’a rassuré un peu, mais les grincements sinistres du planché ne faisait que l'effrayer d’avantage, l’ambiance n’étais pas normale car il avait l’habitude d’entendre la douce voix de sa femme dés qu’il passait le seuil de la porte ce qui n’était pas le cas ce jour la,Connor continua d’avancer mais ce qu'il vit dans la salle à manger surpassait en horreur ces pires cauchemars,Hélène était assise sur une chaise totalement pale tel un cadavre, sa gorge tranché mais pas une seule goûte de sang ,il ne put pousser un cris, ca restait bloqué dans sa gorge,tellement il était traumatisé et dégoûté.
- Hélène !! Dit-il d’une voix déséquilibrée et abîmée par la peur et la crainte
Soudain,Connor perdu toutes ses forces et ne put rester debout, il se laissa tomber les larmes au yeux et se cogna violemment la nuque contre la cheminée mais cette douleur n’était rien face a celle qu’il éprouvait les yeux sur sa femme vide de toute vie,celle avec qui il prévoyait de passer le reste de son existence, sa magnifique Hélène,les cheveux blonds, vêtue de sa belle robe en soie vénitien, telle qu’Hélène de Troie, belle et condamnée à un sombre destin.... , Connor avait aperçu une petite carte avec des inscriptions posé devant sa défunte femme mais il ne put se relever pour la prendre, il ne faisait que crier espérant que quelqu'un vienne à lui :
• A l’aide ! appelez les secoures !
Il se leva pour porter Hélène dehors et il constata que sur cette mystérieuse carte posé devant elle était écrit : «notre vie est faite de la mort des autre», cette phrase ne lui était pas inconnue, c’était la citation préféré de son défunt père qui lui disait toujours :
- Cette phrase semble simple de sens mais entre les lignes se cachent bien des mystères
Connor arriva enfin a balayer ce sombre souvenirs de sa tête, celui de l’assassina de sa femme Il se sentait comme si il s’était réveillé d’un cauchemar, mais à un détail prés,il s’était réveille dans un autre endroit qui lui était inconnu, avec le cadavre d’une femme devant lui, est-ce une hallucination ou est ce que c’est belle et bien réel ? Mais Connor comprit vite que c’était réel et la douleur qu’il ressentait en témoignait, mais d’où venait cette douleur… ?
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Lun 28 Juil - 22:26
