Le soleil de plombs et le silence intensifiait la tension et la lourdeur de l’atmosphère. Le seul son audible était la respiration essoufflée de combattants. En cercle, toujours en position de combat malgré les nombreux cadavres les entourant, épuisés par ce combat éprouvant, il traquaient le moindre mouvement. La moindre goutte de sueur tombant au sol les faisait réagir mais seul une personne sentait la présence auprès d'eux. Lors-qu’enfin il la comprit elle ablatait sa lame sur lui. L eu juste le temps de parer le coup avec son épée. Certes sa force était moindre face a celle de son adversaire mais il luttait. Tenant la poignet de son épée d'une main et sa lame de l'autre, il poussait de toutes ses forces pour ne pas tomber au sol. Sur sa lame des perles rouge glissaient de sa main meurtrie par le tranchant du diamant. Il résistait malgré la douleur et la fatigue. Mais d'un simple mouvement Kaito avait réussi a le désarmer. Sous la force du coup Ikio se retrouva au sol. Reculant pour échapper a celui qu'il savait sa faucheuse, sans rien mis a part ses mains pour se défendre il vit une dernière fois sa vie de machisme décadence et folie défiler devant ses yeux.
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Un sentiment d’inquiétude la saisit soudain. Ses amis allaient ils subir le même sort que Nizzy ? L'image de Kaito se dirigeant vers eux la hantait. Ikio aussi fort soit il ne pourra faire face au tank qu'il était. Pas seul en tout cas. Elle voyait des images horribles se former dans sa tête. Du sang partout, leurs cadavres. Elle devait arrêter ça. Elle regarda dans son sac puis sourit. Prenant la main de Zethime elle courut aussi vite quelle ne le pouvait dans la direction de ses amis. Les garçons avaient leurs arcs prêts a tirer sur Kaito s'il blesser Ikio, les filles prêtes a charger avec leurs épée. Crazy lâcha la main de son amant empoigna son épée et courut vers les deux hommes. Elle regarda sa main où une petite pomme jaune scintillait. Elle croqua dedans et se plaça devant Kaito avant de parer le coup destiné a Ikio qui la regarda avant de courir chercher son épée et prendre l'objet que lui tendait la princesse.
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Toute l’assemblée se leva. ,alors, chaque cavalier prit la main d’une dame, et une voix dit :
-Allons, messieurs de l’orchestre, commencez !
Les piqueurs et les musiciens, qui, jusque-là, n’avaient fait aucun geste, inclinèrent la tête en signe d’adhésion.Le maestro leva sa baguette, et une harmonie vive et dansante s’élança des deux bouts de la salle du bal.
Les notes lente de la partition exécutée par les musiciens s’accordaient en parfaite harmonie avec ces élégantes révérences : aussi chaque couple de danseurs, au bout de quelques minutes, était comme transporter par la musique.
Les robes de soie des femmes, dans ce tourbillon dansant, rendaient des sons d’une nature particulière ; on aurait dit le bruit de chant des mésanges au petit matin. Le vent qui s’engouffrait par-dessous les gonflait légèrement, de sorte que leur robe soit parfaitement dessiner.
La pendule sonna minuit,ils s’arrêtèrent et regardèrent en haut des escaliers. Je la vis, celle pour qui mon cœur appartenait. Elle descendait les escaliers avec grâce , et ne paraissait pas le moins du monde prendre part à ce qui se passait autour d’elle.
Jamais, même en rêve, rien d’aussi parfait ne s’était présenté à mes yeux ; une peau d’une blancheur éblouissante, des cheveux d’un brun clair brillant, de longs cils et des prunelles de jade, si claires et si transparentes, que je voyais son âme à travers aussi distinctement qu’un caillou au fond d’un ruisseau.
Et je sentis que, jamais il m’arriverait d’aimer quelqu’un d'autre qu'elle. Je me précipitai de ma place d’où jusque-là je n’avais pu bouger, et je me dirigeai vers elle, conduit par quelque chose qui agissait en moi sans que je put m’en rendre compte ; et je me trouvais à ses genoux, une de ses mains dans les miennes, causant avec elle.
Mais, par un phénomène bien étrange, tout en lui parlant, je marquais d’une hochement de tête la musique qui n’avait pas cessé de jouer ; et, quoique je fut au comble du bonheur d’être avec une aussi belle personne, les pieds me brûlaient de danser avec elle.
Cependant je n’osais pas lui proposer. Elle comprit ce que je voulais, car, Elle leva la main que je ne tenais pas vers le cadran de l’horloge :
-Quand l’aiguille sera là, nous danserons, mon cher Zethime.Je ne sais comment cela se fit, mais je n'était nullement surpris qu'elle devinait mes pensés, et nous continuèrent à parler. Enfin, l’heure indiquée sonna, la voix d'un valet vibra encore dans la salle du bal et dit :
-Princesse Crazy, vous pouvez danser avec monsieur Zethime, si cela vous fait plaisir, mais vous savez ce qui en coûteras-N’importe, répondit Crazy d’un ton boudeur.
Et elle passa son bras d’ivoire autour de mon cou.
-Prestissimo ! cria le maestro.
Et nous commencions à valser. Le sein de la jeune fille touchait ma poitrine, sa joue veloutée effleurait la mienne, et son haleine suave flottait sur ma bouche.
Jamais de la vie je n’avais éprouvé une pareille émotion ; mes nerfs tressaillaient comme des ressorts d’acier, mon sang coulait dans mes artères en torrent de lave, et j’entendais battre mon cœur comme une montre accrochée à mes oreilles.
Pourtant cet état n’avait rien de pénible. J’étais inondé d’une joie inégalable et j’aurais toujours voulu demeurer ainsi, et, chose remarquable, l’orchestre avait triplé de vitesse, nous n’avions besoin de faire aucun effort pour le suivre.
Les assistants, émerveillés de notre agilité, criaient bravo, et frappaient de toutes leurs forces dans leurs mains, qui ne rendaient aucun son.
Crazy, qui jusqu’alors avait valsé avec une énergie et une justesse surprenantes, parut tout à coup se fatiguer ; elle pesait sur mon épaule comme si les jambes lui manqué ; ses petits pieds, qui, une minute auparavant, effleuraient le plancher, ne s’en détachaient que lentement, comme s’ils avaient été chargés d’une masse de plomb.
-Crazy, tu ralentis, lui dis-je,
reposons-nous.
-Je le veux bien, répondit-elle en s’essuyant le front avec son mouchoir.
Mais, pendant que nous valsions, ils s'étaient tous assis ; il n’y a plus qu’un fauteuil, et nous sommes deux.-Mon bel ange je vous prendrais sur mes genoux.Sans faire la moindre objection, Crazy s’assit, m’entourant de ses bras comme d’une écharpe blanche, cachant sa tête dans mon cou pour se réchauffer un peu, car elle était devenue froide comme un marbre.
Je ne sais pas combien de temps nous sommes restés dans cette position, car tous mes sens étaient absorbés dans la contemplation de cette mystérieuse et fantastique créature.
Je n’avais plus aucune idée de l’heure ni du lieu ; le monde réel n’existait plus pour moi, et tous les liens qui m’y attachent étaient rompus ; mon âme, dégagée de sa prison de boue, nageait dans le vague et l’infini ; je comprenais ce que nul homme ne peut comprendre, les pensées de Crazy se révélant à moi sans qu’elle aie besoin de parler ; car son âme brillait dans son corps comme une petite flamme, et les rayons partis de sa poitrine perçaient la mienne de part en part.
Alors voila deux chapitres en deux jours. Je n'ai quasiment rien ecrit de ce chapitre ^^ seul les deux premiers pdv sont de moi ^^ je n'avais pas d'idées pour la suite et ma petite KamiaChou m'as donné sa redac de français (qu'elle avait ecrit sur moi et Zethime trop de kawaii en elle *o*) pour le mettre a la fin ^^ Elle est juste magnifique *o* (Pour info cela se passe a mon anniversaire ^^) Je suis particulièrement fière du pdv d'Ikio. sachez relever absolument tous les détails de ce pdv car tous sont important ^^ au fait je ne contiuerai pas IR tant que CTNG sera en cours un sujet expliquera plus en details ^^ je vous nem mes asticots <3