PDV FukanoJe les entendais, ces pleurs, ces reniflements, ces gémissements. Pourtant, tous les autres ne s'en souciaient pas, et ils s'en fichaient éperdument, comme si, à leurs oreilles sourdes, ne parvenaient que les sons les plus futiles. On entend, avec le cœur, que ce qui nous importe, mais on entend, avec les oreilles, ce qui nous parvient.
Je tournais les yeux, et, tout le monde eut le temps de sortir, que je restais encore à l'intérieur. Mon corps tout entier semblait refuser de bouger, comme si quelque chose de très important se tenait ici. Et, peut-être que, effectivement, c'était le cas. J'avais entendu, et je refusais d'ignorer. Tel était sûrement la raison du jugement de mon corps.
Mes iris ambrées se tournèrent à elles seules dans une direction, et je la vis.
Son visage pâle, éclairé par la lampe juste au-dessus d'elle, semblait briller de milles feux sous cette douce lueur. Elle lui frôlait les joues, faisant ressortir ses petites pommettes bombées, et laissant ses lèvres roses et tremblotantes luire. Ses yeux azur étaient en train de se noyer dans les eaux profondes qui dévalaient les rebonds de sa peau, jusqu'à venir goûter sur son menton parfait. Ses tempes étaient recouvertes de mèches dorées qui encadraient son visage, et venaient s'accrocher aux rebords de son cou, coulant, tel une cascade, sur ses épaules, et son dos, s'arrêtant au niveau de sa poitrine. Ses épaules étaient secouées de soubresauts multiples, qui laissait ses lèvres s'entrouvrir sans arrêt pour laisser de l'air imbiber ses poumons. Ses mains tremblantes étaient posées sur ses genoux, repliés, laissant ses fesses se poser sur le sol. Ses doigts glissaient à la surface de son bas, et, je ne pus m'empêcher d'éprouver une profonde peine pour la jeune demoiselle.
Je me retournais dans sa direction, et, dans un mouvement de tête vers le haut, ses cheveux d'or glissèrent vers l'arrière, et ses yeux semblèrent rester aussi humides qu'auparavant. Je m'approchais d'un pas vers elle, qui sembla résonner dans la toute petite pièce, et elle sursauta quelque peu.
Je vis son regard fuir le mien, comme si elle avait peur du regard du mi-prédateur que j'étais. Étais-je terrifiant, au point que quiconque oserait dresser ses iris contre les miennes serait pétrifié de ce sentiment? Honteux de mon corps, juste à cause de ce regard accusateur, je regardais mes poils orangés, ceux qui parcouraient mon corps, zébrés de noir, depuis ma naissance, parfois parsemés d'une surface blonde. Pourtant, on m'avait appris à m'accepter tel que j'étais, sans me soucier du regard des autres, de leurs moqueries incessantes, et de leurs doigts pointés sur moi.
Pourquoi les yeux de Xylaune changeaient ainsi ma façon de penser?
Cette jeune fille, j'avais à peu près réussi à gagner sa confiance, à lui faire comprendre que, elle avait beau dire aux autres qu'elle n'était pas importante, tout le monde, sur cette planète, avait sa place dans la société, et que, quelle qu'elle soit, elle en aurait, elle aussi, une. Et elle était importante, comme chacune des autres.
Elle avait eu beaucoup de mal à accepter le fait que je sois attentionné avec elle, tout comme ses amies lui répètent qu'elle comptait beaucoup pour elles, mais, finalement, avec les efforts de chacun de ses proches, nous avions plus ou moins réussi à lui rentrer cela dans le cerveau.
Je m'accroupis devant elle, devant cet être à la fois si chétif, mais aussi tellement fort. Elle ne savait certainement pas, mais je l'admirais. Le simple fait qu'elle cherche à vivre dans une solitude où personne ne se soucierait d'elle est, pour moi, impensable. Et c'est donc pour cela que je la trouvais incroyable.
«Xylaune, ce n'est qu'un exercice, tout va bien, d'accord? Si tu surmonte cette épreuve, on pourra sortir d'ici. Et, à la prochaine, tout ira mieux.
-I-ils sont partis?
-Qui ça?
-Tous... Ces gens...
-Oui. Regarde autour de toi, il n'y a plus que moi.»
Je compris qu'elle avait sûrement la phobie d'être collée à des inconnus dans une salle aussi restreinte, et, alors, je passais doucement mes bras sous les jambes de la jeune femme, avant de la prendre dans mes bras, comme à notre première rencontre. Elle tremblait de tous ses membres, et était comme tétanisée. Je souris un peu, avant de me diriger lentement, afin de ne pas qu'elle se sente brusquée, vers la sortie.
Elle émit un léger hoquet de surprise, mais, après quelques secondes, sa tête vint se nicher dans le creux de mon épaule. Je souris quelque peu, en vissant de nouveau mon regard sur la porte de sortie, et, d'un pas déterminé, je m'approchais de cette dernière. Xylaune ne semblait pas vouloir me lâcher, et, ce fut seulement lorsque l'on atteignit la sortie, qu'elle tira sur mon haut, comme semblant me faire comprendre qu'elle souhaitait que je la lâche.
En comprenant cela, je laissais délicatement ses pieds atteindre le sol, et, dans un glissement, elle se hissa de nouveau sur ses jambes afin de tenir debout. Ses iris azur cherchèrent les miennes, et, lorsqu'elle croisa mon regard, elle me fit un sourire. C'était la première fois que je voyais la jeune blonde étirer ses lèvres ainsi, juste afin de me montrer sa reconnaissance dans un geste tellement simple.
Puis, elle retourna son visage avec hâte, faisant couler ses cheveux dans son dos, avant d'ouvrir la porte, et de sortir vite.
Je la suivis, et, alors qu'un halo de lumière nous fonçait dessus, tous les pixels de la salle disparurent, pour laisser un semblant de vide et de carrés verts autour de nous, montrant le changement de zone de l'exercice.
«Je crois que c'est l'épreuve finale, m'avoua-t-elle.
-Comment ça?
-Cela me paraît évident, non? Ils nous ont fait traverser toutes ces zones, en nous montrant nos cauchemars, en nous disant de les surmonter. Lui, c'est le pire que j'ai eu. Il est donc forcé que ce soit la dernière zone que nous allons visiter. Donc, ta plus grande phobie.»
Mon sang se glaça. Non. Ils ne pouvaient pas savoir de quoi il s'agissait. Ma plus grande peur, ils ne la connaissaient pas, et personne ne la connaîtrait. D'ailleurs, personne ne nous avait jamais expliqué pourquoi nous devions surmonter ces épreuves pour un simple entraînement. Même s'il est vrai que, actuellement, je ne pouvais m'imaginer que je devrais surmonter ma phobie la plus grande.
Soudain, tout se reforma autour de nous. Des murs blancs se formèrent, comme ceux des hôpitaux. Puis, des machines semblèrent prendre forme, elles étaient énormes, et des tuyaux transparent semblaient se diriger tout droit sur nous. Enfin, des humains semblèrent s'animer, ils étaient, pour la plupart, plutôt âgés, et portaient tous de longues blouses blanches, qui venaient chatouiller le creux de leurs genoux, et, dans leurs mains, ils tenaient, soit des feuilles regroupées par un calepin, soit les commandes des machines.
Puis, une barrière de verre se forma autour de nous.
Je sentis la panique me gagner, alors que, d'habitude, je savais me calmer. Reculant d'un pas, mon dos heurta violemment la vitre derrière moi. Mon souffle commença à devenir saccadé, et je vis du coin de l'oeil Xylaune se tourner vers moi. Je me laissais glisser le long de la paroi invisible, en sentant le sang battre contre mes tempes. Les machines bipèrent. Je fermai les yeux, en tentant de calmer ma respiration, et, alors que cela commençait à fonctionner, une violente décharge électrique fonça sur moi, me faisant hurler de toutes mes forces.
La blonde à mes côtés ne semblait rien sentir.
Un long rugissement, de mon côté félin, reprit le dessus, et je tombais à quatre pattes, face contre le sol, haletant. Une deuxième décharge s'introduit dans tous mes muscles, et, cette fois, je sentit mes griffes s'introduire violemment dans le sol, tellement la douleur était atroce, tout en laissant de nouveau une facette sauvage de moi apparaître.
Je sentis des mains se poser sur mes épaules, mais je ne réussissais pas à me calmer, tant mon cœur tambourinait contre ma cage thoracique, semblant vouloir la faire exploser.
Puis, plus aucune douleur ne paru prendre possession de mon corps. Et je me relevais. Un homme au visage flouté se tenait devant nous, et il paraissait, malgré ses traits cachés, plus qu'en colère. Lui aussi, portait une blouse blanche.
«Saleté! Tu n'es même pas capable d'être un être concluant, non, il fallait que l'on n'arrive pas à te transformer entièrement en tigre! Tu n'es qu'un mutant dégueulasse, qui ne vaut même pas la peine de vivre, mais, pourtant, on m'a interdit de te tuer... T'as de la chance, sale bête.»
Trop, s'en était trop, je tombais de nouveau, mes genoux entrant en contact dans une faiblesse avec le sol. J'avais mal. Ce dialogue, je l'avais déjà entendu, et il me faisait souffrir. Je n'en pouvais plus. Pourquoi fallait-il que l'on me fasse de nouveau revivre cela? Qu'avais-je fait pour mériter un tel supplice? Mes larmes roulèrent automatiquement sur mes joues, pour se tracer un chemin à travers ma fourrure, et finir par s'écraser sur le sol.
Des bras enlacèrent alors mon corps, et je reniflai bruyamment.
«Chut, Fuka, c'est fini..., me murmura une douce vois à l'oreille.»
C'était Xy, je le sentais, elle caressa tendrement mon épaule, et, je m'accrochai soudainement à elle, comme on le ferait à une bouée de sauvetage. Je laissais mon esprit s'évader grâce à cette jeune femme, et me permis de laisser un petit merci glisser à travers mes lèvres.
Puis, comme dans un geste des plus simples, que je ne compris pas sur le coup, elle me releva le menton, en glissant sa main vers ma gorge, avant que je ne sente ses lèvres rencontrer les miennes.
«Tout va bien, eus-je le temps d'entendre juste avant.»
PDV ThaekMes pas résonnaient dans le long couloir, et je ne faisais que suivre un chemin que je connaissais par cœur. Ou, presque. La journée avait été à la fois calme, mais à la fois mouvementée. J'avais largement eu le temps d'observer chaque personne, chaque réaction, et, comme toujours, j'en avais appris encore un peu plus.
Oh, à vrai dire, je connaissais quelques personnes à la perfection, et je gardais un œil sur certaines, par simple méfiance. Il y en avait d'autres que j'avais cerné dès le début, en fait, et je me devais impérativement de ne pas me laisser berner.
On m'avait, dès mon plus jeune âge, appris à m'introduire dans la vie privée des gens sans qu'ils ne s'en aperçoivent, à espionner, sans que l'on ne me voit, et, plus que cela, à écouter, sans que l'on ne devine mes intentions. En soit, j'étais un peu le type de personne que l'on pourrait qualifier d'espion, si seulement je travaillais pour quelqu'un. Or, ce n'était absolument pas le cas, et ce ne le sera jamais.
Actuellement, je me posais quelques questions, bien que je devrais plus me concentrer. Beaucoup étaient en entraînement, et les instructeurs ne traînaient jamais dans les couloirs à ces heures là, ma chance ne se représenterait pas. Pourtant, un grand mystère subsistait, et je ne savais comment y répondre. Peut-être m'étais-je trompé? Cela était presque invraisemblable, mais, et si c'était le cas?
Je les comptais presque sur le bout des doigts. Les morts aussi. Hier, l'une d'entre eux était morte par ma main, et je devais avouer que l'endroit dans lequel elle se trouvait était plutôt bénéfique.
Quelle idée, aussi, de se promener dans le sous-sol, où l'eau montait tous les trois jours pour venir engloutir cette salle!
Cannella avait donc été portée disparue, mais je devais être le seul à savoir avec certitude qu'elle était morte, et son corps se ferait avaler par les profondeurs des océans dans deux jours.
Ceux que je devrais éliminer ensuite seront Frigiel, Zephirr, Nayara, Black, Ilo, et... Izzy?
Cette jeune femme était un mystère. Je ne savais que penser, elle était la seule que je n'arrivais pas à bien cerner. Avait-elle un côté démoniaque? Devais-je me méfier d'elle? Je n'en savais rien. L'autre fois, lorsque je l'avais menacé, j'étais presque sûr que je devrais l'éliminer un jour ou l'autre, sans laisser de preuves derrière moi, mais, à présent, je ne savais pas si elle faisait partie de cette catégorie de personnes.
Bref, là n'était pas la question, ma prochaine cible m'attendait. Et je la voyais déjà...
Je souris, en m'approchant de la jeune femme qui m'attendait, et me mis devant elle.
«Thaek, j'ai cru que je devrais attendre l'éternité pour que tu daigne pointer le bout de ton nez!
-Ne te méprends pas, Naya, mais je devais faire bien des choses avant de venir te chercher.
-Oh, je vois que t'es le genre de mec occupé vingt-quatre heure sur vingt-quatre, ricana la châtaine.
-Tu ne crois pas si bien dire, répondis-je avec un air charmeur.»
Elle soupira en levant les yeux au ciel, et, me donnant un coup de coude dans les côtes, me suivi dans les longs couloirs sinueux.
«On va où?, me demanda-t-elle.
-Eh bien c'est un secret, mais j'espère que tu n'as pas le vertige!»
Je lui pris la main, et la tirais avec moi dans une direction.
Elle était tellement naïve... Elle ne se rendait même pas compte du danger que je représentais pour elle, et, plus que cela, elle me suivait comme un mouton dans son propre meurtre. De toute évidence, personne ne la retrouverait. Ou du moins, ne retrouverait son cadavre.
Mon sourire s'élargit lorsque des escaliers se dressèrent devant nous, et je me dirigeais vers eux sans aucune hésitation. La jeune femme qui m'accompagnait resserra sa prise sur ma main, ce qui me retourna vers elle, avec une pointe d'interrogation dans le regard.
«Naya, quelque chose ne va pas?, demandais-je alors.
-Pourquoi tu m'amène dans un endroit aussi dangereux? Regarde, il n'y a pas de rambarde ici, l'un de nous deux pourrait très bien perdre l'équilibre et tomber en bas. Ce qui signifie mourir.
-Tu crois?, dis-je en fronçant les sourcils.»
Elle hocha positivement de la tête, en me faisant serrer les dents. Mince, si elle refusait de monter là-haut, je n'avais aucune chance que mes plans se déroulent comme prévu, et, par conséquent, qu'elle meurt.
Mon regard suivit la courbe harmonieuse des escaliers, cherchant une solution au fait qu'elle refuse d'aller en haut. Je n'avais pas de plan de secours, pensant qu'elle allait me suivre sans rechigner, mais, finalement, elle était plus maline que cela...
Je laissai mon cerveau bouillonner, afin de trouver un autre moyen. Il y en existait sûrement un! C'était obligé... Bien sûr qu'il y en avait un, il y en a toujours!
«Tu es sûr de ne pas connaître un endroit moins dangereux?
-Eh bien, là, actuellement, je n'ai aucune autre idée..., argumentais-je.
-Dans ce cas, on pourrait juste... Se balader dans les couloirs, et parler, comme des gens normaux, rit-elle.»
Dans un soupir intérieur, je dus admettre que mon plan n'avait pas fonctionné et que, du coup, je ne pourrais la tuer aujourd'hui.
J'approuvais donc sa réponse, et fit demi-tour, elle à mes côtés. Je n'avais d'autre choix que d'agir ainsi, sinon, elle se poserait trop de questions, et je ne pouvais pas me permettre d'éveiller les soupçons si je souhaitais vraiment anéantir tous ceux qui possédaient du sang démoniaque.
Elle commença à me parler de tout et de rien, pensant que je m'intéressais au flot de paroles qui passaient le seuil de ses lèvres, alors que, finalement, ce n'était pas le cas. Ou, du moins, c'est ce que je croyais, jusqu'à ce qu'elle commence à me poser quelques questions, auxquels je répondis.
C'était étrange, car, j'avais pour une des règles principale que je m'étais instauré de ne pas trop discuter avec la cible, et, pourtant, je le faisais. Je me surpris même à lui raconter une part de ma vie, bien qu'inutile, et en rire, tout comme elle. D'ailleurs, elle avait un très beau rire. Il était cristallin, et sonnait à mes oreilles comme une douce mélodie.
Souvent, les jeunes femmes riaient ainsi, alors cela ne devrait pas me surprendre, mais, étrangement, je n'avais auparavant jamais prêté attention à celui des autres.
Mais je pensais trop, de toute manière, il suffisait juste que je me calme et que je la ramène dans son dortoir pour que j'oublie ce son mélodieux.
«Dis, tu viens de quel grade?
-En fait, je...»
Je me tus. Et elle me lança un regard intrigué, devant cette réaction.
Néanmoins, je ne pus même pas remarquer cela, car mon regard était déjà encré dans quelque chose de bien plus grave. Devant moi, un sous-marin fonçait droit sur l'endroit où nous nous trouvions. Or, il ne s'agissait pas de celui d'un de nos troupes, ou, tout simplement du grade six.
Le danger était déjà là.
Je sortis la dague que j'avais caché, et Nayara émit un bond en arrière en voyant cela. Si nous nous faisions attaquer, peut importait si je la tuais, personne n'en saurait rien, et elle ne pourrait pas rejoindre l'autre camp. Mon regard se déposa sur la jeune femme, terrorisée.
«T-thaek... Que fais-tu avec cette dague?»
Je m'approchais d'un pas vers elle, alors qu'un combat intérieur tenait lieu dans mon cerveau. Devais-je la tuer? Y arriverais-je, tout simplement? Je e crois pas y parvenir...
Pourtant, je le devais, si je voulais être totalement sûr qu'elle ne rejoigne pas la cause des ennemis. Mais il était aussi probable qu'elle ne le fasse pas, et dans ce cas, elle ne représenterait aucun danger pour nous...
Pourquoi devais-je me poser autant de questions? D'habitude, je l'aurais tué sans arrière-pensée!
«Rejoins les autres, et préviens les instructeurs qu'on se fait attaquer.»
Je vis de la panique dans son regard, et elle couru loin de moi. J'avais fait mon choix, et j'espérais ne pas le regretter.
PS: Niouky les Zorua!
J'espère que ce chapitre, bien qu'il soit sorti avec plein plein de retard, vous plait, et qu'il ne vous déçoit nullement :3
En fait, j'ai assez galéré pour écrire la fin du dernier PDV, mais bon, je me suis accrochée, et, voici le chapitre, flambant neuf! èwé
Je n'ai rien de particulier à dire, mis à part le fait que la fin approche de plus en plus vite les amis, eh oui...
Mais ne vous inquiétez pas, il y aura une suite!
Voilà, merci à tous d'avoir lu jusqu'au dixième chapitre, et de me suivre aussi activement, je vous aime très très fort les gens! <3
N'oublie pas de lâcher un commentaire et d'appuyer sur le petit "+" en haut à droite si cela t'as plu, et à dimanche prochain les Zorua!
Kissouilles! <3