| | | BriPhano, Partie 2/2 - Nyal et Sipha' |
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|  Dim 21 Juin - 8:08 Nyal27 Oui, j'ai complètement zappé de vous le poster Mercredi. Me tapez pas hein ? 
Info importante pour la réussite de la lecture : les tirets signalent le changement de personnage, et nous n'avons utilisés que deux personnages,
Les PDVs de Brioche ont été écrits par moi-même;
Les PDVs de Siphano ont été écrits par Sipha'.
Voilà !
Je réfléchissais. Et oui, ça peut arriver à une brioche. Je savais pertinemment que Léo ne répondrait jamais à Siph'. Ce dernier me serrait la main tellement fortement que ses jointures blanchissaient. Plus l'attente durait plus la colère montait en moi. Je commençais à en avoir marre des amis qui ne prenaient pas en compte leurs propres amis. Un ami est fait pour te consoler, te comprendre, ect... Soudain,au bout de 10 minutes de patience, la fureur explosa. Je tapai de nouveau contre la porte en vociférant le prénom de notre "ami".
Comme il ne répondait pas, Siphano haussa les épaules et commença à tourner les talons lorsque je le retins par le bas de son t-shirt. Une fois qu'il se fut retourné, je sortis une épingle de ma poche et torturai la serrure de la porte. Cette dernière s'ouvrit avec un déclic satisfaisant. Souriant devant ma réussite, j'entrai dans la maison. Cette dernière était bien rangée et ordonnée. Un escalier se présentait au fond. Je me dirigeai vers lui et je l'empruntai pour accéder à l'étage. Il y avait une porte blanche avec scotché dessus une feuille marqué d'un "Léo" noir. J'ouvris délicatement la porte et je jetai un coup d'oeil à l'intérieur. Un jeune homme blond était étalé en mode étoile sur un lit double installé au milieu de la pièce. Un léger ronflement s'échappait de la bouche entrouverte du Zangdar. Je souris en le voyant endormi. On allait pouvoir et devoir s'amuser un peu pendait qu'il sommeillait.
Je fis signe à Siph' de me suivre. Je refermai doucement la porte derrière moi, puis nous redescendîmes au rez-de-chaussée. Je pris les clés sur le comptoir et je sortis de la maison, Siphanouille sur les talons.
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-Où on va, Bri' ? Demandai-je, curieux.
La brioche avait un sourire en coin. Vous savez, ce petit rictus qui ne vous laisse rien présager de bon... ?
-Tu te souviens de ce qu'avaient fait quelques amis à nous pendant qu'As2pik était en vacances... ? Me demanda t-il, mesquin.
Évidemment que je m'en souvenais : la vidéo de son appartement remplie de post-it m'avait traumatisé...
-Tu ne comptes quand même pas faire la même chose ?! M'étonnai-je.
Il se retourna et me sourit. Sa bouille me fit complètement craquer...
-Bah si, pourquoi ?
Je haussai les épaules et lui souris en retour, acquiesçant d'un signe de tête.
Je ne pouvais rien lui refuser après tout.... En chemin vers le magasin, Brioche m'expliqua son plan en détail : On va chercher les post-it, on décore sa maison et sur un seul papier y est inscrit un rendez-vous pour qu'il puisse lui parler. Évidemment, je ne suis pas convié... Tant pis. Si telle est la volonté de la brioche, je m'y plierai. Malheureusement... Nous fîmes nos petites emplettes et nous retournâmes tranquillement vers la maison du blond. Nous n'étions pas pressés : quand il dormait, c'était facilement pour quelques heures. Habitué à son ronflement constant, j'avais deviné qu'il n'était pas depuis très longtemps dans les bras de Morphée. Pendant que nous accrochions les post-it, j'eus une petite idée : si Bri' était sadique, alors moi aussi... Je décrochai un énième papier du bloc et appela :
-MariBri' ?
Celui se retourna et me demanda ce qu'il se passait, ne se doutant absolument de rien. Avec une rapidité extrême, je lui collai le papier en pleine face. Il s'énerva bien rapidement :
-SIIIIPH' !!!
Et ça dégénéra en bagarre de post-it... Innovant, n'est-ce pas ? On se sautait dessus tels des sauvages, se collant le plus de papier possible. A la fin, autant vous dire qu'on était de vrais beaux gosses.
-On devrait se calmer, suggéra Bri'. On risque de réveiller Léo...
J'eus un soudain fou rire :
-Nous ? Réveiller ce paresseux ? On peut toujours essayer !
Nous nous nettoyâmes et Brioche inscrivit un lieu sur le post-it le plus en avant. Il me dit une nouvelle fois de le suivre au dehors, me pauma dans un coin de Paris qui m'était totalement inconnu et s'en alla au rendez-vous.
Malinx, le Lynx ! Enfin, pas tant que ça... Cet idiot avait oublié que je connaissais parfaitement le lieu du rendez-vous ! Très rapidement, je me mis à courir vers Les Tuileries. Car oui, depuis le début j'ai en tête d'aller espionner. Et alors ? Il faut bien un peu de fourberie dans ce monde ! Arrivé au lieu, je contournai la brioche de loin pour éviter qu'elle me voit, puis me cachai dans des fougères, bien plaqué au sol. C'est à ce moment là que je vis le blond arriver...
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Je patientais au lieu de rendez-vous, les mains dans les poches. Il en mettait du temps, Léo ! De plus, je n'étais pas sûr que Siph' resterait là où je l'avais laissé. Ce dernier avait acquiescé sans protester lorsque je lui avais exposé mon plan, mais je savais qu'il était un peu blessé que je le mette à l'écart.
Quelques minutes passèrent, puis enfin, une silhouette se profila au loin.
J'attendis.
Enfin, le blond arriva devant moi et me fixa de ses yeux émeraude. J'étais un peu gêné. Comment parler de cela avec tact ? Un sourire se dessina sur ses lèvres.
"C'est tout ce que vous avez trouvé pour me faire chier ? Des post-it ?, s'exclama-t-il avec une expression amusée."
Je ris de bon coeur avec lui. Effectivement, je n'étais pas allé très loin pour trouver une idée. Mais très vite, je stoppai ma joie. Il fallait que nous parlions sérieusement, lui et moi. Il remarqua que j'avais arrêté de rigoler et m'observa avec suspicion.
Je soupirai. Je n'avais vraiment pas envie d'aborder ce sujet avec lui.
"Léo.., dis-je doucement.
- Mhmm ?, répondit-il.
- Tu sais, je..
J'inspirai profondément.
- Tu ?
- Et bien, tu sais, ce matin, pendant la convo, et bien..
- Et bien ?
- Je... Je t'ai vu lancer plusieurs regards à Siphano, lançais-je avec un regard prudent en sa direction.
- Et ? Je ne peux plus le regarder ?! Je ne peux pas regarder Môsieur Siphano ?!, cracha-t-il avec véhémence.
Les larmes brouillèrent ma vue. Pourquoi réagissait-il aussi mal ? Cela voulait-il dire que mes conclusions étaient vraies ? Je ne voulais pas penser à ça.
En voyant mes larmes, Léo prit un air de culpabilité.
- Désolé Brioche, c'est juste que... je suis un peu sur les nerfs en ce moment.
- Oui mais...
- En fait, j'ai... un peu de mal à rester en présence de Siph'..
- Mais...
- Parce que... Comment dire ça ?, soupira le blond en se passant la main dans ses cheveux."
Il s'approcha lentement de moi, des cernes sombres sous ses yeux prouvant les nombreuses soirées WoW. Qu'est-ce qu'il voulait ? De toute façon, mon coeur était anesthésié par Siphano.
Je reculai d'un pas, incertain. Les larmes avaient recommencé à rouler silencieusement le long de mes joues.
C'était bien ce que je pensais. J'avais envie de m'arracher les cheveux soigneusement cachés derrière mon masque de brioche. Pourquoi est-ce que ça tombait sur moi ?!
-Je... Je suis désolé Léo, parvins-je à murmurer avant de tourner les talons et détaler tel un lapin en fuite du danger. Il y eut un bruit sourd de pas, puis le silence.
Enfin, pas tout à fait. Une respiration haletante troublait la quiétude à laquelle aspirait mon esprit torturé.
Des bras puissants m'enveloppèrent, alors que mes sanglots retentissaient.
--------------
Tout arrivait lentement à mon cerveau. Léo serait.... de MA Brioche... ? Je ne le permettrais pas ! C'était MA brioche ! Je l’avais connue avant ! Je l’avais aimé avant ! J'avais vécu des aventures formidables avec lui, loin sur une île au trésor... Je culpabilisai : ce que je pensais était terriblement égoïste...
Que voulez-vous ? Il n'y pas d'amour sans jalousie. MariBri' partit soudain en courant, les larmes sur les joues. J'hésitais à le rattraper : les sanglots du blond m'en empêchaient. Avez-vous déjà dû faire un choix entre deux très bons amis ? Ce genre de choix qui vous déchire le coeur. Ce genre de choix qui vous provoque la culpabilité. Ce genre de choix qui vous détruit mentalement.... Mais j'essayais tout de même de raisonner logiquement. Léo aime Brioche. J'aime Brioche. Je suis extrêmement proche de MariBri', plus que le blond ne l'est. Si Zangdar a du mal à rester avec moi, me lance des regards jaloux, c'est bien qu'il m'en veut de cette proximité avec Bri'. Donc a-t-il réellement envie de me voir ? Non, certainement pas. Encore moins si c'est la cause de son malheur qui souhaite le consoler. Pourtant je ne supporte pas de voir un de mes plus anciens amis être mal en point...
Que faire ? Mais que faire bon sang ?! Brioche... Il doit s'en vouloir à mort. Il est aimé par deux personnes en même temps, et ces dernières s'entendent très bien. Mais par cause de cet amour, l'une de ces personnes évite et envie l'autre... Oui. Il doit se prendre pour la raison de ce froid entre moi et le blond. Mais attendez.... Il ne sait pas que je l'aime.... Alors pourquoi pleure t-il ? Pourquoi s'en veut-il ? Peut-être les sentiments de Léo ne sont pas réciproques, mais ce n'est pas une raison pour pleurer ! Il lui aurait dit très gentiment, et c'est Léo qui aurait dû craquer au final !
Soudain, ce dernier tourna sa tête vers moi. M'a t-il vu... ?
-Siph'.... ? Balbutia t-il.
Je me redressai droit comme un piquet, grillé. Je trouvai mes mots du mieux que possible :
-Euh, c'est pas ce que tu crois, hein ? Bri' n'est pas au courant que je suis là....
Il me regardait, une expression indéchiffrable dans les yeux. C'était un mélange entre de la joie de me voir, de la tristesse de me voir, de la colère de me voir, de la rancune pour avoir écouté et de la jalousie.... Et oui, de la jalousie. Tout ça dans un seul et même regard émeraude. Je ne savais pas comment réagir. De toute façon, je ne sais jamais rien. Je suis un simple et pur boulet... Je raclai ma gorge et prétextai :
-Je vais aller voir Bri' !
Je détalai en courant vers la direction de la fuite de Brioche. Évidemment, Léo ne me héla pas. Je pense qu'il était en total accord avec moi : nous n'avions pas envie de nous voir, ni l'un ni l'autre. Du moins pas pour l'instant. Quand j'aperçus la brioche toujours dans sa course, je réagis intelligemment : je le contournai, le dépassai, me plantai devant lui et écartai les bras. Je le réceptionnai et le serrai si fort dans mes bras que j'aurais pu lui rompre les os. Il leva la tête et pleura davantage en me voyant. Je le berçai pendant de longues minutes. Il s'était confortablement installé sur moi, ce qui me fit tout de même rougir. Comme il semblait s'être apaisé, je commençai :
-Brioche....Si ça te dérange pas, je peux te poser une seule et unique question... ?
-Je t'écoute... renifla t-il.
Ça me faisais mal de voir ma brioche dans cet état. Vraiment très mal. Voir affreusement mal... Mais je voulais avoir mes réponses. Alors je lui dis :
-Tu sais, je vous ai écouté...
-Je m'en serais douté... ironisa t-il.
-Si j'ai bien compris, Léo t'aime. Mais il y a une chose que je ne comprends pas : pourquoi tu pleures. Si tes sentiments ne sont pas réciproques, tu n'avais aucune raison de t'enfuir. Te connaissant, tu aurais dit gentiment la vérité. Alors, sans mentir, réponds-moi: pourquoi pleures-tu... ?"
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Ses derniers mots résonnèrent en moi. "Alors, sans mentir, réponds-moi: pourquoi pleures-tu ?"
Pourquoi pleures-tu ?
Pourquoi pleures-tu ?
L'angoisse se mit à tenailler mon ventre. Que devais-je répondre ? Devais-je dire la vérité ? Comment réagirait-il ?
Pourquoi pleurais-je ?
Pour moi, c'était évident. Je m'en voulais. Profondément. Après tout, c'était de ma faute si j'étais amoureux Siph' alors que Léo m'aimait. Non ?
Pourquoi pleures-tu ?
Je me fis une raison. Parmi les deux choix tout aussi dangereux qui s'opposaient à moi, pour une fois, je choisis le risque plutôt que la sûreté. J'agrippai le t-shirt de Siphano, et j'inspirai à pleins poumons. Je le relâchai en même temps que j'expirai l'air contenu dans mes poumons. N'osant lever le regard, je l'étreignis à mon tour contre moi, mes bras fermement serrés dans son dos et la tête nichée dans le creux de son épaule. J'entendais un doux tambourinement. Était-ce mon coeur ou le sien qui battait si vite ?
Que ce soit le mien ou le sien n'y changeait rien, de toute façon. Je savais que mon organe vital battait la chamade. Quand à celui de mon.. meilleur ami ? Je n'étais plus sûr du terme à employer.
Je n'étais même plus sûr de tout. Qu'aurais-je vu dans les yeux de l'être contre qui je me tenais si j'avais osé lever le regard ? Et, si ce que j'avais vu ne m'avait pas satisfait que se serait-il passé ? Quoiqu'il en soit, je ne le saurais jamais, vu que je n'arrivais pas à lever les yeux. Alors, je fis ce que j'aurais dû faire dès le début : répondre à sa question.
"Je pleure parce que je n'en peux plus de moi, murmurais-je, parce que je suis triste, parce que je me sens coupable, parce que l'humain caché sous son masque de brioche n'arrive plus à contenir les émotions qui le submergent."
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-Des émotions qui te submergent...?
Je le savais bien, j'avais dit une seule et unique question. Mais comment voulez-vous faire quand vous êtes BEAUCOUP trop curieux ?
Brioche ne relevait toujours pas la tête vers moi. Avait-il peur de croiser mon regard ? Certainement, mais je ne saurais dire pourquoi. De mon point de vue, il n'avait pas répondu clairement à ma question. Par ailleurs, la précédente était restée ignorée.
-Bri', regarde moi.... susurrai-je. Je veux te voir sourire....
Il se débattit légèrement, voulant se défaire de mon emprise. Sûrement pour s'enfuir un peu plus loin et sangloter en secret. Ça, je ne le permettrais pas. Je n'accepterais pas qu'il pleure plus longtemps. La brioche n'ayant toujours pas relevé la tête, je lui saisis la joue et la redressai moi-même. En voyant le visage si malheureux de MariBri', mon coeur rata un battement. Il fallait que j'agisse. Pour son bonheur. Pour mon bonheur. Pour le voir sourire. Pour éviter de me faire devancer et de le perdre à jamais. Alors, avant qu'il n'ait eu le temps de comprendre, je me penchai et couplai mes lèvres avec celles de celui que j'aime.
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J'avais l'impression de flotter dans un nuage doux et confortable. Cette sensation, je ne l'avais jamais connue, et je ne la comprenais pas tout à fait. Mais, à vrai dire, je m'en foutais totalement.
Mes lèvres se séparèrent de celle de mon âme-soeur, pour s'y jeter de nouveau, pleines de passion.
Nous continuâmes à nous bécoter sans retenue, pendant ce qui me semblait paraître, des heures et des heures. Au bout d'un moment, Siph' m'appuya contre le mur en béton qui se trouvait pas loin. Il toucha mon front du sien et me regarda dans les yeux.
"Je t'aime" furent les simples mots qu'il me donna. Mais ils suffisaient largement à mon bonheur.
Je fis un sourire, un vrai et éclatant, comme la brioche habituelle en faisait. Mais il ne fallait plus oublier que derrière le masque, il y avait toujours l'humain.
Troublant cet instant de bonheur, mon téléphone vibra.
Inquiet, je le déverrouillai, et ce que je vis me fit rire. Un sourcil arqué, Siphano s'approcha et regarda par-dessus mon épaule, puis se mit à rire lui aussi.
Car voici ce qu'il y avait marqué :
"Rosgrim - Mickaël
OU T'AS FOUTU MES CLÉS BRIOCHE ?!"
Je répondis, Siph' se tordant de rire derrière moi :
"Vengeance !"
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Je passai mes bras autour des hanches de Bri' et le ramena dos contre moi. Je lui enlevai son masque et passa mon nez dans ses cheveux, léchant son oreille au passage. Je l'aimais, je l'aimais, je l'aimais...
-Euh, dis Siph'.... balbutia t-il. Ça fait combien de temps que tu m'ai...
Quand ce mot s'étrangla dans sa gorge, j'éclatai de rire. Il n'arrivait pas y croire... ? Il le faudrait bien un jour où l'autre !
-Que je t'aime ? Finissais-je en rigolant. Eh bien, depuis que j'ai posé les yeux sur toi... rougissais-je à mon tour.
Il se retourna et m'embrassa tout timidement, ce qui me fit rire une fois de plus. Brioche est vraiment parfait. Pourvu qu'il ne change jamais....
-Moi aussi... murmura t-il.
Je caressai sa joue, puis la tira coup sec. Qu'est-ce que j'adorais faire ça ! Surtout la plainte d'enfant qui survenait à chaque fois :
-Mais euuuh Chif' lâche mouaaa !
Et encore une fois, je rigolai de bon coeur. Vraiment, c'est aux côtés de cette personne que devais se passer ma vie. Et personne d'autre.... Je peux vous le parier : à partir de maintenant, mon existence sera formidable...
Enfin, ma vie a un sens...
******************
Voilà quelques semaines que Brioche&moi sommes officiellement ''en couple''. Évidemment, le secret fut de courte durée.... Eh oui, il a fallut que ma Xefouille nous surprennent en entrant dans ma chambre tel un sauvage.
Fort heureusement, il n'avait vu qu'un simple baiser. Rien de trop grave non plus.... Puis, la raison emportant sur notre gêne, nous avons tout révélé à nos amis. Et tous l'avait très bien prit (ils nous embêtent&taquinent plutôt qu'autre chose !). Tous, sauf un... : Mon ami Zangdar. Depuis ces ''quelques semaines'', le blond n'avait pas pointé une seule fois le bout de son nez au-dehors de sa maison. Et c'est de ce pas décidé que je vais chez mon bon confident, Dortos. Car oui, j'ai omit de vous dire une chose : le blondinet aux yeux violets était follement (c'est peu dire) amoureux de Léo. Qui plus est, ce dernier n'a aucun différent avec Dortos. Je pense qu'il est le mieux placé pour aller le consoler. Je frappai à la porte et elle s'ouvrit aussitôt sur un visage endormi :
-Siphano... ? Bailla t-il.
-Salut Dortos ! Lançais-je.
-Entre ! Se réveilla t-il.
Nous nous installâmes tranquillement sur son petit canapé. Il vit tout de suite à mon visage que je n'étais pas venu pour papoter ou plaisanter.
-Dis-moi ce qui va pas, Siph'.
Je lâchai un long soupir. Il était vraiment pro du déchiffrage d'expression du visage... Je commençai donc :
-Comme tu le sais, depuis plusieurs semaines, Bri'&Moi sommes en couple. Seulement, on ne vous a pas tout dit...
Il pencha la tête de côté, curieux d'en savoir plus.
-Léo aimait Brioche.
Dortos ouvrit de grands yeux, choqué.
-C'est pour ça qu'il ne sort plus depuis ce jour ! Comprit-il.
-Oui... (Je lui jetai un regard taquin) Et puis vu que tu l'aimes beaucoup et que vous êtes en très bon termes, je pense que tu es le mieux placé pour le réconforter. Il n'apprécierait sûrement pas que ce soit moi...
Il sembla réfléchir un instant puis m'affirma :
-Je vois. J'irai le voir.
Je remercie encore une fois Nayara pour avoir corrigé le RP.
Ne vous inquiétez pas, la suite arrivera bien vite ! 
Nyal & Sipha'.
EDIT : J'avais oublié de mettre l'illustration xD
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| | ManoblackEx-Administratrice - Pastel Beauty Zodiaque :  Messages : 2411
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| Dim 21 Juin - 8:35 Manoblack DU LÉOS?! OWIIIIII BLBLBLBL |
| | Zodiaque : Messages : 2663
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Localisation : Là où il fait beaucoup trop chaud pour une membre de la #TeamFroid. Le Sud quoi.
| Dim 21 Juin - 9:25 Nyal27 - Blacksmoothie a écrit:
- DU LÉOS?! OWIIIIII BLBLBLBL
:3 |
| | Zodiaque : Messages : 1637
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Localisation : Dans ton c... Cadeau de Noël. J'étais en promo, on m'a achetée, voilà...
| Dim 21 Juin - 11:12 Ota C'est génial, merci pour ce chapitre!Bon, avant toute chose, sachez que ce message ne sera ni constructif, ni utile, ni sérieux. Maintenant, la fan de yaoi qui vit en moi va parler.
OOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOH OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII!
Je suis trop contente! C'est trop bien!
Et euh... "Fort heureusement, il n'avait vu qu'un simple baiser. Rien de trop grave non plus...". Vous faites marcher mon imagination perverse (ana koto to kona koto if you know what I mean). Et cette fois c'est Siph' qui met Bri' contre le mur? Utsukushii! (désolé pour l'orthographe)
Kuudere: Traduction: ana koto to kona koto= en gros choses perverses Utsukushii! = Merveilleux!
Merci encore pour cette histoire! |
| | xX Lugi XxApprenti Sadique Zodiaque :  Messages : 1172
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| Dim 21 Juin - 16:00 xX Lugi Xx ZomgZomgZomg c'est trop choupi kawai toutplein <3 <3<3<3<3<3
Rosgrim qui casse LE moment, bordel >< ! Go le tuer ! Frapper le ! Enterrer le !!! ><
C'est le délire votre RP en tout cas :3 j'trouve ça trop cool !
Vivement plus ! o/ |
| | SohunaVoltali électrisant Zodiaque : Messages : 704
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| Mar 23 Juin - 12:19 Sohuna Merci à tous ! <3 #Fiere, c'est ce que je suis en tout cas ^^ GRANDE SOEUR ? AH OUAIS ON EST GE-NYAL ? XDD |
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