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Et si la CHM s'était passée autrement ?

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M.S.
Petit Sadique
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Sam 7 Mar - 8:53
M.S.
Chapitre 8, jour 11, partie 3, sous-partie 1 : L'Héritier

Récapitulatif :
Aypierre s'est sacrifié pour Skillnez, qui retrouve sa conscience perdu et décide de rendre le bien que lui a fait Aypierre à tous les autres participants de la CHM. Aypierre n'est mort qu'il y a quelque instant et Skillnez vient juste de se réveiller qu'arrive Potaro. Potaro n'a plus aucun autre objectif que de tuer Skillnez. Elle est devenue folle de douleur depuis que celui ci à tuer Natek et qu'elle a réussit à s’échapper. on rappellera entre autre que ce personnage a été blessé par les poulets infestés d'Ectalite et que donc elle et en train de développer une maladie. On rappellera aussi que dans un des axes des rages qui lui sont courants depuis qu'elle est devenue folle de douleur, elle a détruit la CHM et en a tuer tous les marchants. Plus personne ne peux gagner des émeraudes. Cela veux dire que si le maître du jeu n'a pas été détrôner avant la fin du 14ème jour, tous les participants sont morts, il n'y aura même pas un seul survivant, car personne ne pourra dépasser le nombre d’émeraude d'Aypierre.
Entre temps Zelvac et Croustinette sont partis à la recherche d'Aypierre, mais à cause d'un creeper, ils ont été séparés. Croustinette a failli se noyer et a perdu dans le lac toutes armes, outils et armures. Elle est épuisé mais continue à chercher Aypierre. Zelvac lui est blessé à cause de l'explosion et est coincé sous terre car le creeper a fait  s’effondrer la galerie. Il est n'en peux plus et a dû abandonner lui aussi armures, armes, et outils car c'était trop lourd à porter.
Siphano les attends au bunker. Il va mal. La mort de Xef et de Brioche lui pèse sur la conscience et sa blessure a l'oreille lui fait très mal.
Frigiel a tenté de fuir la CHM mais s'est retrouvé face à un mur invisible. Il est seul et contemple la mer et sa liberté perdue.
Ectalite vient de découvrir que Fukano a tuer Bboy et décide de le chercher pour le tuer. Fukano depuis longtemps laisser son coté tigre prendre le dessus sur son être d'homme.

Voila un petit résumé, le point de vue qui va suivre se déroule environ 20 minutes après le dernier de la dernière partie.


« Non, arrête ! Je ne veux pas te combattre ! »


             Il hurlait cette phrase dans le fracas du combat. Mais même si elle n'avait pas été avalée par le bruit, elle aurait atteint une oreille qui lui restait sourde.
           Le fer frappant le fer produisait un bruit à faire saigner les tympans. Les tranchants crissaient l'un contre l'autre et le vacarme des épées semblait être les cris de deux démons. Les deux lames blanches renvoyaient contre le mur des reflets de lumière coupants, comme des éclairs déchirant l'obscurité de la grotte. Dans ce cadre surnaturel, l'homme et la femme se transformaient en fantômes et leur combat faisait trembler les ombres des souterrains.
           Skillnez paraît coup sur coup. Les chocs se répercutaient jusqu'à son épaule et leur violence était telle qu'il sentait la secousse traverser ses os. L’épée de Potaro frappait sans vouloir jamais s’arrêter. Elle attaquait encore et toujours, ne lui laissant aucun instant de répit. Mais jamais elle ne réussissait à percer la défense de Skillnez. I tentait de lui parler, mais ses paroles se trouvaient étouffées par les hurlements des lames. Le bruit du combat qu’il ne voulait pas mener le faisait taire.
                En effet, ce combat, il ne voulait pas le mener. Il s’y refusait tout entier. Bien que forcé par Potaro à y participer, il tentait d’en être le plus distant possible. Il ne voulait pas se battre. Et de ce fait, il ne participait au duel qu'il menait qu’à moitié. Il ne répondait pas à l’agression de Potaro, il ne faisait que se défendre. Il aurait pu riposter et attaquer à son tour. Il aurait dû riposter. Mais il ne le faisait pas.
           Pourquoi ? Pourquoi n'attaquait-il pas ? Il avait toujours été de nature offensive. La peur de faire mal n'avait jamais retenu sa main. A toute agression, il avait toujours répondu avec une force de même ampleur, et cela depuis toujours, bien avant la CHM. Il ne se laissait pas défier comme cela sans répliquer et punir l’autre de son insolence. Le provoquer était un affront à sa fierté, affront qu’il n’avait jamais laissé passer, et pourtant il se laissait frapper ouvertement et ne répondait pas. Alors pourquoi, maintenant que sa vie était en danger, ne combattait-il pas comme il l'avait toujours fait ? En restant ainsi sur la défensive, il se mettait lui-même dans une situation précaire. Un coup pouvait à tout instant percer sa garde et l’atteindre. Potaro ne l’attaquait pas pour le vaincre mais pour le tuer et tous ses coups de près ou de loin avaient cet objectif. Ne pas attaquer, ne pas mettre fin à ce combat, c’était s’exposer plus longtemps au risque de la défaite, au risque de la mort. Ne pas l’attaquer, c’était risquer sa vie.
           Et pourtant, contre toute logique, il s’y refusait. Un changement s’était effectué en lui. Il ne voulait pas lever la main sur elle. Il ne voulait pas lui faire de mal. Le combat qu’il menait contre elle le dégoûtait. L’attaquer aurait été se défendre : la situation ne pouvait continuer ainsi, il risquait de faire une erreur qui pouvait lui être fatale. Mais non. La blesser lui semblait immonde et ce raisonnement pratique qu’il avait suivit jusqu’à présent et qui consistait à éliminer tout ce qui pouvait lui causer le moindre tort, lui donnait envie de vomir. Il n'était plus le même. Cette violence qui autrefois lui semblait si logique, si naturelle, l’écœurait. Il ne voulait de mal à personne et rien ne pouvait justifier qu’il en fasse. On est toujours libre de ses choix. On est responsable de ses actes, quelque soit la circonstance, car, dans tous les cas, il relève d'un choix, d'une décision personnelle, donc la responsabilité en est toujours entière pour son auteur ; et il n’ajouterait pas, à la longue liste de ses méfaits, le crime de la faire encore souffrir. Il l’avait déjà tant fait.
           Ce qu'elle été devenue, ce quelle avait enduré, et la violence qui se retournait maintenant contre lui à travers elle, il en était l’origine. La faute lui revenait entièrement. Il était le seul coupable et Potaro, elle, n'était que la victime. La frapper elle aurait été la faire souffrir injustement car elle n’était pas la cause mais la conséquence et donc en rien responsable. La souffrance qu’il lui avait fait endurer revenait à présent le frapper, comme un boomerang qui blesse celui qui l’a lancé. Potaro n’était que le vecteur, lui renvoyant la Mal dont il était l'origine. Maintenant que ses actes passés lui retombaient dessus, que le mal qu’il avait fait aux autres se retournait contre lui sous la forme d’une pluie de coups furieux, maintenant qu’on lui rendait ce qu’il avait donné avec la même intensité, il devait assumer et frapper Potaro ne revenait à rien si ce n’était commettre une injustice de plus. Cette main qui voulait le tuer le faisait au nom de cette justice dont il méritait le châtiment. Il était le seul coupable contre qui s’en prendre. Elle n’était que l’outil de la justice. L’attaquer, la blesser aurait été blesser une innocente. Même au nom de la légitime défense, il n'avait pas le droit de s'en prendre à elle. Lui faire mal aurait été un acte immonde, que rien ne justifiait.
           Mais quoi ? Comment faire ? Comment sortir de cette situation ? Il ne pouvait pas continuer à parer coup sur coup en attendant que l'un d'eux finisse par le blesser. La défense ne sert qu’à repousser le moment où l'initiative doit être prise, et cette fuite temporaire ne mène à rien. Il ne pouvait pas repousser éternellement le moment d'agir, car de toute manière il se ferait rattraper par son destin : il devrait choisir entre tuer ou être tué. Il aurait pu, et peut-être aurait-il dû, abandonner et laisser la mort gagner. S'il devait, en effet, subir sa peine, payer pour ses crimes et puisque son châtiment était la mort, il devait l’accepter, arrêter de se défendre, laisser faire ce qui devait être fait ; comme Aypierre l’avait fait avec lui. Mais il ne voulait pas mourir, il ne pouvait pas mourir. Sa vie ne lui appartenait plus. Il n’avait pas le droit de la donner comme cela. Il avait un devoir à accomplir. Quand Aypierre s’était sacrifié pour le racheter, il lui avait retiré le droit sur sa vie. En prenant la vie d'Aypierre, Skillnez avait aussi prit les responsabilités de ce dernier. Maintenant qu'Aypierre n'était plus, il incombait à Skillnez de remplir la place que le défunt avait laissée vacante. Il devait rendre le bien qu’on lui avait fait. Sa vie appartenait à la communauté, à tous les participants de la cité qui auraient besoin de son aide. Aypierre lui avait transmit son fardeau. Maintenant il n'avait d'autre choix que d'assumer son devoir, et pour cela, il devait vivre. Son corps, sa vie n’étaient plus à lui, il ne pouvait accepter que quelqu’un la prenne. Il ne pouvait donner ce qui ne lui appartenait pas. Il était le bien de tous et ne pouvait ce laisser détruire ainsi alors que d’autres avaient encore besoin de lui. Il serait mort si cela ne dépendait que de lui, mais cela ne dépendait pas que de lui. Il n’avait pas le droit de mourir tant qu’il n’avait pas fait ce qu’il devait faire.
           Et puis outre le devoir, il se rendait compte qu’il voulait vivre. Il voulait faire ce qu’il devait faire. Il était jeune encore. Il y avait droit. Aypierre en se sacrifiant pour lui, avait rendu sa douleur supportable. Il était sortit des ténèbres qui l'avaient englouti. Il renaissait. Aypierre lui avait donné une seconde chance, dont il voulait profiter. Potaro ne devait pas la lui retirer, alors que les portes d'une ère nouvelle s'ouvraient à lui. Il avait envie de vivre, il en avait le droit ! Tant de chose l'attendaient encore dans l'avenir, ses jours ne pouvaient finir dans cette grotte infâme. Il devait la convaincre d’arrêter le combat, c’était sa seule chance. 
           Le regard bleu d’Aypierre brillait encore dans son esprit. Il en gardait la présence au fond de son cœur, son cœur qu'Aypierre lui avait donné pour sentir, pour être.
           Aypierre avait vu juste quand il avait vu en Skillnez son héritier.

           Skillnez continuait à parer les coups et Potaro à attaquer. Il ne l'avait toujours pas attaquée et continuait, comme depuis le début de leur rencontre à tenter de la raisonner par phrases courtes, la force du combat ne lui permettant pas de longs discours. Il devait économiser son souffle. Il n'avait pas la respiration suffisante pour parler et combattre en même temps. Cependant il fallait qu'il la calme. Il ne pouvait continuer ainsi jusqu'à l’épuisement. Il était certes plus fort, mais elle avait tant gagné en puissance qu'elle était devenue un adversaire de taille, à ne pas négliger. Il aurait sûrement pu la vaincre, si toute fois il avait pu manier le jeu. Mais l'initiative qui est décisive pour savoir qui sortira vainqueur d'un combat, il ne pouvait la prendre. Il n'avait pas le droit d'attaquer et c'était un grand désavantage pour lui, car il était obligé de réagir à ce qu'elle faisait. Il lui laissait mener la danse et prenait le risque de faire le faux pas qui lui serait fatal.
           La lumière de la torche qui éclairait la grotte, diminuait peu à peu. Elle baissait en intensité. Le charbon qui l’alimentait devait être en fin de vie et bientôt elle allait s’éteindre. C’était une sorte de crépuscule qui tombait. Dans la demière clarté qui restait encore, Skillnez remarqua qu'autour de l’épée de Potaro brillait un halo lumineux. Des flammes transparentes, légèrement bleutées léchaient le métal. L’épée abritait un esprit de feu. Enchantement Fire aspect. Il sentit un courant froid lui passer dans le dos. Le simple contact entre cette lame et la moindre chose pouvant brûler, suffisait pour que celle-ci prenne feu. Si donc, elle le touchait de son épée, alors le contour de la blessure prendrait feu. Les flammes produites par l’enchantement pouvaient durer longtemps et étaient très douloureuses. Si elle le touchait, il serait en une telle situation de détresse, qu’elle pourrait facilement l’achever ; si elle le touchait, il était mort. C'est alors qu'il se rendit compte que sa vie était sur une lame de rasoir, qu'elle pouvait être coupée à tout instant. Dans ces circonstances, l'attaque aurait été de la légitime défense, mais Skillnez, avec l'obstination qui le caractérisait, s'y refusait. Il y avait aussi une légère fierté. Avoir été assez fort pour gagner sans attaquer...


           Skillnez et Potaro haletaient. Ils étaient tous deux épuisés, fourbus. Leurs souffles créaient un petit nuage blanc de buée dans le froid des cavernes. Les mèches blondes de Skillnez étaient collées à son front par la sueur. Il était trempé. Une goutte coulait lentement sur les pores dilatés de sa peau, le long de son visage. La tresse de Potaro s’était défaite. Sa chevelure si rangée, si sévèrement domptée, s’était délivrée et les flèches hirsutes pendaient le long de son visage. Ses joues s'étaient empourprées. Le sang lui était monté au visage tant son effort avait été violent. Elle serrait les dents et son regard noir le brûlait. Le fer criait. Les épées se croisaient. La lame de Potaro ricochait contre la sienne. Elle avait gagné en force depuis leur dernière rencontre. A chaque nouvelle attaque, elle le repoussait un peu plus. Cette force, il la connaissait. Cette même folie vengeresse avait gouverné bien trop longtemps ses actes. C'était elle qui avait manié sa main quand elle avait transpercé le cœur d'Aypierre. Rien ne lui en été inconnu, ni la puissance issue de la douleur, ni la déraison que cette même douleur faisait planer sur l'esprit, l’empêchant de s’arrêter un instant pour réfléchir. Il l'avait eue, lui aussi. C'était elle qui lui avait donné l’énergie nécessaire pour se venger, mais il l'avait perdu en s'en libérant. Potaro, elle, l’avait encore.
           Par delà cette force que lui procurait la douleur, Skillnez se rendait bien compte qu’il y avait autre chose. Était-ce que Potaro, sans Natek, avait dû affronter des situations si extrêmes qu’elle s’était endurcie au point de devenir réellement la guerrière qu’elle semblait être ? Les événements l’avaient-ils façonnée comme de la glaise, l’armant de la même violence qu’ils avaient eut contre elle ? Surmontant des combats aussi durs qu’horribles, elle s’était fait une nouvelle peau. Elle était devenue autre, plus puissante, plus dure, mais qu’avait-elle perdu en échange ? Sa pureté s’était dissoute, sa gentillesse envolée. L’apprentissage s’était fait dans la violence. Elle n’avait pas été ménagée. Mais était-ce tout ce qu’elle avait perdu pour gagner cette force ? Enfin, Potaro était devenue un adversaire digne et la défense seule ne le sauverait pas. Elle était forte. Elle avait apprit à se battre. Il fallait qu'il attaque. C’était plus que sa vie qui était en jeu !
           Dans sa brutalité, elle s'exposait trop. Elle prenait avec une inconscience incroyable des risques démesurés pour pouvoir lui assener des coups plus violents. Sa garde trop éloignée de son corps cessait de protégeait son flan et Skillnez aurait très bien pu attaquer sur ce versant. Il voyait la place à viser et pourtant il ne portait pas le coup. Il ne pouvait s’empêcher de se reconnaître en elle. Ce qu'elle était, il l'avait été alors qu'il pourchassait Aypierre. La douleur qui l'avait torturé, Potaro la subissait aussi. Il savait ce que cela voulait dire et la plaignait énormément. Il se souvenait de la Potaro belle et joyeuse qu'il avait rencontrée. Il lui semblait qu'une éternité était passée depuis. C'était un être de joie et de bonheur à l'époque, et c'est de ce « crime » qu'il avait voulu la punir. Il souffrait tellement à ce moment qu'il ne pouvait plus supporter le bonheur d'autrui. Cet amour avait été un soleil qui l'avait ébloui. Il s'était vengé de sa frustration sur le couple. Parce que lui était dévoué au malheur, les autres devaient l'être aussi et il l'avait tué. Natek.
           Tout à coup, une idée insensée lui traversa la tête. Un cercle. Ils formaient un cercle. Aypierre avait tué Playfan, lui avait tué Natek et si c'était Potaro qui avait tué Bill ? Un frisson d’horreur le secoua. Non, non, cela ne pouvait être vrai. Il délirait. Plus que d’être impossible, ce n’est pas, tout simplement. Le concevoir même relevait de l’absurdité. De toute la force de sa raison, il refoula cette idée trop horrible, il la rejeta jusqu’aux confins de sa conscience, l’enterra au plus profond pour n’avoir plus à la revoir. L’impression générale de trouble, de fausseté resta en lui. Il ne pouvait contempler Potaro sans sentir une légère sensation de gêne, comme s’il participait en le faisant taire, à un mensonge qui le dégoûtait. Sur Potaro se superposait une impression d’opacité, comme si la conscience de la femme, qui se trouvait en face de lui, au lieu d’être transparente comme elle avait dû l’être lorsqu’elle avait été pure, était devenue nébuleuse et que, dans ses recoins les plus opaques, se cachait, croupissant dans le mensonge et la fourberie, une folie bien plus dangereuse que celle qu’elle arborait, un mal silencieux mais en éveil, prêt à agir sans bruit, à empoisonner autrui à son insu avant de l’éliminer. Il ressentait l’impression que derrière la fureur justifiable par la douleur qu’elle avait subie, grouillait un mal plus grand qui, s’il ne s’était pas déjà mit en marche, n’allait pas tarder à le faire.



           Tandis que les coups déferlaient toujours sur lui en une cascade ininterrompue, il sentait la fatigue grandir en lui. Ses mouvements étaient plus lents. Les chocs faisaient vibrer son bras. Le souffle lui manquait. Et ce qui devait arriver arriva. Skillnez comprit avant que cela ne se produise réellement. Dans un instant extra-lucide, il vit le coup arriver une fraction de seconde en avance. Son cerveau, par la rapidité de ses pensées voyait déjà le coup qu'elle allait lui porter alors qu'elle n'avait pas encore commencé à tendre le bras. Le temps lui sembla figé tandis qu'il approchait le plat de sa lame pour protéger son flanc droit, mais il savait qu'il serait trop lent. La lame de Potaro glissa contre celle de Skillnez, elle en fut légèrement déviée mais pas arrêtée. Et de la pointe de son épée, Potaro traça une grande entaille rouge entre les côtes de Skillnez.
           Il siffla entre ses dents serrées tel un serpent qui se dresse. La douleur lui porta les larmes aux yeux. La blessure était brûlante. Contre sa plaie, dans la chair ouverte, de petites flammes s’étaient allumées. Elles léchaient sa peau, et le cri de douleur coincé dans sa gorge lui déchirait les cordes vocales. Un voile rouge tomba sur sa vue tant la souffrance était immense. A travers, il vit Potaro lever le bras pour lui donner un coup qui pourrait être fatal. C'était fini. Voilà à quoi avait mené le sacrifice d'Aypierre. Il n'avait rien eu le temps de faire, avant de se faire rattraper par son destin.
           Mais tout à coups, Potaro recula, elle se mit à tousser, à cracher ses poumons. Elle fut reprise par cette même crise qui l'avait secouée avant le début de leur combat. L'effort qu'elle avait dû fournir avait été trop intense pour ses poumons malades qui se révoltaient.
           Skillnez n'avait pas le choix. Il fallait qu'il passe à l'action, les discours ne servaient à rien. Il avait pris le premier coup, le premier désavantage et s’il ne voulait pas finir embroché sur l’épée qui venait de lui blesser le flanc, il devait impérativement attaquer, profiter de ce moment de faiblesse. « Désolé Potaro » pensait-il « c'est pour notre bien à tous les deux ». Feintant sa défense, il lui donna un grand coup sur le haut du crâne et elle s'effondra, inerte.
           Elle avait vu le danger arriver, mais encore pliée en deux et le souffle trop court, elle n'avait pas réellement pu le contrer. Elle avait tout compris, comme Skillnez avait compris avant qu'elle lui transperce le flan. La situation s'était retournée si rapidement. Elle avait gagné. Elle avait été sur le point de lui donner le coup fatal. Du bout des doigts, elle effleurait déjà la victoire quand celle-ci s'était tout à coup dissoute entre ses mains. Et elle avait perdu. Le meurtrier de Natek avait gagné et elle était morte.
           Skillnez avait un regard froid, dépourvu de sentiment comme s'il accomplissait un acte mécanique. La douleur était atroce. Elle l’avait englouti toute entier. Les ténèbres troublèrent sa vue.
           Elle ne sut si elle avait crié avant de sombrer.

***

           En sortant de la grotte, Croustinette sentait qu'elle était proche de lui, qu'elle était proche d'Aypierre et qu'il l'appelait. Mais la plainte s'était tue et elle s'était retrouvée dans le vide, perdue et seule. Elle avait pourtant avancé dans les galeries qui se déroulaient devant elle. Elle ne savait pas où elle allait, mais elle avançait et puis elle avait trouvé le fil, une corde tendue au sol comme elle en avait découvert lors de sa recherche avec Zelvac. Sans surprise, mais sans l'avoir réellement voulu, elle s'était retrouvée sur la voie qu'Aypierre avait suivit. Alors qu'elle la cherchait, elle l'avait perdu, cette voie, mais maintenant qu'elle avait arrêté de chercher et qu'elle ne faisait plus que suivre son cœur, le chemin semblait être venu à elle. Alors elle l'avait suivi, et le suivait à présent depuis un certain temps. Elle n'avait plus croisé de corde, mais Croustinette savait qu'elle s'approchait. Elle le sentait. Des flux écœurants dans l'air pourtant immobile montaient jusqu'à elle et c'était une nausée indistincte qui lui faisait chavirer le cœur. Ce n’étaient pas des odeurs comme il peut y en avoir quand la chair d'un cadavre se décompose et exhale ses émanations putrides. Non, rien de semblable ne faisait frémir ses narines et pourtant, elle se sentait proche du malaise comme si l'oxygène s'était transformé en un gaz fétide. Ce qui la faisait hoqueter de dégoût, ce qui lui retournait le ventre était la souillure de l'air par une odeur de mort. Tous ses sens, sans percevoir quelque chose de réel, lui criaient, non loin, la présence de celui qu'elle cherchait, d'Aypierre, mais aussi la mort qui venait de frapper. Comment pouvait-elle en être sûre alors qu'elle n'avait rien de physique comme preuve ? Il n'y avait rien, mais ce vent contre sa joue n'était que l’haleine arrêtée d'un cadavre, ce frissons glacé contre sa peau n'était que le reste du contact rapide et effacé de la grande Faucheuse passée par ici, ce frôlement lointain et vague, le murmure de sa cape noire en effleurant le sol, et ce goût amer dans la bouche, le poison qui s'insinuait en elle, déjà, comme si par ce goût, le squelette lui faisait comprendre que bientôt ce serait son tour.
           Croustinette continua d’avancer malgré une partie d'elle-même qui se révoltait. Son corps n'avait pas envie de voir ce qu'elle allait découvrir. C'était comme s'il refusait de se confronter à l'idée concrète de mort. Il se soulevait contre ce quine  devait rester pour lui qu'une abstraction. La Mort ne doit arriver que lorsque l'âge a rongé la personne et que celle-ci part avec elle, bras dessous bras dessus, comme deux sœurs au milieu d'un rêve dont elle ne se réveillera pas, et du sommeil du sage, la personne passe si tranquillement qu'elle ne s'en rend pas compte au sommeil éternel. Toutes autres morts étaient contre nature. C'était une violence faite à la loi naturelle de la vie que d'arracher prématurément un homme qui n'en était pas encore à son heure.

***

           Potaro n'ouvrit pas les yeux dès qu'elle se réveilla. Elle sentait que ses mains étaient attachées devant elle mais aucun autre lien ne semblait la retenir. Les mèches collées par le sang sur son visage et la pierre contre sa joue lui prouvaient qu'il ne s'était passé que quelques instants depuis son évanouissement. Elle était toujours là où elle était tombée. Pourtant, de ses blessures, elle ne ressentait plus la plainte. Elle resta immobile, tentant d'évaluer la situation. Ne donnant aucun signe de vie, elle se laissait le temps de réfléchir. Soudain son sang se figea dans ses veines. Elle entendait très nettement des pas. Quelqu'un approchait. Il y eut un bruit d'éclaboussure comme si la personne venait de marcher dans de l'eau et avec un certain dégoût elle revit la flaque de sang qui s'était formée sur le sol de la grotte. Flaque de sang, petite mare de liquide foncé, qui avait grandit pendant que les trois combattants s'étaient entre-tués. Aypierre y avait déversé tout le sien, Skillnez y avait bien participé aussi et elle, Potaro avait donné sa part également.
           Elle entendit la personne patauger. Ses pas produisaient un bruit de succion dans le liquide. Ce devait être Skillnez. Pourquoi ne l'avait-il pas tuée ? En elle, elle sentait toujours la rage brûler. Elle le haïssait comme elle n'avait jamais haït quelqu'un. Elle le tuerait. Oh oui ! Elle le tuerait avec plus de joie qu’il n'était possible d'en éprouver. Il aurait dû l'achever. Il aurait dû le faire depuis longtemps, depuis ce jour qui lui semblait sortir d'une autre vie, ce jour où il lui avait arraché Nathek. Il aurait dû la tuer à ce moment là. Pourquoi vivre alors que celui qu'elle aimait n'était plus ? Il aurait pourtant pu se douter qu'à partir de là, elle n'aurait plus eu en tête d'autres pensées que celle de sa vengeance. Skillnez n'aurait jamais dû la laisser vivre et se fortifier. Il aurait dû la tuer à ce moment là, enlevant le mal à sa racine. Laisser sa tuerie inachevée était une erreur immense. Faible, elle était devenue forte. Inoffensive, elle était devenue dangereuse. Il avait laissé la graine germer et l'arbre, qui aurait été facile à déraciner avait encré ses racines dans le sol et ce ne serait pas sans peine à présent qu'il pourrait l’arracher. Il aurait été si simple de la tuer avant, petit être chétif qu'elle avait été. Elle ne représentait à l'époque pas de danger, mais maintenant que la cité lui avait forgé une autre nature, avec la rage à ses cotés, la situation avait changé. Chassée était devenue chasseur. Il avait fait une première erreur en ne se précipitant pas sur ses traces quand elle avait réussi à lui échapper. Il venait d'en faire une deuxième en la laissant encore en vie. Pourquoi ne l'avait-il pas tuée ? Il pouvait réparer l'erreur qu'il avait commise et cette chance ne lui serait sûrement pas redonnée. Il avait vu la force qu'elle avait gagné et avait comprit le danger qu'elle représentait maintenant pour lui. Et pourtant, il n'avait rien fait. Elle était encore en vie, et à peine attachée.
           Dès que le moment propice adviendra, elle lui sautera à la gorge et telle une tigresse, elle le déchirera, le réduira en charpie. Il le savait pourtant, qu'il n'aurait jamais de répit tant qu'elle serait de ce monde, tant qu'une goutte de vie circulerait dans ses veines, tant qu'elle aurait un cœur pour battre. Il savait qu'elle le poursuivrait et que jamais elle n'abandonnerait sa vengeance. Il l'avait sous-estimée en la laissant vivre après son crime, mais maintenant où elle avait été sur le point de remporter sa victoire, comment pouvait-il encore le faire ? Pourquoi l'avait-il donc laissée en vie ? Enfin, peu lui importait. La stupidité de Skillnez lui offrait une occasion de plus d'assouvir sa vengeance. Pour l'instant, cela était difficile à envisager, mais elle était patiente. Elle attendrait, s'il fallait attendre, mais elle ne lâcherait pas.

           Potaro entendit Skillnez se rapprocher. Il était là, tout près. Elle sentait son regard. Il la contemplait, cherchant peut-être à voir si elle était réveillée. Elle ne bougeait pas. Pas une fibre de son visage ne tremblait, rien ne laissait à voir que sous ces yeux clos et ces joues molles, se trouvait une âme pensante, qui s'agitait et trépignait de tuer celui qui l'observait.
           Skillnez s'agenouilla et posa un genou à terre pour être à sa hauteur. Elle entendait sa respiration. La rage dans son cœur était décuplée par la présence toute proche de son ennemi. Lui sauter à la gorge. Le morde. Le déchirer. Qu'il ne soit qu'un tas d'organes sanglants ! Mais elle ne bougeait pas. Elle ne devait pas laisser paraître la moindre trace d'activité nerveuse. Rester calme, rester immobile... mais ce regard la souillait et lui brûlait la peau comme la rage qu'elle éprouvait lui brûlait le cœur et l’intérieur de ses paupières qui devaient pourtant rester fermées ! Il était si proche, quelle tentation de lui passer la corde qui reliait ses deux mains autour du cou et de serrer ! L'envie du tuer circulait comme un poison dans ses veines. Ses mains en frémissaient… mais non, elle ne devait pas, pas bouger, pas maintenant. Ce serait risquer sa dernière chance bien bêtement dans une tentative trop incertaine. Elle était encore en vie, c'était déjà un miracle en sois, elle ne comprenait pas comment il se faisait que cette chance lui soit à nouveau donnée, mais elle savait qu'elle ne le lui serait plus. C'était la dernière chance. Si elle l'attaquait maintenant et qu'elle ratait, il serait bien obligé, par simple prudence, par simple logique, de la tuer. Elle n'avait pas le droit à l'échec. Elle devait donc jouer avec toute la finesse dont elle était capable. Il lui fallait se contenir et attendre le bon moment. Attendre aussi longtemps que cela serait nécessaire, mais tuer et d'un geste si sûr, que la mort serait inévitable et que rien au monde ne pourrait sauver Skillnez... Son heure viendrait. Tout avait son temps, il y aurait un temps pour la vengeance. Il fallait juste bien jouer, sembler calme quand le feu brûlait en elle, faire que le mensonge paraisse plus vrai que la vérité, et puis tuer, massacrer sans état d'âme.

           Mais que faisait-il ? Que voulait-il ? Elle frémit quand elle sentit le contact d'un tissu chaud et humide toucher sa peau. Il lui passait un gant mouillé sur le visage. Il essuyait le sang. Il y avait une incroyable douceur dans ce geste. Il était délicat et attentionné comme s'il maniait quelque chose de précieux auquel il fallait accorder de multiples attentions. C'était agréable en somme, mais insupportable sachant qui faisait ce geste. Elle aurait pu supporter qu'il lui fasse mal, cela n'aurait fait qu’alourdir sa rage, mais elle ne pouvait pas accepter de recevoir un quelconque acte de gentillesse de la part du meurtrier de Nathek. Elle aurait enduré la douleur, elle s'y était habituée, mais la bienveillance, provenant d'un tel homme était bien pire que toutes les tortures qu'il aurait pu imaginer. C'était une insulte, une souillure à sa haine ! Elle ne voulait qu'avoir des raisons de le haïr, rien d'autre ! L'eau qu’il lui passait gentiment sur le visage pour la laver était un acide brûlant pour sa conscience enragée. Elle ne pouvait pas tolérer cela ! Elle ouvrit les yeux. Il était là. Si près. Leurs deux regards se heurtèrent. Il n'y avait que de la sympathie dans ses yeux noirs. Mais dans ceux de Potaro brillait une rage sans nom.
            Elle rugit en se redressant et l'eut frappé ou même mordu s'il ne l'avait pas évitée. C'était une bête folle qui surgit en elle. Elle tenta de se relever, tira sur ses liens, mais Skillnez, avec une douceur qui contrastait incroyablement avec la fureur de Potaro, la repoussa et la main sur l'épaule la força à rester allongée. Cette main exerçait sur son torse une pression douce quoique ferme. Elle la clouait au sol. Potaro malgré tous ses efforts, ne pouvait rien contre cette force qui s'imposait à elle. Elle se débattait comme un démon, mais rien ne pouvait faire décoller cette main qui la plaquait au sol. Relevant le genou, elle tapa Skillnez aux côtes ce qui le fit grimacer. Il ne voulait pas lui faire de mal, mais elle allait devoir l'écouter. « Potaro, j'aurais voulu ne pas arriver à cette extrémité, mais ne me force pas à t'attacher d’avantage. » Elle lui hurla sa rage au visage. C'était un hurlement de fureur et d'impuissance. Cette main sur sa poitrine et ces liens qui l’entravaient réduisaient tout effort à néant. Elle était obligée de regarder son ennemi en face et ne pouvait que lui cracher au visage toute sa colère alors qu'elle aurait voulu le déchiqueter de ses ongles.
           « Mais oui, je sais. Tu n'es pas contente. Tu veux te venger de ce que j'ai fait à ton chéri. Tu me détestes et tu as parfaitement raison, je suis d'accord avec toi : je suis absolument ignoble. Tu as toutes les raisons de m'en vouloir, comme beaucoup d'autres d'ailleurs. Je n'ai rien pour ma défense et j'accepte sans ciller toutes les insultes que tu me jettes au visage, je serais même prêt à en rajouter. Mais s'il-te-plaît, écoute-moi un instant. Je sais pertinemment que tu n'en as pas envie et que quoi que je fasse, ou quoi de je dise, tu auras envie de l'inverse, car, selon toi, tout ce qui provient de moi ne peut être que mauvais. Même si c'est ton bien, dès que j'en suis l'origine, cela te paraît néfaste. Je peux parfaitement le comprendre et tu pourras très bien choisir de ne plus me voir dès que tu auras retrouvé ta liberté. Cependant avant que je ne te détache, je dois t'expliquer quelque chose et m'assurer que tu ne risqueras pas de prendre des décisions dont l’ampleur de la conséquence te dépasse largement et qui pourraient causer un mal bien plus grand que ce que tu croyais. Après tu pourras décider de partir loin de moi, ou au contraire, participer au mouvement, cela ne tiendra qu'à toi. Rien n'influencera ton choix. Je te promets que cela résultera uniquement de ta décision personnelle et que quoi que tu fasses, je ne m'y opposerais en rien. Cependant il faut que tu prennes la peine préalablement de m'écouter. Je ne veux pas que tu te décide trop hâtivement. Ce n'est pas parce que tu me détestes, que tu dois faire un geste qui ruinerait l'avenir de tous les participants de la CHM. Il faut bien que tu prennes en compte que ce n'est pas par rapport à moi, mais par rapport à tous les participants de la CHM qu'il te faudra choisir. De ce fait tu ne dois pas prendre parti en le faisant par vengeance, car ce n'est pas uniquement contre moi que tu te tournes, mais contre les autres aussi, les autres qui sont innocents dans cette affaire. Ce n'est pas moi qui suis en jeu, mais tous les autres et autant à moi qui suis coupable, je t'accorde le droit de me faire tout le mal que tu voudras, autant aux autres, cela t'es strictement interdit. Ils n'ont pas à souffrir ta colère et ma bassesse. Ils n'ont rien fait dans cette histoire, ils n'ont pas à en subir les ondes néfastes. Ta colère ne doit se porter que contre moi, pas contre eux et lorsque tu devras choisir, se sera par rapport à eux.
           « Pour l'instant tu ne peux rien entendre de ce je te dis. Mes paroles coulent sur toi sans même laisser ne serait-ce qu'une trace humide sur ta conscience. Je sais. Oui. Je sais. Je l'ai ressenti aussi bien que toi, cette colère qui te ronge. Mais il va falloir prendre patience et m'écouter, car c'est l'unique solution que nous avons. Calme-toi. Inutile de s'agiter ainsi. Cela durera aussi longtemps qu'il faudra. Je ne te détacherai pas avant d'avoir été entendu. Il n'en tient qu'à toi que cela se termine vite. Mais si tu veux, nous pouvons aussi rester ensemble dans cette grotte infecte jusqu'à la fin des temps. Alors maintenant, s'il te plaît, tu vas arrêter de te débattre et de hurler comme une démente. D'accord ?
           « Je peux comprendre que tu ne veuilles entendre le moindre mot, je peux le comprendre car, moi aussi, tout à l'heure, je n'ai pas voulu écouter le moindre mot d'Aypierre. J'étais comme toi, fou de rage et de douleur, ivre de vengeance. Je venais comme toi, de retrouver celui qui m'avait arraché mon amour et comme toi, je ne voyais qu'à travers le voile rouge de la cette folie vengeresse.
           « A-t-il parlé ? Je ne le sais même pas. Ses mots provenaient de trop loin pour m'atteindre, et j'étais moi-même trop enfermé dans mon obsession pour les percevoir. Tout comme toi, je ne voulais pas de ce qu'il avait à me transmettre, et tu ne sais pas à quel point je regrette, maintenant, d'avoir été si obtus. Il s'est laissé tuer pour moi, pour me sauver. Je dois prouver au monde entier qu'il n'a pas eu tort. Son sacrifice ne doit pas être vain. Bien que lui-même ferait sûrement mieux la tâche qu'il m'a laissée, mais il n'est plus et il en revient à moi de la réussir et, par la même occasion, rembourser le geste qu'il a fait pour moi. A jamais, le manque dû à la perte d'Aypierre restera. Je ne peux pas le combler, je ne suis pas à son niveau, mais je peux l'atténuer et peut-être, puisqu'il a cru voir en moi son héritier, le compenser, mais il restera toujours le manque, car je ne suis que la substitution, le remplaçant car le meilleur est parti.
            « Vois-tu à quel point je regrette la vengeance que j'ai consumée, aveugle aux conséquences de mon acte ? Et je ne te parle pas du mal que je ressens à la pensée des souffrances que j'ai faites endurer à Shorty. J'ai honte de moi-même, du criminel que je suis. Si dans cette cité, il y n'avait que deux innocents, totalement purs qui ne se sont abaissés à aucune bassesse et qui, alors que tout le monde c'était égoïstement refermé sur soi-même, ont osé penser l'universel et on posé les bases du futur pour lequel nous nous battons à présent, c'était bien eux : Bill et Shorty et ils étaient morts d'avoir voulu le bien de nous tous et c'était les deux seuls parmi nous qui méritaient de vivre ! Aypierre a repris le rôle de Bill. Je l'ai tué ! J'ai torturé Shorty, lui faisant subir les derniers stades de la douleur avant le mort. Je l'ai fait souffrir en un instant plus qu'il n’est possible d'endurer durant tout une vie, et pourtant, il m'a pardonné. Ses derniers mots n'étaient que bonté. Il aurait dû me maudire pour ce que je lui ai fait. Il m'a pardonné. Shorty et Bill n'étaient que générosité, altruisme, magnanimité. Qu’ai-je pour me justifier devant ma conscience ? Rien. Mes crimes me brûlent. Je ne veux pas que tu fasses la même erreur.
           « Quand j'ai commis ce qui me suivra toute ma vie, j'étais dans le même état que toi à présent, ne pensant qu'à ma propre douleur, en oubliant totalement autrui. Et cependant ô combien, j'aurais dû m'en souvenir ! Nous ne sommes pas seuls et le monde ne se résume pas à notre petite histoire répugnante, où à meurtre nous ne pouvons répondre que par de pires atrocités. Il y a autre chose que notre douleur, notre vengeance personnelle et les tracas de notre petite personne ! Quand j'ai tué Shorty, quand j'ai tué Aypierre, j'étais pour moi-même le centre du monde et je niais le reste de l'humanité. Il ne comptait que ma sordide folie et le reste devait s'y plier. J'étais comme toi maintenant, et j'avais tort. Ni toi, ni moi, ne sommes le centre monde, et c'est nous qui devons nous plier à son intérêt, pas lui au nôtre. Le commun avant le particulier, la majorité d'abord. Ne crache pas, comme je l'ai fait, sur ces principes fondamentaux, car il n'en ressortira que du mal. C'est cela que je voulais te rappeler. Il y a les autres, et ils valent autant que nous. Je t'aurais laissé en paix si nos actes ne concernaient que nous, seulement ce n'est pas le cas. Nos actes ont une incidence sur les autres, ils entraînent des conséquences qui nous dépassent, et c'est en cela que nous ne pouvons pas faire ce que nous voulons. Nous avons le droit de détruire notre vie, mais pas celle d'autrui.
           « Je ne sais pas ce qu'Aypierre prévoyait, s'il me l'a dit j'ai été trop sot pour comprendre. Mais il prévoyait quelque chose. Près de la surface, lui, Croustinette et Zelvac ont construit une sorte de place forte. Je soupçonne qu'elle n'est pas là pour se protéger des autres participants, elle est bien trop sophistiquée pour cela. Non, ils l'ont construite dans l'attente d'un plus grand danger... Le maître du jeu ? Je ne sais pas. Mais je pense qu'ils préparaient derrière leur mur d’obsidienne une révolte contre la cité. Ils faisaient cela dans le but altruiste, généreux, de tous nous sauver et j'ai tué leur lieder. Ces mots m'écorchent la bouche tant leur vérité me dégoûte ; j'ai tué Aypierre. Il me revient donc naturellement le devoir de rallier cette révolte et de la mener à la victoire. Comment ? Je ne sais pas... J'aimerais tellement savoir ce qu'Aypierre avait à me dire... Mais c'est ainsi. Je rejoins donc le bunker pour continuer son œuvre. Tu peux me suivre si tu veux, mais tu ne peux t'opposer à moi. Si tu lèves la main sur moi, c'est sur l'avenir des autres que tu vas la lever, et cet avenir tu n'as pas le droit de le détruire. Je l'ai fait en tuant Aypierre, ne reproduis pas cette erreur. Tu peux faire celle de l’égoïsme en choisissant le parti de la solitude plutôt que de te rallier à la révolte, cela n'engage que toi, mais pas celle de me tuer. Et si tu le tente quand même je serais bien obligé de faire en sorte que tu ne sois plus un danger pour l'avenir de tous. Je me suis acharné à ne pas te faire de mal car je sais que tu es, toi aussi, innocente dans cette affaire, que je suis le coupable car c'est moi qui ai allumé le feu de la haine qui brûle dans ton cœur ; mais je ne peux mettre en péril la survie de tous pour toi et s'il faut que je devienne violent, je le serais.
           « Bien. Je peux te détacher maintenant ? »

           Il la regardait dans les yeux. Elle était parfaitement immobile. Elle avait cessé de trembler depuis longtemps et ses yeux sans ciller suivaient ceux de Skillnez. Par ses lèvres entrouvertes passait sa respiration. Elle ne prononçait aucun mot. Ses grands yeux bruns dilatés brillaient comme deux joyaux sur sa figure blanche. Elle était d'une pâleur maladive qui contrastait avec le sombre de ses cheveux et de ses yeux. Ses joues avaient perdu la roseur comme si celle-ci s'était effacée sous les malheurs. Skillnez voyait en ce qu'elle était devenue ce qu'elle avait souffert. La tristesse l'avait lavée de toute couleur et il ne restait qu'un blanc trop blanc et un noir trop noir sur sa figure. Elle devait être malade aussi. Parfois sa respiration devenait rauque et sa poitrine frémissait. Il l'avait sentis de nombreuses fois, sous sa main qui la maintenait au sol, hoqueter et frémir. Son souffle avait parfois l'air d'un râle comme si sa gorge se retrouvait entartrée d’une glaire visqueuse qui l’étouffait. Peu à peu lors de son discours, elle avait renoncé à se débattre et lorsque la rage qu'elle portait en elle s'était enfin assoupie, il avait pu voir la jeune femme qu'elle était. La démone surpuissante qu'il avait affrontée était, maintenant que le feu de la colère avait cessé de faire vibrer ses veines, une femme d'une pâleur maladif, faible et fatiguée, qui telle de la porcelaine fine était prête à se casser au moindre contact. Elle était redevenue Potaro. Elle n'avait plus la beauté du bonheur qu'elle avait eu, mais il la retrouvait encore dans ses traits. Elle n'était pas morte comme il l’avait craint un instant. Non, celle qu'il avait vu il y a bien longtemps était encore là. Certes elle n'était plus lumineuse comme elle l'avait été, mais elle était là. Il devait la ramener, faire ce qu'Aypierre avait fait pour lui.
           Lentement, il enleva sa main qui la retenait allongée. Elle ne se révolta pas contre Skillnez. Elle ne fit aucun geste d'hostilité. Elle ne bougeait toujours pas. Elle le regardait toujours, sans cligner des yeux. Quand elle se sentit libre tout à coup sa respiration s'accéléra et elle haleta un peu, mais elle resta figée et froide comme de la glace. Skillnez se releva et s'écarta d'elle pour l’inciter à se redresser en lui laissant de la place autour d'elle. Elle était restée allongée, comme clouée par la pression que Skillnez avait exercée sur sa poitrine. Elle semblait s'être pétrifiée. Alors il lui tendit la main, la paume grande ouverte, prêt à tout, donnant tout, dans un geste d'amitié généreuse et aveugle. C'était une invitation à un nouveau départ. Il lui proposait de l'aide. Il lui proposait de se relever ensemble. Elle cligna des yeux, ses lèvres entrouvertes se fermèrent. La surprise laissa place à la détermination et elle saisit la main de Skillnez. Ses doigts fins serrèrent la poigne forte et Il la releva d'un geste.

Et si la CHM s'était passée autrement ?  Potaro10

Bien évidement, le texte ne rentre pas en une partie. J'aurais toujours ce problème. Bref, il faut que je fasse une autre partie car celle ci est coupé en son milieu. Ce texte n'est que la première sous partie de la troisième partie. Il reste encore la deuxième sous partie qui va s’appeler :
Quand le Mal germé dans le passé vient pourrir le cœur de l'avenir fleurissant
je ne le posterais que la semaines prochaine bien qu'il sois écrit. Ce que j'ai fait pour Skillnez 1 et 2 ne m'a pas paru être une bonne solution, je tente autrement. J'ai trouvé que cela faisait beaucoup de texte d'un seul coup, je vais essayé de mieux répartir.
Donc la semaines prochaine, il y a la suite et fin du jour 11, et après je ne sais pas si la première partie du jour 12 arrivera exactement le semaines suivant, où s'il y aura une semaines entre les deux, cela ne dépends pas vraiment de moi mais des profs. Enfin je ferait tous mon possible pour qu'il n'y ai plus de grande pause comme celle que j'ai été obligée de faire.
Je vous remercie énormément d'être encore là et j'espère de tous cœur que vous serais là jusqu'à la fin. Et si ce chapitre vous à plus, dite le moi en commentaire cela fait toujours plaisir et c'est très encourageant  Very Happy
Deux dernières chose encore. J'ai fait un sommaire qui classe dans l'ordre toute les parties, jours et chapitres, de la CHM et qui est pourvu d'un petit résumé, comme cela si vous voulez vous souvenir d'un truc ou relire quelque chose, où je ne sais quoi, vous n'avais qu'à regarder dans le lexique et trouver dans le résumé l'objet de vos recherches.
Enfin, je voudrais remercier Blacksmoothie pour la réorganisation de la section remake et la bonne idée qu'elle a eut de mettre le sommaire tout en haut et vous tous mes lecteurs et les modérateurs car grace à vous, notre histoire à été dans les coups de coeurs et cela m'a fait très plaisir.  :coeurfleur:  Je vous aime ! C'est grâce à vous ! Enfin je voudrais vous remercier pour les 730 vues sur le premier chapitre et les 610 vue sur le chapitre de la mort d'Aypierre, ce qui est vraiment un grand cadeau pour moi et un hommage pour ce personnage. Tous cela c'est grâce à vous. Merci beaucoup. Merci beaucoup d'être resté malgré la pause. Sans vous et votre soutient, je ne sais pas si j'aurais fini la CHM, mais avec vous avec mes cotés, le bonheur et telle que je trouve que cette fin se rapproche trop vite.

Merci donc, Vous étes le meilleurs !  :coeurfleur:
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Aliona Tma
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Sam 7 Mar - 11:36
Aliona Tma
Bon... Je mange, je me met en de bonnes conditions (position confortable, luminosité de l’écran, pas de dérangement...) puis je lis. ^^
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Aliona Tma
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Sam 7 Mar - 12:36
Aliona Tma
Fini...
J'ai beau réfléchir à un commentaire, rien ne me viens. Je ne vois que les yeux de Skillnez, compréhensifs, malheureux. Je ne vois que son regard, mélangé à celui d'Aypierre pour ne faire plus qu'un. Je pense aussi à Croustinette, savoir dans quelles conditions elle va trouver Aypierre et comment elle va réagir. 
Pour le moment, les paroles de Skill résonnent dans ma tête et son visage reste gravé dans mon esprit, occupant toute la place.
Je te ferais un vrai commentaire quand j'aurais digéré ce chapitre...
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M.S.
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M.S.
ah Aliona, toujours au rendez vous, toujours en première.

Tout d'abord bon appétit en retard, mais je trouve que c'est une drôle d'idée de manger avant mes chapitres. Tu vas me répondre que celui ci n'était pas glauque du tous, mais je te répondrais que ce n'était q'une moitié, la suite aura un ton légèrement différent. Enfin bref, mange bien et ne relis pas genre As2pick et sa mort juste après.

"Je te ferais un vrai commentaire quand j'aurais digéré ce chapitre..."
Prends tous ton temps, ce premier commentaire me fais déjà plaisir. J'aime avoir les premiers retours. Cela me rassure. Very Happy Moi, quand a ce chapitre, je suis assez amère car il ne fait pas réellement progresser l'action, cela tient pas mal du fait que ce ne soit qu'une moitié. Il n'est pas assez spectaculaire pour toute l'attente dont il a été sujet, mais toujours, je n'ai pas la place de tous mettre. Enfin, la semaines prochaines, on fini le jour 11. Ce sera une bonne chose de faite.
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Raikya l'Alchimiste
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Sam 7 Mar - 23:38
Raikya l'Alchimiste
Coucou :coeur:

J'ai été occupée toute la journée à montée (vive Movie Maker) mon fan-made trailer du film inexistant "La Guerre du Forum" avec les sadiques vs. les anti-sadiques...( tu pourra aller voir si tu veux quand je le posterai ^^) J'y ait passé plus de 10h je crois, donc mes yeux me font -un peu- mal et j'ai du mal à lire mais, promis, je lis et te fais un comm' aussi vite que possible

A plus :coeur:
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M.S.
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M.S.
Raikya

Prends ton temps. Je peux très bien comprendre qu'après une journée derrière un écran on ai envie de faire autre chose. Prends ton temps et puis même si les coms sont très importants pour moi, il n'y a pas d'obligation, jamais.

Cela à l'air super, ton film ! Qu'elle personnage a tu choisis ? Tu utilise quoi comme style, plus tot dessin ? Tu auras mit de la musique derrière et tous ? Ce à l'air super intéressante, j'ai hâte de voir cela, envoie moi un PM quand tu auras fini avec le lien !
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Aliona Tma
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Dim 8 Mar - 13:39
Aliona Tma
Je veux bien le lien aussi quand tu auras fini ^^ Ça a l'air tellement génial !
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Raikya l'Alchimiste
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Dim 8 Mar - 17:41
Raikya l'Alchimiste
Mich ( :coeur: )

Re coucou !
Alors j'ai lu le chaptire (partie?) ! Mais malheureusement, cette fois je n'ai pas le temps de faire un commantaire-analyse :/
Alors je te donne simplement mes impressions, ok? Déjà, le combat est -comme toujours-très intense. Pour moi, décrire un combat est peut être la chose la plus difficile, mais tu le fait tellement bien que je pense avoir beaucoup de choses à apprendre là dessus chez toi ^^
Surtout, les mouvements sont clairs et on peut très facilement s'y plonger... c'est facinant.
Ensuite, j'ai, te connaissant, une très mauvaise impression en ce qui concerne les actions de tous ces protagonistes dans la suite, surtout vu le nom du chaptire (partie?) !!!

Pour la vidéo, je n'ai fait que prendre des scènes de dessins animés existant et les mettres sur une musique avec des petits effets spéciaux... un peu comme un trailer ! Je vois envoie le lien alors ^^
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M.S.
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Dim 8 Mar - 19:29
M.S.
Raikya

Alors, oui je sais c'est très compliqué mes histoires de chapitres, partie, sous partie. Alors tous d'abord il y a le cycle, composé de trois chapitres. C'est la plus grande unité de mesure. Il y a eut celui de l'incipite, où les rancunes se noue et que le lecteur découvre les personnages ( les trois premiers chapitres avec la bataille du Nether, le meurtre de Playfan et de Natek, l'éclatement des Patrick... ) Ensuite c'était l'apogée ( mort de Bill, de Xef et de Brioche et de plein d'autre ), là nous sommes dans celui des cavernes qui n'est pas encore fini ( le bunker, le mort d'As2pick, celle d'Aypierre... ). Nous sommes au second chapitre de ce cycle, il en reste encore un avant qu'il soit fini. Un chapitre correspond à un jour. Mais comme c'est trop long je suis obligé de le coupé en partie. les chapitres ont entre deux et trois parties en fonction de leur importance. Nous sommes dans la troisième partie de ce chapitre. Mais comme (pour la mort d'Aypierre et pour cette partie ) c'est toujours trop long, je suis obligée de coupé en sous partie, Skillnez 1 et Skillnez 2 forment la seconde partie, L'Héritier (celui sur le quel nous sommes actuellement ) et quand le mal germé dans le passé vient pourrir l'avenir fleurissant ( sortira samedi prochain ) forment la troisième partie. Ensemble, avec la première partie ( lass mich nicht allein ), ils forment le chapitre 8 qui correspond au jour 11.
Ouais, je suis c'est un peu bizarre et dur de s'y retrouver, mais j'espère que maintenant tu vois où nous en sommes. Si non, vas voir le sommaire.

C'est déjà super de me donner tes impressions ! merci de te donner cette peine et merci pour ces gentils compliments que tu me fais.
J'ai un vieux projet, quand la CHM sera fini, d'écrire des fiches où je donnerais des conceils pour rédiger des scènes d'actions, faire des descriptions, donner de la personnalité au personnages ext... Quand la CHM sera fini et quand j'aurais le temps... donc voilà ...

"j'ai, te connaissant, une très mauvaise impression" tous juste mon chère Watson. C'est trop bon, c'est trop gentil, c'est trop happy end, pour être de moi. Ceci n'est qu'une moitié de partie et on va dire que la suite va être décisive.
"surtout vu le nom du chaptire (partie?)" bon point. Smile

je vais aller voir tous de suite ta vidéo.
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Lielea
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Mer 15 Avr - 14:07
Lielea
Bon...
On va commencer simplement, ça fait longtemps, je n'ai plus l'habitude....
Alors... avant tout, voila ce que j'ai entendu en lisant, et qui continue pendant que j'écris ce com...:https://www.youtube.com/watch?v=MkzeOmkOUHM 

C'est étonnant... J'aurais du mieux me rappelle l'effet qu'ont tes chapitres sur moi....Les mains froides, mes yeux qui cherchent encore du texte, alors qu'il n'y en a plus, mon esprit encore la bouche ouverte devant ce qui vient de lui être offert. Tes chapitres ont cet effet de me faire réfléchir bien plus que ce qui serait sain, sur ce que je lis...Je cherche un sens, des idées pour la suite,je suis transportée à travers tes personnages. Je me perds dans leur esprit, et dans les paysages que tu me fais voir. Je me sens parfois, en lisant tes chapitres, en aigle... Loin au dessus, voyant tout ce qui se passe, mais incapable d'agir dans ce monde auquel je n'appartiens pas... 
D'ailleurs... cela m'intrigue... Pourquoi ai-je tellement envie d'être présente dans ton histoire (je parle physiquement, réellement) Ce qui se passe dans ce monde que tu crées est en soit horrible après out... et portant j'aurais envie de participer à l'action, d'être présente, de Voir!
Bref... Je vais laisser la mon espèce d'introduction un peu bizarre... 
Juste encore dire désolée de t'avoir fait attendre si longtemps sur mon com, tu en connais les raisons...

Donc voila, nous y sommes... 
Aypierre est définitivement mort... 
Je ne m'y habituerais probablement jamais...
Mais bon... 
Je n'ai pas trop envie de couper cette sous partie en encore plus de parties, et vais tout "analyser" d'un coup si tu me permets... 
Alors... Le combat... époustouflant! Tu l'as vraiment super bien décrit, c'était comme dans un film, je pouvais voir chaque mouvement! Et la lumière qui diminuait lentement, la pénombre qui s'installe! Tu n'aurais pu choisir une meilleure atmosphère et un meilleur endroit pour ce combat...
J'ai particulièrement aimé la façon dont tu as plusieurs fois repris le combat, avec les différentes phases de réflexion de Skill. Aypierre a fait du bon travail avec lui... Il a transformé la haine qui habitait Skill... Je ne suis pas encore sure de ce que ce dernier fera de la force et en même temps du poids que Aypierre lui a passé, ça peut en même temps sauver tout le monde, et d'un autre coté j'ai un début de mauvaise impression... On verra comment cela se développera. 
Je trouve aussi que tu as superbement bien réalisé la fin du combat, avec ce mini point de vue de Potaro qui voit les yeux de Skill... avant de tomber. 

Ensuite Crousti... La pauvre! Je n'aimerais pas être à sa place... Après la vision qu'elle à eu, cet arbre en vie dans la grotte morte éclairée par l'eau... Et maintenant elle se rapproche de l'endroit fatal, caractérisé par la non-envie de son corps d'y aller... Elle devra être forte si elle ne veut pas casser la chance qu'ils ont tous de s'en sortir en tuant Skill... Hmmm ça ne me plait pas trop tout ça... Les chances de s'en sortit sont tellement infimes! Et toi! Tu nous montre plein de signes bons, d'apparentes résolutions! Mais derrière aucune se trouve une vraie sortie, une façon un peu plus facile et évidente de s'en sortir! Enfin, je ne vais pas m'étendre sur le sujet...

Alors... la fin... le long discours de Skill! Qu'est ce qu'il était beau! J'ai adoré! Ce long texte reprenait exactement mes pensées! Lui non plus ne sait pas ce que Aypierre voulait qu'il fasse exactement, lui non plus ne sait pas encore comment ils vont faire pour s'en sortir... Et il n'est pas encore atteint de l'idée d'une sorcière qui régirait tout... Ce qui me fait penser à son idée concernant la mort de Bill.... Bien sur je me méfie des idées que tu nous donne... Mais il n'empêche qu'il pourrait avoir raison... Je dois dire que je ne pense pas forcement à Potaro en tant que tueur... Mais à un autre joueur... Je te dirais par skype^^...
Mais revenons à la fin.
Je n'ai aucune confiance.... 
Oui, il l'aide à se relever, et Potaro semble s'être "réveillée"... Mais tu nous a fait trop de mauvais coups pour que tu puisse le faire aussi simple...

Enfin voila, je sais que ce n'est pas mon com le plus long, ni le meilleur... 
mais pour l'instant ma tête est concentrée sur pas mal d'autres choses (entre autre les carnets de Bill...)
j'espère donc que tu m'excuseras pour la qualité moyenne de ce com :coeur:

Aussi, je ne pourrai continuer ma lecture aujourd'hui, j'espère cependant pouvoir te poster encore un ou deux autres coms, d'ici dimanche Wink
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M.S.
Petit Sadique
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Mer 15 Avr - 19:28
M.S.
Lielea le retour !!
Tu as sus retrouver l'histoire ! incroyable !
non, je me moque de toi, ne le prends pas mal. C'est la faute au sadisme qui est en moi. Je suis super contente que tu reviennes parmi. Notre petit secte à bien avancé depuis ton dernier passage. Je m’apprête, samedi, à finir le jour 12, donc ouais, il te reste encore un peu de travail. Smile En tous cas je suis super contente que tu t'y sois remise après cette longue pause et cela me fait très plaisir de te retrouver dans la section commentaire. Donc WELCOME BACK, my dear !

Je ne connaissais pas cette musique, ni ce jeu, mais en tous cas le soundtrack et très jolie, très agréable. Merci de cette découverte, j'adore quand on me fait partager les musiques vos musiques.

Je suis contente que cette partie t'ai fait de l'effet. C'est très important pour moi car c'est ce qui montre qu'un chapitre est réussit, et surtout pour cette partie: L’Héritier C'est une partie que j'aime beaucoup et cela me fait plaisir quel te plaise aussi et quel te fasse ressentir quelque chose. Avec celle de la mort d'Aypierre, celle là et la suivante font partie d'un tous très très riche en émotion et en action; elles n'auraient jamais dû être coupée, malheureusement c'est toujours trop long, c'est d'ailleur pour cela que je te conseil de ne pas trop tarder avant la suivant, elle va avec ce que tu viens de lire, et c'est dommage de la couper comme cela, autant entre deux chapitres, Ok, entre deux partie Ok, mais les sous partie c'est dommage.

Tu veux faire partie de l'histoire ? un peu de patience, tu feras partie de l'histoire, attends l'épilogue. Je ne sais pas encore si tu feras partie de l'histoire indirectement, c'est a dire que tu seras à mes cotés, au coté du narrateur donc tu décides de tous ce qui concerne le narrateur, mais tu n'as pas de contacte avec les personnages; ou sois tu fais partie de l'histoire en tant que personnage, donc tu y agis mais tu es soumis à ma loie, celle du narrateur. Je ne sais pas... as tu une préférence ? Attention, comme cela concerne la narration est l'intrigue je ne suis pas obligée d'en tenir compte, mais je peux le faire... Je veux faire ce qu'il te plaira le plus, mais je me grades tous pouvoirs sur la narration et l'intrigue.

et oui Aypierre est mort Very Happy * grand sourire et si tu crois que c'est le dernier tu te trompes, tu peux t'attendre au pire, tu ne sera pas déçue.

Les combats sont toujours durs à écrire, je suis contente que celui ci t'es plu.
Les nombreux passages internes de Skillnez sont là pour que le lecteur s'attache un peu au personnage, personnage que l'on détestait avant et qui a tuer Aypierre et pourtant que moi, narrateur veux que le lecteur l'aime, ce qui est assez dure, que pense tu de lui, d'ailleurs ? ne tous cas tu semble ne pas lui faire vraiment confiance... Pourquoi ?

"j'ai un début de mauvaise impression..." Tu as raison. toujours avec moi, Rien n'est jamais aquis, il faut faire très attention avec moi quand l'avenir semble s'ouvrir de façon si prometteuse. Il y a toujours un aiguille cachée qui va faire mal, mais es tu sûre que ce soit Skillnez le problème ? Il est plus sincère que beaucoup d'autre personnage à ce moment...
"Et toi! Tu nous montre plein de signes bons, d'apparentes résolutions!" il est bien plus marrant de détruire l'espoire après l'avoir bien fait grandir Twisted Evil

"Lui non plus ne sait pas ce que Aypierre voulait qu'il fasse exactement" personne ne le sais, personne ne l'a sus ( sauf moi, mais bon cela ne compte pas Smile ). Aypierre n'a jamais dit l'étendue de ses soupçons, et le plan qu'il avait en tête... Tu te souviens du nombre de fois où Croustinette lui a reprocher son silence
Shorty :
"Apprend à accepter l'aide qui tes offertes. Apprend à agir avec des alliés à tes cotés, à pouvoir compter sur quelqu'un. Tu ne peux pas tout faire seul, la tache est trop grande. "

Lors de l'incendie au bunker...
"- Ça va. Tu peux te recoucher, je vais ranger tout cela. ( aypierre ) - Pourquoi veux-tu m'éloigner ? Qu'est ce que tu veux faire ? ( croustinette )- Je ne veux rien faire. ( Aypierre) - Tu mens ! Je viens de te sauver la vie, Aypierre ! Tu peux au moins me dire ce que tu redoutes ! On travaille en groupe et la base du travaille en groupe est la confiance et la discutions entre chaque membre. Il faut vraiment que tu apprennes à accepter l'aide qui t’ai offerte, à agir avec des alliés à tes cotés, à pouvoir compter sur quelqu'un. (Croustinette)

Y a plein de passage comme cela... Aypierre ne dit jamais rien, c'est trop drole !

"Mais à un autre joueur... Je te dirais par skype^^... " ah oui ? va s'y j'écoute !

" Je n'ai aucune confiance...." et tu as raison, se serais bien mal me connaitre si tu avais eut confiance.
"tu nous a fait trop de mauvais coups pour que tu puisse le faire aussi simple..." Bien sûr

"les carnets de Bill..." tu sais je ne suis pas un génie et les carnets de Bill sont très légèrement tiré par le cheveux. De faire qu'ils aient deux sens possibles étaient très dur à faire, donc j'ai du approximiser quelque petit point, de plus les carnets de Bill ne font pas tous, 50% est caché dans le texte

Merci beaucoup pour ton com ! je suis vraiment contente que tu sois enfin de retour et il m'a fait vraiment plaisir ! j'ai hate que tu lises la suite et que tu m'en dises des nouvelles ! Tiens pour fêter ton retour je vais poster un dessin que j'ai fait depuis longtemps, mais que j'avais oublié. C'est Frigiel qui regarde la mer, avec cette descriptions du coucher de soleil ...

"j'espère cependant pouvoir te poster encore un ou deux autres coms, d'ici dimanche Wink" Oui ! *dance de joie
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Lielea
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Dim 19 Avr - 18:20
Lielea
Je suis désolée de t'avoir fait autant patienter... Mais je suis effectivement de retour, et je vais essayer d'être plus présente ces prochains temps aussi....^^

Je sais aussi que je devrais continuer le plus vite possible, malheureusement la vie ne m'en laisse pas le temps, même si je le désire ardemment...

"
Tu veux faire partie de l'histoire? "
oui! je veux faire partie de l'histoire... mais je ne suis pas sure de vouloir mettre ma vie entre tes mains Very Happy 
Plus sérieusement, j'aimerais presque plus participer à la réalisation... d'allers je crois que tu le savais déjà non? Vu mon empressement de faire un épilogue alors que je ne connais pas la fin x)

"et oui Aypierre est mort"
merci de me rappeler ma douleur...

"en tous cas tu semble ne pas lui faire vraiment confiance... Pourquoi ?"
effectivement, maintenant que Aypierre est mort, je ne fais plus confiance à personne... Une façon de moi de ne pas trop m'attacher à tes personnages peut être ^^
Je dois dire que pourtant tu m'as rendu Skill très sympathique! Je l'aime bien, maintenant qu'il s'est réveillé... Et qu'il a repris en tout cas partiellement le poids d'Aypierre... Tout revient toujours à lui de toute façon... Aypierre aurait dit que le maitre du jeu est en fait la personne la plus gentille du monde je l'aurais cru x) ... j'aurais peut être pas partagé cet avis, mais je ne le tuerai pas si Aypierre le demande... Voila ce que tu as fait de moi!

Bon, le reste je ne vois pas trop quoi t'y répondre...
Du coup je vais arrêter la ma réponse^^
Mais 4a me fait très plaisir d'avoir un accueil si chaleureux de ta part après ma longue absence!
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M.S.
Petit Sadique
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Mer 22 Avr - 17:46
M.S.
Lielea

Bah Lielea, moi cela me ferais super plaisir de l'avoir le plus vite possible, mais bon ne te presse pas, tu sais, va bientot y avoir une grande pause dans la CHM le temps de exams, deux, peut être trois partie pourrons sortir avant cela, mais pas plus donc cela te laisseras tous le temps pour lire. Mais après ce serait chouette que tu rattrapes ton retard ! Je t'attends !

Code:
"Tu veux faire partie de l'histoire?"
oui! je veux faire partie de l'histoire... mais je ne suis pas sure de vouloir mettre ma vie entre tes mains :D 
Plus sérieusement, j'aimerais presque plus participer à la réalisation... d'allers je crois que tu le savais déjà non? Vu mon empressement de faire un épilogue alors que je ne connais pas la fin x)
C'est possible. Comme les épilogues vont être rédigés pendant les grandes vacances, on peut s'organiser un après midi skype pour l'écrire. Comme cela tu pourrais faire partis de l'histoire en tant que personnage, mais aussi en tant que narrateur à mes cotés. Mais si on fait cela, il faut que tu saches plusieurs points

1 Les événements principaux sont déjà agencé. Tu me connais, je fais mon plan très tot, donc là, tous ce qui va s'y passé est déjà figé, tel ou tel personnage est déjà mort Twisted Evil ( n'oublie pas que tu n'est pas dans l'épilogue qui se fini bien, mais dans l'autre... ) Donc les événements sont déjà fait, tu ne pourras pas les influencer dans leur nature. Tu sais que je sacrifie tous à l'intrique ( cc Aypierre ) , tous au point de me retrouver à la fin avec uniquement des personnages que je n'aime pas, tu te rends donc bien compte que je ne vais pas la changé.
Mais tu pourras influencé sur la forme, sur la perspective narrative ( de quel point de vue est fait telle où telle événement ), sur le ton, sur les lieux traversé par les personnages, sur les dialogues, sur les événements mineurs tous ce que tu voudras sauf l'intrigue...
2 ) et cela prendra écrire bien plus qu'une après midi, donc je vais faire pas mal de chose toute seule aussi...
3 ) Cela va tous te spoiler, car si tu fais avec moi, tu connaîtra le plan de ta partie, dans quand ton texte sortira, tu le connaîtra déjà pas mal et tu n'auras pas la surprise de découvrir les événements, toi les événements tu les découvriras rédigé comme je l'ai fait dans la sommaire, de façon très moche, très synthétique et très froide.
4 ) si je mets ton personnage ( ce n'est vraiment pas sûr car l'intrigue est déjà faire et un personnage en plus, c'est compliqué ) donc si personnage il y a, il sera mineur...

Je suis contente de t'avoir rendu Skillnez sympatique ! Même très contente, Je m'y emploie à grand effort depuis la mort d'Aypierre et je suis ravie d'avoir réussit. J'espère que la suite te plaira

"Aypierre aurait dit que le maitre du jeu est en fait la personne la plus gentille du monde je l'aurais cru"
XD XD XD ah je rigole, je rigole ! Et si c'est Bill qui le dit, cela va aussi ? Tu te souviens de ce com génial que tu m'avais fait ? Celui où à l'avance tu avait prédit qu'il y avait une erreur dans les carnets de Bill, où dans l'interprétation qui en a été faite et ou tu as comprit qu'Aypierre allait mourir en se sacrifiant ... J'ai ris à ce moment là car je savais et maintenant je ris encore, mais je ne crois pas que tu comprennes réellement pourquoi malgré l'indice incompréhensible que constitue cette réponse. J'imagine déjà le gros point d'interrogation qu'il doit y avoir au dessus de ta tête. Oublie, ne t'embrouille pas plus, tu ne pourras pas comprendre.

"4a" ???

En espérant te retrouver bientôt !!
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Ota
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Ven 3 Juil - 13:39
Ota
J'ai beau chercher, je n'ai rien à dire. Absolument rien. Au final Skillnez va aller dans le bunker. Avec Potaro. Et il est resté gentil jusqu'au bout.
Pas besoin d'un pavé pour donner mon avis. Il n'y a que du positif. Tout est parfait. Rien d'extrêmement étonnant mais c'est mieux comme ça. Le silence est d'or.
J'ai galéré pour écrire ces quelques mots. Je vais lire la suite et peut-être avoir plus de choses à dire.
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M.S.
Petit Sadique
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Lun 6 Juil - 20:06
M.S.
Miss Otaku

et bien merci pour tous ces compliments qui me font très plaisir. Je suis contente que cela t'ai tant plus ^^
Mich.
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