| | Et si la CHM s'était passée autrement ? |
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| Jeu 16 Avr - 21:03 M.S. Chapitre 8, jour 11, partie 2, point de vue de Frigiel, quand il contemple l'océan... J'ai utilisée : pour le ciel des crayon de couleur gras comme d'habitude Pour la mer et Frigiel, c'est un sous couche de peinture rugueuse avec légers coups de crayon gras et l'herbe est faite à la peinture lisse. ( la peinture est lisse ou rugueuse en fonction de la quantité d'eau, pas beaucoup = rugueuse, beaucoup = lisse ) - et la description à la quelle ce dessin se rapporte::
Il était assis à la limite du vide et balançait ses jambes comme un enfant. Son pied heurta la pierre de la falaise, en décrochant une petite pierre qui, après quelques rebonds, plongea dans l'eau avec un petit plouf, imperceptible pour l'homme qui l'avait inconsciemment décrochée. Il était là, seul, presque dans le vide. Ses cheveux bruns jouaient avec le vent marin qui, chargé de sel, emplissait ses poumons de cet air du large. Il humait ce brin venu de bien loin avec allégresse. Il le buvait avidement. Ce bol d'air frais sentait la liberté. Il voulait s’en imprégner au point de faire corps avec ce vent, de devenir si léger qu'il irait voler avec lui loin des terres où coulait le sang. En de longues inspirations, il se gonflait de cet air salé, de cet air bienfaisant et dans ses veines circulait un bonheur tranquille. Frigiel était sorti des grottes huit heures auparavant. En quittant les ténèbres, il avait fait son choix. Deux solutions s'étaient proposées à lui : rester et affronter le danger, la peur, la douleur et la mort, tenter de faire le bien, empêcher de faire le mal, intervenir dans le combat qui dressait les participants les uns contre les autres et peut-être les ramener à la réalité. Mais cela voulait dire prendre des décisions et risquer de se tromper ; se salir par un faux jugement ou faire face à l’échec. Il avait sentis un court instant le poids des responsabilités et cela l'avait effrayé. Pour intervenir, il faut trancher et décréter la limite entre le bien et le mal. Or celle-ci a toujours été poreuse et le sera à jamais, alors, lui, qui n'était qu'un participant parmi les autres, avait-il le droit de la décider ? Il était coincé dans ce même enfer, il ne serait pas neutre. Son Bien et son Mal ne répondraient que de sa subjectivité et non d'une justice universelle avec laquelle il ne pouvait fusionner. Il ne pouvait pas combattre le Mal, n'étant plus pur lui-même. Mais en même temps, s'il ne le faisait pas, qui le ferait ? Il avait choisi l'autre solution. Fuir. Fuir loin et tenter de s'échapper corps et âme de cette cité. Partir. Traverser terre et océan pour atteindre un lieu vierge de toute puissance humaine, où la violence de ceux-ci n'aura pas causé les dégâts qu'elle a causé sur la pauvre Terre. Là, ni le maître du jeu, ni qui que ce soit ne pourra le trouver et il pourra tranquillement commencer à soigner les blessures brûlantes que ces dernières semaines avaient taillé dans son âme. Lentement, elles se refermeront et quand enfin, il pourra regarder ces horribles semaines en face, il n'éprouvera plus de peur. Il vivra des choses simples et son bonheur, il le trouvera dans la contemplation tranquille de la Nature. Chaque jour est remplis de nouveaux trésors ; une fleur qui éclos, une étoile dans le ciel, la fraîcheur d'un bain de mer ; il voulait être là pour les voir, il voulait vivre. Dans son monde, il vieillirait dans la contemplation des choses. Il n'avait pas besoin de l'Homme et de tout ce qu'il avait inventé. Tout cela n'était que vanité et excès. Ce trop de confort faisait disparaître le vrai plaisir. Quel plaisir que de boire un verre d'eau fraîche quand on a soif ! L'abondance de toutes ces gourmandises trop sucrées, trop salées avait tué le bonheur qui y résidait pour le remplacer par des désirs hypertrophiés et contre nature. L'Homme avait tué la vérité des choses. Sur la terre qu'il trouverait, il y reviendrait et plus rien des horreurs des Hommes ne lui parviendrait et ne troublerait son contentement. Il avait donc reprit le but qu'il s'était fixé au début de la CHM. Tout le long de la journée, il avait marché dans le soleil. Il ne s'était jamais retourné. Il ne s'était jamais arrêté. Chaque pas avait été suivi d'un autre tout aussi déterminé. Il n'avait pas couru, la précipitation ne mène à rien, mais il était allé très vite. Les lieux avaient défilés sous ses pieds. Il n’avait senti ni la fatigue, ni la douleur de ses jambes ni le long lancinement de sa blessure au flanc qui n'avait, sous l’effet réduit d'une demie potion, pu guérir qu'à moitié. Il n'avait sentis que la lumière chaude du soleil qui, après les ombres des grottes, n'était pour lui que signe d'un avenir meilleur. C'est ce rêve qu'il avait poursuivit avec tant d'acharnement tout le jour durant. Il courrait après un idéal que la noirceur du monde ne lui permettrait pas de voir. Mais cela, il ne le savait pas. Ce qu'il désirait par dessus tout n'était que le reflet immatériel d'un monde inaccessible derrière la glace du miroir de l'imagination. Cette glace, il ne pouvait la franchir, il ne pouvait la briser, l'image derrière, il ne pouvait l'atteindre que par sa pensée et son désir, mais jamais il ne la toucherait. Pourtant, pour l'atteindre enfin, il lui suffisait juste de se retourner, ce qui la projetait était derrière lui. S'il contemplait, pour une fois, son monde autrement qu'avec dédain, s'il acceptait d'y voir enfin autre chose que de la pourriture, au moins une fois s'il l'acceptait comme il était avec ses Hommes, bons et méchants à la fois, alors la beauté de celui-ci s'ouvrirait à lui. L'idéal après lequel il courait ne se trouvait réellement que dans son dos, mais devant ses yeux brillait l'illusion, le reflet embellit par sa pensée, qu'il poursuivait en vain. Une part de lui même le savait, comme il savait qu'en tentant de fuir, il se rendait coupable d'inaction et que laisser le mal se faire pouvait être aussi réprimable que de le faire soi-même, qu'il y avait de la lâcheté dans son geste. Intérieurement il espérait que d'autres allaient être plus courageux que lui, mais lui, il ne le pouvait pas. La seule chose qu'il voulait c'était quitter ce monde horrible.
Il avait descendu la rivière et était arrivé à la mer. Il se trouvait en haut d'une falaise de grès blanc et contemplait l’espace infini qui s'étendait devant lui. La mer. Grande. Belle. Bleue. Elle était lui. Des yeux il suivait l'horizon, cette ligne que les navires poursuivent sans jamais pouvoir l'atteindre, ce fil tendu entre ciel et eau, entre ces deux espace bleus où les être sont libres, où ils peuvent évoluer comme bon leur semble sans avoir à être enchaîné a une terre solide. Frigiel sentait même en lui le poids de sa captivité et il en était à envier le poisson qui peut pénétrer les eaux les plus profondes, ou l'oiseau pour atteindre le sommet du ciel. La mer, en dessous de lui, lui paraissait plus belle que jamais. Sa couleur changeait perpétuellement selon le passage de quelques nuages dans le ciel. Là elle était d'un bleu égyptien, de ce bleu pur où le regard se perd, ici elle prenait une teinte d'outre-mer. Mais la lumière changeait et comme le peintre sur sa palette mêle du violet profond comme celui de la lavande à son bleu, ce lui-ci prend alors les couleurs des plûmes du paon. Un petit mouton de ciel laissait traîner son ombre sur les flots qui tout à coup semblaient être dessinés au pastel avec un bleu gris mystérieux. Là-bas, à l'horizon, elle semblait givrée tant son bleu clair reflétait celui acier du ciel. Mais alors qu'avec le soir qui approchait, les rayons qui la frappaient perdaient en puissance et devenaient plus doux, plus caressants, alors elle se transformait en un grand tissu persan moiré, brillant de reflets mauves. Cette grande étendue était calme, malgré le petit vent d'ouest. Ça et là des taches blanches d'écumes irisaient sa surface de saphir. Ses longues lames tranquilles se couvraient alors de frisures tandis qu'à leur bout une écume couleur d’albâtre se formait. Celle-ci moussait et formait des taches blanches dans le froid et sombre bleu des eaux, avant de se dissiper et disparaître sans que l'on ait pu s'en rendre compte. Les vagues formaient un mouvement de roulis. C'était le murmure confus de leur conversation qui montait jusqu'à Frigiel, bien loin, en haut de sa falaise. Elles ondulaient chacune indépendamment de l'autre, en un grand ensemble discordant, mais dans leur désordre se trouvait une unité, un tout dont Frigiel admirait la beauté. Leur balancement continuel et enivrant lui imbibait le cœur de contentement. Elles s'avalaient les unes les autres et tandis que les premières léchaient le bas de la falaise, les autres se préparaient déjà à partir à l’assaut. Elles se couvraient d'un voile blanc d'écume avant de mourir contre la pierre et c'était une joie diffuse qui lui parvenait avec leurs soupirs. Mais c'était derrière elles, franchissant la surface, dans les eaux marines, que plongeait le regard de Frigiel. Il suivait la lumière qui traversait les flots et irradiait tout ce monde aquatique. Dans son rayonnement surnaturel ondulaient de grandes algues vertes. Elles bougeaient au gré des courants avec une régularité parfaite. Ensembles, dans leur valse, elles formaient une harmonie tranquille, hors du temps. Parmi leurs longues tiges, jouaient des poissons aux écailles rouges. De leurs queues colorées, ils lançaient des éclairs vifs et chatoyants de couleurs chaudes dans le froid des teintes de vert et de bleu. C'était un monde fourmillant de vie qu'il découvrait, mais le regard de l'homme assis en haut de sa falaise plongeait encore plus loin derrière la surface. Il quittait ce monde magique pour en découvrir un non pas moins merveilleux dans les profondeurs où les ténèbres se mêlent à la magie, dans ces abîmes inconnus. Frigiel laissait voguer son esprit. Il imaginait toutes les créatures extraordinaires qui peuplaient les abysses. Que ce cachait-il derrière les flots sombres, dans les lieux inexplorés de l'Homme ? Quelles vies insoupçonnées se mouvaient dans ces profondeurs ? Quel animal gigantesque y dévorait ses proies ? Quelle intelligence y bâtissait des palais de nacres, étincelants comme des étoiles plongées au fond des eaux ? C'était comme un monde parallèle dont le grand miroir d'eau était le portail à franchir pour pénétrer dans cette autre dimension. Il imaginait la lumière diffuse des abysses. Les rayons franchissant la surface, pénétrant l'eau verte et se teintant d'une couleur jade tandis qu'ils s’enfoncaient vers les grands fonds et découvraient des profondeurs insoupçonnées. L'eau devenait encre et dans ces ténèbres surgissaient tout à coup des serpents géants dont les écailles de jade et d’émeraude lançaient des éclairs verts dans le noir de l'eau. Des monstres gigantesques, avec des crêtes d'épines sur le dos et d’innombrables nageoires diaphragmes et cartilagineuses, sortaient des ténèbres, ouvrant leur gueule formidable pour la refermer sur une proie, avant disparaître dans le chaos de ce monde resté au temps où la création avait laissé vivre des êtres surdimensionnés. Il avançait et tout à coup, il voyait se dresser les flèches hautes d'un bâtiment d'argent au mur irisé d'arc-en-ciel. Entre ses fines colonnes, ondulaient des êtres fantastiques tirés des rêves. Une femme à la queue de poisson chatoyante s'approchait de lui. Sur sa peau opaline circulait des rayons de lumières. Elle avait le visage de celle à qui il n'avait pas dit qu'au revoir. Elle prenait son visage dans ses doigts délicats, l’attirait à elle – sa bouche couleur de corail brillait – et elle l'embrassait.
Le vent se releva et caressa le visage de Frigiel, le ramenant à la réalité. La lumière avait changé. Ce n'était plus le rayonnement chaud du midi qui rappelait encore l'été, mais la lumière dorée des soirs d'automne. Cette lumière qui couvre toute chose d’une fine poussière d'or, comme si un voile pétillant d'étincelles était tombé sur la terre. Sur les vagues chatoyait le reflet flambant du soleil. La mer n’était plus qu'un jeu de ténèbres et lumière. Les ombres des vagues prenaient le manteau de la nuit tandis que l'astre du jour irradiait leurs angles de ses rayons et les faisait chatoyer. On aurait dit qu'elles pétillaient et que sur leurs surfaces lisses courrait une infinité de flammèches. Au-dessus de l'horizon, la boule de feu incendiait une dernière fois la Terre de ses rayons ardents avant de se noyer dans les flots de l'obscurité. Elle descendait lentement. Elle allait tomber dans les flots, faire bouillir l'eau un instant avant de s'éteindre. La nuit déjà approchait. Frigiel la sentait ramper dans son dos. Elle étirait ses doigts à la surface de la terre, s'accrochait aux feuilles des arbres, tirait tout à elle et les avalait dans ses ombres, mangeant avidement couleurs et formes. Le temps avait passé. Il était resté longtemps là, à rêver. La tranquillité avait été rompue par cette nuit qui avançait. La mer était devenue d'un indigo profond. Un vent plus fort commençait à souffler. Les vagues se fracassaient contre la falaise en jaillissements d'écumes. Elles tapaient la pierre à un rythme répété, comme si une sourde fureur s'était allumée en elles. Frigiel profitait des derniers instants de lumière autant qu'il le pouvait, sachant que dès que le soleil aurait disparu à l'horizon, il partirait en bateau sur ces flots qu'il avait si longtemps contemplé en songe. Le ciel de souffre brillait comme une enluminure. Autour du soleil, l'air semblait vibrer comme si un fourmillement de flammèches s'en détachait et faisait trembler l'air. Mais si le regard se détachait de l'astre pour monter vers le haut de la voûte céleste, l'orange du ciel changeait pour un fuchsia d’orchidée puis pour un pourpre qui finissait par sombrer dans le bleu marin où brillait déjà la première étoile. Les nuages couleur de rouille formaient des taches rouges dans le tableau et parmi elles se détachait une tache noire qui grandissait. C'était un oiseau qui, dos au soleil, rentrait vers la terre en projetant son ombre. Ses larges ailes battaient à peine, il se laissait porter par le souffle chaud émanant des flots à la tombée du soir. L’albatros n'avait pas vu les terres depuis des jours. Il finissait ici son long voyage au-dessus de l'océan. Roi du ciel avec son corps blanc et ses ailes de deux mètres d'envergure, il planait dans la lumière. Frigiel le contemplait et il avait envie de s'envoler avec lui, que son corps se couvre de plumes blanches comme de l'ivoire, et que ses bras drapés de noir ne soient plus que des ailes pour le projeter loin dans les cieux. Il s'imaginait déjà voler aux côtés du prince des nuées quand tout à coup celui-ci fit un écart brutal. Il poussa un cri rauque et contrarié en rabattant les ailes contre lui et changeant tout à coup de trajectoire pour s’éloigner du rivage. Frigiel se leva d'un bond. On aurait dit que l'oiseau avait sentis les démons qui agissaient sur cette terre où la CHM accomplissait son œuvre de destruction. Sentant l'odeur de la mort, il avait préféré faire demi-tour que de s'approcher de se rivage néfaste. Ou bien... Frigiel ramassa une pierre dans sa main et la tint serrée un long instant avant de la jeter de toute sa force, le plus loin possible. Et il se passa ce qu'il redoutait. La pierre ricocha contre une barrière invisible, celle-là même à laquelle l'oiseau s'était heurté et qui l'avait fait changer de route. Devant lui se dressait un mur invisible qu'aucun objet matériel ne pouvait franchir. Il avait rêvé de liberté. Il était dans une cage. Le maître du jeu avait tracé une limite qu'il ne pouvait franchir. Le paradis qu'il avait contemplé lui était défendu. Il ne pouvait rejoindre cette mer ou ce ciel. Des barreaux invisibles le tenaient prisonnier. Fuir était impossible et maintenant, il s'en rendait compte, il l'avait su depuis le début, et les autres aussi, seulement il avait été le seul à ne pas l'admettre. Il lui faudrait donc faire marche arrière et faire face à son destin. Une dernière fois, il contempla l'océan et cette fois, il absorba toute la beauté infinie qui résidait en cette immense étendue d'eau car c'était la dernière fois qu'il la voyait. Il voulait prendre à cet océan toute sa force avant de retourner dans son propre abyme. Demain, il faudrait faire marche arrière, revenir au monde auquel il appartenait et à ses tortures.
Là- bas, à l'horizon, le soleil s'est noyé dans son sang qui se fige.
J'avais ce dessin depuis longtemps en réserve et je le poste maintenant pour fêter le retour de Lielea dans les coms, et l'arrivée d'une nouvelle lectrice de CHM ; Black s'est mise à lire notre histoire et au rythme où elle va, elle nous aura très rapidement rattrapés |
| | Coco_Panda21Apprenti Sadique Zodiaque : Messages : 1128
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| Jeu 16 Avr - 23:40 Coco_Panda21 Mich' ton dessin est superbe, le mélange des techniques était une bonne idée car ça rend super bien! Le dégradé de couleurs est très bien fait et j'aime bien les rayons du Soleil. La compostion du dessin est vraiment captivante malgré le fait que le dynamisme ne soit pas présent dans la scène/moment. J'aime beaucoup les couleurs!
Tu as beaucoup de talent tant en écriture qu'en dessin! Coco. |
| | ManoblackEx-Administratrice - Pastel Beauty Zodiaque : Messages : 2411
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| Sam 18 Avr - 5:59 Manoblack J'ai pas lu pour pas me spoiler mais j'aime beaucoup! Toutes les couleurs employées sont magnifiques et l'effet d'ombre du corps donne un peu de profondeur. J'aime beaucoup aussi la texture de l'eau, et lorsqu'elle devient verte un peu au soleil. En bref tu fais du beau travail, vraiment! |
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| Sam 18 Avr - 8:17 M.S. Coco_Panda21 C'est très gentil de ta part, merci ! Mais pour ma part je ne suis pas aussi enthousiaste que toi. Je suis très contente de la peinture, il y a des effets qui sont très réussit et a vrai dire que je ne m'attendait pas à réussir, mais je n'aime pas le ciel. Il n'est pas réussit, j'en ai fait des bien mieux, là la transition entre le jaune est le vert est pas mal moche. Elle n'est pas du tous souple, cela se voit surtout sur les cotés. Et puis il y a le petit accident de l'ombre du nuage que je n'ai pas sus rattrapé. La disposition est un peu inspiré de ce peintre allemand Gaspar David Friedrich. Mais merci beaucoup pour tes compliments et ton commentaire tous gentil. C'est adorable et me va droit au cœur. C'est sympa que tu sois passé voir ! Merci et à plus |
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| Sam 18 Avr - 9:01 M.S. Black Tu as bien fait de ne pas lire. Cela aurait été dommage de te spoil. Moi aussi, j'aime bien l'eau, en fait c'est le truc que je trouve le plus réussit. Merci d'être passé ! |
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| Mer 29 Avr - 12:01 Lielea Coucou^^ Tout d'abord un grand merci! C'est trop chou de m'accueillir comme ça Quand au dessin, je le trouve super beau. Je dois dire que je voyais la scène autrement, mais le dessin représente super bien l'ambiance du moment, alors ce n'est pas trop dérangeant je trouve... J'aime particulièrement trois choses: 1. L'eau: J'adore la façon dont tu as su créer le mouvement des vagues dans le dessin, c'est super! L'eau est difficile à dessiner, tu as vraiment bien fait. Le seul truc ou je pense que tu pourrais t'améliorer, est le reflet du soleil dans l'eau, si tu regardes bien, ce n'est pas aussi uniforme que tu l'as faut, et je pense que rajouter des minis bouts de blanc rendrait le tout plus réaliste... mais bon^^c'est mon avis personnel, tu en fais ce que tu veux... 2. Le sol (l'herbe) : J'adore simplement la couleur, c'est une entrée dans le dessin calme et paisible... 3. L'oiseau et plus particulièrement son ombre: Cet oiseau, c'est ce qui qui m'a le plus fait aimer la scène dans l'histoire... Jusqu'au moment ou ... Tu as réussi dans le dessin à faire paraitre le même sentiment que quand on lit, et je t'en félicite... Voila^^c'est tout pour moi... désolée d'avoir mis autant de temps avant de commenter, mais cette semaine je suis a fond! (comme tu l'as peut être déjà remarque) |
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| Jeu 30 Avr - 8:31 M.S. Lielea
Bon, je n'ai pas pu tous faire en un soir donc me voila à nouveau, le matin, près à reprendre... Et je vois que tu as été très active ces derniers jours et c'est un grand merci que je t'adresse cela fait super plaisir. Mais vraiment, plaisir comme tu ne peux pas te l'imaginer. C'est incroyable. Merci. Cela fait longtemps d'ailleurs que l'on ne s'est pas parler Skype ^^ c'est dommage.
Comme je le dis plus haut, je trouve ce dessin sympathique, mais sans plus. Le ciel ne me plait pas et il y manque de la vie, et surtout le petit accident de la tache d'huile qui rends l'ombre du nuage complètement dégelasse. Mais je suis contente qu'il t'ai plus En fait l'eau et le sol sont ce dont je suis le plus fière. ^^ Ce que tu me propose est vrai pour l'eau, mais proche. Ici les mer est très très lointaine, faut pas oublier que Frigiel est sur une falaise ( oui on ne le vois pas avec le dessin) et donc ce reflet ne sont physiquement pas possible, ils se mêlent les un aux autres
"L'oiseau et plus particulièrement son ombre: Cet oiseau, c'est ce qui qui m'a le plus fait aimer la scène dans l'histoire... Jusqu'au moment ou ..." XD jusqu'au moment ou....
"cette semaine je suis a fond! (comme tu l'as peut être déjà remarque)" oui j'ai remarqué ^^ c'est tro génial ! et tu remarqueras toi que je garde le meilleur pour la fin... Le grand Com arrive |
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