Qu’esse qu’y fait froid ici, dit Frigiel, on croirait dans un frigo.
-Et c’est toi qui dit sa alors que tu es née dans un petit chalet un biome saria, répliqua Zelvac, toi tu as froid nous on gels.
-Vous ça vas encore moi je vis dans un désert depuis ma naissance, dit-je difficilement. J’avais l’impression que j’allais mourir. Alors que les chevaux avançait lentement dans la neige je tombé du dos d’Epona et m’écroulait sur le sol. Tout le monde s’arrêtât d’un coup et Chaton et Léo m’aidèrent à me relever.
-Ça vas allez, repris-je.
-Nan mais ça vas pas, me-répondit Seb, tu es totalement gelé et tu dis que « ça vas ».
-Si on ne bouge pas on va tous congeler, dis-je en essayant de me relever et en retombant sur le dos.
-Elle a raison, repris Siphano, plus tôt on sera partit mieux ça seras, si on reste ici elle risquerait de mourir et je pense qu’aucun d’entre nous ne le supporterait. Mettez-lui une couverture et mettez-la sur le dos d’Epona. Tout le monde le regarda et obéit. Nous repartîmes alors mais après quelque minute mes yeux commencèrent à se fermé et quand je les rouvrais j’étais allongé sur de l’herbe fraiche, la chaleur été douce et parfumé d’odeurs printanière.
-Au Cat tu es réveillais, me dit Zézé en me prenant dans ses bras, du nous a fait une de ces peurs. Je lui souris puis je regardé aux alentours. Personne…
-Ils sont où les autres ? Demandai-je au brun.
-Partis faire un tour, me répondit-il. Ah peine m’avais il répondu qu’un cri se fit retentir dans la forêt. Je me levais et partit en directions de celle-ci en courant. J’arrivais et la vision d’horreur : Les sbires de Whithera ont attaqué les autres et l’un d’entre tenait Chaton en otage avec une épée qu’il tenait sous la gorge de celle-ci. Par instinct je dégainais mon arc et tirait sur l’homme mais celui-ci ayant prévu le coup tira en même temps que moi. Ma flèche l’atteint en plein cœur mais la sienne siffla à mon oreille et atterri sur le cœur de Zelvac… Mon cœur rata un battement quand j’entendis le corps de l’homme tomber par terre.
-NAN, criais-je, Zelvac répond moi je t’en prie ne meurs pas. Je retirais la flèche ce qui arracha un cri de douleurs au brun. Reste en vie.
-Je… Il n’eut pas le temps de finir sa phrase que son cœur s’arrêta de battre. Je m’effondrais en larme et serrait le corps inerte et sans vie du pauvre Zelvac. Les autres le regardé je voyais en particulier le visage de Siphano, le visage d’un Siphano détruit par la haine et la tristesse. Celui-ci tomba sur ses genoux et prix la main de Zelvac en pleurant. Je me relevais et me mettais à crier.
-Whithera ! Je sais que tu mentant ! Viens ! Viens te battre ! Comment oses-tu ! Je te tuerais ! Je vengerais Zelvac ! Putain !
-Et tu ne seras pas seule, reprit Siphano en se relevant. Après quelque minute de silence, nous enterions Zelvac et décorions sa tombe de fleurs. Puis nous repartîmes vers le temple.
-Cat… Commença Frigiel.
-Laisse-moi tu veux. Lui répondis-je sèchement.
-Cat écoute…
-La ferme laissez-moi tous !hurlais-je, j’en ai ras bol ! Je suis assez énervé comme ça. Le reste du groupe me laissa donc et j’installai mon lit loin des autres.