- Léo calme toi s'il te plaît. Siphano avait beau le câliné le plus jeune pleurait toujours, il avait donc appelé ses frères pour qu'ils viennent tous autour d'eux mais rien à faire Léo était toujours inconsolable. L'aîné regardait ses frères et il avait bien vu que eux aussi voulaient pleuré. Siph et Xef avait encore le dos ensanglanté, les aînés avait toujours une atroce douleur. C'est alors que Siph se leva et parla à ses frangins.
- Bon ont ne va pas rester à pleurer toute l'après midi, nous devons rentré a la maison récupérer ce qu'on peut.
Siph prit son plus jeune frère dans ses bras et il se mirent en route pour la maison. Ils marchaient sur la grande place quand il virent un groupent de soldat, Brioche regardait attentivement les gardes avant d'apercevoir la tête de sa mère, il cria maman les 4 autres jeunes hommes se sont retournés, le petit Léo sauta des bras de son aîné et couru vers sa mère, il esquiva les quelques gardes qui ce trouvaient devant elle, et il bondi dans les jambes de sa mère
- mon bébé tu est vivant. S'exclama la femme avec une larme au coin de l’œil, le petit Léo avait vue que sa mère n'était pas dans son état normale.
-maman pourquoi tu pleure ? Dit Léo en serrant celle qui l'avait mis au monde
Les autres garçons avait rejoint la prisonnière.
- Léo … comment te dire … maman va faire un très très long voyage mais je serai toujours avec toi. La jeune femme posa sa main sur le cœur de Léo. Je serai à jamais dans ton petit cœur.
- et tu reviens quand maman? Répondit le garçon avec une toute petite voie
- tu vas dans les bras de Dortos mon ange, il faut que je parle à ton grand frère. Elle donna Léo, puis elle se dirigea vers Siph. Ce dernier savait que c'était la dernière fois qu'il verrait sa mère en vie. Elle lui caressa la joue et lui murmura,
- occupe toi bien de tes frères tu es un grand garçon maintenant … je t'aime mon petit diable. L'aîné ne sut pas quoi répondre, il baissa juste la tête. Une larme coula alors le long de sa joue, sa mère essuya la larme avec son pouce et fit un magnifique sourire à son aîné. Elle alla ensuite voir ses autres enfants s'approcha de Xef et lui dit
- fiston fait attention à Siph il serait capable de faire une bêtise. Je t'aime mon Xefounai
- moi aussi je t'aime maman. sanglota le cadet. Elle se dirigea vers Brioche, elle le prit dans ses bras et lui souffla un doux je t'aime mon petit pain d’épice. La femme fit un bisous sur le front de Dortos et sur celui de Léo et elle leur dit
- je vous aime mes amours. La jeune mère regarda une dernière fois ses enfants.
- Adieu mes amours je vous aimerai toujours. La femme eut alors une larme au coin de l’œil et se retourna en direction du bourreau. Siph voulu la retenir mais trop tard les gardes l'avait déjà emmenée. Brioche avait prit soins de retourner ses jeune frères pour qu'ils ne voient pas la mort de leur mère quant a Xef et Siphano ils ont regardés l’exécution. Le coup de hache c'est abattu sur la nuque de leur mère les aînés se sont coller et on fermé leur yeux, ils se sont tenu la main pour ne pas pleurer puis les grands ont tourné les talons et sont aller rejoindre Brioche et ses frères un peut plus loin. Les jeunes garçons sont partis en direction de leur ancienne maison. Une fois arrivé à leur maison les jeunes enfants ne virent qu'un tas de ruine. Siphano se motiva et annonça
- nous devons trouver un toit pour la nuit
- on peut aller voir Antoine le copain de papa !!
- tu sais que tes malin bribri. Répondit Siph avec un petit sourire. L’aîné savait que Léo et Dortos adoraient ce surnom. Sur le chemin Siphano essayait d'embêter les deux grand pour faire rigoler les petits, Brioche et Xef avait vue les intentions de leur grand frère et même si ils n'avaient pas la tête à rire ils se chamaillaient avec leur aîné. Et sa marchait bien les deux plus jeunes avait le sourire au lèvre. Nos jeunes héros arrivèrent chez Antoine, Siph frappa à la porte.
- bonjour les enfants chéri vient c'est les fils Cyrus.
- Bonjour madame. Répondirent les garçons.
- Venez entrer, ne rester pas dehors vous aller prendre froid
- merci monsieur. Les enfants était tout sourire
- venez par là, les deux grands je vais nettoyer votre dos et après je m'occupe des plus jeunes. Les aînés on rejoint la maîtresse de maison. La jeune femme leur nettoya les plaies qu'il avait sur le dos et elle leur donna un nouveau tee-shirt puis elle s'occupa des plus jeunes de la même manière.
*****
La jeune princesse avait entendu la conversation entre son père et les enfants, elle n'était pas d'accord avec la décision du roi mais que pouvait elle faire, elle n'avait que 6 ans. La jeune Blondie se questionna
je pourrai leur prêter des vêtements ? bah non je suis une fille. Je pourrai leur proposer de dormir à la maison ? non plus papa ne voudra jamais. Je sais je vais leur donner l'argent que tonton ma donné, mais comment je peux faire.
La gouvernante écoutait la princesse en travers de la porte de la chambre.
- Ma petite fée je peux vous aider moi, car je sais que vous êtes une princesse avec un grand cœur. Donner moi l'argent j'irai leur porté pendant la nuit comme ça votre père ne sera pas au courent
- merci ! merci mille fois. Répondit la princesse en sautant de joie
le soir même la gouvernante s'exécuta elle frappa à la porte de la famille qui avait recueilli les enfants. Le père se leva pour voir qui avait frapper.
- Bonsoir madame vous êtes qui ?
- Bonsoir monsieur je suis la gouvernante de la princesse, je viens vous apportez ceci ses pour les enfants.
- mais nous n'avons pas d'enfants madame
- cet argent n'est pas pour vos enfants mais pour ceux du père Cyrus.
- Comment savez vous qu'il sont là ?
- Mon mari m'a dit que vous étiez un grand ami de leur père je me suis donc dis qu'ils allaient sur-ment passer la nuit ici.
- Je vous en remercie alors madame !
Antoine ferma la porte et alla poser la bourse pleine de pièce auprès des enfants qui dormaient paisiblement.
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Dim 15 Fév - 19:49
