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Cellona - Chapitre Six (BY.CELLO)

Kakemphaton
Kakemphaton
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Sam 24 Sep - 12:52
Kakemphaton


Chapitre Six

La "répétition"

Cello

 Je me lève et vais m'asseoir sur ma chaise. Je suis un peu secouée. En fait...Je ne sais pas quoi penser. Au début, je voulais dire à Nayara que j'étais hétéro et que je ne pouvais donc pas l'aimer. Mais en fait...Qu'est-ce que j'en sais ? Pourquoi le fait qu'elle soit une fille est en train de m'influencer dans ma décision ? Est-ce que si je rencontrais un garçon avec le même caractère qu'elle, je serais plus susceptible de tomber amoureuse de lui ? Non, il faut donc que je réfléchisse différemment.
 Mais alors...Ça veut dire que tout ce temps Nayara était amoureuse de moi ? Depuis quand ? Est-ce qu'elle m'aimait quand elle m'a rencontrée ? Est-ce qu'elle m'aimait déjà, hier ? Pourquoi ? Pourquoi aimer une fille aussi désagréable que moi ?
 Et moi...Est-ce que je suis capable d'aimer une fille aussi fantastique et fabuleuse que Nayara ? Je...Je ne me comprends pas. Nayara est sans doute la personne la plus merveilleuse que j'aie jamais rencontrée jusqu'à maintenant, et pourtant...Pourquoi n'ai-je l'impression de ne ressentir que de l'amitié pour elle ? Elle a dit vouloir que je la voie comme la fille qui m'aime. Pourrais-je seulement lui faire cet honneur ? Est-ce que moi, fille méprisante comme je suis, ai le droit d'être aimée par une fille aussi fantastique que Nayara ?
 Est-ce que...Est-ce que seulement je le veux ?

Epona
 Il va y avoir de l'orage.

Cello
 Je sors de chez moi, mon sac en cuir en bandoulière. J'ai à peine marché jusqu'à la gare qu'une pluie torrentielle surgit de nulle part et me trempe de la tête aux pieds. Je n'ai ni capuche, ni parapluie, mais ce n'est pas grave, j'aime bien la pluie. J'espère qu'il va y avoir de l'orage.
 Autour de moi, les gens peinent à marcher droit. Les parapluies s'envolent, les capuches s'évadent. Mes cheveux sont aussi mouillés que si je les avais lavés.
 Je rentre dans le train, à l'abri. Sur le sol, de grosses traces de pas boueuses et mouillées. Je regarde par la fenêtre : je ne vois même pas le paysage défiler tant il pleut. Les gens sont serrés, je suis compressée sur les portes, je ne me sens pas bien.

"Je veux te faire sourire tous les jours."

 Pourquoi est-ce que je pense à ça maintenant ? Ce n'est pas possible, ma pauvre Nayara. Tu ne peux pas me guérir. Tout ce que tu feras, à t'approcher de la ronce, c'est t'y piquer.
 J'arrive enfin au lycée. Je ne croise pas Nayara. À l'heure du déjeuner, nous nous retrouvons, avec elle et Epona.
-Cello ! s'exclame Nayara. T'as vu comme il pleut ?!
 Elle veut que je ne fasse comme si rien ne s'était passé ? Ou alors...Le cacher à Epona ?

"Je veux que tu me regardes comme la fille qui t'aime."

 Avais-je déjà remarqué comme Nayara est jolie ? Ses cheveux roses descendent en boucles sur son dos. Son regard bleu éclatant est toujours joyeux. Elle est bien plus grande que moi, comme une grande sœur protectrice.
 Est-ce vraiment la personne qui m'aime ?
-C'est impressionnant, oui, je réponds le plus calmement possible.
-Salut Cello ! m'appelle Epona. Tu n'oublies pas de me retrouver après les cours pour réviser le morceau chez moi ?
-Non, bien sûr.
 En fait, si, j'avais oublié. Avec tout ce qui c'était passé la veille, ça m'était complètement sorti de la tête.
-Ah, j'ai hâte ! s'exclame-t-elle. J'espère que Xone et toi vous entendrez bien ! Tu vas voir, chez nous c'est petit, mais confortable !
 Je souffle sur mes carottes. Je n'arrive pas à écouter ce que dit Epona, je suis trop focalisée sur les paroles de Nayara.
-En tout cas, mon piano est très grand, et il a un de ses sons ! Enfin, tu verras tout à l'heure, j'ai trop hâte !
 Est-ce que je suis amoureuse de Nayara ? Ai-je un jour ressenti de l'amour pour elle ? Ou bien alors n'arrivais-je pas à la voir autrement qu'en une meilleure amie ?
-Cello ?
 Je ne comprends décidément rien à l'amour...
-Cello !

-Cello !
 Epona m'attend à la sortie de mon cours de chimie. J'enlève ma grande blouse blanche tout en marchant et la fourre dans mon sac. Epona marche d'un pas rapide, j'ai du mal à la suivre. On prend un bus, le trajet est rapide, il pleut toujours et Epona insiste pour que je m'abrite sous son petit parapluie rouge, alors qu'elle sera mouillée si elle agit ainsi. Elle habite elle aussi dans un appartement.
-Mon frère est déjà rentré, me prévient-elle.
 Elle prend l'escalier.
-Salut frangine ! s'écrie Xone. Salut Cello ! Comment ça va depuis avant-hier ?
-Bien. Vos parents ne sont pas là ?
-Non, souviens-toi ! me rappelle Epona. Ils sont en voyage d'affaires.
-C'est vrai. C'est vrai...
-Tu veux goûter ? me propose Epona. Mon frère est plus sucré que moi, on a des réserves !
 Je hoche la tête. Elle me donne un petit pain avec des carrés de chocolat et un verre de diabolo menthe. Je regarde la pièce. Comme le reste de leur appartement, elle est d'un blanc immaculé. Leur cuisine est plutôt high-tech. Je voyais mal Epona faire la cuisine, plutôt son frère. Mais dans la catégorie pâtes.
-Viens Cello, je vais te montrer ma chambre ! s'enthousiasme Epona.
 Sa chambre est plus petite que la mienne, dans des tons bleu-vert, turquoise. Dans un des coins, son lit, plutôt grand celui-ci, avec des draps blancs. Son bureau, juste à côté, tout en bois avec un fauteil tournant en cuir. Il y traine des dessins que je ne distingue pas bien de loin. Sur un autre mur, une grande fenêtre, sur laquelle frappe la pluie.
-Voilà mon piano !
 Elle soulève un drap que je n'avais pas vu et révèle son imposant instrument. Il est noir, magnifique, presque flambant neuf. Epona caresse les touches d'un air distrait.
-Depuis combien de temps fais-tu du piano ? je tente d'engager la conversation.
-Ça fait bientôt treize ans !
 Elle farfouille dans son bureau mal rangé et en sort quelques feuilles abîmées qu'elle me tend :
-La partition de ce qu'on va jouer !
 Je balaie rapidement la partition des yeux : un tempo moyen, le piano ouvre et ferme le morceau. Le ton est plutôt doux, mais je peux le sentir, il cache des reproches. Sans connaître les paroles, je devine déjà qu'elle a choisi un morceau calme, pour enfouir sa tristesse.
 Elle joue le thème de la musique et je la suis avec le nom des notes. Même si ce n'est qu'un entraînement, je peux sentir qu'elle donne tout ce qu'elle a. Alors moi aussi, je dois donner tout ce que j'ai.
 Je crois que...Je crois que je ne déteste pas cette fille. Je crois que j'aime bien chanter si elle est avec moi, en train de jouer du piano.
 Oui, j'aime bien.
-Epona !
 Xone vient de faire irruption dans la pièce juste avant le refrain.
-Je vais dormir chez Sasori ce soir, j'avais oublié de te prévenir.
 Pour une raison que j'ignore, Epona et lui échangent des signaux avec leurs yeux. Epona est plutôt paniquée et en colère. Lui amusé et malicieux, il tire un grand sourire et lui fait un clin d'oeil. Epona se tourne vers moi et me dit d'un air soudain mal assuré :
-Ça ne fait rien, continuons.
 On recommence le morceau, quand j'entends une énorme explosion dans le ciel. L'orage.

Epona
-Ha...Ha...L'orage...
-Qu'est-ce qui t'arrive Epona ? demande Cello sans trop s'inquiéter.
-J'ai peur de l'orage, je lui explique.
 Mais bien sûr, je ne peux pas lui dire pourquoi j'en ai peur. Le pourrais-je un jour ?
-Oh, s'étonne-t-elle calmement. Je peux faire quelque chose pour toi ?
 Je lui demanderais bien de rester à la maison cette nuit, mais...Je ne peux tout simplement pas faire ça. Je n'ai plus qu'à espérer qu'elle me le propose d'elle-même, bien que je pense qu'elle ne pourra jamais comprendre les sentiments des autres.
-Non, je te remercie. J'imagine que je n'ai plus qu'à attendre que ça passe.
 J'ai à peine fini ma phrase qu'un bourdonnement assourdissant vient transpercer le ciel. Je sursaute et me tient le cœur. Cello soulève tranquillement le rideau le temps d'apercevoir un trait doré traverser le ciel. S'ensuit un autre grondement de tonnerre. J'ai tellement peur que je suis accroupie par terre. Des sueurs froides me parcourent tout le corps. Je ne tiens plus :
-D...Donne-moi la main...S'il te plaît...
 Elle s'assoit tranquillement à côté de moi et passe ses doigts dans les miens. Depuis quand exactement n'ai-je pas ressenti cette sensation de réconfort ? Est-ce qu'avec mes autres amours j'avais ressenti ça auparavant ? Elle ne me serre même pas dans ses bras et pourtant...Je suis parcourue de frissons agréables. Comment fait-elle ? Elle n'est vraiment pas futée en ce qui concerne les relations humaines. Bien pire que moi. Alors comment fait-elle pour que je me sente aussi à l'aise ? Est-ce parce que...
 Je l'aime ?
 Un autre rugissement surgit et m'effraie. Elle passe une main derrière mon épaule et me réchauffe en me frottant le dos. Elle recule un peu en se traînant en dessous de mon piano. Je me sens bien. Je sursaute à chaque bruit, mais sous l'imposant instrument et en compagnie de la fille que j'aime, je me sens à l'abri.
 Je tourne ma tête vers elle. Elle rougit, c'est mignon. Elle est peut-être un peu gênée. Elle a déposé sa tête contre le piano. Elle regarde droit devant elle. Ses cheveux sont trempés de pluie. N'a-t-elle pas froid ? N'a-t-elle besoin de rien ? J'aimerais parler, mais à chaque fois que j'ouvre la bouche, je ne trouve rien à dire. Je pense que j'ai juste envie de profiter de ce moment.
 Cello se met à chantonner bouche fermée. C'est le thème du morceau que j'ai choisi. Qu'est-ce qu'elle chante bien. Au départ, je pensais que...Comme tous les autres, j'allais en tomber amoureuse et m'en lasser. Mais...Je ne peux pas m'en lasser. Je pourrais écouter cette chanteuse toute ma vie. Quand j'ai entendu son chant pour la première fois...J'ai su que ce serait la personne dont je serais réellement amoureuse. Et ce, même si elle est la personne la plus désagréable que je connaisse. Même si elle me méprise totalement. C'est la fille que j'aime, c'est tout.

Cello
 C'est bizarre. Je pensais que je méprisais cette fille, que la seule chose pour laquelle je me retrouvais chez elle aujourd'hui était qu'elle joue du piano merveilleusement bien. Pourtant...Je ne déteste pas lui tenir la main. En fait, je me sens bien. Ça ne me dérange pas de rester comme ça plus longtemps. Pourquoi est-ce que jai chaud comme ça ? Pourquoi est-ce que en même temps j'ai froid ? Est-ce que j'ai déjà ressenti ça quand j'étais avec Nayara ? Cette sensation nouvelle m'était inconnue, laquelle est-ce ? Je pensais avoir déjà tout expérimenté, la colère, la tristesse, la jalousie, la joie, la peur...Alors qu'est-ce que je ressens actuellement ? Est-ce l'am...Non Cello ! Tu te calmes ! Tu connais cette fille depuis moins d'une semaine, alors tu te reprends et tu arrêtes de t'emporter pour rien !
-Je...Je vais rentrer je pense. Il fait nuit maintenant, je pense que ce serait mieux que je...
-Non, reste ! S'il te plaît !
 Eh ?! Elle veut que je passe la nuit ici ?!
-Heu...Je...je balbutie. Tu es sûre que...
 Elle hoche la tête. Je suis bête ! J'avais oublié qu'elle avait peur des orages. Je n'ai pensé qu'à moi et à ma sensation bizarre, j'en avais oublié qu'elle avait besoin de la chaleur humaine. Pourquoi est-ce précisément ce jour que son frère décide de s'enfuir ?!
-Tu veux bien qu'on soit amies ? Je t'aime bien.
 Qu'est-ce que c'est que cette demande ? Elle se croit en maternelle ou quoi ? Et pourquoi est-ce que je rougis comme ça ? Espèce d'idiote !
-Et bien moi je me déteste.
 Je veux savoir. Savoir si elle veut vraiment être mon amie. Parce que finalement...Je l'aime bien. Un peu.
-Et alors ? elle renchérit. Qu'est-ce que ça changera à mon affection pour toi ?
 Je crois que...Je commence un peu à comprendre.

Epona
Combien de temps sommes-nous restées sous le piano, accroupies, serrée l'une contre l'autre ? L'orage ne veut pas s'arrêter. Et dans un sens, c'est tant mieux, je veux qu'elle reste à côté de moi.
-Il est vingt-deux heures, m'annonce Cello au bout d'un moment. On n'a pas école demain, tu veux faire quelque chose avant de te coucher ?
 Je réfléchis un moment.
-On n'a pas mangé. Tu veux que je cuisine quelque chose ?
 Cello prend un air étonné.
-Tu sais cuisiner, Epona ?
-Heu...Non...
 Elle rigole. J'aime bien quand elle rit. J'ai le sentiment de l'avoir rendue heureuse.
-J'aime bien la cuisine, je peux faire quelque chose rapidement si tu veux.
 Je me dirige vers la cuisine et ouvre le réfrigérateur.
-Il y a des pâtes, on a certainement de quoi faire des spaghettis à la bolognaise je pense.
 Je lui tends les ustensiles dont elle a besoin et elle se met à l'ouvrage. Elle les manie précautionneusement, elle prend bien garde à ne rien faire de travers. Elle me montre comment elle s'y prend, même si je suis tellement nerveuse que je n'intercepte que la moitié des informations.
 Je sors les assiettes et nous sers. Il est vingt-deux heures trente.
-C'est trop bon !
 Je n'ai pas pu m'empêcher de pousser un petit cri. Cello sourit et mange calmement. Est-ce qu'elle se sent bien ? Est-ce que ça lui fait plaisir que j'aime son plat ? Est-ce que ça ne la dérange pas de rester à la maison ?
 Je n'ai jamais mangé quelque chose d'aussi bon. Même Xone ne cuisine pas aussi bien.
 Après avoir (trop) mangé, nous allons dans ma chambre, je lui propose de jouer aux jeux vidéos.
-Je n'en ai jamais fait, m'apprend-elle.
 Mais de quelle planète vient-elle ? Que ne connaît-elle pas ? J'ai tellement envie de l'aider...De l'aider à découvrir tous les plaisirs de la vie qu'elle ne connaît pas encore.
 Même si je gagne tout le temps, elle a l'air de bien s'amuser. Elle demande à chaque fois une nouvelle partie pour se venger mais perd à tous les coups. S'était-elle déjà à ce point amusée ? J'espère que je peux te faire rire comme personne d'autre ne le peut.
 CRASH !
-Oups...je commente.
 Une panne d'électricité vient d'éteindre la télévision et toute la pièce se retrouve plongée dans le noir. Au même moment, un grondement d'orage rugit et me fait frissonner de peur.
 Cello est morte de rire.
-C'est trop drôle ! éclate-t-elle. J'allais presque gagner, tu te rends compte ?!
 Je ne la vois pas, mais je suis sûre qu'elle en pleure de rire. Elle rigole aux éclats. Soit elle ne rit pas pour des choses drôles, soit elle rit pour des petits détails. J'aime aussi ça chez elle. J'aime tout chez toi, tu le sais ça ? Je ris aussi. Et à ce moment-là, je le sais : il n'existe qu'une personne au monde capable de me faire oublier que j'ai peur : c'est elle.

Cello
 Epona s'est endormie depuis longtemps. Le courant est revenu. Je lui ai fait des pancakes pour demain, j'espère qu'elle aime ça. Je me suis bien amusée ce soir. On a joué avec des bougies jusqu'à une heure du matin. Elle est tombée comme une masse. Finalement, j'aime bien cette fille. Ça ne fait que quelques jours qu'on se connaît, mais...Je sens que je peux l'accepter en tant qu'amie. Je peux lui faire confiance.
 D'ailleurs, la petite voix, ça fait longtemps qu'on ne t'a pas entendue.
...
 Petite voix ?
...
 Hé, hé.

 Je lui ai laissé un petit mot. Je dois rentrer chez moi, je n'ai pas nourri Céleste. Il pleut toujours, je ne vois presque pas où je marche. La lune est trop cachée pour éclairer le ciel. Les trottoirs sont glissants, je dois me tenir aux murs pour ne pas tomber. Je n'ai toujours rien pour couvrir ma tête, je vais finir par attraper un rhume si ça continue. Le vent me pousse un peu en arrière. Bon, courage, bientôt je devrais arriver à la gare. Je vais finir par regretter de ne pas être restée un peu plus chez Epona. Il est trop tard pour revenir maintenant, j'imagine.
 Je m'arrête devant un passage protégé. La pluie me fait mal aux yeux, en plus, je ne vois rien. La lueur du feu, déformée par les gouttes, passe enfin au vert. Je commence à traverser. J'aimerais aller plus vite, mais le vent m'en empêche. Qu'est-ce que j'ai froid...J'ai bientôt fini de traverser la route, quand une bourrasque de vent me ramène un mètre en arrière. Je me relève. Argh, je n'arrive plus à avancer...Heureusement, je n'aperçois pas les phares d'une voiture au loin.
 En revanche, le bruit de la pluie cachait jusqu'alors celui d'un moteur que je n'avais pas entendu. Un moteur de moto. Merde, je n'arrive plus à bouger. Mes jambes sont coincées à cause du froid qui me gèle et du vent qui me ralentit. La moto se rapproche, je n'entends plus rien d'autre. Son bourdonnement que je croyais caché par la pluie est tellement distinct que je me demande presque s'il n'est pas uniquement le fruit de mon imagination.
Paf !
 Mince, non. La douleur dans mes jambes est bien réelle.
 Attends une seconde.
 Quelles jambes ?



alalala il n'était pas évident du tout ce chapitre x) je l'ai surtout fait pour rapprocher Cello et Epo, du coup il s'y passe pas grand chose x) bon, après c'est une histoire d'amour, donc on peut pas vraiment juger des scènes importantes ou pas x) en tout cas il reste 3 chapitres, c'est passé vite je trouve ! >< sinon ce chap fait 2900 mots ! Pour la mettre de côté, Naya' va me taper dessus je sens xD pitié Naya' ! T^T on a raté l'épisode de toi mourante et de Cello qui oublie Epo, mais on a au moins quelqu'un à l'hôpital xD (good news or not good news ? xD)




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Sam 24 Sep - 19:53
Nayara
._.
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Kakemphaton
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Dim 25 Sep - 8:17
Kakemphaton
Nayara a écrit:
._.

Ça résume plutôt bien
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